Je regarde la série Elsbeth ce soir sur TF1. C’est un parfait exemple de ce que je démontre sur la SINGULARITÉ en tant que « Marque de la Bête » de l’Apocalypse! L’héroïne est la Bête curieuse « géniale » animalisée et technologisée.
#Elsbeth #Singularité #SingularityIsDevil #HPI
En fait, la singularité telle que définie par les médias est tout sauf singulière. Elle est le nouveau conformisme. On se démarque pour mieux être marqué.
N.B. : Ce qui est vrai pour Elsbeth l’est aussi pour d’autres séries. J’ai un gros dossier – que j’ai composé moi-même – sur Joséphine ange gardien en tant que Bête technologisée : elle se définit ainsi. Et puis ça peut marcher avec Scooby-Doo, Ugly Betty, HPI, Columbo, Astrid et Raphaëlle, etc. En fait, depuis des décennies, les réalisateurs sont en train de nous faire un lavage de cerveau, de nous dresser, pour que nous nous identifiions à des héros ou des héroïnes incarnant la Marque de la Bête.
La Bête (au drôle d’accent québécois, cette fois…) a posé des questions à l’auteur du podcast apocalyptique. Philippe Ariño présente son roman Singularity is Devil, et répond à ces 8 questions… en dévoilant quelques secrets de fabrication et infos exclusives ! :
1 – Qu’est-ce que c’est, Singularity is Devil ?
2 – Pourquoi avoir écrit cette saga ?
3 – Quelles ont été vos sources, vos influences ?
4 – D’où vous est venu le titre ? Et pourquoi l’anglais ?
5 – Quelle est l’histoire de l’écriture de ce podcast ?
6 – Qui a fait telle ou telle voix ?
7 – Quels outils avez-vous utilisés pour faire ce podcast ?
8 – Dernière question : Quel est l’épisode dont vous êtes le plus fier ?
N.B. : J’ai écouté une interview de Pierre Villard sur Nexus que m’a passée un ami, Jérémy. Et je suis content, car mon roman va beaucoup plus loin que l’esbroufe « érudite » d’Hillard, catho tradi invité dans beaucoup de médias dissidents, et qui est complètement à côté de la plaque, tout simplement parce qu’il bascule dans le gnosticisme qu’il dénonce, est guidé par la peur et le carriérisme (son regard parle de lui-même), et ne s’implique pas en premier dans ce qu’il dénonce (pour lui, les francs-maçons ; ce sont les autres, l’Antéchrist c’est l’autre : il n’a rien compris). Il se centre (par sacramentalisme intégral et absolutisme de l’Incarnation divine) sur l’incarnation de Dieu en Jésus, pour paradoxalement balayé d’un revers de main son incarnation en tout Homme, ainsi que le sens incarné de la Croix. Les cathos tradis sont vraiment schizophrènes. Par ailleurs, à 1h26’26, Hillard prouve que c’est un sédévacantiste, puisqu’il considère que l’Église post-conciliaire (donc à partir du pape Jean XXIII) n’est pas « la véritable Église »…
Ça y est : je pense avoir deviné sur quel sujet le pape François va se faire avoir, rétropédaler trop tard. L’histoire de la dette. Il veut faire de l’année jubilaire 2025 « l’occasion de remettre les dettes, en particulier qui pèsent sur les pays les plus pauvres ». Sauf que cette remise de dette impliquera la Blockchain, donc la Marque de la Bête.
Et je le dis sans me vanter (car jusqu’au bout, on n’est jamais confirmé en Grâce; et je suis pécheur, comme vous). C’est juste que ça me dépasse, et que je suis parfois guidé dans la bonne direction, aux bons endroits, pour annoncer à l’avance des choses justes qui vont se produire, qui sont écrites d’une autre manière dans la Bible, et qui sont confirmées inconsciemment par des gens qui ne me connaissent pas et ne connaissent pas ce que j’écris, confirmées avec une précision hallucinante !
Vous savez que je suis, depuis quelques mois, en train d’écrire un roman, Singularity is Devil (la Singularité est le Diable), sur les Fins Dernières, et en particulier sur la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans l’Apocalypse, Marque qui s’appellera « Singularité » . Et pour ce faire, je me base sur ce que je vois sur The Voice, Star Academy, Joséphine Ange gardien, Demain Nous Appartient, La France a un incroyable talent, Mariés au premier regard, Cat’s Eyes, toutes les émissions de télé débiles. Cette « Singularité » (en plus de se référer aux « trous noirs » en astronomie, et au « dépassement de l’Homme par la machine » dans le jargon de la High-Tech) est en général, dans la bouche de ceux qui en parlent inconsciemment, une Différence absolue voulue unique, brillante, glorieuse, divine et victorieusement rebelle; une signature bestiale et monstrueuse qui nous rendrait créateurs, détenteurs, et dieux, dès que nous l’apposerions (par notre voix et nos mots en particulier) sur les choses et les gens. Créateurs de nous-mêmes.
Eh bien hier soir, lors de la Finale de La France a un incroyable talent que je découvrais en direct, le magicien et présentateur Éric Antoine s’est fendu d’un commentaire ultra élogieux à l’attention de Jean-Baptiste Seguin, chanteur atteint du syndrome de Gilles de la Tourette, qui a fait une chanson sur sa différence : « Jean-Baptiste, y’a pas d’artiste sans folie, y’a pas d’artiste sans liberté, y’a pas d’artiste sans monstre. Regarde les trois qui sont là à côté de moi. Ils ont tous bien intégré leur monstre, leur folie, et leur singularité. Et c’est ça que je vois arriver tous les jours en toi. Tu es de plus en plus toi-même. Et qu’est-ce que c’est beau de te voir t’accoucher de toi comme ça! Toutes les fois, ça nous émeut, ça nous touche au plus profond de nous! » CQFD.
Un internaute (avec un pseudonyme hispanophone) vient me voir aujourd’hui pour me demander en espagnol :
« Peut-être te méfies-tu d’un ‘profil anonyme’ comme le mien. Je ne sais pas si mes idées viennent de moi ou non, mais j’aimerais connaître l’avis de quelqu’un comme toi qui analyses les choses. Je suspecte 3 personnes d’être l’Antéchrist : Alex Soros, David Meyer de Rothschild et un 3e homme que je ne préfère pas nommer ici en public. Peut-être que je me trompe complètement… »
Je lui réponds :
« Tu as raison de t’interroger sur la provenance de tes idées : car je pense personnellement que chercher l’Antéchrist en dehors de ton cœur ou de ta propre personne, vient du diable. Nous pouvons tous, comme le dit saint Jean (1 Jn 2, 18), être l’Antéchrist, et encore plus si nous croyons que l’Antéchrist est forcément L’AUTRE, ou Soros et compagnie, et pas nous en premier !… car l’Antéchrist pense précisément la même chose ! Je ne commencerai à croire quelqu’un qui me parle de l’Antéchrist qu’à partir du moment où il se considèrera lui-même comme le potentiel premier Antéchrist. Ceux qui jouent aux devinettes avec l’Antéchrist – un Antéchrist autre qu’eux-mêmes – sont déjà dans l’erreur et commencent à devenir l’Antéchrist sans s’en rendre compte. »
Aidez-moi en votant pour le logo de mon roman Singularity is Devil (censé représenter la Marque de la Bête apocalyptique) que vous préférez et que vous verriez le mieux illustrer le podcast :
Vous pouvez mettre le numéro en commentaire, qui vous inspire le plus (et, pourquoi pas, un argument)…
Merci d’avance !
N.B. : Mon choix de l’anglais pour le titre est une référence à l’essai Singularity is near de Kurzweil, qui traite justement de la singularité comme le moment où la machine remplace l’Humain. Ce n’est donc pas du snobisme de ma part pour « faire cool et branché », mais bien un écho à l’autre sens de la singularité, dans le jargon des geeks et des maîtres de Gafa. Et par ailleurs, j’ai aussi appris dernièrement qu’en astronomie, la « Singularité » était le nom donné aux « trous noirs » (donc une référence aux zones de néant et diaboliques dans le Cosmos).
Ce soir, grande première : je regarde pour la première fois l’élection de Miss France avec Abdel, mon coloc (haha). Plateau-télé tajine ! Ça va être une initiation pour lui, je crois
Au passage, en regardant les portraits des candidates, ça m’a frappé de voir que 3 d’entre elles ont choisi comme « Grande Cause nationale » le cancer (et 2, les maladies psychiques). Bien sûr, sans parler du « vaccin ».
Ça rentre en résonance avec l’épisode 43 de ma saga Singularity is Devil, où je fais tenir au personnage principal (le père Gaboriau : un prêtre catholique français de 35 ans) un discours très « disruptif », iconoclaste, et pas du tout politiquement correct, sur les chimios. Je vous en montre un extrait… sachant que les quatre protagonistes vont vivre à Lourdes le fameux « Grand Miracle » annoncé dans les prophéties à la Fin des Temps.
Ce qui est dramatique dans l’Église Catholique actuelle (et que j’appelle la « franchise », au sens même maçonnique autant qu’intentionnel du terme), c’est cette joie et Espérance forcées, cette auto-injonction à tout positiver pour « prouver sa Foi » (et surtout se faire voir et se faire de la thune…) et prouver sa « joie dans le Seigneur », comme le fait constamment la jeune religieuse des réseaux sociaux soeur Albertine. Cet air béat et cucul, cet enthousiasme surjoué, c’est un désastre. Ça n’évangélise et ne convainc personne. Au passage, la jeune femme, en plus d’être complètement à côté de la plaque (par rapport à Notre-Dame, à l’attentat qui y a eu lieu, et à la récupération par les francs-maçons du sanctuaire), en plus d’avoir l’air d’une imbécile heureuse illuminée (désolé, mais c’est ça), est une caricature vivante des petites bourgeoises BCBG tradismatiques (qui, à la différence des Miss France qui ont une « cause qui leur tienTAcoeur », ont toujours « quelque chose dans le coeur » ou « sur le coeur » qu’il leur viendrait directement de l’Esprit Saint, qu’elles se sentent l’obligation de dire absolument et « en toute humilité/joie/amitié » à la grande assemblée, … et qui est en général totalement creux). Ce n’est pas « Jacques a dit » ou « Jésus te dit », mais « SurLeCoeur a dit ». Quand va-t-on sortir de la posture, se réveiller, et parler vrai (au lieu de jouer celui qui parle vrai et qui est convaincu de l’Amour de Dieu)?
Je veux vous demander d’être particulièrement attentifs à la culture populaire (même la plus méprisable, en apparence), d’une part parce qu’elle est prophétique à son insu (si on sait la regarder avec les bonnes lunettes !) et d’autre part parce qu’elle peut nous faire aimer les autres, Dieu, et notre époque. J’ai retrouvé les deux extraits de la série débile de TF1, Demain Nous Appartient, où il est inexplicablement question de la date de fondation de la Franc-Maçonnerie mondiale (1717), puisque dans l’épisode 357, André Delcourt, le père de Chloé (l’héroïne campée par Ingrid Chauvin), dit à Rose (Vanessa Demouy) qu’il a « laissé 1717 enfants bâtards en Colombie ». Et il répète sa blague dans l’épisode 358. C’est dire si la culture maçonnique est sortie désormais des loges, et que les idées maçonniques, loin d’être « transgressives », « originales », « novatrices » et « incomprises par le Monde » (comme le rêvent les francs-maçons officiels pour jouer les victimes et se donner de l’importance), sont complètement infusées dans la culture populaire poubelle.
Si tous ces sujets vous intéressent, vous pouvez écouter les passionnants podcasts de mon QUIZZ FRANC-CATHONNERIE sur Spotify.