Ce que j’ai identifié de luciférien/maçonnique dans la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques (vous l’attendiez tous, haha!), ce sont ces 5 choses :
1) Au début, la marche de Léon Marchand (nageur blond de 22 ans) portant la lanterne dans le Jardin des Tuileries, vers la Pyramide du Louvre, entre les deux colonnes. Intronisation comme dans le rituel de l’impétrant en loge : avec les 4 éléments (« l’eau, la terre, la mer et sans doute le feu. » a dit le commentateur de France 2) et la transmutation alchimique qui transforme Hermès – le jeune fils de Jupiter – en demi-dieu aurique (Hermès/Mercure est bien le dieu des marchands, non? Et Léon Marchand est réellement présenté comme un héros, un guide spirituel : « L’or, l’eau, la flamme : tous les symboles. » a déclaré le commentateur de France 2. Ou bien encore : « Quel merveilleux guide ! »).
2) l’esthétique de l’ange déchu, tombant comme une étoile après la mort de Jésus (je pense au cortège de croix du Christ inversées en ombres, comme un calvaire géant sur un mont): il y avait l’affiche de la cérémonie de clôture, avec l’homme tombant ; il y avait l’ange doré cornu, Roi Soleil, et maître des horloges, tombant du ciel sur une musique et une ambiance post-apocalyptique ; il y avait « l’Hymne d’Apollon », joué au piano à la verticale par le pianiste Alain Roche (un nom de pierre!) ; il y avait Tom Cruise surgissant du ciel tel un James Bond pour récupérer les microfilms pour les prochains J.O.
3) La Marque de la Bête de l’Apocalypse : D’abord, les délégations d’athlètes arrivant dans le Stade de France avaient quasiment tous le réflexe de se filmer en selfie et de brandir leur téléphone portable, donc la Marque de la Bête (ce sont les « réels » qui remplacent le Réel!). Et ensuite, la Bête de l’Apocalypse apparaissait à travers la scénographie centrale du Stade de France, avec la planisphère des 5 continents composés d’un assemblage de triangles pointus : vue de biais, celle-ci formait la Bête avec une lance. Elle m’a fait penser au dieu égyptien Anubis (dieu des morts). Comme par hasard, cette Bête portait en son centre un cœur aurique (une médaille d’or olympique… et je rappelle que le but de la Franc-Maçonnerie, c’est de transformer/remplacer le cœur de chair humain en cœur de pierre, en « cœur d’or »).
4) Autres symboles et jargon du Gouvernement Mondial antéchristique : la présence des batteries (comme en loges) ; les écrans montrant l’ébullition stellaire (alchimie) ; l’insistance sur le symbolisme (beaucoup de phrases des commentateurs de France 2 intégraient les mots « symbole » et « symbolique ». Or, la Franc-Maçonnerie est précisément basée sur le symbolisme) ; le fait que ces J.O. constituaient les 33e Olympiades (et la Franc-Maçonnerie contient 33 grades ou degrés) ; le vocabulaire employé (« passion », « inspiration », la volonté d’éradication des « préjugés », l’invocation de la « deuxième chance », de la « fierté », le remplacement de la Paix de Jésus par la « culture de paix », le remplacement de l’Amour par le sentiment amoureux : il était beaucoup question de « tomber amoureux », etc.).
5) Idolâtrie pour l’idée de France (en tant qu’État-Monde, en tant que franchise maçonnique) mais paradoxalement mépris des vrais Français et de la France réelle : Tony Estanguet, le président du Comité d’Organisation des J.O., après avoir dit lors de son discours de la cérémonie d’ouverture que les Français étaient contestataires et jamais contents (« Même si, en France, on n’est jamais d’accord sur rien. »), y est encore allé de son couplet anti-Français dans son discours de cérémonie de clôture (« On se voyait comme un peuple d’irréductibles râleurs »).