On fait passer sainte Thérèse de Lisieux pour une fillette cucul qui répandait des pétales de rose partout et qui ne voyait le mal nulle part. C’est édulcorer son message, qui ne manquait pas de vigueur, et qui savait même nommer le diable. Question « fin des temps », Thérèse savait très bien de quoi elle parlait, puisque son livre de chevet, qu’elle connaissait par coeur, était Fin du monde présent et Mystères de la Vie future de l’abbé Arminjon.