Les prêtres actuels, en général, ont vraiment un blocage pour parler des Fins Dernières et annoncer l’Apocalypse


 

C’est un truc de malade. Aujourd’hui, je me trouvais à la messe. Les 3 textes bibliques du jour traitaient EXPLICITEMENT de l’arrivée de Jésus en Gloire et de la Fin du Monde et du Ciel (la première lecture, c’était l’Ancien Testament, avec le Livre du prophète Daniel, dans lequel il est raconté comment l’armée de Jésus, menée par l’Archange Saint Michel, terrasse les puissances du mal, et comment les morts ressuscitent tous pour la Vie éternelle ou pour la damnation ; dans la deuxième lecture, de saint Paul, c’était le Jugement dernier à la Fin des Temps ; dans la troisième, c’était Jésus qui nous parle du déroulement concret de la Fin du Monde et du Cosmos, avec les puissances célestes et terrestres qui sont ébranlées).
 

Et au lieu de jouer leur rôle d’avertisseurs et de relais fidèles de la Parole prophétique, que font la très grande majorité de prêtres pendant leur homélie ? (j’ai eu la confirmation en simultané par d’autres amis que ça a été le cas dans plusieurs paroisses parisiennes) Eh bien comme les pharisiens hypocrites pointés du doigt par Jésus ! Ils parlent de tout autre chose : la solidarité, la sainteté et la Toussaint, les scandales des abus sexuels dans l’Église, vaguement l’écologie ou la pandémie du Coronavirus. Moi, j’ai eu droit à la vie rocambolesque/cinématographique de saint Vincent de Paul (attaqué par les pirates). Et on m’a aussi servi que pour être un vrai chrétien, il fallait être une bonne personne avec les autres (un jambon ?). Super…
 

Le rapport avec les textes du jour ? Aucun ! Pourtant, si nos curés étaient un tant soit peu honnêtes et collaient à la trilogie des textes bibliques, l’évocation des Fins dernières et de la Fin du Monde était incontournable. Mais sous prétexte d’être positif et de rester dans l’Espérance et la confiance face à la morosité ambiante, ils étouffent le message et l’avertissement de Jésus. Désastre du positivisme/optimisme, mais aussi mélange d’ignorance (beaucoup de prêtres ne connaissent rien aux prophéties eschatologiques ni à l’Apocalypse) et d’orgueil de leur part, pour ne pas affronter la Croix, les Signes des Temps, la montée vers Jérusalem et la Passion. C’est très grave.
 

Je suis ressorti furax de l’église parisienne où je me trouvais (dont je tairai le nom), en me demandant comment est-il possible d’esquiver et de travestir à ce point la Parole de Dieu. Je remarque que nos clercs, dans leur immense majorité, de peur de passer pour des prophètes de malheurs, ou des annonciateurs de châtiment(s), font complètement l’impasse sur le Jugement Dernier, l’avenir de ce Monde, le Retour du Christ, la vie après la mort, l’enfer et le paradis, la Fin du Monde et du ciel. Ils ont vraiment un problème. Un blocage. Ça me révolte. Jouez votre rôle, bon sang ! Ne snobez pas ainsi les Saintes Écritures et ce que Jésus et l’Esprit Saint ont à nous dire pour aujourd’hui ! Je pousse ce coup de gueule, en même temps que je vous cite pour finir les 3 passages d’Évangile que la plupart des prêtres n’ont pas abordés, et qui sont bien loin du joli conte gentillet Bisounours ou du récit d’aventures :
 

« En ce temps-là se lèvera Michel, le chef des anges, celui qui se tient auprès des fils de ton peuple. Car ce sera un temps de détresse comme il n’y en a jamais eu depuis que les nations existent, jusqu’à ce temps-ci. Mais en ce temps-ci, ton peuple sera délivré, tous ceux qui se trouveront inscrits dans le Livre. Beaucoup de gens qui dormaient dans la poussière de la terre s’éveilleront, les uns pour la vie éternelle, les autres pour la honte et la déchéance éternelles. Ceux qui ont l’intelligence resplendiront comme la splendeur du firmament, et ceux qui sont des maîtres de justice pour la multitude brilleront comme les étoiles pour toujours et à jamais. » (Dn 12, 1-3)
 

« Jésus Christ, au contraire, après avoir offert pour les péchés un unique sacrifice, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu. Il attend désormais que ses ennemis soient mis sous ses pieds. » (He 10, 11-14.18)
 

« En ce temps-là, Jésus parlait à ses disciples de sa venue : ‘En ces jours-là, après une grande détresse, le soleil s’obscurcira et la lune ne donnera plus sa clarté ; les étoiles tomberont du ciel, et les puissances célestes seront ébranlées. Alors on verra le Fils de l’homme venir dans les nuées avec grande puissance et avec gloire. Il enverra les anges pour rassembler les élus des quatre coins du monde, depuis l’extrémité de la terre jusqu’à l’extrémité du ciel. Laissez-vous instruire par la comparaison du figuier : dès que ses branches deviennent tendres et que sortent les feuilles, vous savez que l’été est proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le Fils de l’homme est proche, à votre porte. Amen, je vous le dis : cette génération ne passera pas avant que tout cela n’arrive. Le ciel et la terre passeront,mes paroles ne passeront pas. Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le Fils, mais seulement le Père.’ » (Mc 13, 24-32)
 
 
 

N.B. : On a aussi, dans l’extrême inverse, tout un spiritualisme angéliste qui, même s’il évoque saint Michel et d’autres anges, s’éloigne de l’Église, et préfère les anges à l’Humain ou même à Jésus. C’est tout aussi hérétique.
 

Lettre magnifique d’une femme lesbienne rejetée du noviciat d’un couvent

Voilà le mail que je viens de recevoir d’une jeune femme qui s’appelle Julie (prénom modifié). Et ensuite, ma réponse.
 

 

Bonjour Philippe,
 

Je me présente, je suis une jeune catho homosexuelle prof de biologie qui hésite à passer le concours… Je suis rentrée cette année en discernement avec une communauté et me suis pris mon homosexualité en pleine figure, elles ne peuvent pas « prendre de risque » avec moi. Bref, je dois revoir mon orientation, jusqu’ici je pensais que l’abstinence suffirait, que de voir que je suis pieuse (j’essaye) et chaste serait convaincant, il semblerait que non. Je suis à nouveau confrontée à mon homosexualité en tant que donnée à prendre en compte dans mon orientation.
 

Assez contente ceci dit que les sœurs ne m’essentialisent pas à mes attirances, elles pensent que l’on peut en « guérir » ; j’entreprends ce chemin vers la découverte de ma vocation plus profonde.
 

Je me pose beaucoup de questions sur la place des homos dans l’Eglise. Si je ne peux être sœur ni marier, alors que faire ? D’ailleurs, une certaine colère monte en moi, j’ai l’impression, vous me direz ce que vous en pensez, qu’on ne parle pas des lesbiennes dans l’Eglise ou tout du moins qu’elles sont jugées sur le même mode que les gays ce qui est une aberration. C’est nier les profondes différences entre homme et femme…..
 

Quoi qu’il en soit je suis en recherche de documentation sur le sujet, vous semblez être la bonne personne pour me répondre. Me conseilleriez-vous un livre, même un de vos bouquins ? Je cherche aussi des contacts de femmes qui pourraient être dans la même situation que moi, si vous en avez je suis preneuse.
 

Merci d’avance et merci pour votre blog qui est très éclairant,
 

Julie

 
 
 

Merci infiniment Julie pour ton mail que j’aimerais montrer à la Terre entière et à l’Église, pour que les catholiques et nos chefs se rendent enfin compte ET du gâchis vocationnel que nous incarnons (comme tu dis, en tant que personnes durablement homos, on ne peut pas se marier et on nous éjecte du célibat consacré, du sacerdoce, des séminaires, des monastères et des couvents : que nous reste-t-il ?) ET du manque d’accueil criant (homophobie) et du vide de proposition (grande et enthousiasmante) qui dépasserait l’horizon du couple et de la pratique homos. Car oui, je le confirme, et j’en fais suffisamment les frais depuis des années : dans leur immense majorité, le clergé et les cathos nous craignent comme des pestiférés autant qu’ils se contrefichent de nous (mais vraiment ! alors qu’ils sont persuadés du contraire)… et de surcroît, cette omission est de leur part une erreur stratégique qui leur sera bientôt fatale car le Gouvernement Mondial va les persécuter officiellement sur la pédophilie et officieusement sur l’homosexualité. Et là, ils vont pleurer leur Mère de ne pas nous avoir accueillis correctement !
 

Je te mettrais bien en contact avec Perrine (voici son mail), la témoin lesbienne des « Folles de Dieu » (mon documentaire en 25 parties – dont seulement les deux premières parties sont sorties sur YouTube). Mais j’ai peut-être mieux : si tu es au Puy-en-Velay le 27 novembre de ce mois, je suis invité (ça fait hyper longtemps que je n’ai pas fait de conférence : je présenterai mon livre sur les thérapies de conversion, qui n’ fait l’objet d’aucune invitation) à une librairie pour une conférence. Si tu veux, je partage volontiers mon temps de parole avec toi. Ce sera enregistré, filmé (et pas besoin d’être « vacciné » anti-COVID : je ne le suis pas, et ne le serai jamais). Et je pourrais te laisser entière carte blanche. À ta convenance ! Et si l’apostolat (de l’homosexualité continente) peut te donner de la consolation, de la joie, un nouveau souffle, et t’éviter d’être en couple lesbien, welcome parmi les « Folles de Dieu » ! Tu me diras ce que l’Esprit Saint t’inspire. Et puis si tu ne peux/veux pas, je te souhaite en tout cas bon courage et bonne route sur les chemins du professorat.
 

Fraternellement.
 

Philippe Ariño

Les homos intelligents rentrent en Franc-Maçonnerie


 

C’est un constat que je fais : beaucoup d’hommes homos intelligents sont/rentrent actuellement en Franc-Maçonnerie. Ça faisait un moment que je le voyais et que j’en avais l’intuition. Mais là, c’est concret. Je n’ai plus assez de mes dix doigts pour compter le nombre de personnes homosexuelles que je rencontre qui sont officieusement en loge maçonnique.
 

Les homos intelligents vont aujourd’hui majoritairement en FM : je le vois et je les rencontre en vrai et en masse. Et l’étant moi-même (intelligent), je sais de quoi je parle : dernièrement non seulement je les reconnais (Démasqués en 5 secondes chrono! Même avec les « as » de la dissimulation !) mais je les attire. Pour une raison assez simple : notre gémellité. La Franc-Maçonnerie, en théorie, j’ai le profil taillé parfaitement « pour » : intelligence, sociabilité, créativité, influence, grand maître en symbolisme – mes 3 dictionnaires HomoBoboApo -, bon maniement de la psychologie, fort potentiel de manipulation et de gourouïsme…
 

Le seul « problème » qui me rend FM-incompatible, il est triple : 1) je suis pauvre et désargenté ; 2) j’ai toujours privilégié la Vérité (Jésus) à la franchise (base idéologique et sentimentale de la FM), et je ne les confonds pas toutes les deux ; 3) j’utilise mon intelligence – et même paradoxalement mon homosexualité – pour défendre le mariage (sacré et d’Amour homme-femme) ainsi que le célibat consacré (c’est d’ailleurs sur ma défense du mariage que la rupture avec mes prétendants homos francs-maçons se fait le plus brutalement !). Sans ça, sans ces 3 « failles » au tableau, je serais le parfait initié maçon. Je coche a priori toutes les cases ! Je le sais. J’ai même la capacité de fonder ma loge, ma propre obédience, si je le voulais !
 

Ceci étant dit, maintenant, je voudrais m’adresser en particulier à tous les frères homos qui me lisez, et en particulier aux intelligents, donc aux « profanes » qui sont tentés d’entrer en FM voire aux « initiés » qui y sont déjà. Je vous le dis sans détour : la Franc-Maçonnerie est un mauvais placement. Vous vous plantez de combat, de maison et d’amis, si vous y allez/restez. Les francs-maçons ne sont pas vos véritables amis et vous vous plantez de maison. Votre seule véritable Maison, c’est l’Église Catholique, et c’est surtout le Coeur sacré de Jésus. Vous n’avez rien à faire en loges.
 

Pourquoi ? Parce que vous n’y êtes pas véritablement respectés (et ça, je le tiens de témoignages d’amis homos depuis plusieurs années en Franc-Maçonnerie, et qui en ont fait le tour ou s’y ennuient). Pourquoi l’homosexualité ne se marie pas bien avec la FM ? (Cette incompatibilité est historique et originelle : ce n’est que depuis un siècle que les obédiences maçonniques ne se montrent plus ouvertement homophobes, misogynes, non-élitistes et non-sectaires, mais ce revirement est récent et bien hypocrite). Parce que l’idéologie luciférienne qui prédomine et régit la Franc-Maçonnerie est fondamentalement angéliste, anti-identitaire, anti-étiquettes, et donc trouve l’homosexualité trop restrictive, ghettoïsante, limitative, caricaturale. La Franc-Maçonnerie, c’est le règne de la bisexualité et de l’asexualité : pas vraiment de l’homosexualité (même si la FM se servira de cette dernière comme une étape intermédiaire, un marche-pied pour atteindre cette bisexualité-asexualisante de l’ange Lucifer).
 

Voilà pourquoi vous, personnes homosexuelles durables, vous n’avez rien à y faire. Et vous y êtes même en danger. Vous le constatez vous-mêmes : vous êtes utilisées un moment pour la vitrine arc-en-ciel que vous représentez politiquement et médiatiquement. Mais concrètement, vous êtes cernées et méprisées par les « surveillants », vos espérances/aspirations d’ascension/montée en grades sont limitées par votre homosexualité (vous voyez bien qu’on vous ferme les plus hauts postes), on vous tolère en loge sans vous aimer vraiment (puisqu’on vous réduit à votre tendance sexuelle, et qu’on vous traite comme des initiés de seconde zone).
 

Voilà toute l’ambiguïté amère et indicible de l’homophobie de la gay friendly attitude (homophobie qui vous dit sincèrement « je t’aime » tout en vous traitant concrètement mal). Je vous conseille donc de lâcher l’affaire. Mais vraiment. N’espérez rien des loges maçonniques en termes de reconnaissance, de valorisation de votre homosexualité et de votre personne. Vous vous y faites chier, ou bien y êtes maltraitées, même si vous y tirez quelques bénéfices, et que vous aurez du mal à en partir. Cours, Forrest, cours !

Interdiction de parler du diable et d’en dire du mal !

Ça paraît incroyable. Mais c’est pourtant vrai. En ce moment, j’ai un ami qui boude, me fait littéralement la gueule, ne veut plus me revoir, simplement parce que j’ai osé utiliser sur les réseaux sociaux le terme « diabolique », de surcroît négativement. Car lui voit le diable comme une invention/projection humaine farfelue, une irréalité, un mensonge. Et s’il admet exceptionnellement son existence, il ne voit en ce dernier que le côté luciférien, lumineux, positif, éclatant, utile à l’action bienfaitrice de Dieu… et peut-être même à l’existence de Dieu lui-même.
 

Alors je veux bien lui concéder que Dieu permet l’existence et l’action du diable, et que ce dernier participe, d’une certainement manière, au plan intégral de Salut de Dieu pour l’Humanité. Mais quand Dieu PERMET (Satan est bien sa créature aussi, au même titre que l’Homme), il n’en DÉSIRE pas pour autant… et en l’occurrence, concernant le diable, Il le tolère/supporte temporairement, et uniquement pour préserver notre liberté à nous Humains. Fondamentalement, Dieu n’a pas besoin du diable pour exister ni pour agir : il se trouve qu’Il « fait avec ». Mais en théorie, Il pourrait agir seul, et sans avoir recours au mal (la violence, la colère, l’autorité, la mort, le châtiment, etc.).
 

Si je résume et je reviens à cet ami, celui-ci m’en veut de reconnaître et de dévoiler l’existence du diable. Le mal, selon lui, ne devrait pas être mal-aimé, ni même dénoncé/désigné comme « mauvais ». Dans sa vision dithéiste, énergétiste, relativiste, bisexuelle/asexuelle et équilibriste de l’Amour et du Monde (quand je dis « équilibriste », je me réfère à l’« équilibre » soi-disant « parfait » et « cyclique » qui existerait entre les polarités du ying et du yang, du négatif et du positif, du masculin et du féminin, de l’Humain et de la Création, de la vie et de la mort, des peines et des joies, de ce qui nous apparaît comme des succès ou comme des échecs, etc. etc.), le bien et le mal n’existeraient pas ou seraient indissociables, partenaires, nécessaires, essentiels l’un à l’autre, complémentaires. Comme des vases communicants. Ledit « diable » serait en réalité notre « meilleur allié ». Le mal ne serait qu’un revers du bien, et inversement.
 

Finalement, cette pensée du « bien par le mal » ou du « mal = Bien » (extrêmement dangereuse car elle sous-entend qu’au nom du Bien et pour le Bien, on peut et on doit en passer par le mal : la fin justifierait les moyens…) nous a été serinée depuis des décennies, à travers ce genre de sophismes/syllogismes/poncifs idéologiques faux, faisant la part belle au diable et au mauvais : « Il n’y a pas de réelles fautes ni d’erreurs ni de péchés : juste des expériences dont on peut forcément tirer profit en les vivant ! Tout est bon ! Le bien est partout, même dans ce qui nous apparaît sur le moment comme négatif ou douloureux ! », « C’est en se trompant qu’on apprend et qu’on ressort grandis ! » ; « On ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs ! », « Ce qu’on voit comme mauvais nous aide à avancer : ce n’est qu’une question de point de vue et d’inversion ! ». Si je résume, ce n’est pas l’action de Dieu – se servant même de nos échecs, de nos blessures et de nos péchés qu’Il permet – pour manifester sa Gloire, qui nous sauverait, mais les échecs eux-mêmes ! Totale inversion des valeurs !
 

En fait, nous vivons dans un Monde tellement envahi par le positivisme protestantisé – la fameuse « pensée positive », l’optimisme combatif obligatoire – qu’Il ne veut plus entendre parler négativement du mal (critiques, dénonciations, erreurs, échecs, remords, culpabilité, souffrances, violences, fautes irréversibles, péchés, enfer…) et encore moins des entités démoniaques spirituelles et surnaturelles (les anges déchus ayant suivi Lucifer). « Dans la pensée dite ‘positive’, le mal n’existe pas ou est bon par essence : c’est tout simplement ‘un bon mal’. » (le père jésuite Aleksander Posacki, « Les Voies d’accès actuelles à l’occultisme », dans l’ouvrage La prière de délivrance et d’exorcisme : les attaques du démon contre l’homme, Éd. Bénédictines, 2008, p. 69). Nous n’avons plus le droit de critiquer le mal ou le diable, de dire que le mal est mauvais, que le diable est « diabolique ». C’est quand même incroyable, cette positivité de la « neutralité », qui se veut un pied de nez au manichéisme superstitieux, un chant aux « nuances » (« Dans la vie, rien n’est tout blanc, rien n’est tout noir ; tout est gris et mélangé et divers ; Il n’y a ni de Bien ni de Mal ; ni de bon ni de mauvais ; tout est profitable ; tout est inutilement complexe car finalement la seule évidence, Vérité et simplicité serait l’incertitude, la confusion, la neutralité et l’absence de Vérité discernable et incarnée que serait Jésus. »).
 

En fait, ces adorateurs de la positivité absolue (mélange fusionnel et soi-disant « équilibré/équilibrant » du Bien et du mal) – très présents dans la culture New Age de la religion du dieu « Énergie » mais aussi dans les médias qui nous martèlent que « tout serait possible et positif à partir du moment où on le vit, on se bat, on y croit et on le veut vraiment » – sont des adeptes de Lucifer qui s’ignorent (car ils nient l’existence du diable et interdisent que nous présentions l’action de ce dernier comme mauvaise, destructrice et à ne pas pratiquer). Pourtant, dans leur propre pratique intime d’énergéticiens-thaumaturges-acupuncteurs-magnétiseurs-guérisseurs-masseurs-rebouteux-médiums-coachs de vie aux dons préternaturels, ils savent très bien qu’ils ont joué avec un feu malveillant, à double tranchant, ambigu. Et parfois, ils en souffrent même beaucoup, et en silence. Par exemple, j’ai rencontré en vrai des hommes et des femmes qui se sont faits « canaux énergétiques » lors de séances « bien-être » de tantrisme ou de channelling ou de reïki (en sollicitant, donc, des entités spirituelles et des énergies à la fois « cosmiques », « intérieures », « environnementales », « médiumniques », mais qui ne sont bien évidemment ni Jésus ni l’Esprit Saint ni les sacrements de l’Église Catholique), et qui, en déplaçant le mal et en générant un apparent soulagement ou bien-être ou guérison temporaires, ont finalement chopé de sacrées cochonneries ou des maladies dignes de l’absorption/contagion/transposition/infestation/incorporation/atavisme démoniaque (je pense notamment à une nana qui est immédiatement devenue bossue au contact d’un patient qu’elle a touché en voulant le guérir par le reïki ; à un gars qui, suite à une « séance thérapeutique », a eu l’un de ses yeux qui a rapetissé et a perdu une grande partie de sa capacité ; et je ne parle même pas des guérisseurs sujets aux maux de tête, aux cauchemars nocturnes, aux visions et hallucinations, et autres vexations sataniques). Le milieu du « développement personnel » et des « énergies » sollicite les entités des mondes parallèles, les âmes errantes, les esprits (dits « ancestraux » et « transhistoriques », via la croyance animiste en la réincarnation), et est un culte déguisé à Satan. Je dis « déguisé » car Satan n’est plus identifié ni vu comme mauvais. Il est réduit et appréhendé à/comme un « partenaire ». Il faudrait, pour cette raison, plusieurs séances d’exorcisme pour rompre les liens que certains guérisseurs ou patients ont contractés avec les entités spirituelles des infra et supramondes.
 

Le pistolet arc-en-ciel sur la tempe de beaucoup de chefs d’établissements scolaires

Le harcèlement scolaire, ce n’est pas que les élèves qui le subissent.
 

Voilà le quotidien des chefs d’établissements scolaires aujourd’hui en France, y compris dans des collèges-lycées dits « protégés » : depuis une dizaine d’années, et de manière plus prononcée depuis 1 an, ils se retrouvent confrontés à un minimum de 3 cas concrets de pression homosexuelle ou transidentitaire au sein de leur établissement.
 

En effet, j’ai reçu plusieurs témoignages privés de proviseurs qui, sans être dépassés, font le même constat alarmant : explosion de la bisexualité et de la transidentité parmi leurs élèves, en particulier depuis la crise sanitaire qui a laissé plein d’élèves et de familles dans la dépression. Trois cas minimum en 1 an, c’est bien la preuve que le phénomène n’est pas anecdotique, et même, qu’il est en pleine expansion. Car je n’ai que le retour d’une poignée de directeurs, ceux qui sont droits dans leurs bottes, qui ne cèdent pas aux chantages ni à la banalisation/relativisme ambiant ni à la peur, et qui osent ouvrir la bouche. Ils sont une minorité : ça laisse donc présager du caractère massif de l’idéologie bisexualisante-asexualisante en marche… et ça laisse aussi deviner le désarroi de beaucoup de chefs d’établissement dépassés par la lame de fond, ne pouvant pas parler tout haut de situations qui engagent beaucoup de monde mais qui pourtant ont l’air privées, marginales et sont placées sous le sceau de l’anonymat. Du coup, ils se démerdent en gérant tant bien que mal le « cas par cas »… jusqu’au moment où leurs « petites » affaires éclateront au grand jour et deviendront des scandales publics dont ils seront rendus responsables et dont ils ne pourront plus se défaire si jamais ils leur opposent résistance.
 

Dans un contexte de délabrement généralisé des familles, de souffrances nouvelles des jeunes, de harcèlement scolaire relayé et renforcé par le climat de délation/transparence des réseaux sociaux, de viols et de filles agressées sexuellement lors de soirées, de prostitution juvénile en recrudescence, il est toujours plus facile de se tourner vers les fausses solutions/consolations et les fausses portes de sortie des crises, que sont les coming out arc-en-ciel (homos ou bis ou trans). Ça fait diversion. Et même si ça ne règle pas les problèmes à la racine (au contraire, ça les maquille et les renforce), ça donne l’illusion que ça les règle. Beaucoup de jeunes actuellement se croient dans leurs films ou leurs séries nord-américaines, et se mettent à imiter leurs héros d’Instagram, de YouTube, de la fac, ou de la High School télévisuelle. Voici quelques mimétismes que beaucoup de chefs d’établissements peuvent désormais observer dans l’enceinte de leur école :
 

coming out homos (ou plutôt bis) « retentissants », par exemple pendant les « débats citoyens » de classe et les heures de « vie de classe ».

coming out trans : des élèves de collège ou de lycée demandent ouvertement à « changer de prénom » (exemple : « Je m’appelais Marie, mais maintenant, vous m’appellerez Mario ! C’est un ordre et un fait ! »), et il faut que l’équipe pédagogique et la direction prennent acte de leur choix « assumé » d’identité sexuée (« Il faut respecter : c’est mon ressenti, c’est mon corps, c’est mon choix, et c’est mon droit. Et si vous ne le respectez pas, je solliciterai l’arsenal juridique et les autorités médiatiques pour que vous cédiez à ma demande légitime ! »).

– publication « sauvage » de témoignages LGBT et d’articles pro-gays dans le journal de l’établissement.

– travestissement (mec en robe) lors du gala de l’école (avec des fausses demandes d’autorisation préalables : je dis « fausse » car les chefs d’établissement voient même leur refus d’autorisation transgressé le Jour J…).

– création d’associations d’élèves contre l’homophobie ou contre la transphobie, cachées derrière l’alibi victimisant du harcèlement scolaires.

– mini campagnes médiatiques (vidéos, films) sur Internet et les réseaux sociaux (contre la « transphobie » ou les « LGBT-phobies »).
 

Cette propagande homo-bi-transsexuelle n’est pas un épiphénomène. Même si les catholiques et l’inspection académique ne disent rien, laissent faire, laissent les proviseurs à leur solitude et au musèlement croissant dont ils font l’objet, c’est bien une lame de fond. Et la digue d’opposition est en train de céder avec une facilité déconcertante.

Un autre jumeau homo

Et voilà ! En plein dans le 1000 ! Hier, j’ai fait la rencontre d’un gars homo de 26 ans, qui a un frère jumeau (un vrai)… mais contrairement à moi (mon frère jumeau n’est pas homo), son frère l’est aussi !
 

Et je précise qu’il m’a dit que lui et son frère ne se sont jamais désirés l’un l’autre érotiquement. Idem me concernant, vis-à-vis de mon frère.
 

Pour tous ceux qui veulent creuser la question du lien non-causal entre homosexualité et gémellité

« Au revoir, mon père. »

Je sors de confession à Saint Sulpice. Le prêtre a été tellement déboussolé, ému, édifié, par notre échange, qu’à la fin, au moment de me dire au revoir, il m’a sorti sans le faire exprès : « Au revoir, mon père. » (LOL)

La naïveté de la majorité des catholiques par rapport à la sexualité des jeunes d’aujourd’hui, et en particulier à leur expérience bisexuelle


 

Ce matin, j’étais à la messe des familles à saint Médard. Un peu avant le début de la célébration, une amie – et jeune mère de famille – dont la fille aînée est en pleine adolescence, m’a pris à part pour me confier que cette dernière avait eu récemment une aventure bisexuelle avec une autre fille, et se posait la question – non pas de l’homosexualité mais – de sa bisexualité, donc le fait d’être attirée par les deux sexes (garçons ou filles). Cette amie me disait que le phénomène lui semblait très répandu chez les jeunes, et que désormais, entre la vulgarisation du porno, la banalisation/idéalisation médiatique de l’homosexualité, et la diabolisation de la pédophilie venant d’un adulte (diabolisation qui, pour le coup, édulcorait et « autorisait » d’une certaine manière la pédophilie pratiquée entre adolescents), l’expérience bisexuelle était devenue presque une mode entre ados, un passage obligé dans la tête et le coeur d’un grand nombre de jeunes entre 12 et 17 ans. Y compris dans les sphères catholiques.
 

C’est loin d’être le seul témoignage que j’entends dans ce sens. Un autre ami – et père de famille – m’a dit que sa jeune fille de 14 ans, elle aussi, se disait « bi ». J’ai pu d’ailleurs en parler avec la concernée, qui semblait vraiment jouer l’épanouie, droite dans ses baskets, et complètement désinvolte. Et je sais que dans certaines classes de collèges/lycées (y compris privés), une écrasante majorité d’élèves filles se prétendent fièrement et ouvertement « bisexuelles/lesbiennes », pas seulement pour la gueule ou l’image ou le goût de la transgression « originale », mais aussi pratiquement. Je pense que c’est une réalité.
 

Et quand je vois qu’il y a encore dans les rangs catholiques un aveuglement minorant/méprisant le phénomène (une mère de famille catho m’a sorti sur Facebook qu’elle était soulagée que ses enfants n’entendent pas de conférences de moi sur l’homosexualité, estimant sans doute – et à tort – que ses ados vivent dans une bulle de pureté, et que l’homosexualité était un sujet uniquement d’« adultes » et « pornographique »), je me dis que la plupart des catholiques n’est pas au bout de ses surprises et de ses peines ! La vague des abus sexuels et de la pédophilie, présentée comme la plus grande et la plus dévastatrice que l’Église ait connue (alors que tout le monde s’accorde pour condamner la pratique pédophile… y compris les pédophiles!), ce n’est rien à côté de la vague de la bisexualité asexualisante/sentimentale/homosexualisante (que personne n’arrive à contester ou à identifier comme mauvaise, violente ou douloureuse) qui leur arrive dans la figure, et qui, elle, va engloutir l’Église Catholique humaine temporelle ! Je vous préviens depuis plus de 20 ans. Continuez à ne pas m’écouter !

Existe-t-il vraiment un calendrier international LGBT visant à homosexualiser le Monde et notre quotidien ?


 

Eh bien oui ! Il existe bien un AGENDA/CALENDRIER LGBT qui veut s’imposer mondialement, et qui veut non pas tant homosexualiser que bisexualiser/asexualiser/athéiser la Planète.

 

Sous des excuses parfois complètement bidons mais exploitant tout de même des souffrances et des violences humaines réelles, et s’appuyant principalement sur la victimisation, le Gouvernement Mondial dirigé par des personnes se prétendant « hétéros gays friendly » se servent de nous, personnes homosexuelles, pour coloniser et déchristianiser progressivement le calendrier judéo-chrétien, et ainsi justifier/célébrer/entériner ses fantasmes identitaires/sentimentaux/sexuels, et surtout pour se remplir les poches ! Ce lobbying est une forme de Grand Remplacement idéologique, de « Big Reset », de (re-)programmation progressive de l’Humanité et de la Divinité. Par le calendrier et l’officialité des dates !
 

Après avoir visualisé cet agenda précis (fait-maison), qu’on ne vienne pas me traiter de « complotiste » ! : il s’agit bien d’un complot, d’un plan finement ciselé, d’une instrumentalisation politique et commerciale de l’homosexualité et des personnes homos/bis/trans… même si ce complot se drape des meilleures intentions, de chronologie et de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel.
 

15 janvier : Journée Internationale de la Sororité

27 janvier : Journée du Souvenir de l’Holocauste (Commémoration des « Triangles roses » et de la Shoah)

14 février : Saint Valentin (« Valentine’s Day » aux USA)

Février : LGBT History Month (en octobre aux USA)

8 mars : Journée Internationale des Droits des Femmes

31 mars : Journée Internationale de la Visibilité Transgenre et Transsexuelle

6 avril : Journée Internationale de l’Asexualité

2e vendredi d’avril : Day of Silence (#GLSEN : mouvement dit « d’élèves et d’étudiants » contre le « bullying », donc le harcèlement scolaire)

26 avril : Journée Internationale de la Visibilité Lesbienne

15 mai : Journée Internationale des Familles (instituée par les Nations Unies)

17 mai : Journée Internationale contre l’Homophobie (#IDAHO)

22 mai : Harvey Milk Day (en l’honneur de l’assassinat du maire homo de San Francisco – USA – en 1978)

24 mai : Journée Internationale de la Visibilité Pan (pansexualité et panromantisme ; parfois placée le 8 décembre)

Juin : Mois des Fiertés LGBTQIA et des Gay Pride (#Europride #WorldPride).

28 juin : Anniversaire des émeutes de Stonewall (USA, 1969)

26 août : Journée des Droits de l’Homme ou des « Droits humains » (Date-anniversaire de la Proclamation en 1789 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen)

Début septembre : Forum des Associations (notamment le Forum des Sports LGBT)

23 septembre : Journée Internationale de la Bisexualité, et contre la biphobie et la panphobie (#BiVisibilityDay)

28 septembre : Journée Mondiale pour l’accès libre à l’avortement (#InternationalSafeAbortionDay)

Octobre : Octobre Rose (campagne de sensibilisation contre le cancer du sein ; #RubanRose)

11 octobre : Journée Internationale du Coming Out (#ComingOutDay)

15 octobre (ou 3e jeudi d’octobre) : Spirit Day (prévention suicides des LGBT)

26 octobre : Journée de la Visibilité Intersexe

2 novembre : Journée Mondiale du Droit à Mourir dans la Dignité (en gros, l’euthanasie) #PourUneFinDeVieLibre

8 novembre : Journée du Souvenir intersexe

20 novembre : Journée du Souvenir trans

25 novembre : Journée Internationale contre les violences de genre ou les violences faites aux femmes (instaurée par l’ONU)

26 novembre : Journée de la Visibilité Asexuelle (« Ace Visibility Day » ; #NonBinaire #InternationalAsexualityDay)

1er décembre : Journée Mondiale de Lutte contre le SIDA (#RubanRouge)

10 décembre : Journée Internationale des Droits de l’Homme
 

J’aurais pu inclure à ce calendrier des événements à la fois gay friendly (crypto-gay) et mondiaux… mais ils n’ont pas de date fixe et sont plus locaux que réellement internationaux : le concours Eurovision (en mai), le spectacle du Super Bowl (en février : finale du championnat de football américain aux USA), la Fashion Week (en septembre : défilé haute couture), les festivals de cinéma (Golden Globes, Oscars à Hollywood, le Festival de Cannes : pas de mois précis), les carnavals (de Sydney en Australie, de Rio de Janeiro au Brésil, de Baranquilla en Colombie, etc.), les Gay Games (tous les 4 ans, en marge des Jeux Olympiques), etc.

Pourquoi je ne voterai même pas Zemmour

Une amie me demande à l’instant : « Bonjour Philippe. Comment vas-tu? Question perso: as-tu un candidat favori pour la présidentielle de 2022? »
 

Je lui réponds : « Salut D. Malheureusement, aucun. En mon âme et conscience, je ne peux même pas voter pour Zemmour. »
 

 

Pour l’instant, vu les candidats qui se présentent à l’élection présidentielle française, je ne vois personne qui ne soit pas dangereux. Et concernant mon opinion sur Éric Zemmour, je n’oriente pas mon jugement sous l’influence de la propagande/lynchage médiatique actuelle contre ce monsieur, donc du « ZemmourBashing » (basiquement fondé sur l’anti-racisme et l’anti-fascisme), mais sur la base d’un déjeuner que j’ai vécu en 2013 dans un restaurant huppé des Champs-Élysée avec Zemmour en personne. En effet, deux amis communs à nous avaient tenu à nous faire rencontrer, et surtout à ce que Zemmour me connaisse et m’écoute concernant l’homosexualité, car c’était un sujet de premier plan au niveau politico-médiatique. J’ai donc connu Zemmour de près (il était assis à ma droite) puisque nous déjeunions dans une petite salle privée, rien que pour nous 4, où j’étais censé être écouté par le grand maître. Le déjeuner a duré 1h30. Et je peux vous certifier que Zemmour n’écoute pas (il a monopolisé tout le temps de parole : je n’ai pas pu en placer une!), est un égo sur pattes, et méprise/ignore non seulement l’homosexualité et les personnes homosexuelles, mais aussi la différence des sexes et les catholiques/l’Église catholique. Un vrai monologue. Pourtant, toutes les conditions étaient réunies pour avoir un échange équilibré, cordial et nourri, a fortiori parce qu’à cette époque, Zemmour était déjà sous les feux de la rampe mais pas encore présidentiable, donc il n’avait pas de pression spéciale, de visée électoraliste ni de discours politiquement correct à tenir (il avait été chroniqueur chez Ruquier dans On n’est pas couché et avait son émission avec Éric Naulleau sur la chaîne Paris Première). Aucune raison pour ne pas m’écouter.
 

Alors, certes, on me dira qu’une personne a le droit de changer, et ne peut pas être arrêtée à une impression ou à un souvenir de 8 ans. On m’avancera aussi que c’est « le moins pire des candidats » (Personnellement, je n’en suis pas si sûr…). Évidemment que le pire du pire, c’est Macron. Mais nous sommes actuellement en France tellement dans un marasme moral et politique profond que même des candidats moins pires que Macron seraient les pires à des périodes plus apaisées et équilibrées.
 

Donc, de mon côté, c’est « NON » pour Zemmour. Même s’il passe devant Marine Le Pen, et qu’il se retrouve face à Macron au second tour face à Macron. Je ne privilégierai pas la peste au bénéfice du choléra (et je ne parle pas ici des personnes mais de leur action politique).