On pourrait se plaindre d’être les contemporains d’une époque particulièrement troublée dans laquelle nous allons souffrir et frémir plus que dans les autres. En réalité, peut-être que Dieu nous offre par là le privilège d’en chier moins longtemps que les autres au purgatoire (même si je sais qu’au purgatoire, il n’y a plus de temps). 🙂