Tuerie des 19 écoliers au Texas : ce qu’elle nous apprend de la Marque de la Bête


 

Malgré la légitime tristesse et la compassion suscitée par la tuerie des 21 personnes (dont 19 écoliers) dans l’école primaire nord-américaine d’Uvalde au Texas, je vous propose de sortir de l’émotion pour aller à l’analyse, et de comprendre pourquoi ce drame n’est pas « un de plus », mais qu’il entend inconsciemment imposer à échelle mondiale la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans l’Apocalypse. Comme je l’avais déjà expliqué dans mon livre Homo-Bobo-Apo, et comme je l’ai également fait lors de mon dossier sur « Homosexualité et Fin du Monde » (ce sera dans la partie 18 du documentaire « Les Folles de Dieu », lors de la Journée consacrée à l’homophobie), je dis que la Marque de la Bête, en plus d’être visuellement un V surmonté d’un W, est concrètement 4 choses :
 

– elle est l’HÉTÉROSEXUALITÉ (culte de la DIFFÉRENCE, dont l’ambassadrice principale est le rainbow flag LGBT) ;

– elle a une MARQUE (la puce électro luciférienne, le 666 sur la main et le front, le W, la Blockchain, le pseudo « vaccin », un identifiant numérique donc un interface électrico-aurico-solaire) ;

– elle est l’HUMANISME INTÉGRAL (un pacifisme sans le Christ, tourné vers l’amélioration et la perfection) ;

– elle est centrée sur la PASSION (pas la Passion du Christ, mais les goûts et la volonté individuelle)
 

Ça se vérifie complètement dans les articles de journaux qui pleurent en ce moment le massacre texan : l’assaillant décrit comme un « monstre » ou une « bête folle » totalement déshumanisée, la diversité chantée par le portrait des victimes, les dirigeants politiques (Biden, O’Bama, Kamala Harris…) jouant sincèrement la comédie de la compassion révoltée (alors que ce sont eux qui ont orchestré ce qu’ils déplorent) et de l’humanisme intégral, la passion invoquée à tout bout de champ : faites par exemple l’exercice sur cet article, en comptant le nombre de fois où le mot « passion » est employé ; mais ça marche aussi sur celui-là, ou encore cet article. On peut, dans une lecture même évangélique, rapprocher le drame à la Passion du Christ inaugurée par le dimanche des Rameaux (le tueur ne s’appelle pas Salvador RAMOS – rameaux en espagnol – par hasard) : tout fait humain peut avoir une lecture surnaturelle, spirituelle et même eschatologique. Quant à cette fusillade et toutes les nombreuses autres aux États-Unis, présentée hypocritement comme un « problème insoluble » et « irrationnel », une « victoire du lobby des armes à feu », elle est au contraire tout à fait rationnelle et signifiante : les politiciens francs-maçons – Biden, O’Bama, Macron, etc. – comptent sur l’effet « accumulatif » et « révolte » pour justifier, à long terme, l’instauration de la Marque de la Bête (puce RFID subcutanée) afin de surveiller tous les faits et gestes de chaque être humain de la Planète. J’écris cet article pour que les maîtresses et enfants d’Uvalde ne soient pas morts pour rien.
 

Ce que nous révèle le Troisième Temple de Jérusalem sur la Fin des Temps et les relations conflictuelles entre Juifs et Musulmans

Toute la vie du Monde et terrestre est centrée sur Dieu, à savoir Jésus. C’est pourquoi il est important de se pencher sur le Temple de Jérusalem, au temps de Jésus, mais également aujourd’hui. Pour une raison simple : comprendre pourquoi il va être le théâtre du dernier conflit mondial, d’une dispute de toutes les religions et nations : d’une part, sur le Rocher de Jérusalem (l’Esplanade des Mosquées), les conflits sont forts en ce moment pour la reconstruction du Troisième Temple de Jérusalem (je parle de ce Troisième Temple dans mon livre Homo-Bobo-Apo) ; et d’autre part, selon les prophéties juives, islamiques, catholiques, mais aussi les convoitises de l’Antéchrist qui entend se faire passer pour le Christ, tous les religieux de la Terre attendent l’arrivée (selon les Juifs) ou le retour en gloire (selon les musulmans et les chrétiens) du Messie. Voilà pourquoi toutes les tensions spirituelles vont se cristalliser prochainement sur Jérusalem et son Temple. Le conflit israëlo-palestinien ne peut d’ailleurs être compris qu’à l’aune de l’eschatologie et de la Parousie. Il est d’ailleurs fort probable que se reconstruise ce Troisième Temple de Salomon, et que l’Antéchrist (qui aura trompé les Juifs, les Musulmans et bon nombre de Catholiques) s’y installe quelques temps (peut-être 3 ans et demi) afin d’y être vénéré comme le Fils de Dieu. Je vous conseille donc de regarder cette vidéo du père Mougin.
 

 

N.B. : Et il va falloir – quand j’aurai le temps, c’est-à-dire « jamais » lol – se pencher sur le trajet exact de Jésus dans le Temple de Jérusalem, entre sa condamnation à mort et sa crucifixion. C’est là la clé du déroulement des événements de la Passion finale du Monde (le frère que j’avais vu à Brignoles m’avait montré sur une carte du Temple ce circuit, pour m’expliquer comment la Fin du Monde allait arriver. Tout est centré sur Jésus. Le déroulement des Fins dernières, on l’a en LUI, en fait.)

Diète pour la Fin des Temps

Hier soir, à la messe de 22h au Sacré-Coeur à Paris (messe géniale, d’ailleurs, avec un jeune prêtre africain tonique et qui a fait une homélie qui dépotait), la parole qui a résonné fort en moi est la fin de la première lecture (Actes des Apôtres 15, 1-29), car elle résume bien, je trouve, le programme – de diète ! – des Fins des Temps que nous devons observer : « L’Esprit Saint et nous-mêmes avons décidé de ne pas faire peser sur vous d’autres obligations que celles-ci, qui s’imposent : vous abstenir des viandes offertes en sacrifice aux idoles, du sang, des viandes non saignées et des unions illégitimes. Vous agirez bien, si vous vous gardez de tout cela. Bon courage ! »
 

Par ailleurs, je suis en ce moment en train de me battre théologiquement – c’est un comble ! – avec des prêtres catholiques allemands refusant de voir l’homosexualité comme un trouble et une souffrance. Tout ça pour ne pas nous blesser. Certains m’avancent même qu’elle serait « une création de Dieu ». Je n’aimerais pas être prêtre actuellement en Allemagne… La question est extrêmement débattue en ce moment dans l’Eglise allemande et a été au centre des discussions aux « Synodaler Weg ». En janvier dernier est sorti un documentaire gay friendly « Wie Gott uns schuf » qui a récolté beaucoup de succès. Donc évidemment, face aux « Tunten Gottes » (traduction des Folles de Dieu), les curés progressistes font la gueule… En France et Espagne, les prêtres et évêques sont beaucoup plus lâches et hypocrites : ils justifient l’homosexualité, mais par derrière. Ils ne vont pas encore jusqu’à l’applaudir et la présenter comme une création divine. Même si, intérieurement, je ne suis pas sûr que ce soit très clair pour eux. En février 2017, quand je m’étais adressé à tous les prêtres du diocèse de Catalogne, à Barcelone, j’avais bien conscience que beaucoup ne voyaient pas le mal dans l’homosexualité, et la banalisaient…

Au revoir, chère voisine


 

J’apprends à l’instant la disparition de Miss-Tic, artiste de street-art, 66 ans, qui était aussi ma voisine d’immeuble. Elle qui avait un humour délicieusement mordant et misandre, qui m’avait donné sa carte de visite « Port du cerveau obligatoire », qui m’avait reçu chez elle, et avait visionné les deux premières parties des « Folles de Dieu », s’en est allée retrouver son frère et sa mère qu’elle avait perdus prématurément dans un accident de voiture qu’ils avaient eu ensemble quand elle était adolescente (ce drame l’avait dégoûtée de la religion, d’ailleurs… et ça peut se comprendre). Si vous pouvez prier pour son âme, merci pour elle.

Sortie de la 3e partie du documentaire « Les Folles de Dieu » en français ! (+ anecdotes croustillantes et inédites de tournage)


 

Voici la partie 3, donc la dernière partie de la Journée 1 consacrée à la dimension intime de l’homosexualité (Journée 1 sur les 8 journées en tout). Elle traite de la dépression, de l’approche psychologique voire psychiatrique de l’homosexualité. Donc elle ne va pas faire plaisir à tout le monde (haha) ! Mais nous, les Folles de Dieu, ne sommes pas juste là pour sourire à la caméra…
 
 

Comme je l’ai fait pour les deux précédentes parties (partie 1 et partie 2), je vous présente quelques fioretti anecdotes secrètes de tournage de cette partie 3 :
 

– Christian, dans cette troisième partie, présente son premier exposé (son dossier est dédié aux « terrains psychiques potentiels de l’émergence d’une homosexualité »). Et c’est un exercice périlleux (haha) car notre Diva des Concours de Beauté est sensiblement très gêné par les mouches de la campagne ! Mais – comme vous pourrez le vérifier aussi plus tard – Christina se rompt à l’exercice de l’exposé avec aisance et brio. Il est moins à l’aise dans l’expression spontanée ou la confession intime. Mais tout ce qui est plus journalistique, magistral, et carré, lui va comme un gant : il a la télé attitude, il expose un dossier comme un reportage ou une allocution de journal télévisé, ne ponctue pas ses phrases de « euh… » d’hésitation. Ça coule tout seul. Si bien que je plaisantais en imaginant une Tele Mercado fictive, et en rêvant qu’un jour Christian suive sa fibre journalistique apparemment innée.
 

– L’enregistrement de l’exposé de Gerson au pont du village de Bétharam (sur « les possibles liens entre homosexualité et psychiatrie ou blessure psychique », et sur lesdites « thérapies de conversion ») a été un véritable cauchemar : 1) parce qu’il faisait chaud ; 2) parce que Gerson est perfectionniste et peu coutumier des exposés trop académiques, donc il n’arrêtait pas de s’interrompre et de se reprendre lui-même ; 3) parce que Jean-Yves Morvan (photographe et caméraman du documentaire) et moi-même filmions sur une route du village relativement passagère où le moindre randonneur, vélo, camion ou voiture, nous obligeait à nous arrêter puis à repositionner la caméra. Sur le coup, lui comme moi avons failli péter un câble et lâcher l’affaire ! Même Jean-Yves qui est un modèle de longanimité et de patience. Mais finalement, on a réussi à boucler la séquence. Et puis au bout du compte, les commentaires acerbes que Jean-Yves et moi adressions spontanément aux gêneurs intempestifs pendant que ça tournait sont tellement désopilants, et font très « les 2 papys du Muppet Show » (« Bon, tu la pousses, ta vieille chiotte pourrie ! » ; « Et en plus, il sait même pas se garer… » ; « Et ça te fait rire, connasse ? » ; « Ah… ils sont pas mal, finalement, les mecs des Pyrénées ! » ; etc.), que vous aurez la chance de les entendre compilées dans le Bêtisier final (la partie n°25).
 

– Un des doubleurs (prêtre catholique, de surcroît) de cette partie 3 n’a pas accepté de prêter sa voix au discours de Gerson, pensant que nous défendions le lien de causalité entre homosexualité et psychiatrie (alors que pas du tout), et prétextant qu’il n’était pas d’accord avec le conseil du Pape François aux parents d’amener leur fils homo chez le psychiatre (alors que nous ne cautionnons pas ce conseil non plus). C’est incroyable comme il est interdit de simplement parler du mal ou de faire un lien entre homosexualité et violence ou souffrance.
 

– L’exposé de Guillaume sur la transsexualité nous a coiffés au poteau. C’était le premier exposé de Guillaume. Et comme à chaque fois qu’il ouvre la bouche, nous débarquons tout simplement dans un autre monde. De plus, il a pour habitude de dire cash les choses, sans filtre, avec l’insolence et l’assurance du fumiste. Mais sa parole est synthétique, percutante, surprenante. Il y a juste à l’écouter et à laisser tourner la caméra, et le résultat devient génial. On apprend plein de choses. Y compris quand on est homosexuels et qu’on est censé connaître un peu mieux le milieu trans et bi que le péquin moyen. Dans son exposé de définition des concepts tels que la Théorie du Gender, la bisexualité, la transidentité, l’intersexuation, la transsexualité, Guillaume évoque des sujets tabous comme la pédophilie (qu’il a subie), la bisexualité, et étrille le Gender. Et toujours avec ce délicieux sens de l’autodérision et du jeu avec sa propre transidentité et son propre ambivalence.
 

– Santiago n’apparaît pas dans cette 3e partie. Mais soyez sans crainte : il revient en force dans la partie 4 pour nous parler de sa famille. Santi (le témoin colombien) est le roi des anecdotes personnelles croustillantes.
 

– Anecdote un peu touchy… (haha) mais bon, tout se saura au Paradis de toute façon (ce qui est caché sera dévoilé !) ^^: l’enregistrement de la voix-off allemande de Guillaume fut assez folklo, mais finalement très courageuse aussi : sans que je sois au courant – et sans violer sa volonté ni abuser de sa faiblesse du moment -, Guillaume était sous l’effet de la cocaïne quand je suis venu lui rendre visite à Paris pour capter sa voix. Il a tenu à faire l’enregistrement quand même, alors qu’il était surex’, dans un état second et de tension extrême, que c’était la première fois que je voyais une personne se piquer à la cocaïne sous mes yeux : il a pris sur lui pour me rendre service, et pour faire plaisir à la Nation allemande. Pour moi, ce fut une scène paradoxalement plus belle et émouvante que désolante et pathétique. Car Guillaume, même au fond du trou, pliant sous le poids de sa croix, pense quand même toujours aux autres, se bat. Et ce soir-là, il a tout donné pour les Allemands. Donc la voix allemande de Guillaume pour cette 3e partie vaut de l’or. Il faut que vous le sachiez ! Même si le contexte est gênant et apparemment honteux et déshonorant pour lui ! La Gloire et la Sainteté de Guillaume – plus on connaît le garçon et plus on s’en compte – c’est d’offrir toute sa personne, y compris sa misère et ses blessures, à Dieu et aux autres. Par Amour.
 

– Dans cette partie 3, on assume de proposer pour la première fois la non-pratique homo. Même Perrine qui, malgré sa timidité, y va ! Elle me fait sourire car sa parole agit dans les extrêmes : à chaque fois qu’elle balance une parole dure, elle arrive systématiquement après avec la pommade ; car Perrine, avec sa douceur et son empathie naturelle, couronne toujours la Vérité de Charité. Elle se met toujours à la place des autres (et en particulier des athées, des personnes homos, des gens susceptibles ou blessés), précisément parce qu’elle vient de leur monde et qu’elle s’est convertie au catholicisme à 25 ans.
 

– L’image de Gerson courant vers la caméra à la Géode de La Villette (à Paris) a été filmée par moi… et ça se voit, puisque la prise est incertaine (haha !). L’image de Guillaume devant choisir entre deux fleurs – une rose, une bleue – et les jetant finalement toutes les deux dans le fleuve du Gave, a été filmée par Jean-Yves Morvan, le caméraman et photographe du film. Il était parti en balade avec Perrine et Guillaume pour prendre quelques séquences, et ça a donné la scène du muret (dont les prises ratées figureront dans le bêtisier final !).

Anécdotas sorprendentes e inéditas del rodaje de la parte 3 del documental « Las Locas de Dios »

He aquí la tercera parte, es decir la última parte de la Jornada 1 dedicada a la dimensión íntima de la homosexualidad (Jornada 1 de las 8 en total). Trata de la depresión, del enfoque psicológico e incluso psiquiátrico de la homosexualidad. Así que no será del gusto de todos (jaja). Pero nosotros, las Locas de Dios, no estamos aquí sólo para la sonrisita frente a la cámara…
 

 

Como lo hice con las dos partes anteriores (parte 1 y parte 2), os presento algunas anécdotas secretas del rodaje de esta parte 3 :
 

– Christian, en esta tercera parte, hace su primera exposición (su expediente está dedicado a los « probables terrenos psíquicos de la aparición de una homosexualidad »). Y es un reto ambicioso (jaja) ¡ porque a nuestra Diva de Concursos de Belleza le están fastidiando mucho las moscas del campo ! Pero – como descubrirán más adelante en sus otros expedientes – Christian afronta el ejercicio de la ponencia con facilidad y éxito. Se siente menos cómodo con la expresión espontánea o la confesión íntima. Pero todo lo que es más periodístico, magistral y cuadrado, le va como anillo al dedo : tiene la « actitud televisiva », presenta un expediente como si fuese un reportaje o un telediario, no entrecorta sus frases con falsas pausas « eh… ». Simplemente fluye. Por eso le tomo el pelo seriamente imaginando una Tele Mercado ficticia, y soñando que algún día Christian seguiría su vena periodística aparentemente innata. (Muletilla de lenguaje de Christian jaja : « PRINCIPALMENTE »).
 

– La grabación del expediente de Gerson en el puente del pueblo de Bétharam (sobre « los posibles vínculos entre homosexualidad y psiquiatría o herida psíquica », y sobre las llamadas « terapias de conversión ») fue una pesadilla : 1) dado que hacía calor ; 2) dado que Gerson es un perfeccionista y no está acostumbrado a las presentaciones demasiado académicas, por lo que no paraba de interrumpirse y de rectificarse ; 3) dado que Jean-Yves Morvan (fotógrafo y jefe de cámara del documental) y yo estábamos filmando en una carretera del pueblo relativamente transitada en la que el más mínimo senderista, bicicleta, camión o coche, nos obligaba a parar y a recolocar la cámara. En el acto, ¡ tanto él como yo estuvimos a punto de volvernos locos y de tirar la toalla ! Incluso Jean-Yves, que es un modelo de paciencia y longanimidad. Pero al final, conseguimos acabar la secuencia. Y en resumidas cuentas, los comentarios mordaces que Jean-Yves y yo dirigíamos espontáneamente a los inoportunos intrusos de nuestra grabación son tan hilarantes, y tan parecidos a « los dos abuelos del Muppet Show » (« ¡ Bueno, lo vas a empujar, tu maldito carro !? » « Y encima, no sabe ni aparcar… »; « ¿Y tú, ríete, cabrona !! » ; « ¡ Mmm… algunos chicos de los Pirineos son muy lindos ! »; etc.), que tendrán la oportunidad de escucharlos recopilados en el Blooper final (parte n°25).
 

– Uno de los dobladores (un cura católico, además, y que es alemán) de esta tercera parte no aceptó prestar su voz al discurso de Gerson, pensando que defendíamos la relación causal entre la homosexualidad y la psiquiatría (cuando no es así), y afirmando que no estaba de acuerdo con el consejo del Papa Francisco a los padres de llevar a su hijo gay al psiquiatra (cuando tampoco avalamos este consejo). Es increíble cómo hoy en día se prohíbe simplemente hablar del mal o relacionar la homosexualidad con la violencia o el sufrimiento.
 

– La presentación de Guillaume sobre la transexualidad nos sorprendió a todos. Fue el primer dossier de Guillaume. Y como cada vez que abre la boca, simplemente descubrimos otro mundo. Además, él está acostumbrado a decir las cosas de forma directa, sin ningún pelo en la lengua, con la insolencia y la seguridad de un charlatán. Pero sus palabras son sintéticas, punzantes, increíbles. Sólo hace falta escucharle y dejar que la cámara ruede, y el resultado es brillante. Se aprende mucho. Incluso cuando eres homosexual y se supone que conoces el mundo trans y bi un poco mejor que mayoría de la gente. En su expediente de definición de conceptos como la Teoría del Género, la transidentidad, la intersexualidad, la transexualidad, Guillaume evoca temas tabúes como la pedofilia (que él sufrió), la bisexualidad, y ataca al Gender. Y siempre con ese delicioso sentido de autoburla y de juego con su propia transidentidad y su propia ambivalencia. Pienso por ejemplo en este juego que hace con las dos flores – una rosa, otra azul – que acaba por echar al río porque no ha sabido escoger entre masculinidad y feminidad…
 

– Santiago (el testigo colombiano) no aparece en esta tercera parte. Pero no se preocupen : vuelve con fuerza en la cuarta parte para hablarnos de su familia. Santi es el rey de las anécdotas personales jugosas.
 

– Anécdota un poco sensible… (jaja) pero bueno, todo se sabrá en el Cielo de todas formas (¡ lo que está oculto saldrá a la luz !) ^^: la auto-grabación de la voz en off alemana de Guillaume fue muy rara, pero finalmente muy valiente también : sin que yo lo supiera – y sin violar su voluntad ni abusar de su debilidad en ese momento –, Guillaume estaba bajo los efectos de la cocaína cuando fui a visitarlo a París para captar su voz. Insistió en hacer la grabación igual, aunque él estaba sobreexcitado, en un estado de tensión extrema, y que era la primera vez que yo veía a una persona dispararse cocaína delante de mí : se aguantó para hacerme este favor, y para dar gusto a la Nación alemana. Para mí, fue una escena paradójicamente más bella y conmovedora que desoladora y patética. Porque Guillaume, incluso en el fondo del pozo, doblado bajo el peso de su cruz, sigue pensando en los demás y luchando. Y esa noche lo dio todo por los alemanes. Así que la voz alemana de Guillaume en esta tercera parte vale su peso en oro. ¡ Sépanlo ! Por mucho que el contexto sea incómodo y aparentemente vergonzoso y deshonroso para él. La Gloria y la Santidad de Guillaume – cuanto más se conoce al muchacho, más se percibe – es ofrecer todo su ser, incluyendo su miseria y sus heridas, a Dios y a los demás. Por Amor.
 

– En esta parte 3, asumimos por primera vez proponer la no práctica de la homosexualidad. Incluso Perrine que, a pesar de su timidez, ¡ va al grano ! Me hace sonreír porque sus palabras suelen ir a los extremos : cada vez que dice algo duro, viene sistemáticamente después con la pomada ; porque Perrine, con su dulzura y su empatía natural, corona siempre la Verdad de Caridad. Siempre se pone en los zapatos de los demás (y en particular de los ateos, las personas homosexuales, las personas susceptibles o heridas), precisamente porque proviene de su mundo y se convirtió al catolicismo a los 25 años.
 

– En cuanto a la música de ilustración, podemos contar en particular sobre las composiciones de Thierry Jamard (mi antiguo profesor de música en el cole), y también de una canción « Catolicismo mejor camino de Verdad » de mi album « Bola de Cañón ». También ustedes pueden ver imágenes de Gerson filmado en el Parque parisino de La Villette, con la Geoda (Se nota que yo filmaba, porque técnicamente, es muy defectuoso jaja). La grabación de los pasos de Perrine y de Guillaume en el murete fue muy divertida (ya lo verán en el blooper final) y es el fruto de la caminata entre el fotógrafo y director de la peli Jean-Yves Morvan y Guillaume y Perrine en los paisajes maravillosos del Pirineo francés.

Prêtres, osez DEMANDER

J’ai animé la messe des familles ce matin à l’église saint Médard : ça s’est tellement bien passé que j’ai reçu une pluie de compliments. Pourtant, on ne m’avait jamais sollicité avant, et on m’a appelé seulement ce matin, en urgence… Vive les « messes à l’arrache » ! Et à plusieurs reprises, j’ai composé un petit choeur d’enfants, notamment pour chanter le chant sur les paroles de saint Charles de Foucauld (béatifié aujourd’hui) : ils étaient ravis !
 

N.B. 1 : Merci à mes parents de m’avoir appris à chanter et à faire quelque chose de ma voix.
 

N.B. 2 : Et aussi vive les prêtres qui osent demander et solliciter leurs paroissiens, leur faire confiance (car ils ne sont pas nombreux à aller chercher les pépites humaines dans leur assemblée : beaucoup passent ainsi à côté des talents endormis ou sous-employés de leur Église, et laissent leur paroisse mourir à petit feu : quel gâchis. Qu’ils se bougent un peu le cul et osent DEMANDER.)

Perte du jeune prêtre Steven Labat

 

Le père Steven Labat, prêtre catholique jeune et beau, de la communauté de l’Emmanuel, est mort. Chute mortelle au Mont Sinaï. Et j’apprends à l’instant par une amie très proche qui l’avait rencontré l’été dernier à Paray-le-Monial que c’était un prêtre hors du commun : il lui avait confié en aparté qu’il se sentait appelé particulièrement à lancer un apostolat auprès des personnes transgenres/transsexuelles, car il en rencontrait et sentait que dans l’Église il y a un grand vide, une grande ignorance et une grande peur à parler d’homosexualité et de transidentité. Il avait même demandé conseil à cette amie pour savoir s’il devait parler ouvertement de son appel, de ces sujets-là, de peur de se voir rejeté ou mal compris, en sentant pourtant les besoins criants et la nécessité de cet apostolat spécifique.
 

Donc à la fois cette mort m’attriste et elle me réjouit profondément. Elle me réjouit pour une raison purement eschatologique : si Dieu a repris Steven, c’est sans doute pour son mieux et pour lui éviter le pire. Et puis elle m’attriste, car pour une fois qu’il y avait un prêtre un peu courageux qui sentait que l’homosexualité et la transidentité ne sont pas des petits sujets mais LE sujet le plus important à traiter mondialement et ecclésialement (plus encore que les abus pédophiles, l’écologie, et même la guerre en Ukraine…) ! … pendant que les autres prêtres n’en ont rien à foutre…

Fondation d’un village

 

Voilà. J’ai la confirmation intime que le pseudo « vaccin », au-delà d’être un danger pour la santé (énormément de personnes autour de moi, dont des médecins, me disent qu’en ce moment ils n’ont jamais vu autant d’accidents cardio-vasculaires), au-delà des mesures ségrégationnistes et aberrantes dont il est l’alibi (et qui ont mis au chômage beaucoup de forces vives de notre pays), est la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans l’Apocalypse ainsi qu’une de ses préfigurations (il est une préfiguration de l’identifiant numérique qui va prétendre remplacer notre personne humaine de chair et de sang, et nous représenter – face aux objets connectés – mieux que nous-mêmes). Je vous demande donc, si vous faites confiance à mes écrits et études sur la Franc-Maçonnerie, sur les prophéties et sur l’homosexualité depuis une vingtaine d’années, de m’écouter, et de refuser ce « vaccin » ou toute soumission à l’électricité et au numérique. Préparez-vous à tout quitter. Moi même je m’occupe de mon livre ainsi que de mon documentaire, et après, je quitterai radicalement le Titanic. Un projet de fondation d’un village est à l’étude. Et c’est sérieux. Cela va arriver plus vite que je ne l’imaginais.