Merci connasse

« Bonjour Philippe,
 

Au retour des congés, nous avons étudié en équipe votre proposition et avons décidé de ne pas y donner suite.

En effet, nous n’avons pas la même approche du sujet et, si nous devions l’aborder, nous l’envisagerions sous un autre format.

Comme vous pouvez l’imaginer, cela ne remet nullement en cause la qualité de votre travail.

Je vous souhaite de trouver un éditeur.
 

Bien à vous,
 

Valérie Gilmas (Éditions Boleine) »
 

C’est le mail que je reçois de la seule maison d’édition catholique à qui j’avais déposé par accident le pré-manuscrit de mon livre Couples homosexuels : c’est quoi le problème?, avec le plan. Je ne l’avais pas fait exprès : sur les 25 maisons ciblées, j’avais découvert sur le tard qu’elle était catholique, alors que je ne voulais précisément plus travailler avec les « catholiques »… même si mon livre est pourtant taillé pour eux. Et la secrétaire des éditions Boleine m’avait reconnu – « Mais vous êtes connu! Vous êtes Philippe Ariño!?! » – , m’avait fait bon accueil, et sans rien me promettre, m’avait quand même fait miroiter que, de retour de vacances de son éditrice en chef, mon livre avait de fortes chances de les intéresser vu la rareté et la nécessité du sujet : « Vous mettez les pieds dans le plat. Personne ne traite du sujet de front à part vous. »
 

Je ne vais rien leur répondre. Je n’ai même pas le courage de la politesse. Car face à l’aveuglement, la mauvaise foi et la frilosité, j’aurais été d’humeur à mettre des « connasse » partout (genre : « Chère connasse, Merci de votre réponse, connasse. C’est vrai que le sujet de l’homosexualité n’est pas important pour l’Église, GROSSE connasse. En même temps, venant des catholiques comme vous, je ne suis pas très étonné, connasse. Je vous souhaite néanmoins d’heureuses – et sportives vu l’imminence de la Fin des Temps! – Tribulations, connasse. Cordialement. Une autre connasse. »).
 

Je préfère, à la place, vous demander de prier pour un ami d’ami, Matthieu, homo, qui a prévu de se suicider jeudi prochain parce que sa famille et son entourage proche a découvert – suite à un mail de délation qu’un de ses proches a écrit – qu’il se prostituait. Il se drogue à la cocaïne, aussi. Alors merci pour lui.

Quoi qu’il en soit, mon livre sera édité

 

Ça y est : au courrier d’aujourd’hui, je viens de recevoir un contrat d’accord de publication pour mon livre Couples homosexuels : c’est quoi le problème?. Les éditions Paulo-Ramand.
 

 

Mon seul « souci », c’est que c’est une édition à compte participatif (un peu moins cher que les éditions Vérone pour mon livre sur les thérapies de conversion : là, ils me demandent 1545 €… que je n’ai pas). Ça veut dire quoi? Deux choses :
 

1) Que mon livre intéresse. Donc c’est prometteur. Il verra forcément le jour.
 

2) Qu’il vaut mieux que j’attende les retours des comités de lecture des autres maisons d’édition, avec des offres moins onéreuses et plus intéressantes. Et si, après 3 semaines, je n’ai pas d’autres éditeurs intéressés, je me rabattrai sur Paulo-Ramand.

Journal de l’Antéchrist : Cillian Murphy pour Montblanc et la chanteuse Angèle se décrivant comme finissant en enfer


 

Le diable et son Gouvernement Mondial maçonnique et antéchristique singent Dieu, plagient Jésus. C’est leur signature. Ça me frappe dans la dernière publicité de Mont Blanc portée par le glaçant homme d’affaires Cillian Murphy, où le pastiche de la Passion du Christ (la chute de Jésus sous le poids de la Croix) diluée en « souffrances », efforts et petits échecs formant partie des aléas du culte égoïste, narcissique et consumériste, de l’être humain mondialisé pour ses « passions », est clair (ça fait un moment que je vous dis que le mot « passion », souvent mis au pluriel, et qui occulte la Passion de Jésus, est l’un des noms principaux de la Marque de la Bête de l’Apocalypse). En effet : on y voit une comédienne, sur une scène théâtrale, en pleine répétitions, tomber au moment où il est question des « passions ». Il y a bien là un mimétisme de la Passion christique, mais au bénéfice DES passions individualistes et actionnelles ! (je vous passe les détails et les nombreuses références symboliques à la Franc-Maçonnerie : escabeau en forme de triangle et de compas, la référence à l’inspiration, au mouvement et à l’amélioration, le papier et les plans, les comédiens en équerre, l’identité-mobilité, etc.).
 

Autres références eschatologiques ( = renvoyant la Fin des Temps) et apocalyptiques ( = Victoire de Jésus sur le Monde) : d’abord les chansons de la chanteuse lesbienne à la mode Angèle qui évoquent beaucoup la damnation éternelle (c.f. « Mes Démons », la toute fin du super clip « Oui ou non » où Angèle simule un accident de voiture où elle meurt, et où elle grille en enfer), et ensuite la chanson « Le Cheshire Cat et moi » de Nolwenn Leroy (où le chat diabolique d’Alice au Pays des Merveilles devient une figure eschatologique : « Matou malfaisant, Kidnappeur d’âmes, de sentiments, Rends-nous le bonheur jusqu’à la fin des temps. »).
 

Las 8 Canciones-claves de « Las Locas de Dios » / Les 8 Chansons-phare des « Folles de Dieu »

Las 8 Canciones-claves para ilustrar las 8 Jornadas del documental « Las Locas de Dios » :
 

JORNADA 1 (DEFINICIÓN) : « Deep Blue Sea » de Rahan
– Parte 1 (descubrimiento)
– Parte 2 (los gustos de niño)
– Parte 3 (la psicología)

 

JORNADA 2 (FAMILIA) : « Te seguiré » de Athenas
– Parte 4 (salida del armario)
– Parte 5 (los miembros)
– Parte 6 (influencia familiar)

 

JORNADA 3 (SEXO Y VIDA AMOROSA) : « Fucking Friend » de Steph Bach
– Parte 7 (la iniciación)
– Parte 8 (las parejas)
– Parte 9 (la renuncia a la práctica)

 

JORNADA 4 (CULTURA Y y COMUNIDAD) : « Harvey » de Monis
– Parte 10 (presentación de la comunidad)
– Parte 11 (los gustos homos)
– Parte 12 (Marchas del Orgullo y ghetto)

 

JORNADA 5 (POLÍTICA) : « Un Univers » de Yann Destal (Modjo)
– Parte 13 (propaganda LGTB)
– Parte 14 (las leyes)
– Parte 15 (dictadura)

 

JORNADA 6 (HOMOFOBIA) : « Les Étincelles » de Vallée
– Parte 16 (homofobia exterior sufrida)
– Parte 17 (homofobia interiorizada)
– Parte 18 (homofobia a escala mundial)

 

JORNADA 7 (IGLESIA) : « Elle » de Pascal Bolantin
– Parte 19 (casos parroquiales)
– Parte 20 (homosexualidad sacerdotal)
– Parte 21 (Mafia rosa del Vaticano)

 

JORNADA 8 (SANTIDAD) : « De nada me vale » de Santiago Benavides
– Parte 22 (Biblia y Catecismo)
– Parte 23 (sanación, milagros y Paraíso)
– Parte 24 (continencia)

 

BLOOPER :
– Parte 25
 

 

Les 8 Chansons-phare pour illustrer les 8 Journées du documentaire « Les Folles de Dieu » :

 

JOURNÉE 1 (DÉFINITION) : « Deep Blue Sea » de Rahan
– Partie 1 (découverte)
– Partie 2 (les goûts d’enfant)
– Partie 3 (la psychologie)

 

JOURNÉE 2 (FAMILLE) : « Te seguiré » de Athenas
– Partie 4 (coming out)
– Partie 5 (les membres)
– Partie 6 (influence familiale)

 

JOURNÉE 3 (SEXE ET VIE AMOUREUSE) : « Fucking Friend » de Steph Bach
– Partie 7 (l’initiation)
– Partie 8 (les couples)
– Partie 9 (le renoncement à la pratique)

 

JOURNÉE 4 (CULTURE ET COMMUNAUTÉ) : « Harvey » de Monis
– Partie 10 (présentation de la communauté)
– Partie 11 (les goûts homos)
– Partie 12 (Gay Prides et ghetto)

 

JOURNÉE 5 (POLITIQUE) : « Un Univers » de Yann Destal (Modjo)
– Partie 13 (propagande LGBT)
– Partie 14 (les lois)
– Partie 15 (dictature)

 

JOURNÉE 6 (HOMOPHOBIE) : « Les Étincelles » de Vallée
– Partie 16 (homophobie extérieure subie)
– Partie 17 (homophobie intériorisée)
– Partie 18 (homophobie à échelle mondiale)

 

JOURNÉE 7 (ÉGLISE) : « Elle » de Pascal Bolantin
– Partie 19 (cas paroissiaux)
– Partie 20 (homosexualité sacerdotale)
– Partie 21 (Mafia rose au Vatican)

 

JOURNÉE 8 (SAINTETÉ) : « De nada me vale » de Santiago Benavides
– Partie 22 (Bible et Catéchisme)
– Partie 23 (guérison, miracles et Paradis)
– Partie 24 (continence)

 

BÊTISIER :
– Partie 25

Cellule pour les prêtres

Il faudrait, vu les besoins urgents actuels, carrément créer une cellule d’écoute pour les prêtres homosexuels. Encore pas plus tard que ce matin, il y en a un qui a déboulé vers moi pour me parler, sans même savoir qui j’étais et que je suis catho pratiquant (il connaissait juste mon homosexualité) : simplement pour me lâcher « Je suis prêtre » d’entrée de jeu !
 

Oui. Ça urge. Mais pas n’importe quelle cellule : une cellule tenue par des personnes homos croyantes comme eux, avec qui ils ne seraient pas jugés, où il serait possible de « parler cul », « fantasmes », « mecs », de simuler – jusqu’à un certain point – même de la drague (pour que justement elle ne s’actualise pas sur le terrain), de rigoler, de lâcher toutes les frustrations sexuelles et sentimentales qu’ils gardent en eux, toutes les chutes et les hontes aussi, de crever l’abcès, de vider/nettoyer le baluchon d’isolement et de « solitude existentielle » (pour citer le prêtre de ce matin) que ni la prière, ni les paroissiens, ni les pauvres, ni les amis, ni les collègues, ni la famille, ni « Jésus », ni les sacrements, ne peuvent combler. Certains prêtres sont en train de crever. Et ce n’est pas un petit nombre.

Des suggestions de livres pour le cardinal Sarah

Comme je vois qu’en ce moment le cardinal Sarah, pour écrire et écouler ses bouquins qui ne parlent qu’aux pharisiens, revisite des thématiques nulles mais qui semblent aux yeux des catholiques (désespérés de la chute de leur Église) « brillantes », « irréprochables », « audacieuses », « sans concession », « hyper novatrices » et « saintes », et qu’il est un peu à court d’idées, je lui proposerais bien, en toute amitié et fraternité évidemment, quelques sujets qu’il pourrait approfondir pour se faire de la thune et du pouvoir… pardon, pour le Salut des âmes et de l’Église Universelle :
 

Après avoir traité brillamment :
– du silence
– de la prêtrise
– de la sainteté
– de la prière
– du célibat
– de Dieu
– de la Tradition
– du sacré
– de la crise spirituelle en Occident
– du crépuscule (lumière)
– de la beauté
– de la vie monastique…
 

voici quelques sujets à succès catholiquement corrects et « irréfutables sur le papier », qu’il lui reste à exploiter :
– la royauté
– la Vérité
– la Bible
– l’Église
– l’Eucharistie
– la sexualité
– la chasteté
– la Charité
– la Vierge Marie
– l’Esprit Saint
– l’Apocalypse
– la paternité
– la maternité
– la masculinité
– la féminité
– l’Islam
– l’enfer
– le péché
– les anges
– le diable
– les miracles
– le martyre (ou la Croix ou la souffrance)
– l’Histoire
– la pauvreté
– l’humilité
– la papauté
 

(Désolé mais « le corps », ça a déjà été fait par saint Jean-Paul II, et « Jésus » par le pape Benoît XVI). Franchement, j’ai hâte de vous entendre là-dessus ! Vos best-sellers sont tellement urgents. Votre Éminence, vite un autre livre ! Nous vous en supplions.

Et un de plus !

 

Incroyable mais vrai. Ce soir, j’ai à nouveau fait la rencontre d’un franc-maçon homosexuel (que j’ai, là encore, démasqué en quelques minutes !). J’ai l’impression que je les attire. Lui, il est au Grand Orient, et est carrément Vénérable-Maître (« Véné », comme il le dit lui-même). On s’est baladé à la Défense. Il était impressionné par tout ce que je connaissais sur la Franc-Maçonnerie. Ce qui m’a un peu scié chez lui, c’est le déni d’influence/d’hégémonie mondiale des loges. Les initiés sont persuadés d’avoir des idées avant-gardistes, hors de la pensée commune, à contre-courant… alors que désormais le Monde « profane » a largement adopté leur système de pensée et leurs « valeurs » (exemple : « La Vérité unique n’existe pas. Toute Vérité est relative. », etc.). En général, ils se complaisent dans un rôle de victimes incomprises et d’élite intellectuelle ultra originale, diverse et inventive. Donc du coup, ils le prennent un peu mal quand je leur démontre que leurs « idées de génie » sont passées dans la culture la plus merdique qui soit (Demain Nous Appartient, Joséphine ange gardien…). Ils ne veulent pas entendre qu’ils sont à l’heure actuelle, idéologiquement, médiatiquement et politiquement les rois du Monde. Il y a, de la part des initiés, un réel orgueil. Certains se demandent « À quoi on sert? » et jouent les impuissants ou génies incompris du Monde. C’est de la pure mythomanie… Car la FM, ce sont les idées : pas l’adhésion à une loge ni la carte de l’obédience. Et leurs idées sont largement adoptées par la culture mondialisée. Ils croient inventer l’eau chaude. En réalité, leurs idées sont d’une nullité et d’un conformisme incroyables.

Le phénomène mondial des enfants « diaboliques » (donc imitant soit le diable, soit la Bête) dans America’s Got Talent ou Britain’s Got Talent

 

C’est un phénomène de foire qui en ce moment récolte un fort succès. Sans doute la surprise de voir l’enfance déformée/salie, et l’excitation à violer l’innocence, la virginité : dans les rituels satanistes, ou dans les films d’horreur, la figure de la gamine (la « Mercredi » de la Famille Addams) ou de la poupée (Chucky) qu’on croit toute mignonne, espiègle, et qui se révèle en réalité en monstre sanguinaire, fascine. La métamorphose « ange vers démon » ou « enfant vers Bête » paraît même brillante et aurique aux yeux de nos contemporains, et en particulier des jurés des grandes « messes » médiatiques que sont des émissions comme America’s Got Talent ou Britain’s Got Talent.
 

Ce processus de transformation alchimique (le talent, historiquement, c’est bien une mesure d’or) obéit souvent aux mêmes étapes :
 

1) on place une gamine, un gamin ou une adolescente à qui on donnerait le bon Dieu sans confession, au centre de la scène ;
 

2) on s’attendrit sur lui/elle ;
 

3) et ensuite, l’un des jurés demande à cet enfant si il ou elle est « stressé(e) » (« Are you nervous ?)… car la peur est inconsciemment envisagée comme le moteur émotionnel de la conversion diabolique ;
 

4) puis le gamin ou la gamine horrifie en changeant de voix, en se comportant comme un pantin désarticulé, pris de convulsions et possédé (les jurés se demandent même si il ou elle n’est pas « habité(e) par un monstre ou un extraterrestre ») ;
 

5) et à la fin, c’est souvent l’amusement général et l’emballement qui trouve cette bestialisation/démonisation de l’enfance « brillante » voire aurique (il arrive d’ailleurs que ces prestations « terrifiantes » déclenchent des Golden Buz, donc des pluies d’or) et divine (les jurés enchaînent les « Oh my God ! » et lui vouent un culte éternel) ;
 

6) Et si, quelques années plus tard, à l’âge adulte, cet enfant fait son coming out et se révèle homo, il aura « réussi » parfaitement sa « transition » aux yeux du Monde.

 

Léo avant (dans The VoiceKids) et Léo après (dans The Voice Allstars)

On aime ces pré-ados comme on aime la Bête (curieuse) de l’Apocalypse décrite par saint Jean : pour leur « curiosité », « singularité » et aussi leur « horreur » déguisée en beauté. L’innocence dangereuse. La célébration du « Monstre gentil ». Censé être plus gentil que les Humains et même que Jésus et Dieu.
 

À noter que cette violation/taille/transmutation du « diamant d’innocence » brut au feu des caméras est, à mon avis, le nouvel esclavage moderne. La preuve en est que dans beaucoup d’émissions basées sur le concept Tel pays a un incroyable talent, le préparateur de talents qui les amène sur scène, qui surréagit en coulisses, et qui sert parfois même de cobaye, est souvent noir (Karine Lemarchand pour la France ; Nick Cannon puis Tyra Banks puis Terry Crews pour les États-Unis).
 
 

Harper dans America’s Got Talent :
 

 

Noah Epps dans America’s Got Talent :
 

 

Courtney Hadwin dans America’s Got Talent :
 

 

Darci Lynne dans America’s Got Talent :
 

 

Olivia Binfield dans Britain’s Got Talent
 

 

 

Angelica Hale dans America’s Got Talent :
 

 

Lili Wilker dans America’s Got Talent
 

 

Jessica Brodin dans Britain’s Got Talent :
 

 

Immi Davis dans Britain’s Got Talent :
 

Próximamente en Enriquísimo TV, hablamos de la Bestia apocalíptica / Prochainement sur Enriquísimo TV, on parle de la Bête de l’Apocalypse

C’est rigolo : je viens d’enregistrer pour Enriquísimo TV (avec Enrique Vidal Flores) une interview spécialement dédiée au lien entre homosexualité et « Marque de la Bête » apocalyptique dans le jeu vidéo The Last of Us… ! Beaucoup de choses essentielles sont sorties, pour comprendre le rôle prophétique de l’homosexualité, le fonctionnement de la Franc-Maçonnerie et de l’Antéchrist, l’actualité du livre de l’Apocalypse de saint Jean, le caractère visionnaire et eschatologique de la culture populaire et des séries de merde d’aujourd’hui. Je donne aussi des clés d’identification de Lucifer et de la Franc-Maçonnerie. En revanche, ça sort en espagnol (désolé pour les Français… mais comme la France n’a plus de journalistes vraiment catholiques, c’est tant pis pour vous).
 

 

Es divertido : ¡ acabo de grabar una entrevista para Enriquísimo TV (con Enrique Vidal Flores) especialmente dedicada al vínculo entre la homosexualidad y la « Marca de la Bestia » apocalíptica en el videojuego The Last of Us… ! Salieron a la luz muchas cosas esenciales, para entender el papel profético de la homosexualidad, el funcionamiento de la Masonería y del Anticristo, la actualidad del libro del Apocalipsis de San Juan, el carácter visionario y escatológico de la cultura popular y de las series de mierda actuales. También doy claves para reconocer a Lucifer y a la Masonería. Sin embargo, saldrá en español (lo siento por los franceses… pero como en Francia ya no hay periodistas realmente católicos, peor para vosotros).

Dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas sur l’exportation des prêtres africains noirs en Europe : en règle générale, vous nous faites chier. Alors faites quelque chose !


 

Je le dis ou je le dis pas ? Allez, je le dis ! Pour le bien de la communauté et de l’Église.
 

C’est une douleur réelle et sourde que je vais exprimer là. En plus d’un agacement contenu. En temps normal, cette douleur ne se dit pas car ça passe pour du racisme, un manque d’hospitalité, un orgueil démesuré distribuant les bons et les mauvais points, un « délit de faciès », un mépris intellectuel, et parce qu’après tout, on se sent, nous Occidentaux, responsables/redevables aussi de ce retour de bâton (du colonialisme missionnaire, de la perte de Foi, de la sécularisation et de la chute des vocations sacerdotales dans le continent européen) qui passe pour un renfort bien utile et généreux. Mais voilà : il faut que ça sorte. Parce que sinon, nous n’avancerons pas ensemble, nous ruminerons secrètement notre frustration/jalousie chacun de notre côté, et la cohabitation entre l’Église locale nationale et l’Église multiculturelle issue de l’immigration et de la mondialisation finira par devenir impossible. Et on se tapera le cardinal Sarah comme pape (merci du « cadeau » qu’on ne pourra pas refuser…). Je préfère par conséquent crever l’abcès dès maintenant, quitte à me faire des ennemis ou à passer pour un odieux insatisfait et critique, afin que chacun progresse sur le chemin de Jésus et qu’on puisse s’aimer – ou au moins se supporter – les uns les autres dans nos différences. Sinon, ça va pas le faire, et le Schisme va arriver sans même qu’on puisse y faire quelque chose.
 

Voilà : En règle générale – et je parle en tant que paroissien français lambda (ni tradi ni progressiste) – vous, les prêtres noirs africains, vous nous faites chier. Mais vraiment. « Faire chier » dans le sens d’« ennuyer », de « gaver », de « raser ». Et il est important que vous le sachiez pour vous améliorer et que vous corrigiez rapidement le tir pour ne pas nous perdre définitivement. Car vous êtes en train de nous perdre. Je le constate. En France, en Allemagne, en Suisse, en Belgique, en Espagne, en Italie, aux États-Unis, et même dans votre propre continent (j’ai fait le tour de beaucoup de paroisses à Abidjan, en Côte d’Ivoire, et j’ai eu envie de pleurer en entendant la nullité de vos prêches ; je sais aussi que là-bas, les sectes évangéliques ou islamiques se disputent avec vous la part du gâteau religieux, et sont sur le point d’aspirer tous vos ouailles). Au point qu’intérieurement, quand nous, paroissiens français, découvrons que c’est vous qui célébrez (« Tiens, c’est le père Aristide, Honoré, Désiré, Jean-Ignace, Casimir, Ange, Dieudonné, ou Blaise-Gélase, aujourd’hui… » #FaitChier), nous réprimons un soupir d’insatisfaction voire avons carrément envie de quitter l’église sur la pointe des pieds (Et je ne parle même pas des paroissiens âgés qui, à cause de leurs soucis d’audition, redoutent vos difficultés de diction française, et donc de ne rien comprendre de la messe… : ils se demandent pourquoi ils se sont donnés tant de peine à se déplacer). Au moins, avec vous, ce qui est sûr, c’est que notre attachement à Jésus et au sacrement eucharistique seul, à l’Église-Assemblée, est mis à rude épreuve ! Mais pour combien de temps et combien de perte d’âmes moins persévérantes, endurantes, patientes et indulgentes, que nous… ?!
 

À de rares exceptions près (car il m’est arrivé quand même de tomber – notamment en confession – avec des prêtres noirs intelligents, profonds, qui dépotent… mais c’est trop rare), vos homélies sont globalement indigentes. Ça doit venir d’un problème de formation intellectuelle, de misère matérielle et de manque de moyens (car vous n’êtes pas plus sots que moi, normalement), et aussi un problème de motivations (carriéristes, cupides, matérialistes, arrivistes, paresseuses…), d’ignorance sans doute (car personne n’ose vous dire ce que je vous écris… donc difficile pour vous d’identifier le souci).
 

En vous écoutant commenter les Évangiles, pour être honnête, on n’apprend absolument rien, ou quasiment rien. Vos prêches, en règle générale, ne nourrissent ni les cerveaux ni les cœurs. C’est sensiblement la même recette creuse et insupportable que vous nous concoctez :
 

1 – HOMÉLIES TROP LONGUES : En fait, vous vous faites plaiz’ en parlant parfois beaucoup trop (ou au ralenti, en tracteur) et sans compter votre temps (parce qu’en réalité vous n’avez pas préparé votre homélie : vous avez eu la flemme, et vous faites passer cette flemme pour une inspiration de l’Esprit Saint, une improvisation conviviale ou une envolée lyrique « coup de gueule »), mais en réalité vous ne pensez qu’à vous, et vous n’êtes pas au service de votre assemblée, vous ne vous souciez pas de vos fidèles et vous vous fichez de notre confort, de nos réactions, de notre intérêt, de notre disponibilité. Vous restez dans votre petite bulle discursive d’orateur unique, bavard et « prestigieux ». Mais wohou, on est là ! Et on a faim de Vérités dites de manière concise, surprenante, nouvelle, risquée, incarnée, percutante mais aimante et nuancée. On n’a pas envie d’être pris pour des imbéciles ni un public de salle de spectacle. Et on n’a pas non plus envie de perdre notre temps à écouter un « orateur qui s’écoute parler », de faire juste acte de présence. Et le statut de prêtre n’est pas un titre honorifique, ni une carrière politique ou journalistique, ni un rôle de conteur ou de moulin à paroles ou d’animateur radio qui se la raconte et qui a le droit de parler à volonté. On a une vie, nous (lol).
 

2 – HOMÉLIES PARAPHRASTIQUES : La paraphrase, qu’est-ce que c’est ? C’est répéter le texte biblique quasiment mot pour mot sans rien lui apporter du nouveau ou du relief ou du vrai, et donc redire (en général moins bien, vu que la Parole biblique est parfaite et pourrait presque se suffire à elle-même : elle est l’Esprit Saint et Jésus en personne !) ce que la Bible a déjà très bien dit toute seule sans vous. Quand je vous entends parfois rallonger inutilement la sauce évangélique (en la diluant au passage par un verbiage scolaire et mimétique), j’ai presque envie de vous aider à écrire un sermon correct et intéressant. Et quand je vous entends coller aux textes bibliques du jour comme des pots-de-colle illettrés, j’ai envie de vous dire : « Merci : on sait lire ! Peut-être pas vous. Mais nous, en France, si. » Si vous n’apportez aucune actualité, aucune valeur ajoutée, ni votre personne pécheresse et votre vie, à la Bible, autant fermer votre gueule. Ça nous fera des vacances, ou nous évitera une messe pénible voire le déplacement. Si ce que vous dites ne nous intéresse pas et ne nous apporte rien, autant rester chez nous et lire tranquillement les textes bibliques du jour à tête reposée, dans notre salon. Franchement.
 

3 – HOMÉLIES MÉTAPHORIQUES : En général, pour ne pas vous donner la peine d’aborder l’incarnation concrète de la Parole de Jésus dans votre vie et la nôtre, ou présenter celle-ci de manière plus frontale et engagée, et aussi par sécurité scolaire pour ne pas vous écarter de la Parole biblique, vous filez (et refilez !) la métaphore de « la Vie divine », versez dans l’abstraction. Vos homélies se transforment en jolie carte postale naïve, en dessin enfantin et infantilisant qui aurait très bien pu se résumer en deux phrases, mais qui va – à cause de votre paresse intellectuelle – occuper (c’est le cas de le dire !) tout le tableau. Après tout, pourquoi se casser le tête à écrire une homélie, si le texte d’Évangile vous offre sur un plateau la métaphore simpliste du grain de blé semé, de la vigne, du bateau à voile (avec ou sans vent ? avec ou sans gouvernail christique ? #PassionnantMerci), du chantier en construction, de la lumière qui éclaire les ténèbres, etc.. C’est facile de jouer le paraboliste, de rester dans l’abstraction poétique, toujours en utilisant des jolies images que personne ne pourra contester : on ne va pas critiquer un coucher de soleil, ou une tempête apaisée, ou une escalade de montagne, ou une victoire d’équipe de foot « christique », ou un joli troupeau de moutons, et encore moins les images paraboliques employées pédagogiquement par le Christ lui-même… même si Lui ne recourait pas systématiquement à ces dernières, ne se planquait pas confortablement derrière elles, n’en abusait pas, et ne s’en servait pas pour esquiver de dire la Vérité. Il n’a même pas brodé sur la métaphore – pourtant honorable et sacrificielle – de la Croix. Il l’a portée concrètement. Car Lui, il a des couilles. Il ne jouait pas le poète.
 

4 – HOMÉLIES CHRISTOCENTRÉES : Vous nous martelez « Ayez la FOI ! », « Il faut croire ! », « Avec Dieu, tout est possible ! », « Jésus et la Foi sauvent, déplacent des montagnes, font des miracles ! », « Prie et sois saint comme Lui !! ». Vous nous rabâchez les oreilles avec ce disque/ce prêchi-prêcha qu’on connaît par cœur, et qui ne parle qu’aux croyants (et encore… : si ce n’est pas humanisé, ça ne leur parlera même pas à eux). Vos slogans appris nous font chier d’une force… vous n’imaginez même pas ! : à l’instar des pasteurs protestants, obnubilés par « Jésus, Jésus et encore Jésus ! », par « la sainteté, la sainteté et encore la sainteté ! », ou par « la Bible, la Bible et encore la Bible !! ». Votre littéralisme, même christo-centré ou biblico-centré ou sanctocentré, nous emmerde comme c’est pas possible. Même Jésus ne demande pas d’être le roi grossier et clignotant de vos homélies : Il attend que vous retraduisiez et actualisiez subtilement – et parfois sans nommer explicitement – sa personne aux situations d’aujourd’hui. Que vous parliez calmement de thèmes actuels : Fins des Temps, Franc-Maçonnerie, sexualité et homosexualité, et peut-être même de votre vie de pécheur, de votre carriérisme ou Foi endormie, et – pourquoi pas – même de vos homélies nulles. Ces dernières seraient un super sujet d’homélie : en tout cas un peu plus rock’n’roll et humble que vos sermons-fleuve et bavards de curés pharisiens : « En priant [mais on aurait pu dire « en prêchant »], ne rabâchez pas tout comme les païens ; ils pensent, en effet, que par leur excès de paroles ils seront exaucés. Ne leur ressemblez donc pas. » (Mt 6, 7-8).
 

5 – HOMÉLIES RÉCITÉES ET CHANTONNÉES : Car oui, pour « muscler » artificiellement la vacuité de vos prises de parole et vos discours creux, certains d’entre vous se sentent obligés de monter le volume, de nous crier dessus, de parler fort. Comme des télévangélistes protestants agressifs ou des chefs d’État haranguant une armée ou une Nation que vous appelez sans arrêt « Chers frères et sœurs » à la place de « Chers concitoyens, chères concitoyennes » (on dirait une parodie sérieuse de la chanson d’Eddy Mitchell « Pas de Boogie Woogie »), et toujours en chantonnant. Vos commentaires sont énoncés sur le même ton récitant, en mode « ritournelle » ou logorrhée insistante et lancinante, avec des emphases inutiles et toujours aux mêmes endroits dans vos phrases : c’est le disque tournant à vide du clerc carriériste et paternaliste qui tient toujours le même discours quel que soit le texte du jour qu’il doit commenter, qui se prend pour un prestigieux orateur, alors que concrètement il dit de la merde et parle devant des assemblées de plus en plus vides et vieillissantes, ou assommées parce qu’elles n’ont pas envie d’être brutalisées ou méprisées. Même la Bible, vous la lisez toujours sur le même ton. Ainsi, vous faites mourir la sensibilité, la puissance et l’accessibilité de la Parole de Dieu. C’est très grave. Car vous ne donnez pas envie aux assemblées à qui vous vous adressez robotiquement l’envie de vous écouter. Vous tuez la puissance délicate, prophétique, vitale et joyeuse de la Parole de Dieu. Vous vous faites même chier vous-mêmes quand vous prêchez (c’est dire si c’est chiant !). Vous n’êtes pas à ce que vous dites ou à ce que vous lisez. Un conseil : lâchez votre papier, arrêtez de parler de Dieu, parlez avec votre cœur, parlez de vous et de nous, ne brodez pas sur le thème du texte du jour ou sur l’intention que vous lui prêtez (le texte biblique ne doit pas être un prétexte pour faire de l’esbroufe, fût-elle « théologique » ou « spiritualiste »). Ou, à l’extrême inverse, ne partez pas trop sans filet, ou dans un discours trop militant, ampoulé, bruyant, agressif et prosélyte, presque intransigeant et insultant, qui s’écarte du texte biblique, en vous galvanisant parce que vous vous prenez pour un Che Guevara sans concession ou un Libertador en soutane qui harangue les foules, nous crie dessus, nous menace et serait meilleur que les autres « mous » qui vous entourent. En fait, ÉCOUTEZ-VOUS et ÉCOUTEZ-NOUS, surtout ! Et dites-vous, si vous étiez à notre place sur un banc de l’église, si vous vous intéresseriez vous-mêmes, si vous vous surprendriez, si vous vous amuseriez ou si vous vous émouvriez. Vous n’êtes pas des perroquets, que je sache. Vous n’êtes pas non plus des cymbales retentissantes, des bêtes de scène, des hommes politiques ou des brutes censées nous secouer et nous dire nos 4 vérités. Vous êtes appelés à être des hommes discrets, drôles, vrais, intéressants, audacieux, courageux et libres, doux et aimants. Réveillez-vous ! Et calmez-vous, bon sang ! Et aimez-nous. Parce que là, je le répète, vous nous faites chier et vous VOUS faites chier vous-mêmes.
 

À votre décharge, je sais bien que pour certains d’entre vous, qui ne maîtrisez pas nécessairement bien la langue française, ou qui être déracinés de votre terre/culture natale (le « choc culturel » peut être violent), ou qui pouvez souffrir de votre statut bâtard de « prêtre intérimaire » ou « remplaçant » ou « d’été/estival » ou de « sous-prêtre » ou de « potiche exotique du curé », la situation n’est pas facile et vous êtes en faiblesse (même économique !). Il n’en reste pas moins que ce n’est pas parce que vous n’êtes pas aidés, que vous devez vous installer dans la médiocrité (ou, à l’inverse, « en faire des caisses »). J’ai entendu – à de très rares occasions – des prêtres noirs africains qui nous ont proposés des homélies de haute voltige, des sermons qui ne faisaient ni pitié ni « Quart-Monde », et qui avaient la tenue et le niveau des prêches des plus grands théologiens ou saints. Ce n’est pas parce que vous êtes Noirs, ou étrangers (avec un accent), ou pauvres, ou sans beaucoup d’instruction, ou Africains, ou différents, que vous ne devez pas faire honneur à votre identité africaine, ou vous faire plus bêtes que vous ne seriez, ou que vous n’avez pas le charisme de la parole, ou que ça vous excuse de dire et de faire de la merde. La Vérité n’est fondamentalement pas une affaire de richesse matérielle, de Q.I. (la preuve : moi, je suis stupide et je n’ai même pas eu mon baccalauréat avec mention), d’origine géographique, de couleur de peau, d’éducation ou de formation, de connaissances (il y a beaucoup de prêtres tradis et érudits, et même des cardinaux, qui ont fait des années d’études ou sont même formateurs, et qui sont pourtant chiants comme la mort : écoutez Mgr Aupetit ou le cardinal Sarah, et essayez de ne pas bâiller ou de retenir ce qu’ils ont dit. #BonCourage) : c’est juste une question d’humour, d’amour, de courage, d’écoute et de présence. Et si vous sentez que la paresse ou l’attiédissement vous gagne, bougez-vous pour rendre vos homélies appétissantes, ludiques, percutantes et aimantes comme les homélies du Christ.
 

C’est pour vous que je le dis ! Pour votre plaisir et le sens de votre ministère ! Car je vois beaucoup de prêtres noirs africains expatriés qui se font chier dans leur sacerdoce, dépriment en silence en Occident, font la gueule ou s’emmerdent, ou au contraire n’aiment pas la France et la méprisent, ou méprisent le Monde à travers un discours trop véhément, trop politisé ou apocalyptique (dans le mauvais sens du terme : plaintif, catastrophiste, alarmiste et désenchanté). Ils ne profitent pas de l’immense opportunité et de l’immense joie qu’est l’homélie : ils y vont en traînant les pieds, ou en passant à côté de la joie de la multiplication des pains que devrait être tout prêche. En général, ils s’en débarrassent, comme une formalité « rasante » et insignifiante. Ils n’ont rien compris : les homélies, ça doit être un jeu, une rencontre et une fête extraordinaires qui vous surprennent vous-mêmes ! Un moment d’orgasme sexuel ! Et si vous ne savez pas écrire une homélie, ça s’apprend : prenez des cours de théâtre ou avec des prêtres qui savent prêcher, comme par exemple le père Philippe Desgens ou le père François Gonon. C’est pas grave de ne pas savoir tout de suite. Le charisme de la Parole n’est pas inné pour tous. La seule chose grave, c’est de vous installer dans une médiocrité ronronnante, ou au contraire de vous radicaliser dans un discours millénariste trop musclé, trop politisé, trop matraqué et trop père-la-morale. C’est un juste équilibre à trouver.
 

En résumé, chers prêtres missionnaires issus d’Afrique noire, vous avez le devoir de nous nourrir, de ne pas parler (au nom de Jésus et de Jésus) pour ne rien dire. C’est l’un des dix commandements : « Tu n’invoqueras pas le nom du Seigneur en vain. » (Ex 20, 7). Je n’écris pas cet article pour vous juger, vous accabler ni vous mépriser. Bien au contraire. Je le rédige pour votre Salut et le Salut de beaucoup d’âmes. Maintenant que vous avez le micro dans nos églises, on n’a pas le choix (lol) : il est de votre responsabilité d’en faire bon usage. Sinon, vous devrez rendre des comptes de l’ennui abyssal que vous générez par vos paroles apprises, scolaires ou insipides, qui participent de la désertion des églises en Occident mais aussi en Afrique et en Amérique Latine. Il en va aussi de la survie de votre joie intérieure et de votre sacerdoce. Je veux que vous soyez fiers et émerveillés de ce que l’Esprit Saint vous fait dire devant les assemblées chrétiennes françaises ! Et je vous souhaite la bienvenue en France !
 
 
 
 

N.B. : J’observe le même problème dans les chorales. Par exemple, à saint Nicolas des Champs, la chorale commence à se convertir en véritable cour des miracles, en bric-à-brac certes bien sympathique mais bordélique : transsexuels ou homos qui chantent trop fort et faux, grosses mamas blacks – qui se croient à Abidjan – qui chantent trop fort, faux, de manière imprécise et qui couvrent les autres voix. En résumé, on se « tape » l’afflux des multiculturalismes identitaires désordonnés ou artificiels et de l’immigration impétueuse mais désordonnée et non-éduquée. Et personne n’ose rien dire ni cadrer, parce qu’il « faut accueillir tout le monde » et parce qu’ « il ne faut pas être raciste, ni homophobe ni transphobe ». Par exemple, je vois des membres blancs de la chorale qui se forcent même à féliciter les trans et à les encourager à chanter trop fort et faux pour jouer le jeu de l’intégration… parce qu’en réalité ils en ont peur et sont terrorisés d’être débordés dans leur propre maison.