Pourquoi la théorie selon laquelle Brigitte Macron serait un homme ne tient pas debout


 

Si vous voulez mon avis, en toute honnêteté (et croyez-en ma vieille expérience de côtoiement des hommes trans M to F!), la thèse conspirationniste/complotiste selon laquelle Brigitte Macron serait un homme (un certain Jean-Michel Trogneux) ne tient pas debout. Ce qui me le fait dire, c’est sa voix : j’écoute Brigitte lors de sa dernière interview au JT de TF1, et sa voix est parfaitement féminine. Il faut savoir que, même dans les processus de « transition » les plus réussis, la voix (en plus des mains et des pieds) est l’élément humain le plus difficile à modifier, à trafiquer. Les tentatives de changement vocal par la prise d’hormones sont peu probants. La voix et les mains, malgré tout ce que feront les hormones et la chirurgie, resteront inchangées et « trahiront » toujours l’origine et l’essence sexuée d’une personne, a fortiori le « passing » d’homme à femme (l’illusion plus crédible est celle du passing de femme à homme).
 

Ceci dit, ça n’enlève rien à la très probable bisexualité du président Macron, à l’existence des « trous » étranges dans la biographie de Brigitte (pas de photos d’elle enceinte, pas de traces de l’ex-mari…), ni au caractère incestuel malsain et artificiel du « couple » présidentiel (ça sent l’arrangement et la couverture pour accéder au pouvoir…). J’entends tout ça. Mais la suspicion-accusation calomnieuse de transsexualité décrédibilise le camp complotiste (y compris Candace Owens, Dieudonné, Jean-Dominique Michel, ou des médias comme Tocsin). À croire que ces derniers font exprès de se focaliser sur la transsexualité de Brigitte Macron pour occulter/couvrir le reste des faits (bien plus plausibles) que je viens de souligner.