Le projet avance

Ça y est : je viens de finir la trame des 1000 premières questions de mon Trivial Pursuit Gay. Un gros travail, profond, inédit, original, passionnant. Fruit d’heures de lecture et d’une investigation de plus de 20 ans. J’ai déjà fini d’en rédiger 200. Et on va proposer le concept, avec un ami, Christophe, aux maisons d’édition ou à des centres parisiens qui ne sont pas sous la tutelle de la Mairie de Paris. Au départ, Christophe, en voyant combien mes questions vont beaucoup plus loin que les archives ou les médias gays, qui n’apprennent rien, et ne dévoilent absolument pas le trésor humain et artistique de la culture homo (au contraire, ils l’étouffent), m’a proposé de les offrir comme fonds d’archives à la communauté homo. Je lui ai dit : « Hors de question ! On ne va pas offrir des perles aux cochons, ni faire cette fleur aux archivistes et journalistes homosexuels, qui pour la plupart sont homophobes ! » On garde notre précieux travail d’interprétation pour nous, dans un premier temps. Et puis après, on va concurrencer, voire carrément doubler le projet de fondation d’Archives LGBT qui est programmé – pour des sommes pharamineuses et jetées par les fenêtres – pour l’année prochaine dans le quartier de l’Ourcq.

Vitrail maçonnique catholique

Un carambar pour celui ou celle parmi vous qui me retrouve l’église où se trouve ce vitrail de saint Joseph artisan avec Jésus !^^
 

Ce sera la couverture de mon prochain livre sur l’infiltration de la Franc-Maçonnerie dans l’Église Catholique ! 🙂

La perversion de la mode des « coming out de la vocation sacerdotale » (qui bien souvent préfigurent les coming out sacerdotaux)

Les mêmes prêtres qui, au moment du « mariage » gay il y a 10 ans, me tournaient le dos, m’ignoraient, faisaient comme si je n’existais pas, disaient que dans leur paroisse ils n’abordaient jamais le thème de l’homosexualité car elle n’était pas un sujet et/ou était un sujet inutilement clivant et blessant pour leurs paroissiens, qui peaufinaient leur carrière sacerdotale et « évangélisatrice » (avec leur groupe, leur revue, leur chaîne, leur disque, leur parti politique…), aujourd’hui tombent le masque et montrent leur vrai visage : ils défendent, comme le père Matthieu Jasseron, les bénédictions de couples homos voire le mariage religieux de ces derniers. Et toujours en se gardant de parler de leur propre orientation homosexuelle, ou en se rangeant dans la case pratique et soi-disant « neutre » de « l’hétérosexualité gay friendly désintéressée ».
 

Ils adoptent exactement la méthode luciférienne et franc-maçonnique : d’abord l’hermétisme (confinement, censure, ignorance, silence, rejet : le « Je ne me positionne pas », le « Don’t ask, don’t tell » de Clinton, avant la promotion ouverte ; ou le « Je rentre dans la salle des noces sans moufter ») ; puis ensuite l’« ouverture » de la « fierté » et de la « franchise » d’être prêtre (le « Je donne mon avis sur un sujet qui ne me concerne pas, et je parle à la place des vraies personnes concernées » ; « Je dis ma joie d’être prêtre ou d’être moine… même si c’est pas facile et que le temps sont durs »), le retournement de veste (le « Je soutiens mollement mais progressivement ») ; voire, dans une troisième étape, l’explosion (le « Je soutiens carrément », « Je donne ma bénédiction de prêtre », voire « Je pratique l’homosexualité en cachette »).
 

Et à côté de ça, les autres prêtres, opposés à ces épanchements complices de leurs collègues sur la communauté homo, ne diront rien et ne nous assumeront pas, nous personnes homos continentes ou tentant de l’être.
 

Hmmm… Ça va être sympa, l’Église Catholique de ces 3 prochaines années.
 

Une Maison de l’Homosexualité ?

 

Bon, finalement, concernant le Trivial Pursuit gay, je pense que c’est tellement génial que mon projet mérite que je vise plus haut. J’aimerais bien fonder à Paris une « Maison de l’Homosexualité », une sorte d’espace multimédia ou d’escape game (on peut rêver !) avec quatre « confessionnaux », genre « Boîte à Questions » de Canal + sur la culture gay, avec des questions interactives, lues et pré-enregistrées par des comédiens (pourquoi pas, des gens connus de la culture homo), et où le visiteur pourra apprendre plein de choses ! On va voir. Pour l’instant, je rédige les 2400 questions. Avec 4 catégories (première boîte à questions = « Fonctionnement du désir homo » ; 2e boîte = « Connaissance du monde homo » ; 3e boîte = « Connaissance des icônes gays + blind-test musical » ; 4e boîte = « Questions intimes sur toi »). C’est du boulot. Mais dernièrement, je passe mes journées à la Bibliothèque Pompidou, et je déterre énormément d’archives sur une culture gay non pas ignorée mais complètement idéologisée, vidée de son sens, symbolisme et connexions. On va bien voir ce que ça donne…

Evolution impossible

 

Je n’arrive pas, avec le C.V. que j’ai, à trouver du travail. J’écris à plein de gens, en particulier dans ce que je sais faire le mieux et dans mes domaines de compétences (écriture, enseignement, journalisme, éducation, animation, création…) : que ce soit avec les cathos ou les non-cathos, je n’essuie que des refus. Même après avoir passé des entretiens. Mon profil de catho homo, mes livres, mes sujets d’analyse (Franc-Maçonnerie, Apocalypse, homosexualité, Fins Dernières, « vaccins »…), mes prises de positions, tout ça paralyse mes interlocuteurs. Rien n’y fait. J’aimerais sortir du RSA, mais tout m’y enferme. J’aimerais trouver un petit gagne-pain. Mais impossible. Et quand je regarde en revanche le parcours et la carrière de nombreuses personnes – à l’intérieur ou à l’extérieur de l’Eglise – que j’ai côtoyées de près à un moment donné de mon existence (et qui ont parfois mon âge), je vois que certains ont évolué et arrivent même désormais dans les arcanes du pouvoir (politique, économique, artistique, religieux…). Je ne les sens pas heureux pour autant, car eux ne sont pas libres. Mais je me sens – au mieux – en sous-régime et inexploité, – au pire – muselé et à l’arrêt, blacklisté. Je vais continuer à écrire, mais j’avance dans le noir, avec très peu de mains tendues, d’invitations, et de perspectives. Je vous le dis très simplement, sans me victimiser.

La « Foi semi-remorque »

Finalement, les cathos tradis conservateurs sont atteints du même mal que les protestants : le fidéisme. C’est juste qu’à la différence de ces derniers qui affirment « Seule la Foi sauve ! », les traditionalistes diront également « Seule la Foi – dogmatique et incarnée par l’Église-Tradition – sauve ! ». Mais c’est la même chanson ! Simplement, le mot « Foi » est remplacé par le mot « Église ».
 

Bien qu’il se dise « catholique » et « gardien scrupuleux de l’Enseignement de Jésus », leur fidéisme/traditionalisme est une idolâtrie, un fétichisme, en réalité. Car, à entendre les catholiques traditionalistes ou les protestants, on constate que la Foi ou l’Église n’est plus associée à la Personne aimante de Jésus (qui, par son amour, accueille y compris ceux qui ne croient pas en Lui : athées, agnostiques, musulmans, pécheurs, incroyants, non-baptisés, etc.), mais est associée à un bloc monolithique et hermétique de pierre ou de papier – appelé « Bible-corpus de textes sacrés » ou « dogmes » ou « Vérité dogmatique complète » ou « Jésus » – qu’il serait impossible de modifier ou de pénétrer si on ne le possède/connaît pas (« Hors de l’Église, hors du dogme, hors de la Foi, point de Salut et point de sainteté ! ») : c’est pour ça qu’ils – les cardinaux Sarah, Müller, Viganò, et autres fidolâtres tradis – utilisent tant, par exemple, l’expression « dépôt de la Foi » : la Foi, pour eux, c’est un bâtiment de pierre, c’est une Bible, c’est un reliquaire, c’est une Arche d’Alliance (contenant les tables de la Loi divine), bref, c’est un gros bloc de granit livré par un camion semi-remorque appelé « Dieu », et qu’il faudra conserver intact… mais ce n’est plus une Personne (Jésus) ni les personnes (souvent non-croyantes et imparfaites) qu’elle attire à elle. C’est la « Foi-semi-remorque » ! Ça ne va pas du tout. Ils confondent. Jésus n’est pas un bloc de pierre ni une statue. L’Église – fût-elle qualifiée de « mystique » et de « christique » – non plus. Les tradis sont autant protestants que les évangéliques officiels.

Homo-Bobo-Apo, la clé pour comprendre la composition bisexualo-maçonnico-luciférienne du Gouvernement Mondial Antéchristique (grâce aux Simpsons !)

Sans l’avoir prémédité, je me rends compte qu’en écrivant le triptyque Homo-Bobo-Apo en 2017 (« Homo » pour « Homosexualité » ; « Bobo » pour « Boboïsme » – mais en lien avec la Franc-Maçonnerie – ; et « Apo » pour « Apocalypse »), j’avais déjà les 3 principales cartes – ou prismes – en main pour comprendre la très probable composition du petit cercle formant le Gouvernement Mondial Antéchristique qui dirigera le Monde avant le retour en parousie de Jésus, à savoir ces trois principales « familles » de dirigeants : la famille LGBT (ne prônant pas ouvertement l’homosexualité, mais plutôt une bisexualité asexualisante généralisée et évasive), la famille franc-maçonne (influenceurs et carriéristes libertaires persuadés de contribuer au bien de l’Humanité, principalement par l’entremise de la technologie écologiste), et la famille angélique (des anges de Lucifer – entités humanoïdes qui sont le fruit du croisement hybride, chimérique, éphémère et partiel des démons avec certains Humains consentants pour pactiser avec elles, et en premier lieu l’Antéchrist).
 

En effet, en regardant dans son intégralité la série Joséphine Ange gardien, puis en complétant mon analyse avec des dessins animés (Scooby-Doo : Mystères associés, Les Simpsons, etc.) et d’autres programmes, tout se recoupe. D’ailleurs, dans cet extrait des Simpsons, justement (« The Fool Monty », épisode 6, saison 22, 2010), je retrouve les trois familles Homo-Bobo-Apo à travers le conseil secret des leaders d’opinion de la Gouvernance Mondiale, réunis à l’intérieur de la coiffe de la Statue de la Liberté (stricto sensu, « La Liberté éclairant le Monde ») à New York… On y voit – détail ô combien osé pour un dessin animé grand public – un duo de deux diplomates (un Asiatique et un Occidental plus vieux) se rouler une grosse pelle autour de la table des négociations, tout pendant qu’un plan de fausse pandémie mondiale qui imposerait un « vaccin » se trame. C’est énorme.
 

À noter aussi que, grâce aux Simpsons, je rends grâce à Dieu d’habiter à ce qui s’apparente être LE centre médullaire mondial de la Franc-Maçonnerie (plus encore que Londres, qui est pourtant la matrice historique de la Franc-Maçonnerie mondiale) : Paris ! Je suis, sans l’avoir fait exprès, aux premières loges (dans tous les sens du terme) ! Et c’est bien logique. Qui mieux que la FRANCe peut incarner la Franc-Maçonnerie ? En regardant les pays – hormis sa patrie d’origine, les États-Unis – les plus visités par la famille Simpsons, la France (et Paris) occupe de loin la première place du podium, avec 11 voyages (tandis que l’Angleterre et Londres arrive bien loin derrière, avec 7 visites…) !
 

La forme rigolote que prendra probablement la Marque de la Bête de l’Apocalypse

Je pense que la Marque de la Bête (de l’Apocalypse : Apo 13, 17), que toute l’Humanité sera obligée de porter (à la main droite ou au front), va probablement prendre la forme du symbole (au sens propre du mot symbole : une reconstitution, un assemblage, une association-puzzle improbable entre deux membres de notre propre corps non habituellement corrélés), un symbole tatoué sur le corps tout aussi génial, rigolo, surprenant et singulier que le tatouage que porte au doigt le jet-seteur Emmanuel de Brantes (une moustache qui, une fois le doigt posé sur le dessus de ses lèvres, se substitue à sa vraie moustache). Je crois que la Marque de la Bête sera aussi originale et « géniale » que ça.