Après avoir été boudé par beaucoup de libraires et de médias cathos en général (parce qu’ils ne l’ont pas compris, je pense), mon deuxième livre L’homophobie en vérité semble prendre peu à peu sa revanche. Je reçois de plus en plus de courriers de lecteurs qui ont lu L’homophobie en vérité sans avoir lu L’homosexualité en vérité (le premier). Encore hier, un ami religieux m’a raconté qu’il avait eu récemment sa maman au téléphone qui, sans savoir que son fils me connaissait, lui avait dit qu’elle était en train de lire « un très bon livre – L’homophobie en vérité –, très clair, où on comprend tout (C’est de Philippe Ariño. Tu connais ?). »