Miren la pesadilla de ser testigo homosexual católico público en América Latina :
– Te acorralan entre « sanación » y « santidad » ; te desaniman de hablar de homosexualidad ; te silencian diciéndote que faltas de « pudor, humildad, obediencia, equilibrio » y que « no sería católico » tratar de esas cosas y de hablar de ti. Un ambiente homófobo horrible.
– Y encima, acabas chupado/hundido por las redes sociales, y solicitado por un montón de personas homos aisladas y que te deprimen aún más porque te echan toda su basura existencial, sentimental, sexual, en cara, y te cuentan su vida, te toman por psicólogo, se sirven de ti sin darte nada.
J’ai discuté hier soir et ce matin sur un site de rencontres gays avec une personne transsexuelle F to M (une femme qui s’est changée en homme, et qui se présente comme « homme trans »). Elle a une trentaine d’années. Elle est d’une étonnante intelligence. Elle est venue vers moi car elle aussi, elle n’est pas « vaccinée » (autant dire que c’est un OVNI sur le site où la majorité des gays se sont faits docilement piquer et sont macronistes…) et a voté « blanc » comme moi aux dernières élections présidentielles (parce qu’elle a compris que Marine Le Pen et Macron étaient tous les deux d’extrême droite… Je pense que la majorité des Français mettront des années avant de capter ça, voire même sont trop stupides pour le capter.).
Les mots me manquent pour vous dire mon émotion en lisant cette « femme d’un autre genre ». Voici un extrait de notre échange, prouvant le recul qu’elle a sur elle-même, y compris sur la transidentité (elle me fait penser, à ce titre, à Guillaume/Andréa, le témoin trans M to F de mon documentaire « Les Folles de Dieu », qui ne mâche pas ses mots sur la réalité transsexuelle et transgenre, mais qui malgré ça, n’en reste pas moins prisonnière de cette dernière) :
MOI – Je suis sidéré. J’ai l’impression qu’il n’y a pas de personnes normales et bien dans ses pompes et sa tête, ici. (Et en retournant sur ton profil, sans m’y attendre, j’ai vu que tu étais « trans » et que tu es née fille…).
ELLE – Je sens un lien de corrélation (dans ton analyse en tout cas) entre tes deux derniers messages (sourire)…
MOI – Comment ne pas le faire ? Le monde gay (et trans) est effrayant.
ELLE – Oui, sans doute. Mais difficile de ne pas être gay ou trans, quand fondamentalement tu l’es. Je dirais que ça ne se choisit pas et qu’il faut vivre avec.
MOI – Oui. J’ai bien conscience qu’il y a une part subie et non choisie dans ces deux conditions.
ELLE – Tu ne vas pas te forcer à être hétéro si tu es gay ou te forcer à être une femme si tu te sens instinctivement et primitivement homme, on peut essayer (j’ai essayé) ça ne marche pas. Donc pourquoi se censurer? On ne va pas vivre comme un ermite non plus. Mais je comprends qu’on puisse voir cela comme « effrayant ».
MOI – C’est déjà bien que tu admettes cette peur.
ELLE – On a parlé un peu politique hier soir : je ne suis pas un militant extrémiste, je trouve ça faux et simpliste…
MOI – Tu prêches un converti en disant ça.
ELLE – donc j’accepte les critiques sur la transidentité tout en voyant que c’est difficile voire impossible de résister à ce « penchant » quand fondamentalement on l’est.
MOI – J’ai un proche ami trans M to F, donc je comprends la difficulté que tu soulèves.
ELLE – Après, ça devient vraiment n’importe quoi ce « monde trans » avec toutes ces déclinaisons. Moi franchement je fuis les relations avec des trans, ça m’égare encore plus. Je suis un vrai solitaire, hormis quelques rares amis tous profs d’université (car je les ai rencontrés pendant mes études). Sinon, il y a les gens avec qui je travaille et c’est tout, en gros… Ça me fout le cafard de fréquenter des trans. Ça peut paraître transphobe mais c’est la vérité.
MOI – Je comprends complètement.
ELLE – Le pire c’est que comme j’ai une vie normale (enfin… par rapport à beaucoup d’entre eux). Beaucoup me prennent comme modèle et veulent me coller, c’est très gênant.
MOI – Je comprends ton isolement. Et ça me serre le cœur.
ELLE – C’est sûr. Et à mon avis c’est difficilement remédiable.
MOI – Et toi, tu es attirée (désolé si je te féminise et t’enferme dans la biologie ou te semble irrespectueux et insultant) par les hommes exclusivement ? tu te dis « homosexuel/gay » ?
ELLE – Honnêtement, beaucoup d’homosexuels ne veulent pas de moi (et souvent justement ceux qui me plaisent). Voilà pourquoi je me sens pas trop gay, car non apprécié par cette population. De l’extérieur – et même de l’intérieur – c’est très difficile à comprendre car véritablement contre-nature, quoi qu’on en dise. Et pourtant cela existe. Moi je trouve tous les arguments des détracteurs bons (qu’« on ne peut pas changer la biologie », etc.) mais il n’en demeure pas moins que cela existe et de manière inexorable. Et comme il n’y a pas vraiment de solutions, je vis au mieux comme ça. Mais ça suppose pas mal d’ascèse, en effet. Surtout quand on est lucide. J’adore les amitiés un peu amoureuses avec les personnes sensibles et profondes (les hommes soyons honnête) :). Grand plaisir de l’existence : partager des plaisir raffinés. Il y a de très beaux aphorismes de Nietzsche sur ça, et il dit que l’amitié est supérieure à l’amour. »
Mon cœur saigne. Pour trois raisons principales, sans doute :
1) parce que je sens face à elle son incroyable isolement, plus grand que le mien, et qu’il me paraît, dans un temps humain, indépassable, insoluble, cruel, abominable ;
2) parce que, en nous pouvant pas être attiré érotiquement et amoureusement par elle comme « il » le souhaiterait, je participe à mon insu, à son rejet. Les trans sont vraiment « les rejetés des rejetés ». Y compris des gays comme moi, et des trans comme eux. Pourtant, beaucoup sont d’une intelligence supérieure. Et d’une étonnante paix et acceptation. La femme trans dont je vous parle ne supporte pas que je pleure sur son sort, et essaie de voir sa situation « impossible » du bon côté. Les bras m’en tombent quand même ;
3) parce qu’égoïstement je suis triste de voir que les seules personnes qui peuvent me comprendre pleinement politiquement, intellectuellement et même spirituellement, ne pourront jamais être mes amants et me révulsent physiquement !
En même temps que je me suis lancé dans la traduction de la chanson la plus biscornue mais aussi la plus mythique du groupe Queen « Bohemian Rhapsody », je me suis risqué à en faire une lecture symbolique surnaturelle du combat spirituel de l’âme écartelée entre enfer et Paradis. Et cette lecture, vous verrez, se tient parfaitement ! Peut-être même que je suis le premier à révéler/résoudre le sens profond des paroles de cette chanson. Vous me direz ! 😉
Un garçon se suicide et vit dans l’Au-delà le combat spirituel entre forces du mal et forces du Bien.
Premier tableau : Arrivée de Jésus dans l’Au-delà, avec un premier contact avec les anges.
Is this the real life ?
[Le garçon :] Suis-je dans la vraie vie ?
Is this just fantasy ?
[Le garçon :] Ou suis-je seulement en train de rêver ?
Caught in a landslide.
[Le garçon :] J’ai été projeté dans une autre dimension.
No escape from reality.
[Le garçon :] Une cruelle réalité s’impose à moi.
Open your eyes.
[Un chœur d’anges de Dieu s’adressant au garçon :] Ouvre les yeux.
Look up to the skies and see.
[Le chœur des anges de Dieu s’adressant au garçon :] Lève les yeux aux Cieux et regarde.
I’m just a poor boy. I need no sympathy.
[Le garçon aux anges :] Je ne suis qu’un pauvre pécheur. Je ne mérite pas votre pitié.
Because I’m easy come, easy go
[Le garçon aux anges :] Parce que je suis ballotté [entre enfer et Paradis],
A little high, little low.
[Le garçon aux anges :] comme la plume qui décolle et redescend doucement,
Anyway the wind blows, doesn’t really matter to me, to me.
[Le garçon aux anges :] qui virevolte au gré du vent. Plus rien n’a d’importance pour moi.
Deuxième tableau : Le garçon s’adresse aux terriens, et en particulier à sa mère.
Mama, just killed a man,
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Maman, ton fils vient de se tuer.
put a gun against his head,
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Il a collé un pistolet sur sa tempe,
pulled my trigger. Now he’s dead.
[Le garçon s’adressant à sa mère :] a appuyé sur la gâchette. Et maintenant il est mort.
Mama, life had just begun,
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Maman, pourtant ma vie venait à peine de commencer.
but now I’ve gone and thrown it all away.
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Mais maintenant je suis parti et j’ai tout gâché.
Mama, ooo…
[Le garçon s’adressant en pleurs à sa mère :] Maman, ouh ouh ouh…
Didn’t mean to make you cry.
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Je ne voulais pas te faire pleurer.
If I’m not back again this time tomorrow
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Si je ne suis pas de retour demain,
Carry on, carry on, as if nothing really matters
[Le garçon s’adressant à sa mère :] continue de vivre comme si de rien n’était.
Too late. My time has come.
[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Trop tard. Mon heure a sonné.
Sends shivers down my spine.
[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Un frisson me foudroie le dos.
Body’s aching all the time.
[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Mon corps tout entier me fait mal.
Goodbye everybody. I’ve got to go.
[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Au revoir tout le monde. Il faut que j’y aille.
Gotta leave you all behind and face the Truth.
[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Je dois vous laisser loin derrière moi et faire face à la Vérité.
Mama, ooo – (anyway the wind blows)
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Maman, ouh ouh ouh – (le vent continue de souffler)
I don’t want to die.
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Je ne veux pas mourir.
I sometimes wish I’d never been born at all.
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Parfois, je souhaiterais ne jamais être né.
Troisième tableau : Le garçon commence à s’approcher dangereusement de l’enfer, mais garde un œil fixé sur le Paradis et Jésus.
I see a little silhouette of a man.
[Le garçon :] J’entrevois la silhouette d’un homme.
Scaramouch, Scaramouch, will you do the fandango ?
[Le garçon s’adressant à un démon :] Scaramouche [= personnage frivole de la Commedia dell’Arte], Scaramouche, entonneras-tu le fandango [= musique endiablée] ?
Thunderbolt and lightning very very frightening me.
[Le garçon :] La foudre et les éclairs me font très très peur.
Galileo !
[Un ange de Dieu présentant Jésus au loin :] Le Galiléen !
Galileo !
[Un démon ironique, imitant l’ange mais avec une voix grave :] Le Galiléen !
Galileo !
[L’ange de Dieu] Le Galiléen !
Galileo !
[Le démon] Le Galiléen !
Galileo Figaro – Magnifico !
[Le chœur des anges :] Le Galiléen le Magnifique !
But I’m just a poor boy and nobody loves me…
[Le garçon :] Mais je ne suis qu’un pauvre garçon et personne ne m’aime…
He’s just a poor boy from a poor family !
[Le chœur des démons agrippant et retenant le garçon :] Ce n’est qu’un pauvre garçon issu d’une pauvre famille !
Spare him his life from this monstrosity.
[Le chœur des démons à Jésus à propos du garçon :] Ôte de sa vie cette monstruosité [= son homosexualité ? sa famille ? son passé ? son mal-être ?].
Quatrième tableau : Le garçon est écartelé entre les démons et les anges, qui se le disputent.
Easy come easy go, will you let me go ?
[Le garçon aux démons :] Sur un malentendu, me laisserez-vous partir ?
Bismillah ! No ! We will not let you go !
[Le chœur des démons au garçon :] Par Belzébuth, NON ! Nous ne te laisserons pas partir !
Let him go !
[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
Bismillah ! We will not let you go !
[Le chœur des démons aux anges :] Par Belzébuth, NON ! Nous ne le laisserons pas partir !
Let him go !
[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
Bismillah ! We will not let you go !
[Le chœur des démons aux anges :] Par Belzébuth ! Nous ne le laisserons pas partir !
Let him go !
[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
Will not let you go !
[Le chœur des démons au garçon :] … te laisserons pas partir !
Let him go !
[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
Never !
[Le chœur des démons au garçon :] Jamais !
Never let you go !
[Le chœur des démons au garçon :] … jamais te laisser partir !
Let me go !
[Le garçon aux démons :] Laissez-moi partir !
Never let me go !
[Le chœur des démons à la place du garçon :] Ne me laissez jamais partir !
Cinquième tableau : Le garçon est possédé par le diable, à la plus grande excitation des démons.
Ooo !
[Les démons tout réjouis :] Ho ho ho !
No, no, no, no, no, no, no !
[Le chœur des anges, désolés :] Non, non, non, non, non, non, non !
Oh mama mia, mama mia,
[Le garçon possédé :] Oh mon Dieu, mon Dieu,
Mama mia, let me go !
[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons l’imitant :] Oh mon Dieu, laissez-moi partir !
Beelzebub has a devil put aside for me
[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons :] Belzébuth m’a réservé exprès un démon rien que moi.
For me !
[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons :] Pour moi !
For meee !
[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons :] Pour mooooi !
Sixième tableau : Le garçon expulse le diable, sous les yeux ébahis des anges.
So you think you can stone me and spit in my eye ?!?
[Le garçon au démon :] Ah ! Parce que tu t’imaginais que tu pouvais me lapider et me cracher ainsi au visage ?!?
So you think you can love me and leave me to die ?!?
[Le garçon au démon :] Tu croyais pouvoir m’aimer puis ensuite me jeter comme ça et m’abandonner à la mort ?!?
Oh baby, can’t do this to me, baby !
[Le démon au garçon :] Oh mon bébé, tu ne peux pas me faire ça à moi !
Just gotta get out, just gotta get right outta here !!!
[Le garçon au démon] Hors de ma vue ! Sors de moi maintenant !!!
Ooh yeah ! Ooh yeah !
[Le chœur des anges de Dieu célébrant la victoire du garçon :] Ooh oui ! Ooh oui !
Septième tableau : Le garçon est épuisé mais libéré. Repos du guerrier dans l’Esprit… Saint !
Nothing really matters,
[Le garçon :] Rien ne compte vraiment,
anyone can see.
[Le garçon :] comme vous pouvez le constater.
Nothing really matters – nothing really matters to me
[Le garçon :] Rien ne compte vraiment – rien ne compte vraiment pour moi.
Anyway the wind blows…
[Le garçon :] Quoi qu’il en soit, l’Esprit souffle…
Dans le livre de l’Apocalypse selon saint Jean (Ap 21, 23), il est dit du Paradis : « La ville n’a besoin ni de soleil ni de la lune pour l’éclairer car la Gloire de Dieu l’illumine, et sa lampe est l’Agneau. » (et l’Agneau, c’est Jésus). Il s’agit d’une lumière du coeur. Pas uniquement physique. On a du mal, nous, êtres humains d’aujourd’hui, à se figurer ce que sera cette lumière paradisiaque qui n’aveugle pas, qui n’est pas « lumineuse » comme on l’entend terrestrement. On peut d’ores et déjà voir et se réchauffer à la lumière intérieure de Jésus même en pleine nuit, dans un souterrain angoissant ou dans une cellule de prison.
Après avoir lu en entier le livre d’Annick de Souzenelle L’Égypte intérieure ou les dix plaies de l’âme (1991) – essai un peu trop ésotérique et métaphorique à mon goût mais qui a le mérite de proposer une lecture symboliste et transhistorique des 10 fléaux envoyés par Dieu pour punir l’Égypte Antique afin que Pharaon laisse le Peuple juif, guidé par Moïse, s’exiler vers la Terre Promise –, j’ai eu envie, moi aussi, de me prêter au jeu de l’interprétation actualisante de ces 10 plaies.
Car je connais l’éternité de Dieu (« Christ hier, aujourd’hui, demain et toujours »), ainsi que son identité trine (Père, Fils et Saint Esprit). Donc je sais que notre Histoire humaine est divisée en 3 grandes périodes qui se font écho les unes aux autres : le temps du Père (narré dans l’Ancien Testament) – le temps du Fils (narré dans le Nouveau Testament, pendant l’incarnation humaine de Dieu en Jésus sur Terre, il y a 2000 ans) – et le temps de l’Esprit Saint (porté spécialement par Marie, et qui est le nôtre, jusqu’au retour en gloire de Jésus à la Fin des Temps, c’est-à-dire à la Parousie). Par exemple, notre génération va (re)vivre les 10 plaies d’Égypte mais plus en mode « trompettes d’avertissement », « ouverture des sceaux » et « cataclysmes mondiaux » impressionnants dont parle le prophète Daniel dans l’Ancien Testament, ou Jésus dans les 4 Évangiles (Mt 24), ou saint Jean dans le livre de l’Apocalypse.
Ce que je veux dire, c’est que le scénario de la Fin des Temps va suivre « exactement mais différemment » le déroulement de l’exode du Peuple hébreu conduit par Moïse, ou bien celui de la Passion de Jésus-Christ jusqu’à sa crucifixion et sa Résurrection. Tout notre avenir est scrupuleusement centré sur la vie du Christ, et résumé en elle. Donc je n’annoncerai pas de scoop. Jésus nous a déjà tout raconté et nous parle par sa vie. Nous vivrons pas autre chose que la vie de Jésus.
La seule nouveauté que vous découvrirez peut-être à la lecture de cet article et de mon essai d’actualisation du déroulé de l’Exode à notre époque actuelle, ce sont les analogies transhistoriques vers lesquelles je me hasarde. Après, je n’ai aucune idée de la fourchette temporelle sur laquelle ces 10 plaies vont s’étaler. Je mise humblement sur 10-15 ans (Dans mon essai Homo-Bobo-Apo, écrit en 2017, j’avais lancé que notre Humanité n’en avait que pour 20 ans grand max à vivre ; et je crois, étant donné la prophétie des papes de saint Malachie, que par exemple la papauté va s’achever en 2027). Mais le temps des prophéties est élastique et soumis autant à notre conversion qu’à la bonté/volonté du Seigneur. En tout cas, voici maintenant mon pronostic d’actualisation des 10 plaies d’Égypte pour notre Temps et pour notre avenir proche :
PREMIÈRE PLAIE : L’EAU DU NIL TRANSFORMÉE EN SANG (= LE « VACCIN »)
La première plaie d’Égypte, c’est la transformation de l’eau du Nil en sang.
Au premier degré, on pourrait l’entendre comme la pollution des eaux terrestres et maritimes (il paraît, si l’on en croit le livre de l’Apocalypse, que les 2/3 des eaux de la Planète seront polluées et imbuvables).
Mais pour ma part, je pars plutôt du côté de la thèse du « bain de sang » au double sens du terme :
– à savoir la puce RFID injectée dans le sang de la population mondiale sous forme de nanoparticules électromagnétiques (le « vaccin » ARN Messager contre la COVID 19) réagissant aux objets connectés lucifériens qui fonctionnent à l’or, le soleil et surtout l’électricité.
– à savoir des guerres plus ou moins réelles (comme celle de l’Ukraine). Le « bain de sang » se réfère à l’assassinat de tous les pauvres, les faibles et les résistants au Gouvernement Mondial (étiquetés comme « gênants » ou comme « dangereux extrémistes menaçant l’Équilibre planétaire »). Les handicapés sont utilisés dans un premier temps comme alibis de progrès et de solidarité… mais la plupart sont supprimés en coulisses.
Par ailleurs, les magiciens de la Cour impériale de l’Antéchrist diront que ce bain de sang est « magique » et non une permission venant de Dieu. Voilà pourquoi ils l’appellent aussi la Force, l’énergie, le progrès, la solution… même si c’est au contraire une épuration ethnique et christique déguisée, un contamination du sang mondial : sang des martyrs, pastiche du Sang du Christ (par la bière, notamment), transformation du sang pour rendre les Humains stériles ou provoquer chez eux des cancers ou des accidents cardio-vasculaires. Je me souviens que des amis qui se sont fait injecter par Moderna ou par Pfizer m’ont décrit innocemment le liquide du « vaccin » comme du « jus de grenadine » car il était de couleur rouge ; et le pseudo « vaccin » anti-COVID alourdit le sang, crée des thromboses et des caillots de sang provoquant des ruptures d’anévrisme ou de fréquentes interruptions des règles féminines…
Je pense personnellement que nous sommes arrivés, en 2020-2022, à la première néo plaie d’Égypte actualisée. Nous avons, en effet, dépassé cette étape.
DEUXIÈME PLAIE : L’INVASION DE GRENOUILLES (= INSTALLATION DU HARDWARE)
La deuxième plaie d’Égypte actuelle correspond à l’invasion des grenouilles. Ce fléau est relatif à la « connaissance ». Effectivement, le mot hébreu « Tsephardim » que nous traduisons par « grenouilles » peut être lu comme « l’essor des connaissances » (ça, c’est Annick de Souzenelle qui me l’a appris ! Merci à elle). Et cette collecte gnostique que les grenouilles symbolisent s’incruste partout, comme le dit l’Exode : dans les ustensiles de cuisine, les machines à laver, les fours… « Moi, j’infeste tout ton territoire de grenouilles ; le fleuve grouillera de grenouilles et elles pénètreront dans ta maison et dans la chambre où tu reposes et sur ton lit, et dans la maison de tes serviteurs et de ton peuple, dans les fours et dans les pétrins. Les grenouilles monteront sur toi, sur ton peuple et sur tes serviteurs. » (Ex 7, 26-29).
Les grenouilles actuelles sont les objets de la captation des comportements, des infos, des mouvements et parfois même des pensées des gens. À l’instar des caméras, des capteurs et des objets connectés dits « intelligents », elles collectent les données. Elles figurent l’installation de l’Intelligence Artificielle (électrification et numérisation de la vie quotidienne). Le Li-Fi succèdera bientôt au Wi-Fi. Philippe Guillemant nous a prévenus : le business des objets connectés – dit « Hardware » – est largement plus juteux et invasif que celui des « vaccins ». Pendant le premier confinement mondial, tandis que nous avions le dos tourné, le réseau électrique, l’installation des caméras et de la Fibre, battaient leur plein. Et là encore, cette plaie grenouillesque est présentée comme « magique » et « sous contrôle » par les magiciens de la Cour antéchristique.
En l’espace de quelques années, l’information et l’opinion incarnent le nouveau pain et les nouveaux jeux offerts par le Gouvernement Mondial pour maintenir la population planétaire en esclavage et sous hypnose. La collecte des données et la maîtrise des informations sont devenus les principaux enjeux de pouvoir des puissants de notre Monde. Par exemple, le dictateur Emmanuel Macron considère que la vraie pauvreté, c’est l’absence d’accès à l’éducation, à l’information et à la culture, les zones du Globe privées de connexion Internet… et non l’absence des biens de première nécessité tels que la nourriture, le logement, le travail et la Foi. Le dictateur Barack Obama, idem : il appelle à la régulation des réseaux sociaux par le contrôle censurant des algorithmes, et à une uniformisation des contenus pour que les informations soient univoques et aillent dans son sens. Les deux hommes travaillent pour le Gouvernement Mondial et entendent centraliser/orienter les informations pour formater les esprits. Ils veulent aussi installer la Fibre sur toute la Planète, et placer leurs grenouilles-indics partout, même en Afrique et en Russie.
On peut donc dire que nous sommes quasiment parvenus mondialement à l’issue de la 2e plaie, mais pas encore tout à fait.
TROISIÈME PLAIE : L’INVASION DE MOUSTIQUES (= VIRUS PLUS VIRULENTS JUSTIFIANT LA BLOCKCHAIN)
Cette troisième plaie, qui concerne l’invasion de moustiques, est la première que les magiciens de Pharaon se montrent impuissants à maîtriser. C’est pourquoi ils avoueront tout gênés au Grand Monarque du Monde qu’elle vient sans doute du « doigt de Dieu » (Ex 8, 12-15).
J’ai parmi mes amis une jeune infectiologue qui s’est lancée dans une carrière en bactériologie quelques années avant la crise du Coronavirus, non pour étudier le SARS-CoV-2, mais en prévision de la généralisation des arboviroses (maladies transmises par les moustiques) : par exemple, le Chikungunya, la Dengue, le Zika, les moustiques-tigres, la Fièvre jaune, les Encéphalites, le paludisme, etc. Des maladies beaucoup plus dévastatrices que le COVID 19. Elle m’a dit que les arboviroses seraient dans très peu de temps « notre quotidien » et notre avenir ! La psychose autour du Coronavirus, et l’arsenal de surveillance numérique disproportionné qui a été mis en place en son nom et qui ne se justifiait pas, seront – et c’est là toute la perversion du Pass Vaccinal et de l’imposition de l’identité numérique à tous – quasiment justifiés par l’arrivée de ces pandémies massives que sont les arboviroses. Le danger qu’elles constituent « légitiment » presque une couverture « vaccinale » complète et un contrôle numérique constant imposé, et donc un Pass Vaccinal à vie, un resserrement totalitaire du maillage Internet. Le caractère diabolique du Pass sanitaire et de l’identifiant numérique sont là : dans leur apparente nécessité obligatoire face à un danger réel de contamination massive.
Nous ne sommes pas encore parvenus mondialement à cette 3e plaie, mais elle est à nos portes.
QUATRIÈME PLAIE : L’INVASION DE TAONS (= DOMOTIQUE)
Les taons, à la différence des moustiques qui piquent, mordent. Ça veut dire que leur infiltration est plus profonde. Ce sont des sortes de mouches noires dont les morsures ont l’effet des sangsues. Les concernant, l’image du vampire est assez évocatrice. Celle des espions aussi : d’ailleurs, les traceurs sont également surnommés « les mouchards », comme par hasard. À la différence des moustiques, les taons symbolisent une véritable intrusion de l’électrique et du numérique jusque dans les maisons/habitations humaines, les transports, les corps. Ils pénètrent à l’intérieur des personnes. L’Insecte (l’« in »-« secte ») ne se contente plus de piquer, il devient cannibale : « Je serai celui qui envoie en toi et dans tes serviteurs et dans ton peuple et dans tes maisons, l’insecte qui remplira mes maisons des Égyptiens et l’insecte aussi qui remplira la terre où ils demeurent. » (Ex 8, 16-20).
Les maisons ou les bagnoles ou les corps ne pourront plus s’ouvrir sans les taons, sans les mouchards. Car les clés ou les cartes auront disparu. C’est l’hégémonie de la domotique (maisons connectées qui auront envoyé balader les digicodes et les caméras traditionnels, pour les remplacer par la reconnaissance faciale et l’Intelligence Artificielle obéissant aux banques de données biométriques). Les taons nous boufferont – c’est le cas de le dire – tout notre temps ! Ils augureront l’ère des enceintes connectées, des home assistants, des villes lumière avec des détecteurs, des drones et des capteurs à chaque coin de rue. Un enfer sécuritaire sur Terre ! « À la chinoise » (puisque là-bas, il y a 1 caméra pour 2 habitants). Ce sera aussi l’hégémonie des traceurs : les Humains et les animaux sont suivis à la trace (j’ai vu aujourd’hui dans le métro parisien une pub de bouffe pour chiens : « Les insectes dans la gamelle » : les taons traceront même les aliments pour assurer aux consommateurs leur qualité !)
« Des insectes dans la gamelle : bienvenue en 2022 ! »
CINQUIÈME PLAIE : LA PESTE (= REMPLACEMENT DE LA BÊTE PAR L’IMAGE DE LA BÊTE)
Dans le livre de l’Exode, la peste anéantit chevaux, ânes, chameaux, bovins et moutons. Et on peut effectivement imaginer que ce sera le cas avec une vraie hécatombe animale : « Tout le bétail de l’Égypte mourut. » (Ex 9, 1-7). Ce sont ces fanatiques de Vegan qui vont être contents… Pour la petite histoire, dans le livre de l’Apocalypse, la peste qui s’étendra dans le Monde entier sera le « cadeau » du quatrième cavalier de l’Apocalypse (Ap 6, 8) !
Mais je voudrais aussi prendre la peste dans son sens figuré. On peut très bien imaginer qu’elle s’actualisera de deux manières : tout d’abord le remplacement des bêtes par leur image technologique humanisée et subcutanée (la fameuse « Image de la Bête » – Ap 13, 15 – dont parle saint Jean dans l’Apocalypse, et qui s’anime sur des écrans) : le Gouvernement Mondial d’un côté détruit la biodiversité et les vrais animaux, et d’un autre les numérise et ne multiplie que certaines espèces, de manière prolifique et incontrôlée. Et ensuite, je vois la Peste comme l’apparition du diable personnifié, c’est-à-dire l’Antéchrist (dont parle le prophète Daniel ou encore saint Pierre dans la Bible) : jadis Pharaon ; maintenant, Macron et tous ses fac-similés (et le côté « peste » de Manu n’échappe à personne).
SIXIÈME PLAIE : LES ULCÈRES SUR LA PEAU (= BOMBE ATOMIQUE ou MARQUE DE LA BÊTE)
La sixième plaie, ce sont les ulcères. Ces derniers sont une maladie de peau qui ressemble à des bulles, à des abcès à crever. « Yahvé dit à Moïse et à Aaron : ‘Prenez pour vous plein vos deux mains de la suie de la fournaise et que Moïse le Céleste la jette aux yeux de Pharaon : elle deviendra une poussière sur toute la terre d’Égypte et elle deviendra sur l’Adam et sur le bétail une lèpre faisant éruption en abcès sur toute la terre d’Égypte.’ » (Ex 9, 8-12). Personnellement, concernant l’ulcère, je pense autant à la maladie de l’épiderme – et de l’épiderme tatoué de la Marque de la Bête (Ap 13, 17) décrite par saint Jean dans l’Apocalypse – qu’à la maladie radioactive de la surface terrestre, à savoir la bombe atomique (avec radiations qui peuvent créer des ulcères). Certains, surtout en ce moment, attendent cette bombe de la Russie. De mon côté, je situe son explosion en Iran. Mais ce n’est qu’une intuition.
SEPTIÈME PLAIE : GRÊLE DÉVASTRATRICE (= ÉRUPTION SOLAIRE + VOLCANS ET TREMBLEMENTS DE TERRE)
La septième plaie d’Égypte concerne la grêle. « Ce fut une grêle et un feu tourbillonnant au milieu, la grêle la plus grave qu’il y avait jamais eu dans tout le pays d’Égypte depuis qu’elle était devenue une nation. » (Ex 9, 22-35). On a de plus en plus l’habitude de voir des pluies de grêle absolument dévastatrices y compris en France (des morceaux de glace aussi gros que des balles de ping-pong !). Et si le Déluge a vu tomber du ciel une pluie d’eau, je crois que l’Ultime Déluge auquel nous assisterons verra s’abattre une pluie de souffre, d’acier et de Feu. C’est toute la différence ! Comme le décrit Jésus lui-même, les étoiles s’échoueront sur la Terre (Mt 24). Certaines prophéties parlent aussi d’un astéroïde qui tombera dans l’Océan et déplacera l’axe de rotation de la Terre. Quant à saint Jean, dans l’Apocalypse, il évoque la chute d’une montagne de Feu sur Terre, ce qui m’amène à penser à une éruption/tempête solaire qui, combinée à un réveil de l’activité volcanique terrestre qu’elle aura impulsé, chamboulera le Cosmos au point de pulvériser tous les satellites sur lesquels compte le Monde pour s’électrifier. « Le deuxième ange sonna de la trompette : dans la mer fut jetée comme une grande montagne embrasée. » (Ap 8, 8) ; « Le troisième ange sonna de la trompette : du ciel tomba une grande étoile qui flambait comme une torche. » (Ap 8, 10) ; « Le cinquième ange sonna de la trompette, et j’ai vu une étoile qui était tombée du ciel sur la Terre : c’est à elle que fut donnée la clé du puits de l’abîme. Elle ouvrit le puits de l’abîme, et du puits monta une fumée comme celle d’une grande fournaise ; le soleil et l’air furent obscurcis par la fumée du puits. » (Ap 9, 1-2). Sympa, le programme… J’espère que vous avez le cœur bien accroché.
HUITIÈME PLAIE : LES SAUTERELLES (= BLACK-OUT, COUPURE ÉLECTRIQUE MONDIALE : TOUT SAUTE !)
La huitième plaie, ce sont les sauterelles, symbole de pullulation dévastatrice, de supplice d’ordre moral et spirituel, mais aussi de grignotage irréparable (rien qu’à voir comment des colonies de sauterelles en Afrique ou en Australie dévorent les récoltes, on comprend !).
Mais pour ma part, je postule à une lecture symbolique plus techniciste de l’invasion de sauterelles. Les sauterelles, comme leur nom l’indique, c’est ce qui saute… comme les plombs et les installations électriques ! Donc il est fort possible que l’arrivée massive des sauterelles corresponde à un black-out mondial, c’est-à-dire à une panne et à une coupure électrique générale (c.f. je vous invite à regarder en entier cette excellente présentation du risque probable de black-out planétaire par le Suisse Grégoire Chambaz).
Je crois personnellement que ce black-out sera la conjonction des tremblements de terre/éruptions volcaniques et d’une éruption solaire, qui précipitera la Terre dans un black-out complet : je pense aux coulées pyroclastiques générées par le supervolcan Théra en 1600 av. J.-C. (qui, selon les scientifiques, pourraient expliquer l’ouverture de la Mer Rouge en deux par Moïse, ainsi que l’obscurité épaisse qui a rendu le soleil invisible aux yeux des Égyptiens) ; je pense également aux satellites qui seront détruits et emportés par la tempête solaire. Les plombs vont sauter, comme les sauterelles, dans toutes les maisons : « Les sauterelles rempliront les maisons et mes maisons de tes serviteurs et les maisons de toute l’Égypte. »
Particularité de la sauterelle : en plus de détruire tout sur son passage, elle ne revient pas en arrière. Elle ne sait pas reculer. C’est un rouleau compresseur destructeur. En plus, en hébreu, elle se dit « Arebeth », comme le verbe « augmenter » (c.f. l’« Homme augmenté ») ; et « Ar » est le radical de la lumière. C’est donc l’anti-Lumière luciférienne. « Je fais venir la Sauterelle dans ton pays. Elle cachera l’Œil de la Terre et nul ne pourra voir la Terre. » (Ex 10, 1-20).
NEUVIÈME PLAIE : LES TROIS JOURS DE TÉNÈBRES (= OBSCURITÉ ÉPAISSE)
La neuvième plaie d’Égypte, ce sont les Trois Jours de Ténèbres. Elle trouve très probablement son analogue avec l’ouverture du 6e sceau de l’Apocalypse (le sixième sceau annonce de grands cataclysmes accompagnant la Fin du Monde : tremblements de terre, froid particulièrement dense, le soleil devenant noir, les astres célestes qui bougent, les étoiles s’écrasant sur Terre, etc.) ainsi que du 7e sceau (qui marque un Grand Silence).
Les Trois Jours de Ténèbres sont aussi annoncés par les prophéties de Padre Pio. Celles-ci sont assez connues car elles font assez peur. Le saint nous avertit que lorsqu’ils arriveront, on ne verra même plus nos mains, qu’il faudra nous enfermer chez nous, ne pas ouvrir aux voix des démons qui imiteront les voix de nos proches, que seules les bougies bénies éclaireront, qu’il nous faudra prier pendant que ce sera le chaos dehors et le nettoyage du mal par les anges…
Et bien sûr, on retrouve des préfigurations des Trois Jours de Ténèbres dans toute la Bible. En gros, ces derniers représentent les journées de Jésus au tombeau et au séjour des morts juste avant sa Résurrection (c.f. Dans le credo catholique, il est dit qu’« Il ressuscita le 3ème jour. »), le temps qu’Il descende en enfer et qu’Il vainque Satan. Mais ils peuvent tout aussi bien renvoyer aux 3 ans et demi de règne de l’Antéchrist sur le Monde avant sa chute. Ou bien aux 3 ans et 11 mois de l’exil de Marie, Joseph et Jésus bébé en Égypte. Et aussi aux douleurs de l’enfantement de la Vierge Marie – poussée au désert par le torrent d’eau et de feu du mythique Dragon, écrasant la tête de ce dernier et donnant l’ultime et définitive naissance à Jésus-Dieu.
On retrouvait déjà les Trois Jours de Ténèbres à diverses reprises dans la Bible :
– Le gros poisson (la baleine) engloutissant Jonas, et dans les entrailles duquel il reste 3 jours et trois nuits, avant d’être recraché sur un sol sec. (Jésus, quand Il fait référence à cet épisode de l’Ancien Testament, parle du « Signe de Jonas » comme une annonce de sa propre Résurrection des morts).
– dans le Nouveau Testament, les 3 jours d’angoisse de Marie et Joseph cherchant Jésus évangélisant à 12 ans dans le Temple de Jérusalem (le fameux « Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? » de Marie, dans Lc 2, 52) ; les 3 jours de famine de la foule suivant Jésus juste avant la deuxième multiplication des pains (Mc 8, 1-9) ; les 3 heures (18h-21h) d’obscurité totale suivant l’expiration de Jésus sur la croix (avec le soleil qui s’obscurcit sur toute la Terre, les tremblements de terre, le rideau du Temple de Jérusalem qui se coupe en deux, l’eau et le sang jaillissant du côté de Jésus transpercé par la lance du centurion romain… tous ces signes physiques qui font dire à ceux qui ont assisté à la mort de Jésus que celui-ci est vraiment le Fils de Dieu !) ; les 3 jours précédant la Résurrection de Jésus.
C’est pourquoi, même s’ils sont impressionnants, ces Trois Jours de Ténèbres ne doivent pas nous faire peur, mais être vécus comme la sas obscur de la naissance imminente et de la Résurrection de Jésus en nous.
DIXIÈME PLAIE : LA MORT DE TOUS LES PREMIERS-NÉS (= PAROUSIE ET EXODE DU PEUPLE SAINT VERS LE ROYAUME DE DIEU)
La dixième et dernière plaie d’Égypte, c’est la mort de tous les premiers-nés, c’est-à-dire la mort des deux-tiers de l’Humanité. En effet, au cours des Trois Jours de Ténèbres, les deux tiers de la population mondiale vont mourir. « Alors furent libérés les quatre anges qui étaient prêts pour cette heure, ce jour, ce mois, cette année, afin de tuer le tiers de l’Humanité. […] Le tiers de l’Humanité fut tué par ces trois fléaux, le feu, la fumée et le soufre qui sortaient de leurs bouches. » (Ap 9, 15 puis 18). Mais il y a surtout le Livre de Zacharie dans l’Ancien Testament : « Il arrivera dans tout le pays – oracle du Seigneur – que deux tiers en seront retranchés, périront, et que l’autre tiers y restera. Je ferai passer ce tiers par le feu ; je l’épurerai comme on épure l’argent, je l’éprouverai comme on éprouve l’or. » (Zc 13, 7-9). Concernant ces deux-tiers, je vous renvoie également au livre d’Ezéchiel (Ez 5, 1-4). Dans le Livre de l’Exode, Pharaon perd son fils unique lors de cette plaie-là, et ce sera le drame inconsolable de sa vie : ce serait pourquoi il aurait enfin laissé le Peuple hébreu s’exiler de son Royaume… même si l’épisode de la course-poursuite avec ses armées jusqu’à la Mer Rouge qui se coupe en deux et se referme sur elles prouvent qu’il a cherché à le retenir (Ex 13 ; et Bataille finale d’Armageddon dont parle l’Apocalypse) !
Certains exégètes actuels associent également la mort des premiers-nés aux nombreux avortements actuels ; d’autres au massacre des saints innocents perpétré par Hérode au moment de la naissance de Jésus. Moi, personnellement, je crois que cet épisode actualisera à l’avenir deux choses : le Jugement Dernier, lorsque les anges de Dieu éradiqueront les méchants et les démons de la surface de la Terre (Les paroles de Jésus, en Mt 24, 19-22, l’attestent : « Malheureuses les femmes qui seront enceintes et celles qui allaiteront en ces jours-là ! Priez pour que votre fuite n’arrive pas en hiver ni un jour de sabbat. Alors, en effet, il y aura une grande détresse, telle qu’il n’y en a jamais eu depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, et telle qu’il n’y en aura jamais plus. Et si le nombre de ces jours-là n’était pas abrégé, personne n’aurait la vie sauve ; mais à cause des élus, ces jours-là seront abrégés. ») ; et le sang des martyrs des Tribulations, qui auront, en donnant leur vie pour Jésus par Sa Croix, revêtu le vêtement blanc qui leur donnera l’accès aux Noces du Royaume où l’on mangera l’Agneau pascal (« On prendra du sang de l’agneau pascal et on en mettra sur les deux poteaux et sur le linteau des maisons. […] Je passerai dans le pays d’Égypte dans cette nuit-là ; je frapperai tout premier-né dans le pays d’Égypte depuis l’homme jusqu’au bétail. […] Le sang servira de signe pour vous sur les maisons où vous serez là et je verrai le sang et je passerai sur vous et il n’y aura pas pour vous de plaie pour la destruction quand je frapperai la terre d’Égypte. », Ex 12, 7).
Ce que je viens d’écrire sur les « 10 Plaies d’Égypte 2. 0 » sont des hypothèses « personnelles ». Non des certitudes. Les faits leur donneront peut-être raison. Je l’espère. En tout cas, bonne Fin des Temps à tous !
Je viens de recevoir – c’est la deuxième fois qu’ils me font le coup – un appel téléphonique de l’Assurance Maladie de la Mairie de Paris me harcelant, l’air de ne pas y toucher (ils répètent deux fois l’adverbe « seulement », comme pour surjouer l’innocence ou la suggestion, limite en s’excusant), pour le pseudo « vaccin ». Ils me proposent même (il est gentil, l’Empereur Macron) de m’envoyer une infirmière à domicile (car oui, pour eux, je suis déjà « malade », même en n’ayant jamais eu le COVID : au moins « malade idéologique et asymptomatique »). Après l’élection du Connard, c’est mon RSA d’ « assisté vivant au crochet de la société » qui ne tardera pas à sauter. Je pense que mon départ de la capitale (que j’aime pourtant plus que tout au monde) est imminent. Je ne vais pas pouvoir rester citadin longtemps.
Comme vous le savez, je m’intéresse depuis un certain temps à la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans l’Apocalypse (Ap 13, 17). La puce RFID subcutanée.
Et à 4 « endroits » médiatiques, j’ai vu que le Gouvernement Mondial nous l’impose. Comme si, en animalisant ce qui est par essence inhumain, c’est-à-dire la robotique, il prétendait « humaniser » cette dernière. C’est très étrange, cette humanisation par l’animalisation technologique, par l’image de la Bête.
Le premier, c’est la publicité de la marque Apple : « Votre prochain ordinateur n’est pas un ordinateur. » : autrement dit, « c’est vous ». Ou « c’est la Bête ».
Le deuxième endroit, c’est dans les « Battles » (traduction : « batailles ») de l’émission The Voice. Déjà, la mise en scène représente spacialement la Marque de la Bête (la lettre « V » surmontée d’un « W »). Et ensuite, au moment de l’apparition des deux candidats des « Battles » sur scène, une grille se lève devant eux, en mode « Lâchez les fauves! » L’idée des « Battles », plus que de figurer un ring de boxe ou de catch, c’est de symboliquement lâcher les taureaux dans l’arène. Et les 4 empereurs délibèrent ensuite pouce levé/pouce baissé en ayant droit de vie ou de mort sur la carrière des « bêtes de scène » défilant devant eux.
Le troisième endroit, c’est la Marque de la Bête présente dans la publicité des rasoirs Bulldog. La Bête s’adresse aux hommes comme un reflet d’eux-mêmes. Le massage tacite, c’est que nous serions la Marque de la Bête.
Le quatrième endroit, c’est la chanson « Fenomenology » de Lara Fabian, parlant d’un chien ou d’un papillon apocalyptique vénéré comme un Christ sacrifié.
À mon avis, quand on est catholique authentique, en son âme et conscience, on ne peut pas voter Macron (qui a imposé et continuera d’imposer des lois aberrantes et clairement antéchristiques : PMA sans père, allongement du délai d’avortement, imposition d’un « vaccin » mortel, numérisation de la vie réelle, Marque de la Bête…), tout comme on ne peut pas voter non plus Marine Le Pen (inhospitalité et rejet des étrangers, manquement grave à la Charité, anticatholicisme assumé, promotion arsenal sécuritaire numérique équivalent à la Marque de la Bête…).
Qu’est-ce qu’on fait, alors, entre la peste et le choléra ? Eh bien personne ne vous oblige à choisir l’un des deux, ni même à les opposer pour vous justifier de choisir le soi-disant « moins pire » pour éviter le « plus pire ». Les gens, ne vous prenez pas la tête : ce n’est pas parce que Macron est un méga connard et dictateur (c.f. preuves à l’appui ci-dessus), que vous devez voter Marine (qui instaurera la même dictature numérique… mais elle, ce sera au nom de la sécurité anti-immigration et de la souveraineté nationale). Il existe ce qui s’appelle le vote blanc, et qui emmerde le Système bien plus qu’on nous le dit. Alors votez blanc (comme moi il y a 5 ans, et au 1er tour cette année). Ne vous abstenez pas. Mais au moins, si vous avez une conscience, ne votez pas Macron (ni Le Pen « pour faire barrage à Macron »). Le meilleur acte de résistance contre Macron n’est pas le vote RN mais le vote blanc. Il n’y a pas 2 possibilités, mais 3 ! Et je pense qu’à cette élection encore plus qu’il y a 5 ans, le vote blanc pour un catholique digne de ce nom/non n’est pas une option mais un devoir. (Et au passage, bravo à Robert Ménard – avec qui je ne suis pas toujours d’accord – mais là, son non-soutien à Marine Le Pen l’honore).
Tout ce que Macron a gagné en se représentant, c’est de se faire doublement détester par tous. Et à raison. Car même les naïfs découvrent qu’il est réellement méchant: il n’a pas d’autre programme que la numérisation de l’Humain.
Pour info, cette publication n’est pas un appel à voter Marine Le Pen au second tour. J’avais déjà voté blanc au deuxième tour il y a 5 ans. Et je vais faire pareil cette fois. Car Marine va imposer la même numérisation… mais elle, pour des raisons de protectionnisme et souverainisme national, et non pour des raisons marketing de progrès libéral et sanitaire.
C’est saisissant, ce qui est en train de se passer mondialement en ce moment. Car le livre de l’Apocalypse (dans la Bible), écrit par saint Jean, et parlant de la Fin des Temps (et de la Marque de la Bête, le 666, que l’Humanité portera sur la main ou sur le front en se prenant pour Dieu : Ap 13, 17), est en train de s’actualiser sous nos yeux, et est mis sincèrement en scène par des personnes qui pourtant l’ignorent !
Car je doute qu’en écrivant ce post sur Facebook pour annoncer son grand retour – que dis-je, sa « Résurrection » ! – sur la scène de The Voice, Léo Ristorto, l’ancien participant de The Voice Kids en 2015, revenant 6 ans après pour The Voice All Stars (avec sa croix christique, son « changement de sexe » lumineux, et sa détermination vengeresse et luciférienne de Prince noir re-né de ses cendres hétérosexuelles), il ait eu conscience d’inaugurer à sa manière l’avènement de la Marque de la Bête, le 666. Lisez bien son discours de sacralisation du chiffre « 6 » (qu’il multiplie par 3 personnalités). Et vous comprendrez que je n’extrapole même pas. J’attire aussi votre attention sur le champ lexical franc-maçonnique de la chaleur et de l’énergie, ainsi que l’idolâtrie pour la DIFFÉRENCE (idolâtrie qui s’appelle au fond « hétérosexualité »).
« SIX. ☆
Ce chiffre si cher à mes yeux, évoquant cette connexion spirituelle véhémente qui lie mon équilibre énergétique personnel ainsi que cette lumière vagabondante au sein de mes ressources qui me permet d’avancer avec force et détermination au travers des épreuves sombres que la vie m’offre à expérimenter…
De surcroît, ce dernier représente le nombre d’années écoulées qui m’attache à cette aventure bouleversante qui a changé ma vie. Celle qui pour la plupart, vous a permis de découvrir mon âme humaine et artistique. Vous souvenez-vous, de ce jeune garçon, innocent et pauvre en expérience, portant ses pas sur cette scène mythique et d’exception, muni de sa fragilité ainsi que de ses peurs terrifiantes à l’idée d’interpréter l’une des plus belles chansons que l’industrie musicale ait connue, devant trois personnalités prodigieuses ? — Je me souviens de ces sensations renversantes et phénoménales pour ce petit être que j’étais, emparé d’un stress bouillonnant qui m’a permis de vivre l’un des plus tendres moments de ma vie…
Six ans plus tard, après tant d’événements accumulés par les épreuves ténébreuses et macabres que j’ai eu à traverser, je suis viscéralement ému de vous annoncer ma présence au sein de cette édition spéciale, afin de célébrer le dixième anniversaire de ce magnifique show. « The Voice — All Stars », que vous pourrez découvrir ce prochain Samedi.
C’est un nouveau Léo que vous rencontrerez. Celui qui est finalement en équilibre au sein de son être, son âme, son corps, ses énergies, avec la richesse de tout ce que ces derniers dégagent, puis la perception et vision que j’ai pu développer ces dernières années.
À travers ma participation, je souhaite communiquer et transmettre un message d’amour, de tolérance, de paix, de sérénité, de clémence, de mansuétude, de réunification, car il est primordial d’affirmer et d’assumer qui nous sommes, nos racines et nos valeurs. — Je souhaite envoyer mes énergies les plus positives à celles et ceux qui souffrent et qui se trouvent enfermés parmi de profondes amertumes, meurtris par la souffrance, la peine et le combat.
Battez vous, ne baissez jamais les bras. Vous êtes en réalité des âmes forgées et fortes, abondantes en vitalité et ressources énergétiques. Votre ouverture sur ces valeurs et convictions dont vous êtes en possession vous permettront d’accéder à de brillantes finalités, menées avec prospérité et succès.
Nonobstant, je souhaite transmettre un message d’espoir, car, au sein des profondeurs de notre désespoir, la lumière qui scintille l’éclatante abondance de notre vie, ne cesse de voyager, afin d’atteindre son sommet, lorsque le bon moment est arrivé.
La différence est la plus jolie des valeurs… J’aimerais honorer cette dernière à travers la performance que je délivrerai lors de mon interprétation. Un combat vigoureux, que nous nous devons de défendre avec ardeur, véhémence, force et courage, face aux catégories, codes, normes et standards que nos sociétés nous infligent et qui ne nous permettent l’émergence de nos êtres au sein d’une atmosphère paisible et sereine.
Nous devons nous élever tous ensemble, afin de prôner la douceur ainsi que la paix. — Bien que nous soyons tous différents, provenant d’horizons dissemblables, quelles que soient vos origines, vos convictions, vos valeurs, vos religions, nous appartenons tous aux mêmes racines.
Le relativisme est notre clé afin de ne jamais baisser les bras ni renoncer. Ne cessez d’aller de l’avant.
Battez vous, avec force, ardeur, courage et véhémence.
Une aventure humaine, intense en émotions. Je suis profondément honoré d’avoir pu croiser ainsi que de trouver de nouveau, de munificentes âmes, sur ce cheminement sensationnel, somptueux et riche que ce dernier nous apporte.
Je vous envoie l’ensemble de mes énergies positives.