Au revoir, chère voisine


 

J’apprends à l’instant la disparition de Miss-Tic, artiste de street-art, 66 ans, qui était aussi ma voisine d’immeuble. Elle qui avait un humour délicieusement mordant et misandre, qui m’avait donné sa carte de visite « Port du cerveau obligatoire », qui m’avait reçu chez elle, et avait visionné les deux premières parties des « Folles de Dieu », s’en est allée retrouver son frère et sa mère qu’elle avait perdus prématurément dans un accident de voiture qu’ils avaient eu ensemble quand elle était adolescente (ce drame l’avait dégoûtée de la religion, d’ailleurs… et ça peut se comprendre). Si vous pouvez prier pour son âme, merci pour elle.

Sortie de la 3e partie du documentaire « Les Folles de Dieu » en français ! (+ anecdotes croustillantes et inédites de tournage)


 

Voici la partie 3, donc la dernière partie de la Journée 1 consacrée à la dimension intime de l’homosexualité (Journée 1 sur les 8 journées en tout). Elle traite de la dépression, de l’approche psychologique voire psychiatrique de l’homosexualité. Donc elle ne va pas faire plaisir à tout le monde (haha) ! Mais nous, les Folles de Dieu, ne sommes pas juste là pour sourire à la caméra…
 
 

Comme je l’ai fait pour les deux précédentes parties (partie 1 et partie 2), je vous présente quelques fioretti anecdotes secrètes de tournage de cette partie 3 :
 

– Christian, dans cette troisième partie, présente son premier exposé (son dossier est dédié aux « terrains psychiques potentiels de l’émergence d’une homosexualité »). Et c’est un exercice périlleux (haha) car notre Diva des Concours de Beauté est sensiblement très gêné par les mouches de la campagne ! Mais – comme vous pourrez le vérifier aussi plus tard – Christina se rompt à l’exercice de l’exposé avec aisance et brio. Il est moins à l’aise dans l’expression spontanée ou la confession intime. Mais tout ce qui est plus journalistique, magistral, et carré, lui va comme un gant : il a la télé attitude, il expose un dossier comme un reportage ou une allocution de journal télévisé, ne ponctue pas ses phrases de « euh… » d’hésitation. Ça coule tout seul. Si bien que je plaisantais en imaginant une Tele Mercado fictive, et en rêvant qu’un jour Christian suive sa fibre journalistique apparemment innée.
 

– L’enregistrement de l’exposé de Gerson au pont du village de Bétharam (sur « les possibles liens entre homosexualité et psychiatrie ou blessure psychique », et sur lesdites « thérapies de conversion ») a été un véritable cauchemar : 1) parce qu’il faisait chaud ; 2) parce que Gerson est perfectionniste et peu coutumier des exposés trop académiques, donc il n’arrêtait pas de s’interrompre et de se reprendre lui-même ; 3) parce que Jean-Yves Morvan (photographe et caméraman du documentaire) et moi-même filmions sur une route du village relativement passagère où le moindre randonneur, vélo, camion ou voiture, nous obligeait à nous arrêter puis à repositionner la caméra. Sur le coup, lui comme moi avons failli péter un câble et lâcher l’affaire ! Même Jean-Yves qui est un modèle de longanimité et de patience. Mais finalement, on a réussi à boucler la séquence. Et puis au bout du compte, les commentaires acerbes que Jean-Yves et moi adressions spontanément aux gêneurs intempestifs pendant que ça tournait sont tellement désopilants, et font très « les 2 papys du Muppet Show » (« Bon, tu la pousses, ta vieille chiotte pourrie ! » ; « Et en plus, il sait même pas se garer… » ; « Et ça te fait rire, connasse ? » ; « Ah… ils sont pas mal, finalement, les mecs des Pyrénées ! » ; etc.), que vous aurez la chance de les entendre compilées dans le Bêtisier final (la partie n°25).
 

– Un des doubleurs (prêtre catholique, de surcroît) de cette partie 3 n’a pas accepté de prêter sa voix au discours de Gerson, pensant que nous défendions le lien de causalité entre homosexualité et psychiatrie (alors que pas du tout), et prétextant qu’il n’était pas d’accord avec le conseil du Pape François aux parents d’amener leur fils homo chez le psychiatre (alors que nous ne cautionnons pas ce conseil non plus). C’est incroyable comme il est interdit de simplement parler du mal ou de faire un lien entre homosexualité et violence ou souffrance.
 

– L’exposé de Guillaume sur la transsexualité nous a coiffés au poteau. C’était le premier exposé de Guillaume. Et comme à chaque fois qu’il ouvre la bouche, nous débarquons tout simplement dans un autre monde. De plus, il a pour habitude de dire cash les choses, sans filtre, avec l’insolence et l’assurance du fumiste. Mais sa parole est synthétique, percutante, surprenante. Il y a juste à l’écouter et à laisser tourner la caméra, et le résultat devient génial. On apprend plein de choses. Y compris quand on est homosexuels et qu’on est censé connaître un peu mieux le milieu trans et bi que le péquin moyen. Dans son exposé de définition des concepts tels que la Théorie du Gender, la bisexualité, la transidentité, l’intersexuation, la transsexualité, Guillaume évoque des sujets tabous comme la pédophilie (qu’il a subie), la bisexualité, et étrille le Gender. Et toujours avec ce délicieux sens de l’autodérision et du jeu avec sa propre transidentité et son propre ambivalence.
 

– Santiago n’apparaît pas dans cette 3e partie. Mais soyez sans crainte : il revient en force dans la partie 4 pour nous parler de sa famille. Santi (le témoin colombien) est le roi des anecdotes personnelles croustillantes.
 

– Anecdote un peu touchy… (haha) mais bon, tout se saura au Paradis de toute façon (ce qui est caché sera dévoilé !) ^^: l’enregistrement de la voix-off allemande de Guillaume fut assez folklo, mais finalement très courageuse aussi : sans que je sois au courant – et sans violer sa volonté ni abuser de sa faiblesse du moment -, Guillaume était sous l’effet de la cocaïne quand je suis venu lui rendre visite à Paris pour capter sa voix. Il a tenu à faire l’enregistrement quand même, alors qu’il était surex’, dans un état second et de tension extrême, que c’était la première fois que je voyais une personne se piquer à la cocaïne sous mes yeux : il a pris sur lui pour me rendre service, et pour faire plaisir à la Nation allemande. Pour moi, ce fut une scène paradoxalement plus belle et émouvante que désolante et pathétique. Car Guillaume, même au fond du trou, pliant sous le poids de sa croix, pense quand même toujours aux autres, se bat. Et ce soir-là, il a tout donné pour les Allemands. Donc la voix allemande de Guillaume pour cette 3e partie vaut de l’or. Il faut que vous le sachiez ! Même si le contexte est gênant et apparemment honteux et déshonorant pour lui ! La Gloire et la Sainteté de Guillaume – plus on connaît le garçon et plus on s’en compte – c’est d’offrir toute sa personne, y compris sa misère et ses blessures, à Dieu et aux autres. Par Amour.
 

– Dans cette partie 3, on assume de proposer pour la première fois la non-pratique homo. Même Perrine qui, malgré sa timidité, y va ! Elle me fait sourire car sa parole agit dans les extrêmes : à chaque fois qu’elle balance une parole dure, elle arrive systématiquement après avec la pommade ; car Perrine, avec sa douceur et son empathie naturelle, couronne toujours la Vérité de Charité. Elle se met toujours à la place des autres (et en particulier des athées, des personnes homos, des gens susceptibles ou blessés), précisément parce qu’elle vient de leur monde et qu’elle s’est convertie au catholicisme à 25 ans.
 

– L’image de Gerson courant vers la caméra à la Géode de La Villette (à Paris) a été filmée par moi… et ça se voit, puisque la prise est incertaine (haha !). L’image de Guillaume devant choisir entre deux fleurs – une rose, une bleue – et les jetant finalement toutes les deux dans le fleuve du Gave, a été filmée par Jean-Yves Morvan, le caméraman et photographe du film. Il était parti en balade avec Perrine et Guillaume pour prendre quelques séquences, et ça a donné la scène du muret (dont les prises ratées figureront dans le bêtisier final !).

Anécdotas sorprendentes e inéditas del rodaje de la parte 3 del documental « Las Locas de Dios »

He aquí la tercera parte, es decir la última parte de la Jornada 1 dedicada a la dimensión íntima de la homosexualidad (Jornada 1 de las 8 en total). Trata de la depresión, del enfoque psicológico e incluso psiquiátrico de la homosexualidad. Así que no será del gusto de todos (jaja). Pero nosotros, las Locas de Dios, no estamos aquí sólo para la sonrisita frente a la cámara…
 

 

Como lo hice con las dos partes anteriores (parte 1 y parte 2), os presento algunas anécdotas secretas del rodaje de esta parte 3 :
 

– Christian, en esta tercera parte, hace su primera exposición (su expediente está dedicado a los « probables terrenos psíquicos de la aparición de una homosexualidad »). Y es un reto ambicioso (jaja) ¡ porque a nuestra Diva de Concursos de Belleza le están fastidiando mucho las moscas del campo ! Pero – como descubrirán más adelante en sus otros expedientes – Christian afronta el ejercicio de la ponencia con facilidad y éxito. Se siente menos cómodo con la expresión espontánea o la confesión íntima. Pero todo lo que es más periodístico, magistral y cuadrado, le va como anillo al dedo : tiene la « actitud televisiva », presenta un expediente como si fuese un reportaje o un telediario, no entrecorta sus frases con falsas pausas « eh… ». Simplemente fluye. Por eso le tomo el pelo seriamente imaginando una Tele Mercado ficticia, y soñando que algún día Christian seguiría su vena periodística aparentemente innata. (Muletilla de lenguaje de Christian jaja : « PRINCIPALMENTE »).
 

– La grabación del expediente de Gerson en el puente del pueblo de Bétharam (sobre « los posibles vínculos entre homosexualidad y psiquiatría o herida psíquica », y sobre las llamadas « terapias de conversión ») fue una pesadilla : 1) dado que hacía calor ; 2) dado que Gerson es un perfeccionista y no está acostumbrado a las presentaciones demasiado académicas, por lo que no paraba de interrumpirse y de rectificarse ; 3) dado que Jean-Yves Morvan (fotógrafo y jefe de cámara del documental) y yo estábamos filmando en una carretera del pueblo relativamente transitada en la que el más mínimo senderista, bicicleta, camión o coche, nos obligaba a parar y a recolocar la cámara. En el acto, ¡ tanto él como yo estuvimos a punto de volvernos locos y de tirar la toalla ! Incluso Jean-Yves, que es un modelo de paciencia y longanimidad. Pero al final, conseguimos acabar la secuencia. Y en resumidas cuentas, los comentarios mordaces que Jean-Yves y yo dirigíamos espontáneamente a los inoportunos intrusos de nuestra grabación son tan hilarantes, y tan parecidos a « los dos abuelos del Muppet Show » (« ¡ Bueno, lo vas a empujar, tu maldito carro !? » « Y encima, no sabe ni aparcar… »; « ¿Y tú, ríete, cabrona !! » ; « ¡ Mmm… algunos chicos de los Pirineos son muy lindos ! »; etc.), que tendrán la oportunidad de escucharlos recopilados en el Blooper final (parte n°25).
 

– Uno de los dobladores (un cura católico, además, y que es alemán) de esta tercera parte no aceptó prestar su voz al discurso de Gerson, pensando que defendíamos la relación causal entre la homosexualidad y la psiquiatría (cuando no es así), y afirmando que no estaba de acuerdo con el consejo del Papa Francisco a los padres de llevar a su hijo gay al psiquiatra (cuando tampoco avalamos este consejo). Es increíble cómo hoy en día se prohíbe simplemente hablar del mal o relacionar la homosexualidad con la violencia o el sufrimiento.
 

– La presentación de Guillaume sobre la transexualidad nos sorprendió a todos. Fue el primer dossier de Guillaume. Y como cada vez que abre la boca, simplemente descubrimos otro mundo. Además, él está acostumbrado a decir las cosas de forma directa, sin ningún pelo en la lengua, con la insolencia y la seguridad de un charlatán. Pero sus palabras son sintéticas, punzantes, increíbles. Sólo hace falta escucharle y dejar que la cámara ruede, y el resultado es brillante. Se aprende mucho. Incluso cuando eres homosexual y se supone que conoces el mundo trans y bi un poco mejor que mayoría de la gente. En su expediente de definición de conceptos como la Teoría del Género, la transidentidad, la intersexualidad, la transexualidad, Guillaume evoca temas tabúes como la pedofilia (que él sufrió), la bisexualidad, y ataca al Gender. Y siempre con ese delicioso sentido de autoburla y de juego con su propia transidentidad y su propia ambivalencia. Pienso por ejemplo en este juego que hace con las dos flores – una rosa, otra azul – que acaba por echar al río porque no ha sabido escoger entre masculinidad y feminidad…
 

– Santiago (el testigo colombiano) no aparece en esta tercera parte. Pero no se preocupen : vuelve con fuerza en la cuarta parte para hablarnos de su familia. Santi es el rey de las anécdotas personales jugosas.
 

– Anécdota un poco sensible… (jaja) pero bueno, todo se sabrá en el Cielo de todas formas (¡ lo que está oculto saldrá a la luz !) ^^: la auto-grabación de la voz en off alemana de Guillaume fue muy rara, pero finalmente muy valiente también : sin que yo lo supiera – y sin violar su voluntad ni abusar de su debilidad en ese momento –, Guillaume estaba bajo los efectos de la cocaína cuando fui a visitarlo a París para captar su voz. Insistió en hacer la grabación igual, aunque él estaba sobreexcitado, en un estado de tensión extrema, y que era la primera vez que yo veía a una persona dispararse cocaína delante de mí : se aguantó para hacerme este favor, y para dar gusto a la Nación alemana. Para mí, fue una escena paradójicamente más bella y conmovedora que desoladora y patética. Porque Guillaume, incluso en el fondo del pozo, doblado bajo el peso de su cruz, sigue pensando en los demás y luchando. Y esa noche lo dio todo por los alemanes. Así que la voz alemana de Guillaume en esta tercera parte vale su peso en oro. ¡ Sépanlo ! Por mucho que el contexto sea incómodo y aparentemente vergonzoso y deshonroso para él. La Gloria y la Santidad de Guillaume – cuanto más se conoce al muchacho, más se percibe – es ofrecer todo su ser, incluyendo su miseria y sus heridas, a Dios y a los demás. Por Amor.
 

– En esta parte 3, asumimos por primera vez proponer la no práctica de la homosexualidad. Incluso Perrine que, a pesar de su timidez, ¡ va al grano ! Me hace sonreír porque sus palabras suelen ir a los extremos : cada vez que dice algo duro, viene sistemáticamente después con la pomada ; porque Perrine, con su dulzura y su empatía natural, corona siempre la Verdad de Caridad. Siempre se pone en los zapatos de los demás (y en particular de los ateos, las personas homosexuales, las personas susceptibles o heridas), precisamente porque proviene de su mundo y se convirtió al catolicismo a los 25 años.
 

– En cuanto a la música de ilustración, podemos contar en particular sobre las composiciones de Thierry Jamard (mi antiguo profesor de música en el cole), y también de una canción « Catolicismo mejor camino de Verdad » de mi album « Bola de Cañón ». También ustedes pueden ver imágenes de Gerson filmado en el Parque parisino de La Villette, con la Geoda (Se nota que yo filmaba, porque técnicamente, es muy defectuoso jaja). La grabación de los pasos de Perrine y de Guillaume en el murete fue muy divertida (ya lo verán en el blooper final) y es el fruto de la caminata entre el fotógrafo y director de la peli Jean-Yves Morvan y Guillaume y Perrine en los paisajes maravillosos del Pirineo francés.

Prêtres, osez DEMANDER

J’ai animé la messe des familles ce matin à l’église saint Médard : ça s’est tellement bien passé que j’ai reçu une pluie de compliments. Pourtant, on ne m’avait jamais sollicité avant, et on m’a appelé seulement ce matin, en urgence… Vive les « messes à l’arrache » ! Et à plusieurs reprises, j’ai composé un petit choeur d’enfants, notamment pour chanter le chant sur les paroles de saint Charles de Foucauld (béatifié aujourd’hui) : ils étaient ravis !
 

N.B. 1 : Merci à mes parents de m’avoir appris à chanter et à faire quelque chose de ma voix.
 

N.B. 2 : Et aussi vive les prêtres qui osent demander et solliciter leurs paroissiens, leur faire confiance (car ils ne sont pas nombreux à aller chercher les pépites humaines dans leur assemblée : beaucoup passent ainsi à côté des talents endormis ou sous-employés de leur Église, et laissent leur paroisse mourir à petit feu : quel gâchis. Qu’ils se bougent un peu le cul et osent DEMANDER.)

Perte du jeune prêtre Steven Labat

 

Le père Steven Labat, prêtre catholique jeune et beau, de la communauté de l’Emmanuel, est mort. Chute mortelle au Mont Sinaï. Et j’apprends à l’instant par une amie très proche qui l’avait rencontré l’été dernier à Paray-le-Monial que c’était un prêtre hors du commun : il lui avait confié en aparté qu’il se sentait appelé particulièrement à lancer un apostolat auprès des personnes transgenres/transsexuelles, car il en rencontrait et sentait que dans l’Église il y a un grand vide, une grande ignorance et une grande peur à parler d’homosexualité et de transidentité. Il avait même demandé conseil à cette amie pour savoir s’il devait parler ouvertement de son appel, de ces sujets-là, de peur de se voir rejeté ou mal compris, en sentant pourtant les besoins criants et la nécessité de cet apostolat spécifique.
 

Donc à la fois cette mort m’attriste et elle me réjouit profondément. Elle me réjouit pour une raison purement eschatologique : si Dieu a repris Steven, c’est sans doute pour son mieux et pour lui éviter le pire. Et puis elle m’attriste, car pour une fois qu’il y avait un prêtre un peu courageux qui sentait que l’homosexualité et la transidentité ne sont pas des petits sujets mais LE sujet le plus important à traiter mondialement et ecclésialement (plus encore que les abus pédophiles, l’écologie, et même la guerre en Ukraine…) ! … pendant que les autres prêtres n’en ont rien à foutre…

Fondation d’un village

 

Voilà. J’ai la confirmation intime que le pseudo « vaccin », au-delà d’être un danger pour la santé (énormément de personnes autour de moi, dont des médecins, me disent qu’en ce moment ils n’ont jamais vu autant d’accidents cardio-vasculaires), au-delà des mesures ségrégationnistes et aberrantes dont il est l’alibi (et qui ont mis au chômage beaucoup de forces vives de notre pays), est la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans l’Apocalypse ainsi qu’une de ses préfigurations (il est une préfiguration de l’identifiant numérique qui va prétendre remplacer notre personne humaine de chair et de sang, et nous représenter – face aux objets connectés – mieux que nous-mêmes). Je vous demande donc, si vous faites confiance à mes écrits et études sur la Franc-Maçonnerie, sur les prophéties et sur l’homosexualité depuis une vingtaine d’années, de m’écouter, et de refuser ce « vaccin » ou toute soumission à l’électricité et au numérique. Préparez-vous à tout quitter. Moi même je m’occupe de mon livre ainsi que de mon documentaire, et après, je quitterai radicalement le Titanic. Un projet de fondation d’un village est à l’étude. Et c’est sérieux. Cela va arriver plus vite que je ne l’imaginais.

Mierda de Mundo

Miren la pesadilla de ser testigo homosexual católico público en América Latina :
 

– Te acorralan entre « sanación » y « santidad » ; te desaniman de hablar de homosexualidad ; te silencian diciéndote que faltas de « pudor, humildad, obediencia, equilibrio » y que « no sería católico » tratar de esas cosas y de hablar de ti. Un ambiente homófobo horrible.
 

– Y encima, acabas chupado/hundido por las redes sociales, y solicitado por un montón de personas homos aisladas y que te deprimen aún más porque te echan toda su basura existencial, sentimental, sexual, en cara, y te cuentan su vida, te toman por psicólogo, se sirven de ti sin darte nada.
 

¡ Mierda de Mundo !

Discussion poignante avec un « homme » transsexuel


 

J’ai discuté hier soir et ce matin sur un site de rencontres gays avec une personne transsexuelle F to M (une femme qui s’est changée en homme, et qui se présente comme « homme trans »). Elle a une trentaine d’années. Elle est d’une étonnante intelligence. Elle est venue vers moi car elle aussi, elle n’est pas « vaccinée » (autant dire que c’est un OVNI sur le site où la majorité des gays se sont faits docilement piquer et sont macronistes…) et a voté « blanc » comme moi aux dernières élections présidentielles (parce qu’elle a compris que Marine Le Pen et Macron étaient tous les deux d’extrême droite… Je pense que la majorité des Français mettront des années avant de capter ça, voire même sont trop stupides pour le capter.).
 

Les mots me manquent pour vous dire mon émotion en lisant cette « femme d’un autre genre ». Voici un extrait de notre échange, prouvant le recul qu’elle a sur elle-même, y compris sur la transidentité (elle me fait penser, à ce titre, à Guillaume/Andréa, le témoin trans M to F de mon documentaire « Les Folles de Dieu », qui ne mâche pas ses mots sur la réalité transsexuelle et transgenre, mais qui malgré ça, n’en reste pas moins prisonnière de cette dernière) :
 

MOI – Je suis sidéré. J’ai l’impression qu’il n’y a pas de personnes normales et bien dans ses pompes et sa tête, ici. (Et en retournant sur ton profil, sans m’y attendre, j’ai vu que tu étais « trans » et que tu es née fille…).
 

ELLE – Je sens un lien de corrélation (dans ton analyse en tout cas) entre tes deux derniers messages (sourire)…
 

MOI – Comment ne pas le faire ? Le monde gay (et trans) est effrayant.
 

ELLE – Oui, sans doute. Mais difficile de ne pas être gay ou trans, quand fondamentalement tu l’es. Je dirais que ça ne se choisit pas et qu’il faut vivre avec.
 

MOI – Oui. J’ai bien conscience qu’il y a une part subie et non choisie dans ces deux conditions.
 

ELLE – Tu ne vas pas te forcer à être hétéro si tu es gay ou te forcer à être une femme si tu te sens instinctivement et primitivement homme, on peut essayer (j’ai essayé) ça ne marche pas. Donc pourquoi se censurer? On ne va pas vivre comme un ermite non plus. Mais je comprends qu’on puisse voir cela comme « effrayant ».
 

MOI – C’est déjà bien que tu admettes cette peur.
 

ELLE – On a parlé un peu politique hier soir : je ne suis pas un militant extrémiste, je trouve ça faux et simpliste…
 

MOI – Tu prêches un converti en disant ça.
 

ELLE – donc j’accepte les critiques sur la transidentité tout en voyant que c’est difficile voire impossible de résister à ce « penchant » quand fondamentalement on l’est.
 

MOI – J’ai un proche ami trans M to F, donc je comprends la difficulté que tu soulèves.
 

ELLE – Après, ça devient vraiment n’importe quoi ce « monde trans » avec toutes ces déclinaisons. Moi franchement je fuis les relations avec des trans, ça m’égare encore plus. Je suis un vrai solitaire, hormis quelques rares amis tous profs d’université (car je les ai rencontrés pendant mes études). Sinon, il y a les gens avec qui je travaille et c’est tout, en gros… Ça me fout le cafard de fréquenter des trans. Ça peut paraître transphobe mais c’est la vérité.
 

MOI – Je comprends complètement.
 

ELLE – Le pire c’est que comme j’ai une vie normale (enfin… par rapport à beaucoup d’entre eux). Beaucoup me prennent comme modèle et veulent me coller, c’est très gênant.
 

MOI – Je comprends ton isolement. Et ça me serre le cœur.
 

ELLE – C’est sûr. Et à mon avis c’est difficilement remédiable.
 

MOI – Et toi, tu es attirée (désolé si je te féminise et t’enferme dans la biologie ou te semble irrespectueux et insultant) par les hommes exclusivement ? tu te dis « homosexuel/gay » ?
 

ELLE – Honnêtement, beaucoup d’homosexuels ne veulent pas de moi (et souvent justement ceux qui me plaisent). Voilà pourquoi je me sens pas trop gay, car non apprécié par cette population. De l’extérieur – et même de l’intérieur – c’est très difficile à comprendre car véritablement contre-nature, quoi qu’on en dise. Et pourtant cela existe. Moi je trouve tous les arguments des détracteurs bons (qu’« on ne peut pas changer la biologie », etc.) mais il n’en demeure pas moins que cela existe et de manière inexorable. Et comme il n’y a pas vraiment de solutions, je vis au mieux comme ça. Mais ça suppose pas mal d’ascèse, en effet. Surtout quand on est lucide. J’adore les amitiés un peu amoureuses avec les personnes sensibles et profondes (les hommes soyons honnête) :). Grand plaisir de l’existence : partager des plaisir raffinés. Il y a de très beaux aphorismes de Nietzsche sur ça, et il dit que l’amitié est supérieure à l’amour. »
 
 

Mon cœur saigne. Pour trois raisons principales, sans doute :

1) parce que je sens face à elle son incroyable isolement, plus grand que le mien, et qu’il me paraît, dans un temps humain, indépassable, insoluble, cruel, abominable ;

2) parce que, en nous pouvant pas être attiré érotiquement et amoureusement par elle comme « il » le souhaiterait, je participe à mon insu, à son rejet. Les trans sont vraiment « les rejetés des rejetés ». Y compris des gays comme moi, et des trans comme eux. Pourtant, beaucoup sont d’une intelligence supérieure. Et d’une étonnante paix et acceptation. La femme trans dont je vous parle ne supporte pas que je pleure sur son sort, et essaie de voir sa situation « impossible » du bon côté. Les bras m’en tombent quand même ;

3) parce qu’égoïstement je suis triste de voir que les seules personnes qui peuvent me comprendre pleinement politiquement, intellectuellement et même spirituellement, ne pourront jamais être mes amants et me révulsent physiquement !

Les paroles de la chanson mythique « Bohemian Rhapsody » de Queen ENFIN élucidées !

En même temps que je me suis lancé dans la traduction de la chanson la plus biscornue mais aussi la plus mythique du groupe Queen « Bohemian Rhapsody », je me suis risqué à en faire une lecture symbolique surnaturelle du combat spirituel de l’âme écartelée entre enfer et Paradis. Et cette lecture, vous verrez, se tient parfaitement ! Peut-être même que je suis le premier à révéler/résoudre le sens profond des paroles de cette chanson. Vous me direz ! 😉
 

 

Un garçon se suicide et vit dans l’Au-delà le combat spirituel entre forces du mal et forces du Bien.
 

 

Premier tableau : Arrivée de Jésus dans l’Au-delà, avec un premier contact avec les anges.

 

Is this the real life ?

[Le garçon :] Suis-je dans la vraie vie ?
 

Is this just fantasy ?

[Le garçon :] Ou suis-je seulement en train de rêver ?
 

Caught in a landslide.

[Le garçon :] J’ai été projeté dans une autre dimension.
 

No escape from reality.

[Le garçon :] Une cruelle réalité s’impose à moi.
 

Open your eyes.

[Un chœur d’anges de Dieu s’adressant au garçon :] Ouvre les yeux.
 

Look up to the skies and see.

[Le chœur des anges de Dieu s’adressant au garçon :] Lève les yeux aux Cieux et regarde.
 

I’m just a poor boy. I need no sympathy.

[Le garçon aux anges :] Je ne suis qu’un pauvre pécheur. Je ne mérite pas votre pitié.
 

Because I’m easy come, easy go

[Le garçon aux anges :] Parce que je suis ballotté [entre enfer et Paradis],
 

A little high, little low.

[Le garçon aux anges :] comme la plume qui décolle et redescend doucement,
 

Anyway the wind blows, doesn’t really matter to me, to me.

[Le garçon aux anges :] qui virevolte au gré du vent. Plus rien n’a d’importance pour moi.
 
 

Deuxième tableau : Le garçon s’adresse aux terriens, et en particulier à sa mère.

 

Mama, just killed a man,

[Le garçon s’adressant à sa mère :] Maman, ton fils vient de se tuer.
 

put a gun against his head,

[Le garçon s’adressant à sa mère :] Il a collé un pistolet sur sa tempe,
 

pulled my trigger. Now he’s dead.

[Le garçon s’adressant à sa mère :] a appuyé sur la gâchette. Et maintenant il est mort.
 

Mama, life had just begun,

[Le garçon s’adressant à sa mère :] Maman, pourtant ma vie venait à peine de commencer.
 

but now I’ve gone and thrown it all away.

[Le garçon s’adressant à sa mère :] Mais maintenant je suis parti et j’ai tout gâché.
 

Mama, ooo…

[Le garçon s’adressant en pleurs à sa mère :] Maman, ouh ouh ouh…
 

Didn’t mean to make you cry.

[Le garçon s’adressant à sa mère :] Je ne voulais pas te faire pleurer.
 

If I’m not back again this time tomorrow

[Le garçon s’adressant à sa mère :] Si je ne suis pas de retour demain,
 

Carry on, carry on, as if nothing really matters

[Le garçon s’adressant à sa mère :] continue de vivre comme si de rien n’était.
 

Too late. My time has come.

[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Trop tard. Mon heure a sonné.
 

Sends shivers down my spine.

[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Un frisson me foudroie le dos.
 

Body’s aching all the time.

[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Mon corps tout entier me fait mal.
 

Goodbye everybody. I’ve got to go.

[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Au revoir tout le monde. Il faut que j’y aille.
 

Gotta leave you all behind and face the Truth.

[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Je dois vous laisser loin derrière moi et faire face à la Vérité.
 

Mama, ooo – (anyway the wind blows)

[Le garçon s’adressant à sa mère :] Maman, ouh ouh ouh – (le vent continue de souffler)
 

I don’t want to die.

[Le garçon s’adressant à sa mère :] Je ne veux pas mourir.
 

I sometimes wish I’d never been born at all.

[Le garçon s’adressant à sa mère :] Parfois, je souhaiterais ne jamais être né.
 
 
 

Troisième tableau : Le garçon commence à s’approcher dangereusement de l’enfer, mais garde un œil fixé sur le Paradis et Jésus.

 

I see a little silhouette of a man.

[Le garçon :] J’entrevois la silhouette d’un homme.
 

Scaramouch, Scaramouch, will you do the fandango ?

[Le garçon s’adressant à un démon :] Scaramouche [= personnage frivole de la Commedia dell’Arte], Scaramouche, entonneras-tu le fandango [= musique endiablée] ?
 

Thunderbolt and lightning very very frightening me.

[Le garçon :] La foudre et les éclairs me font très très peur.
 

Galileo !

[Un ange de Dieu présentant Jésus au loin :] Le Galiléen !
 

Galileo !

[Un démon ironique, imitant l’ange mais avec une voix grave :] Le Galiléen !
 

Galileo !

[L’ange de Dieu] Le Galiléen !
 

Galileo !

[Le démon] Le Galiléen !
 

Galileo Figaro – Magnifico !

[Le chœur des anges :] Le Galiléen le Magnifique !
 

But I’m just a poor boy and nobody loves me…

[Le garçon :] Mais je ne suis qu’un pauvre garçon et personne ne m’aime…
 

He’s just a poor boy from a poor family !

[Le chœur des démons agrippant et retenant le garçon :] Ce n’est qu’un pauvre garçon issu d’une pauvre famille !
 

Spare him his life from this monstrosity.

[Le chœur des démons à Jésus à propos du garçon :] Ôte de sa vie cette monstruosité [= son homosexualité ? sa famille ? son passé ? son mal-être ?].
 
 

Quatrième tableau : Le garçon est écartelé entre les démons et les anges, qui se le disputent.

 

Easy come easy go, will you let me go ?

[Le garçon aux démons :] Sur un malentendu, me laisserez-vous partir ?
 

Bismillah ! No ! We will not let you go !

[Le chœur des démons au garçon :] Par Belzébuth, NON ! Nous ne te laisserons pas partir !
 

Let him go !

[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
 

Bismillah ! We will not let you go !

[Le chœur des démons aux anges :] Par Belzébuth, NON ! Nous ne le laisserons pas partir !
 

Let him go !

[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
 

Bismillah ! We will not let you go !

[Le chœur des démons aux anges :] Par Belzébuth ! Nous ne le laisserons pas partir !
 

Let him go !

[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
 

Will not let you go !

[Le chœur des démons au garçon :] … te laisserons pas partir !
 

Let him go !

[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
 

Never !

[Le chœur des démons au garçon :] Jamais !
 

Never let you go !

[Le chœur des démons au garçon :] … jamais te laisser partir !
 

Let me go !

[Le garçon aux démons :] Laissez-moi partir !
 

Never let me go !

[Le chœur des démons à la place du garçon :] Ne me laissez jamais partir !
 
 

Cinquième tableau : Le garçon est possédé par le diable, à la plus grande excitation des démons.

 

Ooo !

[Les démons tout réjouis :] Ho ho ho !
 

No, no, no, no, no, no, no !

[Le chœur des anges, désolés :] Non, non, non, non, non, non, non !
 

Oh mama mia, mama mia,

[Le garçon possédé :] Oh mon Dieu, mon Dieu,
 

Mama mia, let me go !

[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons l’imitant :] Oh mon Dieu, laissez-moi partir !
 

Beelzebub has a devil put aside for me

[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons :] Belzébuth m’a réservé exprès un démon rien que moi.
 

For me !

[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons :] Pour moi !
 

For meee !

[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons :] Pour mooooi !
 
 
 

Sixième tableau : Le garçon expulse le diable, sous les yeux ébahis des anges.

 

So you think you can stone me and spit in my eye ?!?

[Le garçon au démon :] Ah ! Parce que tu t’imaginais que tu pouvais me lapider et me cracher ainsi au visage ?!?
 

So you think you can love me and leave me to die ?!?

[Le garçon au démon :] Tu croyais pouvoir m’aimer puis ensuite me jeter comme ça et m’abandonner à la mort ?!?
 

Oh baby, can’t do this to me, baby !

[Le démon au garçon :] Oh mon bébé, tu ne peux pas me faire ça à moi !
 

Just gotta get out, just gotta get right outta here !!!

[Le garçon au démon] Hors de ma vue ! Sors de moi maintenant !!!
 

Ooh yeah ! Ooh yeah !

[Le chœur des anges de Dieu célébrant la victoire du garçon :] Ooh oui ! Ooh oui !
 
 

Septième tableau : Le garçon est épuisé mais libéré. Repos du guerrier dans l’Esprit… Saint !

 

Nothing really matters,

[Le garçon :] Rien ne compte vraiment,
 

anyone can see.

[Le garçon :] comme vous pouvez le constater.
 

Nothing really matters – nothing really matters to me

[Le garçon :] Rien ne compte vraiment – rien ne compte vraiment pour moi.
 

Anyway the wind blows…

[Le garçon :] Quoi qu’il en soit, l’Esprit souffle…