La situation est réellement chaotique
Pendant que les cardinaux progressistes ou modérés refusent de voir la priorité de l’homosexualité dans les débats d’Église et dans le monde, et de nommer les vraies urgences (l’homosexualité mériterait à elle seule un Synode, à la place de tous les Synodes-bidon sur « la Vie », « la sainteté », « l’écologie », « la famille », « la vocation », « la sainteté », « les jeunes », « la vie consacrée », etc.), les seuls cardinaux à deviner la priorité de l’homosexualité sont les mauvais (cardinal Napier, cardinal Sarah, le cardinal Morlino, etc.) : ils la traitent mal, arrivent en shérifs, en justiciers, en grands nettoyeurs, en éradicateurs de « fléau », de « lobby gay », de « mafia rose infiltrée parmi eux ». Et ils sont relayés par une presse catholique traditionaliste réactionnaire, composée de mouchards paranoïaques et de journalistes malveillants (Jeanne Smits, Réinformation TV, Salon Beige, Riposte Catholique, etc.). Le danger est vu, mais mal dénoncé, et sans proposition heureuse de résolution : l’intuition n’est pas l’intelligence… et la délation encore moins. Dans les deux cas, progressistes comme conservateurs, il n’y a aucun traitement de l’homosexualité, aucune considération des personnes homos, aucune vision de la primauté joyeuse de l’apostolat par l’homosexualité continente, aucune Bonne Nouvelle annoncée. La primauté de l’homosexualité est vue par le mauvais camp. Les seuls qui osent traiter ouvertement d’homosexualité publiquement sont les pires clercs qu’on pouvait imaginer puisque c’est la Brigade des mœurs, moraliste, anti-Pape François, et homophobe. La situation est réellement chaotique.
La situación es realmente caótica
Mientras que los cardenales progresistas o moderados se niegan a ver la prioridad de la homosexualidad en los debates de Iglesia y en el mundo (véanse mi libro Homosexualidad : la Prioridad negada), y a nombrar las verdaderas urgencias (la homosexualidad merecería por sí misma un Sínodo entero, en lugar de todos los Sínodos baratos dedicados a la « Vida », « santidad », « ecología », « Familia », « vocación », « santidad », « juventud », « vida consagrada », etc.), los únicos cardenales en adivinar la prioridad de la homosexualidad son los malos (el cardenal Napier, el cardenal Sarah, el cardenal Morlino, etc.) : la tratan mal, llegan como sheriffes, justicieros, grandes limpiadores, erradicadores de una « plaga », de un « lobby gay », de una « mafia rosa infiltrada entre ellos ». Son apoyados por una prensa católica tradicionalista reaccionaria, compuesta por periodistas soplones, paranoicos y malintencionados (Aciprensa, Actuall, Religión y Libertad, InfoCatólica , etc.). Se identifica el peligro, pero está mal denunciado, sin una propuesta feliz de resolución : la intuición no es la inteligencia… y la delación, aún menos. En ambos lados, progresistas como conservadores, no hay tratamiento de la homosexualidad, ni consideración de las personas homosexuales, no hay ninguna visión de la primacía alegre del apostolado de la homosexualidad continente, no se proclama la Buena Nueva. La primacía de la homosexualidad es vista por el bando malo. Los únicos que se atreven a hablar públicamente de homosexualidad son los peores clérigos que podíamos imaginar, ya que es la Brigada antivicios, moralista, anti-Papa Francisco, y homófoba. La situación es realmente caótica.