UNE PARTICIPATION REMARQUÉE
Jeudi 5 janvier 2023 dernier, j’ai participé à la scène ouverte des Grandes Histoires, dans le cadre bohème, cosy, convivial et alternatif, du Matreselva, salle située dans le 15e arrondissement de Paris. Si vous ne connaissez pas ce lieu atypique, allez-y. Il vaut le détour.
Jusque-là, rien d’exceptionnel. Ce qui aurait dû rester une banale intervention de 5 minutes sans grand enjeu pour moi, perdue au mieu de 19 autres passages sur scène programmés dans la soirée (Les Grandes Histoires sont une petite scène parisienne familiale, artisanale, mi-amateur mi-pro, sans autre prétention – apparemment – que l’expression libre, poétique, bienveillante, optimiste et généreuse de soi), a pourtant eu l’effet d’une bombe. Même si, pour le coup, il y a peu de chances que j’y revienne, et que ce fut sans doute ma première et ma dernière apparition.
En effet, j’ai été objectivement « l’Homme de la Soirée ». Sans exagérer. Ça a été une telle surprise et onde de choc pour l’auditoire et les organisateurs que tout le monde a parlé de moi et a quasiment retenu mot pour mot l’intégralité de mon speech (je suis passé en 5e position, donc en première partie de soirée). J’étais dans tous les esprits, les conversations, les bouches. Après mon allocution (que j’avais apprise par coeur pour l’occasion), quasiment la totalité des orateurs (une quinzaine) qui m’ont succédé s’adressaient à moi dès leur montée sur scène – parfois en mode « Tu es le Connard de la soirée : je te hais » – et faisaient référence à mon exposé consacré au narcissisme et à la Franc-Maçonnerie dans Les Grandes Histoires ! Comme un groupe qui faisait bloc pour me lyncher. C’est dire si j’ai lancé un pavé dans la mare.
Et le pire, c’est que certains ont été tellement piqués dans leur orgueil, réveillés et démasqués dans leur entreprise inconsciente que, loin de démentir le portrait au vitriol que j’avais dressé d’eux, l’ont confirmé par leur panique agressive et vengeresse, en mode « Ah bon ? Nous sommes narcissiques et francs-maçons ?! Eh bien puisque c’est comme ça, nous le serons puissance 1000 !!! ». En effet, beaucoup d’entre eux, parce que je leur ai fait ombrage, mais aussi pour exister et défendre leur carrière, ont fait encore plus leur promo à l’issue de leur passage qu’à la précédente soirée du 7 décembre 2022 (à laquelle j’avais assistée en prenant des notes).
Mais malgré leur riposte amère, je suis resté très rigolard et fair-play, acceptant les coups de griffes et les règlements de comptes/vexations. Car au fond, j’ai reçu beaucoup d’Amour. Et j’avais réussi mon coup : dénoncer les travers de ces soirées scène ouverte que personne n’ose critiquer tellement elles transpirent la gratuité, le risque, l’altruisme et la poésie. Et même si j’étais K.O. (comme un boxeur après un combat !) et que j’ai cru mourir de peur avant de me jeter à l’eau (À l’issue de mon passage, je me suis littéralement vautré sur mon groupe de 6 amis venus me soutenir !^^), même si on m’a symboliquement craché à la gueule, j’ai finalement raflé la mise.
Pour la petite histoire, pendant la première pause de la soirée, une femme trentenaire (une jeune et belle psychologue) est venue discuter avec moi pour me dire combien elle avait trouvé ma prise de parole pertinente et riche (ça a été ma plus belle consolation, mon plus beau cadeau, hormis bien sûr la présence de mes amis). Elle m’a raconté son expérience personnelle avec la Franc-Maçonnerie. Et j’ai vu qu’elle me croyait quand j’ai parlé de l’influence croissante de celle-ci dans notre Monde, puisqu’elle a été ponctuellement hôtesse d’accueil pour un rassemblement franc-maçon. Elle m’a d’ailleurs révélé qu’elle devait à l’époque scanner tous les pass sanitaires des participants, sauf celui du Grand Maître vénérable, car le contrôler eût été considéré comme un terrible affront (c’est donc la preuve que la plupart des puissants qui ont forcé la population à se faire « vacciner » ne se sont pas fait injecter eux-mêmes parce qu’ils étaient au courant qu’il s’agissait d’un poison. Je ferme la parenthèse).
POURQUOI JE M’INFLIGE ET J’INFLIGE ÇA ? (#VraieQuestion)
Ce n’est pas la première fois de ma vie que je « casse l’ambiance », que je bouscule les codes de bienséance et des assemblées (ou, si vous préférez, que je secoue le prunier, rue dans les brancards, donne un coup de pied dans la fourmilière, ou suis le chien dans un jeu de quilles), que j’endosse aux yeux de certains le rôle d’« orateur à craindre et à la langue de feu », de « trublion », de « polémiste », de « provocateur », de « fouteur de merde » (et de « fouille-merde »), de « franc-tireur », de « diva impitoyable et pitoyable », voire de « diable incarné » (et ses dérivés : « homophobe », « extrémiste », « dangereux », « fou », « malade psychiatrique », « criminel », etc.) : je pense par exemple à certaines corrections fraternelles « qui déménagent » que j’ai pu faire, à des lettres que j’ai écrites au sein de ma famille, à des prises de position tranchées et originales sur des sujets tabous, à mon approche critique désarçonnante (certains profs de fac me craignaient quand je levais la main dans un amphi et demandais la parole), à certaines de mes chroniques radio décapantes à Homo Micro, à mon témoignage sous haute surveillance et ayant cristallisé toute l’attention des médias espagnols à Barcelone en février 2017, à mes vidéos-clips déconcertants (dont on ne sait pas si c’est du lard ou du cochon…), et bien sûr dernièrement, à ma participation aux Grandes Histoires. Mais pourtant, les seuls qualificatifs qui me vont vraiment, c’est plutôt : « Enfant Terrible » (selon les propres termes du prêtre jésuite nord-américain de Courage International Fr Peter F. Ryan, à mon encontre), « empêcheur de tourner en rond », « celui qui met les pieds dans le plat », « électron libre »…
J’insiste pour dire que lors de mes prises de position, mes échanges avec les autres, ou mes apparitions publiques, je n’ai pourtant jamais été un provocateur. Ni en intention, ni dans les faits. Ni dans l’image (politiquement correcte ou incorrecte). Car je n’aime pas détruire, rabaisser ou blesser quiconque. Je n’aime pas le scandale. Et je suis attaché à la délicatesse, à la nuance, à l’amour de tous. Simplement, je pense être un esprit libre, qui veut surprendre et à aller au fond des choses, parfois en prenant le contre-pied de certaines évidences ou fonctionnements sociétaux moutonniers (ou de mes propres fonctionnements), pour chercher la nuance et la liberté, et sans cesse me mettre moi-même en danger. De plus, je pense avoir le nez creux pour détecter, traiter et déterrer/ressusciter les sujets qui fâchent mais qui en même temps passionnent, attisent la curiosité et les passions d’un maximum de monde, et touchent aux tréfonds de l’âme humaine et du Monde (c’est le cas de l’homosexualité, de la Franc-Maçonnerie, de l’Apocalypse, du « vaccin » contre le COVID, du diable, de Jésus, je trouve).
Il y a dans mes analyses et prises de parole bien plus qu’une irrévérence ou une insolence provocatrice et taquinante ou une audace ou une impertinence : ça tient de l’apparent « sacrilège », de l’apparente « mise à mort » verbale (privilège réservé uniquement à Dieu – qui seul juge, crée, et a droit de vie ou de mort sur les créatures), qui est en réalité, pour être plus juste, de l’ordre du sacrifice. D’ailleurs, lors de la soirée des Grandes Histoires, je me suis sacrifié et j’ai commis un sacrifice. Mon (auto-)sacrifice, pour être précis. Mon meilleur ami Abdallah, qui au départ comptait déclarer forfait et annuler sa venue, s’est forcé à venir me soutenir, car il a senti au téléphone que j’allais dire ce soir-là quelque chose de mortel : pas « mortel » dans le sens que ça donne la mort ou blesse ou humilie, mais dans le sens où ça pouvait être considéré comme tel, et que ça pouvait aussi me valoir aux yeux du Monde la mort, au moins symbolique ; et surtout « mortel » parce que ça serait « grand » dans le sens de « géant », de « puissant », d’« inédit », de « révolutionnaire », de « spectaculaire » et d’« osé ».
Et effectivement, en croquant Les Grandes Histoires par la description satirico-tendre, en m’y attaquant fraternellement, j’ai touché l’Intouchable ; j’ai critiqué l’Incritiquable. Car qui, avant moi, a osé s’en prendre à l’apparent courage et à l’apparente générosité des orateurs qui montent sur scène pour livrer une part d’eux-mêmes ? Personne ! Personne n’a le courage de critiquer le concept même des Grandes Histoires, la démarche, le sens et les fruits. Par conséquent, moi, aux yeux des concepteurs et des contributeurs de ces soirées, j’ai commis un sacrilège. Cette impression de sacrilège vient du caractère irréfutable de mon propos, irréfutabilité qui, mal comprise, a un côté implacable, accablant, luciférien, méchant : elle ressemble même à une mise à mort, à un sacrilège. Or, comme je viens de le dire, il s’agissait surtout et seulement d’un sacrifice.
La preuve en est qu’à l’issue de ma prise de parole, j’ai vraiment cru – je me répète – que j’allais mourir (émotionnellement et spirituellement parlant) ; et je me suis littéralement effondré sur mon groupe d’amis tellement ça m’a demandé un courage et une énergie de folie, et que j’étais sans force. Je ne tenais plus debout. Quentin, le maître de cérémonie, lui-même étourdi et dans un état de sidération, est revenu sur ce scène, à la fois pour annoncer l’intervenant suivant, mais aussi et surtout pour défendre ses soirées et leur esprit, et donc exercer une forme de « droit de réponse » à mon endroit et au portrait décapant des Grandes Histoires que j’avais fait (c’est à cette occasion que j’ai pu constater à la fois sa grande humilité et autodérision, mais aussi son ignorance de la différence – pourtant capitale – entre sincérité et Vérité : ignorance qui confirme qu’il monte une loge maçonnique sans même s’en rendre compte…).
Des fois, je me dis par rapport à moi-même ou à mes réactions (dans une forme de dédoublement schizophrénique) : « Pourquoi je suis comme ça ? », ou « Mais pourquoi je m’inflige ça ?? » ou « Pourquoi je me suis lancé là-dedans ?? », « Pourquoi je ressens cette urgence, ce devoir, cet appel à exprimer mon avis et à aborder des thèmes aussi incompris ou impopulaires, quitte à passer pour un fou ou un méchant et à me rendre détestable ?? ». Une part de moi aimerait être moins boulet de canon, moins tête brûlée, moins rentre-dedans, moins contestataire, ou moins frondeur. Mais une autre regarde avec amusement, fierté, étonnement, ce courageux joueur-combattant que je suis parfois, ce fou kamikaze, cet être atypique et exceptionnel, et ne changerait ce dernier pour rien au Monde.
Et, vous me croyez si vous voulez, mais le courage (pour la Vérité-Amour) dynamise énormément (même si, dans un premier temps, ça nous épuise et semble nous tuer ou nous entraîner vers la mort ou un ridicule irréversible ou une impopularité persistante). Ma participation aux Grandes Histoires m’a tué autant qu’elle m’a redynamisé. Après une telle prise de risque, tu n’as plus peur de grand-chose ! Ça te booste pour plusieurs jours voire plusieurs semaines ! Et cette émulation n’embarque pas que soi. Après mon allocution, j’ai vu que mon courage a poussé les autres participants des Grandes Histoires dans leurs retranchements, dans une auto-vigilance, et les a énergisés pour offrir un démenti concret à ma dénonciation, les a poussés à se surpasser ; et que dans les jours qui ont suivi, « mon exploit/ma folie » a aussi stimulé les rêves, les audaces, la confiance en soi, le courage, les projets de beaucoup de mes amis (y compris ceux qui n’ont pas pu assister aux Grandes Histoires).
Voilà pourquoi cet épisode rehausse en moi une conviction et un souhait que je souhaite à tout Homme qui entend défendre Jésus ou dénoncer une injustice ou porter une parole forte : dans l’idéal, que chaque chose qu’on dit publiquement nous vale l’impopularité par son authenticité, soit une prise de risque (liée à une Vérité : Jésus ; et à son Amour) tellement grande et surprenante qu’on pense mourir en la disant, ou qu’on soit haï au point que certains veuillent nous mettre à mort. Si ce n’est pas le cas, mieux vaut alors se taire et laisser parler les autres.
———————————–TEXTE PRONONCÉ LE SOIR DES GRANDES HISTOIRES———————————–
« JE PEUX ÊTRE FRANC AVEC VOUS ? »
Bonsoir. C’est ici, la Soirée « On chie dans son froc » ?
Je m’appelle Philippe Ariño. Alors je me présente, je suis :
Écrivain [enthousiasme]
Homo [enthousiasme]
De gauche [enthousiasme]
Pas vacciné [euphorie] On se calme.
Catho [déception exagérée]
Je peux être franc avec vous? Vous êtes SÛRS? Nan parce qu’en étant franc, vous allez peut-être me détester. Même que je ne vais pas pouvoir sortir de cette salle vivant. Ou que ça va déclencher une émeute. Parce que la franchise, ça a l’air cool, comme ça, mais en réalité c’est pas cool DU TOUT. Je chie dans mon froc, là ! Dire ses 4 vérités à quelqu’un, ou avoir cette prétention, ça peut blesser et même être diabolique, m’avait dit un jour un prêtre. Car c’est la Vérité sans Amour. Et ça, c’est très grave. Alors bien sûr, moi je vais essayer d’y mettre tout l’Amour du Monde. Mais bon, quand même…
Donc je me permets d’insister : vous voulez vraiment que je sois franc avec vous?
OK. Vous l’aurez voulu ! (Si non, vous verrez ça avec mon avocate : Isaline).
J’ai assisté à la dernière soirée Grandes Histoires. J’ai trouvé que c’était : 1 – narcissique ; et 2 – franc-maçon. Un festival de la Franchise, de la Sincérité. Sur ce, bonne soirée ! [simulation de départ]. Ah merde… maintenant, va falloir expliquer. Y’a pas moyen de… Bon, ok, je m’explique. « Me explico » comme on dit en Espagne.
Narcissique façon Amélie Poulain. Les Grandes Histoires, ça fonctionne toujours sur le même modèle : Je raconte mes goûts, en mode nostalgie voire dépression. Puis, pour quand même finir sur une touche positive et aérienne, je me tourne vers l’avenir, en mode exalté et rage de vaincre ! Puis Rideau. Et toujours, à la fin, Quentin, le maître de cérémonie, Jacques Pradel, apporte les mouchoirs en applaudissant cette tranche de vie « si courageusement partagée » et « si émotionnante ». (Mais je t’aime, Quentin).
Pour ceux qui ne me croient pas, j’ai pris des notes à chaque prestation du 7 décembre dernier sur toutes les références au narcissisme que j’ai entendues (du miroir apporté par tel participant, en passant par les champs lexicaux employés, en particulier spéculaires et aquatiques) : vous seriez sur le cul.
Et au piano, le « Narcissisme Grandes Histoires », ça donne ça ! (Musique, Maestro !) : Au départ, Martin Vigne joue toujours en mineur. Pour bien rajouter du pathos. Genre les Alcooliques Anonymes mais version publique et Cercle des poètes disparus ou Amélie Poulain.
Bonsoir. Je suis seul dans une foule. Je suis amoureux. Je me souviens. Je suis l’adulte qui parle au petit garçon ou à la petite fille que j’étais. Ou qui le fait parler à la 3e personne. Hommage vibrant à moi-même, à mes émotions, à mes souvenirs, à mes voyages. Je pleure ma douleur d’exister. Je me suis fait harceler à l’école. Je me suis faite violer. Ou larguer. Bref, je suis un écorché vif de la life.
MAIS (Et là, le piano s’accélère, s’emballe), je crois malgré tout en moi et en la Vie, en l’Univers, aux étoiles, toutes ces conneries ! J’aime malgré tout me balader pieds nus sous la pluie et casser avec ma cuillère la croûte caramélisée de ma crème brûlée. Je vais bien tout va bien. Je chante la vie. Je vis la vie. J’agis avec Engie. J’ose ! Il faut croire en ses rêves ! (Je vous remercie. J’ai été émouvante. « Inspirante ».)
Et enfin, le piano se calme. Arrive ma conclusion. Avec la répétition de mon mantra perso, de mon super slogan que j’ai asséné comme si c’était une grande leçon de vie universelle (alors que c’est juste de la merde zenifiée, égocentrique et développement personnel). Je me regarde dans le reflet embellissant de mon propre portrait ému. Et après mon allocution, je me fais féliciter au Bar du Monde par les babos de la Soirée qui ont trouvé notre chaîne d’Union verbale, énergétique et communionnelle « si forte » et « émouvante ».
Tiens, en parlant de chaînes d’Union (qui sont le propre des égrégores vécus en loge maçonnique), je vais vous dire pourquoi – et c’est mon second point – je trouve les Grandes Histoires très francs-maçonniques.
Alors pour la petite histoire, je n’ai pas assez de mes 10 doigts pour compter le nombre de mecs en Franc-Maçonnerie que j’ai rencontrés dernièrement et que j’ai démasqués en 5 minutes alors qu’ils le cachent même à leur conjoint. Rien qu’en les écoutant et en leur parlant de la série Joséphine ange gardien. Véridique !
Et aux dernières Journées du Patrimoine de Paris, en me rendant à la Grande Loge de France, la GLDF, j’ai tapé dans l’œil du guide qui n’était autre que le Grand Maître Vénérable, donc le n°1 de l’obédience en personne, qui incognito à l’issue de la visite m’a pris à part et m’a proposé de me parrainer pour que je rencontre dans sa loge.
Franchement, si je n’étais pas catho et ne croyais pas que Jésus est Dieu pour tous et pas seulement pour ceux qui y croient, j’aurais tout pour être le parfait initié franc-mac ! En réalité, je suis le premier narcissique, je suis le premier franc-mac’. On est tous Vache qui rit.
Et j’ai trouvé que les Grandes Histoires, toutes marginales et anti-System qu’elles se croient, sont complètement du System. Par le festival de la franchise qu’elles sont, elles sont même prêtes à accueillir à bras ouverts la prochaine Gouvernance Mondiale de l’Antéchrist (le diable qui va régner sur le Monde juste avant l’arrivée de Jésus) et qui nous pousse en ce moment à fond à « nous raconter », à « écrire nous-mêmes notre histoire », à « créer et partager des émotions ». À la soirée du 7 décembre, j’ai compté le nombre de fois que j’ai entendu l’adjectif « franc » et le mot « sincérité » : je me suis régalé… J’ai entendu plusieurs fois aussi l’éloge de la carrière, de la langue des oiseaux, de l’alchimie (et la Franc-Maçonnerie est basée spirituellement sur l’alchimie : la transformation du plomb en or) ! en revanche, je salue le courage de Sébastien qui nous a parlé d’alchimie, car certes il a reconnu faire partie de la Franc-Maçonnerie, mais au moins, il s’en rend compte, et il a dit qu’il voulait en sortir (« Moi, je ne veux pas transformer le plomb en or ! »). Les Grandes Histoires du 7 décembre, c’était une fête des loges qui s’ignore ! Ironie du sort : La famille Laugery avait 3 représentants sur scène ! On a même eu droit à la Marque de la Bête (décrite dans l’Apocalypse de saint Jean) ! « Un rond, un carré et les 3 bâtons : un chiot, ça donne de l’affection, non ? » C’était magique…
Donc en conclusion, moi je vous dis, les mecs : il va falloir nous RÉVEILLER. Moins de lyrisme « Moi Moi Moi » mâtiné de « Vous êtes tous beaux, nous sommes tous magnifiques » ; moins de franchise ; plus de Vérité et plus de Jésus.
Merci néanmoins aux Grandes Histoires de m’avoir laissé le micro (même si vous ne m’inviterez plus haha). Vous êtes fous. Et vous avez bien raison ! Et j’ai craqué pour Miette (super jeu de mots…).
Dernière question : Je peux être franc avec vous ?