Mon choix de la continence, à tout instant, peut être réellement déchirant, parce qu’il n’est motivé « que » par ma préférence du Meilleur sur le possible bien du couple homosexuel. Il ne tient qu’à un fil. Ça aurait été tellement plus facile si le couple homosexuel avait été indiscutablement mauvais ! Mon choix entre bien et mal eût alors été vite vu ! Mais là, je m’impose arbitrairement de laisser de côté le « bien ». Alors que personne ne m’y oblige, par pure intuition et attachement au Réel durable, je pose la décision de la grandeur, du perfectionnisme, de la valeur ajoutée, de l’entièreté. Une folie. Je vous le dis ! C’est comme dompter une bête invisible.