Demain, soirée « OBLIGATOIRE » de formation des catéchistes de Saint Médard à la prévention contre les abus sexuels dans l’Église : ce sera sans moi (En solidarité avec le père Yannick Poligné et tous mes amis prêtres homosexuels – cachés ou connus)


 

Hier, je devais pour la première fois rendre un service ponctuel à la paroisse Saint Médard pendant la messe de 11 h, pour assurer le temps de liturgie de la Parole auprès des enfants qui s’ennuieraient pendant l’homélie (Pour info, Saint Médard est ma paroisse géographique à Paris où je ne me rends plus, et qui est sur le déclin, il faut le dire, car les messes y sont de plus en plus mortelles et insupportables à suivre). Un peu avant la messe, on m’avait prévenu que je n’aurais pas beaucoup d’enfants, et que depuis le COVID et la CIASE (commission d’enquête sur les abus sexuels sacerdotaux dans l’Église), la fréquentation de cet atelier avait drastiquement chuté de 12-15 enfants à 1… et ça n’a pas loupé : je me suis retrouvé avec 1 seul petit garçon dans la sacristie ! Le petit Andry (adorable, au demeurant ; et quand même resté sous haute surveillance permanente de son papa, au cas où il me serait venu l’envie de violer son gosse contre un placard…). Alors que je suis réputé être l’un des catéchistes de la paroisse les moins chiants de tous… et que, de surcroît, j’ai vu plein d’enfants dans l’assistance dominicale d’hier, mais restant sous les jupons de leurs parents. Donc le problème vient aussi d’une rétention parentale et d’une paranoïa ambiante.
 

En fait, ce qui craint à fond, c’est la peur qui gagne l’Église Catholique et les assemblées chrétiennes d’aujourd’hui, en règle générale : frilosité, perte d’audace, perte de confiance, soumission aux terrorismes sécuritaires que sont les fausses « pandémies » telles que le COVID et même les faux « scandales » tels que la CIASE (qui soit grossissent démesurément un phénomène certes réel mais circonscrit, soit ne traitent pas du phénomène incriminé puisque la plupart des abus sexuels sacerdotaux ne sont pas tant en lien avec la pédophilie qu’avec l’homosexualité ou l’adultère adulte). La force de frappe et de nuisance de ces alibis de la peur est écoeurante. Car les vrais problèmes ne sont pas réglés, voire s’enlisent et s’empirent dans la victimisation, le scientisme sécuritaire et l’ignorance/le déni généralisé(e).
 

Tiens, à ce propos, et en parlant de la CIASEla chiasse », comme je la surnomme…), mardi prochain (donc demain), je suis – tenez-vous bien – convoqué, comme tous mes autres collègues catéchistes de la paroisse Saint Médard, à une formation présentée comme « obligatoire » organisée par le diocèse de Paris pour nous « sensibiliser » et nous éduquer à la prévention des abus sexuels dans l’Église. Secondée par le curé, la coordinatrice caté, lors de la réunion de rentrée, avait lourdement insisté pour que nous soyons tous là sans exception (sinon, panpan cucul !), et je le vois venir gros comme une maison que cette soirée de « formation » sera en réalité un dressage infantilisant, victimisant et terroriste qui va d’une part extérioriser le problème de la pédérastie sacerdotale aux autres et pas à soi-même (donc bonjour l’hypocrisie et l’inefficacité ! « Les fautifs, c’est les autres ! Pas moi ! ». Mais bien sûr…) et d’autre part accentuer le problème qu’il prétend résoudre puisqu’aucun lien ne sera fait entre pédérastie et homosexualité (D’ailleurs, on nous interdit carrément de faire ce lien non-causal… alors que, sur le terrain, la récente affaire Mgr Santier, ou bien encore l’affaire Yannick Poligné, démontrent le contraire !). Et le pompon, c’est que ce genre de soirées-bidon honteuses se verra toujours justifiées par la gravité de la thématique ou par la livraison des clés d’identification des mal-être cachés chez les enfants de nos équipes (C’est vrai qu’on a absolument besoin d’être des Freud et des tronches en psychologie humaine pour détecter chez un môme les indices d’un abus sexuel ou d’un traumatisme : franchement, on nous prend vraiment pour des cons et des aveugles…). Donc ce sera sans moi ! Et tant pis si ça choque : ce qui est vraiment choquant, c’est que ce genre de formations existent ; pas qu’on ne s’y rende pas.

 

Alors très sincèrement, je pense que je transgresserai mon obligation de présence à cette grande mascarade. Et tant pis si, à cause de cet « affront-désertion », je suis démis de mes fonctions de catéchiste ; ou bien que mon absence passe pour « suspecte » aux yeux des autres catéchistes ou des organisateurs, voire pour un aveu que je refuserais d’affronter mes propres « démons »/abus sexuels pédophiles cachés (je jure d’ailleurs devant Dieu et sur ma propre mère que je n’ai jamais touché ou abusé d’un enfant dans ma vie – de prof ou de catéchiste). Je la transgresserai pour deux raisons : 1) d’abord une raison éthique (je refuse de me plier à ce terrorisme victimisant et à ce dressage idéologique anticlérical : je rappelle qu’il a été annoncé par prophéties que le règne de l’Antéchrist à la Fin des Temps s’établirait principalement sur les « victimes », et non, comme le fait le règne de Jésus, sur les bourreaux et les criminels rachetés par Lui, donc sur tous les bons larrons : à ce titre, les mots d’excuses plates et sirupeuses de Mgr d’Ornellas suite à l’affaire Poligné sont typiquement antéchristiques) ; 2) ensuite, par solidarité avec tous les prêtres homosexuels que je connais personnellement et qui sont soit traînés dans la boue, déshonorés, incarcérés pour « pédophilie » et « abus sexuels sur mineurs », éjectés de l’Église après des années de bons et loyaux services, méprisés, humiliés et parfois même diabolisés ou caricaturés comme des Marc Dutroux (alors que, par exemple, pour avoir été catéchiste à Rennes auprès du père Yannick Poligné entre 2002 et 2004, je sais que c’est un homme de Dieu, qui ne m’a jamais fait d’avances, qui est doux, drôle et hyper convivial avec les enfants et les gens de toutes générations ; et je sais aussi combien, sur Grindr et dans le milieu gay, la frontière entre les rôles d’abuseur/d’abusé est extrêmement floue, complexe, particulièrement tenue, et qu’il n’y a pas « les victimes blanches colombes » d’un côté et « les méchants pervers en col romain noirs » de l’autre. Que faisait le gamin de 15 ans abusé et drogué par le père Poligné sur une appli comme Grindr ? Certainement pas des coloriages ou de l’enfilage de perles ! C’est bon ! En plus, il avait caché son âge. Moi, J’aime la Justice. Et je sais que le père Poligné est un homme bien, spécialement aimé de Dieu, et avec une Foi authentique).
 

Donc en résumé : 1) L’Église Catholique actuelle va mal (mais là n’est ni le « scoop » ni le scandale) mais surtout ne se donne pas – en ce moment et en particulier en lien avec la vague de scandales sexuels qui l’éclabousse – les moyens d’aller mieux (et en revanche là se situe le véritable scandale !) ; 2) Ses Soirées de « partage » sur la CIASE ou de « formation obligatoire de prévention contre les abus sexuels », elle peut se les foutre où je pense. Big kiss à Mgr Ulrich, mon sphynx préféré, au passage ! Bravo aussi aux évêques de France et votre gestion calamiteuse de la crise ecclésiale, tout ça parce que vous avez refusé de parler d’homosexualité !
 
 
 

N.B. 1 : J’avais cité dans ma chanson-hommage « Prêtres » (2015) le nom du père Yannick Poligné (il m’avait, entre-temps, écrit un mail de remerciements depuis Bruxelles, alors qu’on n’avait pas repris contact depuis l’époque rennaise de notre rencontre, où il me disait qu’il suivait avec intérêt mes écrits)… ainsi que les noms d’autres prêtres géniaux qui ont, depuis, défrayé eux aussi la chronique (par exemple le père Ronan de Gouvello). Je ne me doutais pas, quand je l’ai écrite, que « Prêtres » allait se révéler avec le temps un repaire de bandits (haha). Et en même temps, je ne suis pas étonné, et j’en suis même émerveillé : Jésus a choisi parfois les pires des criminels et des pervers pour le représenter. Et ce culot scandaleux, j’adore ! Ça prouve son grand Amour, sa belle et miséricordieuse folie. Donc si c’était à refaire, je réécrirais la même chanson, avec les mêmes protagonistes, en disant « Heureusement qu’ils sont là ! ».
 

N.B. 2 : On a l’air de se focaliser sur l’Église, mais il est important de souligner que ce climat délétère de délation-accusation sexuelle s’abat sur la société toute entière, en particulier le monde de l’entreprise : j’ai des amis qui me racontent les séminaires ou les formations « obligatoires sur les discriminations et le harcèlement au travail » qu’on leur impose (eux les surnomment ironiquement « la formation zizi-foufoune », en m’écrivant : « Si on n’a même plus le droit de se tripoter sur le photocopieur et de traiter les blondes de gogoles, on est mal barrés ! haha ». Et je n’ose même pas penser au lavage de cerveaux (diabolisant le corps, la sexuation femme-homme, et la sexualité dans tous ses aspects) que les idéologues ennemis de la sexualité (et des hommes en particulier !) infligent à nos ados et nos gamins dans les établissements scolaires, sur fond de promotion de l’homosexualité/des diversités et de la lutte contre le suicide et le harcèlement scolaire !
 

N.B. 3 :Le fin mot de l’histoire (de cette « formation ») – et je l’ai su par une catéchiste présente mardi soir – c’est qu’elle était « obligatoire » uniquement parce qu’elle était payante : les juristes venus faire leur topo sur « comment signaler les cas d’abus d’enfants et d’adolescents » (absolument rien sur les abus sexuels dans l’Église : il n’a pas du tout été question de ça, évidemment…) étaient grassement payés par le diocèse (et aux frais des paroissiens)… pour une soirée nulle qui n’aura servi à rien.

Film « Close » (2022) de Lukas Dhont : l’instrumentalisation du mal-être adolescent en vue de promouvoir l’homosexualité


 

Je suis allé voir hier soir le film « Close » (2022) de Lukas Dhont, encensé à Cannes, traitant de l’homosexualité adolescente, naissante mais non réciproquement assumée, entre deux adolescents, Rémi et Léo.
 

Ce film m’a choqué par ses incohérences qui, plus que des inexactitudes ou des maladresses, dénotent d’un irrespect, d’une usurpation et d’une instrumentalisation des personnes fragiles telles que les personnes homosexuelles, les adolescents, les personnes suicidaires et leurs proches parents, à des fins purement sentimentales et idéologiques. D’où mon impression que ce genre de productions sont des orchestrations – perverses voire pédophiles (bien que sincères et bien-intentionnées) – d’esprits déconnectés des réalités qu’ils dépeignent et projetant leurs propres fantasmes d’adultes sur des enfants sans défense. Et visiblement, les spectateurs trouvent ça « beau », « normal », « réaliste », et ne s’en offusquent même pas.
 

Parmi ces invraisemblances de « Close » (film au titre terriblement vrai au final : quelle fermeture et vision étriquée du réel que celle de son réalisateur Lucas Dhont !), j’ai relevé :
 

– que jamais on ne verrait dans la réalité deux ados se toucher en plein cours ou se caresser l’un l’autre face aux autres (comme le font Rémi et Léo). Les vrais ados, et d’autant plus des garçons, ont trop peur de la présomption d’homosexualité qui pèserait sur eux et de l’humiliation associée à celle-ci pour offrir aux regards d’autrui des manifestations d’affection masculine assumée. Dans la vraie vie, les pré-adultes sont terrorisés à l’idée d’être démasqués dans leur bisexualité : ils bannissent les gestes ambigus, les marques d’attention trop appuyées (genre Rémi qui vient voir Léo jouer au hockey et qui lui parle à travers la vitre alors que ce dernier est face à tous ses camarades). On ne verrait tout simplement pas ce jeu d’acteurs grossier entre Rémi et Léo.
 

– que jamais on ne verrait dans la réalité deux ados de 13 ans revendiquer fièrement d’être en couple et d’être amoureux (Si ça existe, qu’on me présente ce duo de collégiens extraterrestres !). Dans l’adolescence, l’homosexualité ne surgit pas par le chemin de la sensualité ni des sentiments. Au contraire : elle n’est pas assumée, est en générale instinctive, mécanique, cachée, pulsionnelle et accidentelle, incontrôlée, maladroite, dénuée de romantisme et de sentiments assumés. Les adolescents ne romancent pas, ne sentimentalisent pas ce qu’ils vivent au niveau affectif et physique, tout simplement parce qu’ils se projettent moins que les adultes et n’ont pas les moyens de penser ce qu’ils vivent. Ils ont rarement des chagrins d’Amour, des histoires d’Amour passionnelles et sérieuses. Donc le « couple » Léo/Rémi est improbable. On n’y croit pas une seule seconde.
 

– que jamais on ne verrait dans la réalité un deuil pour un suicide vécu comme il est singé dans le film. Les tentatives de suicide d’ados sont liées en général aux réseaux sociaux ou à la réputation dite « honteuse » d’homosexuel : pas aux histoires d’Amour ni aux sentiments amoureux homosexuels assumés (comme c’est représenté entre Rémi et Léo). Le deuil n’est pas non plus vécu ainsi de la part de l’amant qui reste : car s’il le porte de manière trop ostentatoire, il sera perçu comme suspect, apparaîtra à ses yeux comme un aveu d’homosexualité (qu’à cet âge les jeunes hommes n’assument jamais fièrement et n’affichent jamais) ou un aveu de complicité au suicide de l’absent. Jamais on ne verra le principal suspect du suicide d’un ado débarquer à l’enterrement de ce dernier, comme le fait Léo pendant l’enterrement de Rémi : logiquement, Léo aurait dû être rongé par la culpabilité, ou avoir peur d’être accusé par les parents de Rémi, susceptibles (vu leur chagrin) de lui imputer la faute, du suicide. Dans le film, bizarrement, les parents de Rémi ne cherchent même pas d’explication ni de coupable au geste malheureux de leur fils : on n’a droit qu’au désespoir passager du père, au silence stoïque de la mère, à l’acceptation molle et résignée de l’incompréhensible (la maman de Rémi ne demande qu’au bout d’une semaine à Léo quelle était la nature de leur relation entre son fils et lui… : la question arrivera bien tard). Normalement, dans la vie réelle, il n’y a pas que de la tristesse de la part des parents d’un enfant suicidé : il y a aussi de la révolte, de la colère, de l’incompréhension, une forme de « folie du désespoir ». Des parents de suicidé cherchent toujours un coupable… quitte à retourner leur veste ou à tordre le cou à leur habituelle bienséance avec les relations amicales entourant leur enfant. Dans le film, au contraire, les parents de Rémi accueillent Léo et ses parents tranquilou bilou à leur table. Ils ne mènent pas leur enquête. Alors que tout porte à croire que le suicide de Rémi s’explique par un chagrin d’amour ou au moins un sentiment de trahison amicale. Sans compter que dans la réalité, un suicidé, a fortiori adolescent, explique toujours son geste par une lettre, par une théâtralisation ou une dramaturgie bien marquée, et n’emporte pas le secret de ses intentions dans sa tombe (comme le fait Rémi). Idem concernant la scène de cellule psychologique dans « Close », absurde et improbable tant tout le monde dans le collège sait qu’elle devrait logiquement s’adresser en priorité à Léo et pas à tous les élèves de la classe de Rémi (on voit juste une timide proposition d’accompagnement personnalisé d’une CPE à l’adresse de Léo, alors que la relation de causalité et de proximité entre Léo et Rémi est évidente pour tous). C’est vraiment du n’importe quoi. Et je ne relèverai pas la grossièreté de la toute dernière scène du film où Léo est invité à lâcher son bâton de haine tendu contre la mère de Rémi (le fameux et très cinématographique « Lâche ton arme Bobby » des plus mauvaises sitcoms, qui s’achève évidemment dans les larmes d’impuissance et de craquage du fautif = Ridicule).
 

Bref, ce film est un tissu de mensonges et de sincérités fausses, prouvant la méconnaissance – de la part des réalisateurs et finalement aussi d’une grande partie du public – de la réalité du deuil, des ados, du suicide chez les ados, de la réaction habituelle des parents d’enfant suicidé, de l’homosexualité : alors que ça s’habille d’hommage, ça frise paradoxalement la totale incohérence et l’irrespect. Alors autant vous dire que je sors de ce genre de navets cinématographiques furax et en ayant envie soit d’exploser de rire face au grotesque, soit de rage de voir comment les souffrances sont niées par l’idéologie pro-gay qui fait du mal-être adolescent son fond de commerce et sa vitrine émotionnelle victimisante d’homosexualité. C’est gerbant. Aussi gerbant que la non-dénonciation de la contrefaçon. Donc un conseil : devant « Close », close your eyes.

Blind-test musical géant à la Bigoud’n Jongle 2023


 

Je viens de terminer de créer un BLIND-TEST musical géant pour la Convention de Jongle (festival circassien) de la Bigoud’n’Jongle, montée par Pierre Houedry, qui se tiendra en Bretagne pendant le pont de l’Ascension 2023, et qui donc s’étendra sur 4 jours, du 18 au 21 mai. Vous êtes tous invités. Notez d’ores-et-déjà la date sur votre agenda. Je pense que vous allez « kiffer ». Et en plus, il y aura mon frère jumeau Jean !^^
 

Ce sera un grand Jukebox, avec des tubes de variété française et internationale allant de 1930 jusqu’à nos jours, des standards connus de tous. Avec des surprises, un beau cadeau à la clé, et un fonctionnement intéractif (des temps de danse, de connaissance des uns et des autres, d’échanges et d’expression improvisée)… car le but n’est pas « la gagne » ou la compèt’ à tout prix : les chansons ne seront que les prétextes à la Rencontre, afin que chacun ait sa place et se sente accueilli.
 

J’ai prévu 4 blind-tests (donc 1 par jour), de deux à trois heures chacun (ça m’a pris une semaine entière – avec la complicité de mes nièces – pour les faire).

La Marque de la Bête sera une mon(s)tre


 

Voici un nouveau Journal de l’Antéchrist, dédié à la Marque de la Bête (Apo 13, 17).
 

Ça y est! Je l’ai trouvée, la Marque de la Bête ! Le 666 décrit par saint Jean dans l’Apocalypse. Je ne sais pas pourquoi je n’y ai pas pensé avant. Mais c’est le cadran d’une montre ! Elle aura l’apparence d’une montre. Comme tous les Google Watch et l’internet à portée de main (on nous parle même de « banque mobile » en ce moment !). Pourquoi 666 ? Parce qu’en additionnant ou en soustrayant les 3, 6, 9 et 12, on tombe sur trois fois 6. Par ailleurs, l’heure bloquée traditionnellement sur 10h10 dans les publicités de montres forme le compas maçonnique. Et la figure du sablier forme le « X » qui est l’anti-Croix du Christ, la marque de l’Antéchrist (Je ne vous raconte pas de salades : mon mémoire de Master 2 sur le poète homo argentin Néstor Perlongher en 2005, je l’ai consacré spécifiquement à la figure symbolique du sablier !). Tout ça pour dire que je crois que la Marque de la Bête sera, je pense, une montre. Entre « montre » et « monstre », il n’y a qu’une lettre…
 

Par ailleurs, voici un autre avant-goût de la Marque de la Bête : l’application gouvernementale « FR-ALERTE ». Pour nous téléguider à distance par la peur et par l’instinct de survie, à coups de notifications et de signaux d’alerte, comme des bêtes, et pour semer la confusion entre les vrais dangers et les faux, les fausses « guerres » et les vraies. C’est vraiment diabolique.
 

 

Autre info en lien avec l’article que j’avais écrit sur le phénomène des enfants bestiaux et possédés dans la franchise mondiale des music-hall X got Talents, je viens de voir le cas de Liberty Barros, contorsionniste de 14 ans, qui joue l’araignée et la gamine de l’Exorciste, devant les Espagnols. CQFD.
 

 

Et pour terminer ce journal de l’Antéchrist, un ami catho m’a demandé comment faire pour démasquer l’infiltration de la Franc-Maçonnerie dans l’Eglise Catholique, et si j’avais écrit là-dessus. Je lui ai répondu : « Finalement, c’est assez simple pour détecter les francs-maçons (que nous sommes tous sauf Jésus et Marie) dans l’Église : ce sont ceux qui gagnent leur vie et leur salaire/pouvoir sur le dos de l’Église alors qu’Elle est censée leur faire perdre la vie et leur honneur (même d’être saints !). »

Message à Patrice de Plunkett et à tous les justicialistes actuels dans l’Église Catholique suite à l’Affaire Santier


 

Je tombe par hasard sur le partage Facebook d’un article du journaliste catholique Patrice de Plunkett, fait par une amie qui a l’air d’être super d’accord avec ce dernier et son appel à une sélection plus radicale des meilleures pommes épiscopales de l’Église et donc à un nettoyage/éviction des pommes « pourries ». Mais cet article m’estomaque et me met tellement en colère que je décide de taper du poing sur la table (je n’avais rencontré ce blogueur qu’une seule fois, il y a une dizaine d’années, furtivement, et même si je n’ai jamais trouvé ses articles d’un prophétisme et d’une utilité de fou, jusque-là, je n’avais rien dit. Sans doute parce que j’aimais son côté catholique de gauche. Mais bon, ce n’est pas parce qu’on est de gauche chrétienne qu’on ne peut pas écrire de conneries…).
 

Voici l’article de Patrice de Plunkett « traitant » de l’Affaire Santier (en réaction au déterrement récent de celle-ci par le : Mgr Santier, ancien évêque français de Créteil, avait pratiqué notamment ce qu’on pourrait baptiser des « strip-confessions » avec des hommes adultes) :
 

« AFFAIRE SANTIER : QU’ATTEND-ON POUR RÉFORMER LE DROIT CANONIQUE ET LE PROCESSUS DE NOMINATION DES ÉVÊQUES ? Ma chronique à ‘Radio Présence’ (Toulouse Midi-Pyrénées) et ‘Radio Fidélité Mayenne’) : << Un an après le rapport sur les abus sexuels dans l’Eglise, voici l’affaire de Michel Santier, ancien évêque de Créteil en région parisienne, sanctionné par Rome en 2021 pour des faits commis lorsqu’il était prêtre du diocèse de Coutances dans les années 1990 : des faits restés ignorés pendant trente ans. Il s’agissait, je cite, ‘d’abus spirituels ayant mené à du voyeurisme sexuel sur deux jeunes hommes’. En clair : Michel Santier avait perverti le sacrement de confession. C’était une profanation délibérée : quelque chose de glaçant de la part d’un prêtre. Les abus sexuels par des prêtres sont indissolublement des outrages (ou des crimes) envers les gens et des sacrilèges envers le Christ, sacrilèges dont la gravité est infinie puisqu’ils sont commis par des hommes ayant reçu le sacerdoce ! Les fidèles ne comprennent pas ou n’admettent pas – et le disent de plus en plus – que ces monstruosités n’entraînent pas automatiquement la suspension 'a divinis' et la privation de tout ministère. Il y va de la crédibilité même de cette Eglise dans sa mission de témoignage ! Au lieu de ça, on apprend que le coupable avait accepté de devenir évêque en 2001 malgré ce qu’il avait commis ; on apprend qu’il fallut attendre 2019 pour qu’un dossier à son sujet soit transmis à Rome ; et on apprend qu’en 2020, la sanction romaine fut simplement d’obtenir sa démission et de l’envoyer comme aumônier en 2021 dans une communauté religieuse… Le tout dans la plus grande discrétion, comme d’habitude. Résultat : le scandale explose un an après, et il est ravageur. Les victimes de Michel Santier à Coutances se manifestent enfin. Ses diocésains de Créteil et le vicaire général se sentent trahis rétrospectivement. Le dégoût, la colère, la tentation de tout abandonner, montent chez les fidèles catholiques. Et maintenant ? Une fois de plus les évêques demandent pardon et expriment leur compassion envers les victimes. Mais vraiment, ça ne suffit pas ! Ce que les fidèles sont en droit d’exiger, c’est que l’Eglise prenne des mesures enfin proportionnées à l’ampleur du mal : il faut la démission immédiate (volontaire ou forcée) de ceux des prêtres ou évêques qui auraient des actes pareils à se reprocher. Il faut de vraies enquêtes sur le passé des futurs évêques. Et il faut dans ce genre d’affaires des sanctions canoniques rapides, radicales, et expliquées franchement au public. La Conférence épiscopale promet une fois de plus d’affronter ce problème ? Attendons et voyons. Mais maintenant la coupe est pleine. >> ►Plus à lire dans mon blog : plunkett.hautetfort.com »
 

À la lecture de cet article, ce que je constate, globalement (donc dans l’Église Universelle/Catholique actuelle, et en écoutant l’attitude des catholiques tous bords et tous rangs ecclésiaux confondus), ce sont trois choses :
 

1) La première, c’est la TENTATION JUSTICIALISTE (ou millénariste) face à la découverte progressive du déclin, de la dégringolade, de la corruption et de la mort imminente de l’Église Catholique humaine. En effet, au lieu de nommer le problème que seulement on devine, on se contente de l’accuser et de le dénoncer « de loin », de manière complètement imprécise, extériorisée à soi, dépersonnalisée, offusquée et haineuse, en jetant l’opprobre à une hiérarchie-fantôme, un système, un « pouvoir », une bureaucratie (« irresponsable mais tellement coupable » !), à coup de « Y’a qu’à/faut qu’on » et de « C’est de la faute à la formation, aux chefs qui nous gouvernent, à l’absence d’exigence et de justice dans la sélection/nomination des évêques… donc la solution, c’est notre endurcissement et notre intransigeance qu’on appellera orgueilleusement ‘justice, pureté, assainissement, non-choix et mesures d’urgence pour enrayer la crise ecclésiale’, car ‘la coupe est pleine’ ! ». Je rappelle à ces « lanceurs d’alerte » catholiques de pacotille jouant les justiciers, que l’état de corruption, d’infestation (satanique, franc-maçonnique, sexuelle et homosexuelle – et pas seulement pédéraste/pédophile) est tel dans l’Église que seuls désormais les anges de Jésus seront capables de démêler le bon grain et l’ivraie dans cette Église des Fins dernières, et qu’à moins de parler en Vérité d’homosexualité dans l’Église (plutôt que de se cacher derrière la pédophilie et les abus sexuels), leurs actions/dénonciations justicières resteront vaines autant que dangereuses car elles empirent la situation. Il faut nommer le mal et/ou ses conséquences. Sinon, on n’a rien à faire en salle d’opération. On empêche même les chirurgiens qualifiés d’opérer.
 

2) La deuxième chose que je constate dans le traitement et les réactions de l’Affaire Santier, c’est L’HOMOPHOBIE dans l’Église Catholique (une homophobie grandissante, et qui ne se résoudra vraisemblablement jamais dans un temps humain, étant donné le déni et la mauvaise foi des catholiques actuels à reconnaître l’homosexualité comme un sujet prioritaire à traiter). Un ami récemment me faisait la remarque que dans les articles du Journal du Dimanche mais aussi les réactions des quelques rares blogueurs ou journalistes cathos qui s’aventurent à commenter l’Affaire Santier (affaire, je le rappelle, qui relève objectivement et factuellement de l’homosexualité sacerdotale et non de la pédophilie sacerdotale ni de la CIASE ni des abus sexuels – sous-entendus « sur mineurs »), paradoxalement, le mot « homosexualité » n’est jamais prononcé. À aucun moment. Ah ça, pour se gendarmer, ça se gendarme ! Ça tire la sonnette d’alarme ! Mais pour quoi, au juste ? Et à quoi bon, si c’est pour « cacher l’objet d’indignation par l’indignation elle-même » (comme disaient Élisabeth Lévy et Philippe Muray). Je me suis juste contenté de répondre à cet ami : « Ça s’appelle l’homophobie. » Et l’homophobie, c’est le principal poison dont mourra l’Église Catholique terrestre. Car celle-ci ne se risquera jamais à parler d’homosexualité (et encore moins d’homosexualité sacerdotale). Jamais. Comment puis-je en être aussi sûr ? Le traitement dont je fais l’objet, et l’indifférence générale à l’égard de mes travaux, en sont l’illustration vivante. Et le cléricalisme – en ces temps de grande crise ecclésial – arrive à son paroxysme. Donc jamais les catholiques n’accepteront de voir le sacerdoce et le Christ en personne salis par l’homosexualité.
 

3) La troisième et dernière chose que je vois, c’est LE CHEMIN INTÉRIEUR MAGNIFIQUE DES PRÊTRES PÉCHEURS. Chemin dont ne parleront jamais ces journaleux « catholiques », de gauche comme de droite, et a fortiori d’extrême droite, très tentés de mettre l’homosexualité sacerdotale sur le dos du pseudo « progressisme/modernisme du Concile Vatican II ou du pape François » ou des « abus sexuels » sans jamais la nommer « homosexualité »… ou alors, quand ils la nommeront « homosexualité », ce sera pour l’extérioriser à eux-mêmes, pour la diaboliser, et en vue de l’éradiquer définitivement de l’Église, devenue à leurs yeux un abominable « cloaque d’impuretés » (pour citer la Vierge Marie à la Salette), voire même « la principale Maison de Satan déguisé en Christ ». Ce que j’aimerais dire à ces justiciers cléricalistes et nostalgiques de carnaval, c’est qu’ils n’ont rien compris à la Bonne Nouvelle se cachant derrière l’homosexualité, et même derrière l’homosexualité sacerdotale et plus globalement le péché acté (de plus en plus massivement). Ils l’abordent comme un drame, une catastrophe, une occasion de se désespérer ou de haïr les prêtres et leur Église, de récriminer contre cette dernière en jouant les prophètes millénaristes (« On vous l’avait bien dit que c’est bientôt la Fin !!! »). Ils n’ont rien compris. Ils ne voient pas ce qui se passent en coulisses, ou dans les cœurs. Ils en appellent à une épuration drastique du clergé (dans les séminaires, à la Curie, dans les Conférences épiscopales du Monde entier). Ils jouent les grands ordonnateurs qui vont faire le ménage et virer tous les prêtres/évêques/cardinaux « pervers et détraqués sexuels qui salissent l’image de l’Église ». Mais que savent-ils des retours au droit chemin et des luttes (parfois admirables et saintes) de certains prêtres ou évêques pour rester dans l’Église après leurs chutes ou dérapages homosexuels ? Moi, personnellement, je connais des prêtres qui, par amour de l’Église et par conscience de leur utilité auprès des pauvres et des paroissiens de leur diocèse, beaucoup plus que par carriérisme et utilisation du sacerdoce comme couverture d’invisibilité de leur double vie sacerdotale/homosexuelle, ont décidé de ne pas quitter l’Église. Peut-être même de redevenir chastes après leurs faux pas, leurs écarts. Les prêtres sont humains et pécheurs comme nous tous. Au nom de quoi ils ne pourraient pas se sentir homosexuels, n’auraient pas le droit de rester dans l’Église, ou de revenir au Christ et à leur sacerdoce (même si leur attachement au Christ est lacunaire, pas toujours entier et heureux) ? Au nom de leur statut sacerdotal ? De la pureté de l’Église ? De la lutte contre l’hypocrisie et le péché ? De la gravité de la situation ecclésiale et mondiale actuelle ?? Quel aveuglement et quelle sécheresse de cœurs que les vôtres ! Quand on ne sait pas, on ne juge pas… et surtout surtout, on ferme sa gueule de gros con. Moi, j’admire ces prêtres, ces évêques, ces cardinaux, ces religieuses, ces moines, qui se savent imparfaits, qui luttent contre leurs pulsions homosexuelles, qui regrettent leurs pratiques homosexuelles (même s’ils n’arrivent pas toujours à y renoncer), qui restent dans l’Église car ils aiment le Seigneur et leurs fidèles malgré tout, qui trouvent que leur vie a plus de sens en demeurant prêtres (même si, dans les temps de désert, ils picorent du site de rencontres gays et du « plan cul » sans lendemain et anonyme) qu’en retrouvant la vie civile et en adoptant un style de vie homosexuel (le couple) qui ne les comblera pas. Bien sûr, entre Jésus/l’Église et leurs besoins d’affection charnelle homosexuelle, leur cœur balance. Mais ils penchent plus vers Jésus/l’Église/leur amour de leur sacerdoce et des gens, que vers leur misère affective. Donc je souhaite qu’ils restent prêtres, et je comprends leur choix de ne pas quitter l’Église, d’assumer douloureusement et secrètement la dualité (et parfois la contradiction, l’ambivalence) de leur condition. J’admire et m’émerveille face aux retours réguliers de certains religieux vers la non-pratique et la chasteté. Ils s’accrochent, et c’est beau. Même si personne (sauf Jésus, et peut-être parfois leurs confesseurs) ne le leur dit et ne le voit.
 

Donc à tous les justicialistes affolés et accusateurs actuels dans l’Église Catholique, je serais tenté de dire : « Priez pour les prêtres, soutenez-les et n’empêchez pas le dialogue et la réflexion autour de l’homosexualité ». Et surtout, arrêtez de juger qui vous ne connaissez pas. « Toutes mes ratures et toutes mes impostures, mes excès de folie qui abîment mes nuits, vos regards sur moi, vous qui me jugez vite, vous qui ne me connaissez pas même si, vous dites que oui. Où êtes-vous quand je pleure toutes les nuits ? Quand je crie en silence, quand je tombe dans le vide ? Que mon frigo est vide ? Faites-vous mine de rien voir ? Avez-vous peur du noir ? Ne me jugez pas. C’est trop facile quand on n’sait pas. C’est trop facile quand on n’vois pas. Ne me jugez pas. Ne me jugez pas. […] Mettez-vous à ma place un moment et voyez ce que j’endure souvent. Je n’veux plus faire semblant d’être heureux devant vous. Que ça vous plaise ou non, ben tant pis, je m’en fous. Vous m’aimerez comme je suis… ou peut-être pas du tout. Je m’en fous. Ne me jugez pas. C’est trop facile quand on n’sait pas. C’est trop facile quand on n’vois pas. Ne me jugez pas. Ne me jugez pas. » (c.f. Camille Lellouche « Ne me jugez pas »). Seul Dieu jugera.
 

Meurtre de Lola : Qui pleurez-vous, au juste ?


 

J’ai une vraie question à poser à ceux qui, en ce moment, jouent les pleureuses de Lola, la petite fille parisienne de 12 ans retrouvée assassinée dans une malle il y a 5 jours, et qui affichent leur tristesse-haine-désespérance en l’humanité et en Dieu : « Qui pleurez-vous ? » Vraiment, je pose la question : QUI PLEUREZ-VOUS ?
 

Nan. PAS DU TOUT de récupération du crime par les blonds, voyons ! Où allez-vous chercher tout ça…


 

Excepté ceux qui l’ont vraiment connue (famille, amis, camarades d’école, amis d’amis), et qui pleurent vraiment Lola, que fait le reste des gens ?
 

 

La vérité, c’est que vous ne pleurez pas Lola. Vous pleurez autre chose de beaucoup plus glauque et dont vous devriez même avoir honte :
 

– Vous pleurez un fantôme luciférien : lumineux, électrique, solaire, mais désincarné et triste. Une icône. Une Marianne déchue.
 

– Vous pleurez votre propre perversion. (Oui : le Gouvernement Mondial antéchristique, contrairement à Jésus qui s’intéresse plus aux pécheurs et aux criminels qu’aux victimes, se centrera uniquement sur les victimes : c’est à cela qu’on le reconnaîtra). Et si vraiment votre « Plus jamais ça ! Protégeons nos enfants ! » était sincère et véritablement courageux (car quel « courage » vous a-t-il fallu pour afficher Lola en bannière « RIP » sur les réseaux sociaux ? Aucun !), vous vous seriez intéressés aux racines du mal, au profil de la violeuse (Dahbia B.) : des racines autres que « psychiatriques » ou « absurdes » (c.f. la thèse médiatique pratique du « coup de folie » de la « SDF déséquilibrée »), autres que « racistes », « nationalistes », « patriotiques » et « xénophobes » (c.f. la rumeur du gang des « 4 Algériens » qui a fuité sur Twitter dès les premières heures de la découverte du corps). Mais bien des racines maçonniques et antéchristiques (le rapt et le viol des vierges et des enfants font partie des rituels sataniques de plus en plus courants parmi les francs-maçons et désormais dans la société toute entière ; et Dahbia s’est convertie à un évangélisme gnostique, donc en réalité à la Franc-Maçonnerie, … alors on est loin d’une femme qui aurait « déraillé »), bien des racines sexuelles (Dahbia a un profil de psychopathe à la fois pédéraste et lesbien : mais qui ose souligner dans cette affaire l’homosexualité de la violeuse qui prétend avoir vécu un « orgasme » sexuel avec Lola dans une mise en scène homo-érotique ? Personne. C’est toute une réflexion sur l’homosexualité que notre Monde devrait mener, mais qu’il ne fait pas, car en ce moment il dénonce les conséquences dont il chérit les causes.).
 

Le principal symbole des loges maçonniques c’est l’oeil dans le triangle.


 

– Vous pleurez vous-mêmes et votre propre dépression (Sans déconner, j’ai remarqué que les seuls qui dans mes contacts affichaient Lola étaient blonds ou blondes ; et il y en a même qui ont poussé le narcissisme – victimisant et morbide – jusqu’à choisir la photo de Lola comme leur propre photo de profil ! : à ce niveau-là, il faut vous faire soigner…). Ça paraît dingue de le dire, et hyper basique, mais on en est là avec vous : vous pleurez sa blondeur ! Rien d’autre. Pas même sa jeunesse ou son innocence. Aucune enfant noire, brune, et encore moins maghrébine, et qui aurait souffert le même sort, ne serait parvenue à soulever chez vous une telle émotion, une telle hystérie, une telle dévotion, une telle colère) : vos larmes sont eugénistes. C’est la « race blanche et blonde » que vous pleurez. C’est votre idée de « civilisation européenne d’inspiration chrétienne » que vous « pleurez ». C’est l’horreur et l’injustice que vous applaudissez. D’ailleurs, la plupart de mes contacts qui partagent la photo de Lola sont « natios » et sont obsédés pour leur idée nostalgique d’« identité nationale », par « l’immigration ». Et après, vous grincez des dents dès qu’on vous accuse de « récupérations ». Mais pourtant, c’est la vérité. Symboliquement, vous avez – un peu comme la violeuse – récupéré, instrumentalisé, possédé, démembré, Lola. Mise dans une malle. La malle débordante des injustices humaines faites par des Hommes que vous avez transformés en « monstres ».
 

 

– Vous pleurez votre propre misanthropie (haine des Humains et de l’Humanité). En rendant hommage à Lola comme vous le faites, vous ne lui rendez même pas hommage. Vous célébrez le crime odieux, l’injustice et la mort. Vous célébrez la Bête. Et par votre battage médiatique soi-disant « solidaire » et « empathique », vous encouragez les futurs criminels à persécuter et à violer d’autres enfants car ils vont s’imaginer qu’ils créeront de nouveaux « saints innocents ». Ce sont vos « hommages » qui me révoltent autant que le crime dénoncé. Votre indignation/révolte/émotion/prières ne servent pertinemment à rien. Elles n’aident même pas à enrayer le mécanisme. Le jour où vous vous pencherez sur la Franc-Maçonnerie, l’homosexualité, et sur la Dahbia qui sommeille en vous, là, ce sera autre chose. Le jour où vous remplacerez #JeSuisLola par #JeSuisDhabia (sans justifier, évidemment, son acte), on pourra commencer à parler.
 

 

(Oh! Tiens? C’est bizarre. Même Netflix a fait de Lola sa Marque de la Bête : une bête-proie…)

La Bomba Amaral


 

¡ Me encanta la cantante española Amaral ! Música y letra. Una melancolía rock.
 

Recuerdo en particular, en los años que era profe, ese día tan especial, frente a una clase de chicas (¡ sólo chicas !) de mi insti profesional de Juvisy (Jean Monnet), cuando traté de entregar toda mi persona para que cantaran conmigo la canción « Kamikaze ». Porque al principio, no le caía bien a esa clase de enfermeras, y las muchachas se quedaban mudas, no querían acompañarme. Y gracias a esta canción de Amaral, que suena como una súplica de mendigo de Amor (« Y dime siiiii sientes lo mismoooo. ¡¡¡ Y dime siiiii estás conmigoooo… o contra mí!!! »), se desbloqueó por primera vez y milagrosamente la barrera de enemistad y de hielo que había entre ellas y yo. Hacía falta lo menos una bomba-kamikaze jaja.
 

Hablar de Francmasonería por primera vez en español…

No sin cierta emoción estoy traduciendo actualmente al español los pasajes de mi futuro libro que tratan de la Francmasonería (en relación con la homosexualidad). Porque nunca lo he hecho antes. Mientras que es un tema sumamente importante, y que el mundo español e latinoamericano no conoce mi valiosa aportación al respecto (Sólo piensa que hablo de homosexualidad). Muchos españoles y latinoamericanos no entienden ni pío de la masonería, y por eso se unen tanto a ella sin darse cuenta, o pensando que están en contra.
 

C’est avec une certaine émotion que je traduis actuellement en espagnol les passages (de mon futur livre) traitant de Franc-Maçonnerie (en lien avec l’homosexualité). Car je ne l’ai jamais vraiment fait auparavant. Alors que c’est un sujet très important, et que le monde espagnol et latino-américain ne connaît pas ma contribution capitale le concernant. Beaucoup d’Espagnols et de Latino-Américains n’y comprennent que dalle à la Franc-Maçonnerie, et voilà pourquoi ils y rentrent sans même s’en rendre compte, ou en croyant s’y opposer.

La série Les Combattantes de TF1 : bilan, décryptage et constat inquiétant pour notre Monde (la déshumanisation des Humains)


 

Ce qui est très inquiétant pour notre Monde, c’est le progressif retrait d’Humanité des pourtant êtres HUMAINS (qui n’ont que ça, leur humanité, pour exister !), déshumanisation de plus en plus présente dans le discours de nos contemporains. Résultante d’un noachisme misanthrope galopant ainsi que d’une Marque de la Bête (Apo 13, 17) de plus en plus hégémonique pour cette Fin des Temps générale.
 

 

Je le remarquais déjà dans le discours de certains mes élèves (même musulmans), qui n’hésitaient pas à nier l’humanité d’Hitler (en soutenant mordicus que « ce n’était pas un humain mais un monstre » : le déshumaniser par la diabolisation, c’est le meilleur moyen de l’imiter inconsciemment !). Ou quand un pédophile (genre Marc Dutroux ou Nordahl Lelandais) ou un psychopathe (Jeffrey Dahmer) fait les gros titres. Ou quand Trump niait sérieusement devant les caméras l’humanité des migrants mexicains passant illégalement les frontières des États-Unis (il a qualifié ces derniers d’« animaux »). Ou encore quand le Connard (Emmanuel Macron), à plusieurs reprises, nie l’humanité des rebuts de sa Start-up Nation (À la Station F, il a distingué publiquement les entrepreneurs « des gens qui ne sont rien ») ou l’humanité de ceux qu’il veut écraser de son caractéristique mépris (Devant les princes du Sahel, il s’est permis de dire très sérieusement, à propos des ravisseurs de Sophie Pétronin, que – je cite – « ces gens ne sont rien »).
 

Cette tendance à retirer à l’Humain son humanité (en plus, finalement, de sa divinité en Jésus) est très préoccupante mondialement, car elle s’appuie sur une croyance à avoir droit de vie ou de mort, d’éradication ou de Salut, sur toute personne qu’on estime « utile » ou « inutile », « gentille » ou « méchante/dangereuse », du simple fait de la voir comme un objet ou un animal ou un esprit démoniaque monstrueux. Autrement dit, c’est un eugénisme/génocide déguisé.
 

 

Je l’ai vue, cette tendance déshumanisante, dans la dernière série (« création ») de TF1, Les Combattantes, sur fond de Première Guerre mondiale 1914-1918. Je vous passe les détails de cette fresque « historique » presque totalement immorale (féministe, misandre, anticatholique, pro-avortement, pro-homosexualité et pro-inceste) et insultante de la mémoire des vrais combattants. Pour résumer : du sang, de la boue, des larmes, du sexe, des morts… on se serait cru dans un navet cinématographique de Laurent Boutonnat. Mais pour revenir à ma démonstration sur le retrait d’Humanité des Humains, ce qui m’a vraiment marqué, c’est surtout cette insistance sincère à nous prouver qu’il existerait des « êtres humains qui ne seraient pas/plus humains ». Chacune des 4 justicières-pleurnicheuses professionnelles (Camille Lou dans le rôle de Suzanne l’avortrice, Sofia Essaïdi dans le rôle de Caroline la cheffe d’entreprise, Audrey Fleurot dans le rôle de Marguerite la prostituée, Julie de Bona dans le rôle de Mère Agnès) avait son monstre humain déshumanisé qu’elle marquait du sceau « indélébile » et « justicier » de la Bête et de « l’Inhumanité » : Suzanne a sorti au mari de Jeanne Charrier, Lucien, qu’« il était un monstre » ; Caroline a sorti à sa belle-mère Éléonore à propos de son ignoble beau-frère Charles « Votre fils est un monstre » ; Marguerite a sorti à son maquereau Marcel – secrètement amoureux d’elle – qu’il n’était « rien pour elle » (ce dernier, à son tour, a dépersonnifié une autre camarade prostituée de Caroline, Juliette, en la traitant de « marchandise » : « Juliette, t’es rien. T’es personne. Ferme ta gueule ! ») ; et enfin, sœur Agnès a sorti à l’abbé Vautrin (prêtre pédophile et violeur que campe Laurent Gerrat) « Vous êtes un porc. Plus jamais vous ne poserez vos mains sur une de mes sœurs. Où que vous soyez, je serai là. Je les préviendrai pour qu’elles sachent quel genre de monstre vous êtes. Je ne vous lâcherai jamais. ». Je vous avais dit : chacune des héroïnes avait son être humain à monstruosifier ! Pour qui se prennent-elles ? Et surtout, pour qui se prennent les réalisateurs de ces fictions ?
 

Le comble, c’est que cet homicide-déicide luciférien se fait au nom d’un humanisme intégral (l’autre nom de la Bête) et au nom de Dieu (spiritualisme intégral) : les réalisateurs et acteurs se prétendent « humanistes » et croient qu’une fresque pareille – qui ne fait que semer la guerre – fait oeuvre de de « Paix », est « HOMMAGE historique et résurrectionnel des faits, de la vérité et des héroïsmes ». Sidérant.
 

Ce retrait d’humanité est une mode scandaleuse qui devrait tous nous insurger, mais que personne aujourd’hui ne voit et ne dénonce. Je me devais donc de faire ce constat.
 

 

N.B. : Petit détail qui m’a fait doucement sourire, et qui montre le caractère intrinsèquement spirituel et antichrétien de ce téléfilm : c’est la référence (inconsciente ?) à Agnès Thill (députée catholique homophobe). Car, qu’on ne me dise pas que le choix de prénoms de Mère Agnès et de son soldat allemand avec qui elle va être dépucelée, Till, relève du pur hasard…

Mi entrevista con Amparo Medina para Creciendo Contigo Mujer (10 de octubre de 2022)


 

 

Esta tarde, entrevista « sensacional » según las propias palabras de la periodista e intelectual ecuatoriana Amparo Medina (ex funcionaria en la ONU, ex-abortista, ex-feminista radical, ex-izquierdista, ex-antifascistas, y ahora pro-Vida y católica) quien me entrevistó para un programa Mujer Fuente de Vida de la página Creciendo Contigo Mujer. Hablamos de homosexualidad, y doy consejos a los padres y también a las personas homosexuales y católicas. ¡ Estaba en forma ! Y fue tan sensacional que los programadores van a intentar invitarme a su país ^^. No sé si se hará. Pero al menos están las ganas 😉
 

 

P.D. : Mi artículo sobre las tres llaves del corazón de las personas homosexuales https://www.araigneedudesert.fr/las-tres-llaves-que-creo-abren-el-corazon-de-una-persona-homosexual/