Parlons. Et nous le verrons de nos propres yeux : tout s’arrêtera vraiment, dans la consolation, le soulagement, l’humour et la libération durable.
Si la pratique de la masturbation (et de tout ce qui va avec : libertinage, « plans cul », luxure, visionnage de porno, drague malsaine, etc.), empêche de parler (ça se vérifie universellement : elle nous coupe À TOUS SANS EXCEPTION la langue tellement elle est honteuse, avilissante et pourtant banalisée), ne nous décourageons pas et disons-nous bien qu’à l’inverse, c’est aussi par la parole qu’on arrive à la dépasser. Personnellement, j’ai découvert que c’est à partir du moment où j’ai nommé ce que je faisais (et je ne parle pas ici que du sacrement de confession : je parle en société ou par mes écrits), que j’ai pu m’en détacher et que j’ai réussi à m’en sortir. J’irais même plus loin : je crois que c’est une fois qu’on parle de cette pratique qu’on en est déjà sorti. Le Verbe s’est fait chair et Il a habité pour toujours parmi nous. C’est une Réalité. Vive la Parole libératrice !