C’est le paradoxe de la continence : grande qu’à condition de ne rester qu’elle-même, indépassable parce qu’elle est sa propre force et limite… même si, en se vivant, et par sa grandeur/rareté, elle donne tous les signes encourageants aux deux frères homosexuels qui la décident qu’elle peut être dépassée par l’amour charnel et sentimental. En ce sens, la continence est un véritable trésor fragile, et qui doit rester fragile pour exister. Pas le choix ! 🙂 Ou plutôt : Pas le choix !… dans le grand choix !