Aujourd’hui, j’ai rencontré une amie avec qui je suis allé à la messe à la rue du bac, et qui m’a dit qu’honnêtement elle ne restait sur Facebook que pour lire mes publications… car sinon, elle trouve le contenu posté par les autres tellement indigent qu’elle ne verrait pas l’intérêt de poursuivre sur ce réseau social. Ça m’a fait plaisir, d’autant plus parce que quasiment personne ne partage ce que je publie et ne manifeste par un simple « like » son soutien ou son adhésion (j’ai un lectorat et un fan club pas du tout absents mais invisibles : c’est complètement désarçonnant), et que certains même tentent de me décourager et de me réduire au silence (par des remarques du genre « Franchement, qui lit tes publications? » ; « Sois plus humble et moins bavard. » ; « Parle moins de toi et sois moins égocentré. » ; « Imite Jésus : il est resté silencieux jusqu’à ses 30 ans et n’a commencé sa vie publique qu’à ses 30 ans. »… ce à quoi je réponds « Et quand il prophétisait dès l’âge de 12 ans dans le Temple de Jérusalem, ce n’était pas déjà de la vie publique, peut-être? »). Merci, par conséquent, à tous les amis parmi vous qui, dans l’ombre, s’intéressent à ce que j’écris, restent sur Facebook uniquement pour moi (trop flatté !) mais sont dans l’incapacité de pouvoir me le montrer. Merci du fond du coeur.