Je n’accepte qu’on s’inquiète pour moi que si on me vient concrètement en aide. Sinon, ça veut dire qu’on me veut malheureux et qu’on veut parer sa lâcheté du petit « courage » de la compassion. Même le diable est capable de plaindre ou de simuler l’empathie et la préoccupation. Ceux qui m’aiment vraiment et savent ce que je vis ne sont jamais inquiets pour moi. À bon entendeur.