J’avais demandé à saint Antoine de Padoue que, pour la confession à saint Louis d’Antin, je tombe sur un prêtre consolant et pas un prêtre culpabilisant ou moralisateur. J’ai été bien exaucé. Sans que j’oriente en quoi que ce soit la confession, le jeune prêtre d’Afrique noire m’a dit que les vrais saints n’étaient pas des gens qui ne péchaient pas mais au contraire des gens qui péchaient mais qui venaient quand même dans un confessionnal. Et après m’avoir donné l’absolution, il m’a souri en me regardant et m’a dit : « Le Seigneur vous aime beaucoup. » 🙂 . Je lui ai dit que c’était saint Antoine qui m’avait donné un prêtre comme lui.