Dans ma petite vie qui commence à durer, tant de femmes ou d’hommes auraient déjà depuis longtemps pu faire « conjugalement » mon bonheur si je m’étais engagé individuellement avec eux, et moi, je devine que j’aurais potentiellement pu tellement faire le bonheur de quelques rares amies d’exception de mon entourage (désespérément célibataires, et parfois intéressées par moi) ou être « l’homme de la vie » de pas mal de garçons (par certains aspects – pas tous, je vous rassure ! –, j’ai tout du mari, du gendre, et du copain idéal), que quelquefois, le vertige, le remord, ou bien la honte (du gâchis) me viennent. Pas longtemps. Mais ça m’arrive de plus en plus, parce que mon choix de vie interpelle, et me fait connaître en très peu de temps de plus en plus d’amis proches, des hommes et des femmes de grande qualité.