Archives de catégorie : Je l’ai dit

Qui est l’Antéchrist, d’après toi?

Un internaute (avec un pseudonyme hispanophone) vient me voir aujourd’hui pour me demander en espagnol :
 

« Peut-être te méfies-tu d’un ‘profil anonyme’ comme le mien. Je ne sais pas si mes idées viennent de moi ou non, mais j’aimerais connaître l’avis de quelqu’un comme toi qui analyses les choses. Je suspecte 3 personnes d’être l’Antéchrist : Alex Soros, David Meyer de Rothschild et un 3e homme que je ne préfère pas nommer ici en public. Peut-être que je me trompe complètement… »
 

Je lui réponds :
 

« Tu as raison de t’interroger sur la provenance de tes idées : car je pense personnellement que chercher l’Antéchrist en dehors de ton cœur ou de ta propre personne, vient du diable. Nous pouvons tous, comme le dit saint Jean (1 Jn 2, 18), être l’Antéchrist, et encore plus si nous croyons que l’Antéchrist est forcément L’AUTRE, ou Soros et compagnie, et pas nous en premier !… car l’Antéchrist pense précisément la même chose ! Je ne commencerai à croire quelqu’un qui me parle de l’Antéchrist qu’à partir du moment où il se considèrera lui-même comme le potentiel premier Antéchrist. Ceux qui jouent aux devinettes avec l’Antéchrist – un Antéchrist autre qu’eux-mêmes – sont déjà dans l’erreur et commencent à devenir l’Antéchrist sans s’en rendre compte. »
 

Quel est votre logo préféré pour illustrer Singularity is Devil ?

Aidez-moi en votant pour le logo de mon roman Singularity is Devil (censé représenter la Marque de la Bête apocalyptique) que vous préférez et que vous verriez le mieux illustrer le podcast :
 

N°1 (la queue fléchée et fourchue)
N°2 (le dragon ailé)
N°3 (le serpent couronné)
N°4 (le serpent couronné S)
N°5 (le serpent couronné rieur)
N°6 (le 666 christique)
 

Vous pouvez mettre le numéro en commentaire, qui vous inspire le plus (et, pourquoi pas, un argument)…
Merci d’avance !
 





 

N.B. : Mon choix de l’anglais pour le titre est une référence à l’essai Singularity is near de Kurzweil, qui traite justement de la singularité comme le moment où la machine remplace l’Humain. Ce n’est donc pas du snobisme de ma part pour « faire cool et branché », mais bien un écho à l’autre sens de la singularité, dans le jargon des geeks et des maîtres de Gafa. Et par ailleurs, j’ai aussi appris dernièrement qu’en astronomie, la « Singularité » était le nom donné aux « trous noirs » (donc une référence aux zones de néant et diaboliques dans le Cosmos).

Le cas soeur Albertine, on en parle ?

 

Ce qui est dramatique dans l’Église Catholique actuelle (et que j’appelle la « franchise », au sens même maçonnique autant qu’intentionnel du terme), c’est cette joie et Espérance forcées, cette auto-injonction à tout positiver pour « prouver sa Foi » (et surtout se faire voir et se faire de la thune…) et prouver sa « joie dans le Seigneur », comme le fait constamment la jeune religieuse des réseaux sociaux soeur Albertine. Cet air béat et cucul, cet enthousiasme surjoué, c’est un désastre. Ça n’évangélise et ne convainc personne. Au passage, la jeune femme, en plus d’être complètement à côté de la plaque (par rapport à Notre-Dame, à l’attentat qui y a eu lieu, et à la récupération par les francs-maçons du sanctuaire), en plus d’avoir l’air d’une imbécile heureuse illuminée (désolé, mais c’est ça), est une caricature vivante des petites bourgeoises BCBG tradismatiques (qui, à la différence des Miss France qui ont une « cause qui leur tienTAcoeur », ont toujours « quelque chose dans le coeur » ou « sur le coeur » qu’il leur viendrait directement de l’Esprit Saint, qu’elles se sentent l’obligation de dire absolument et « en toute humilité/joie/amitié » à la grande assemblée, … et qui est en général totalement creux). Ce n’est pas « Jacques a dit » ou « Jésus te dit », mais « SurLeCoeur a dit ». Quand va-t-on sortir de la posture, se réveiller, et parler vrai (au lieu de jouer celui qui parle vrai et qui est convaincu de l’Amour de Dieu)?
 


 





Homélie franc-mac’ et chiante de Mgr Ulrich pour l’inauguration de Notre-Dame

Juste une image, pour illustrer l’homélie (franc-mac’ et chiante) de l’archevêque de Paris, Mgr Ulrich, à #NotreDame.
 

« Le matériau choisi par l’artiste – le bronze – entre, vous le voyez, dans un dialogue FRANC avec l’édifice de PIERRE. » (7’40)
 


 
 
 

Et là, je vois des contacts qui s’extasient sur la lecture du « Pont » de Victor Hugo par Marion Cotillard… Apportez-moi une corde… ou bien je vais me jeter sous un… PONT. Le pont – je l’ai étudié largement – est une métaphore très courue de la Franc-Maçonnerie… mais comme les gens (et spécialement les cathos) n’y connaissent rien au symbolisme maçonnique et s’en désintéressent (parce qu’au fond, ils l’intègrent sans s’en rendre compte), ils applaudissent comme des cons…

La série Cat’s Eyes : un avant-goût de l’implantation de la Marque de la Bête de l’Apocalypse

La série Signé Cat’s Eyes, qui cartonne sur TF1, est une préfiguration de la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans l’Apocalypse (Apo 13), à savoir le remplacement de notre personne de chair et de sang par notre identifiant numérique (le 666 implanté de manière subcutanée sur le front ou la main… et les 3 héroïnes représentent, à leur manière, chacun des numéros 6). Écoutez cette interview, où il est question justement d’une « Marque » féminine bestiale sur la main, et basée sur l’auto-détermination :
 

 

Il s’agit bien d’une marque ou d’une signature codée. L’actrice Constance Labbé va même jusqu’à dire, à la 4’16 minute de cette autre interview (sur Europe 1), que la puce (que représente la carte de visite lancée dans les airs par les héroïnes, pour signer mystérieusement leur identité d’agents doubles justicières et félines) va apparaître par la suite dans la série : « Les cartes, on les implante, mais par la suite. » (5’03).
 

 

J’attends avec impatience que le mot « Singularité » sorte à un moment donné dans l’un des épisodes. Je guette…

Carlo Acutis : le business démago et infondé

Je vais peut-être vous étonner, mais je trouve que cet article est encore trop complaisant et pas encore assez sévère avec le cas Carlo Acutis. Sans doute à cause du sacramentalisme eucharisto-centré du père Barré. Car je ne vois même pas de « profondeur spirituelle » dans les mots et la vie de ce jeune homme, ni d’évidences à le béatifier (on ne sait même pas quels « miracles » post-mortem il aurait faits…). Cet article oppose l’image instrumentalisée en coolitude de l’adolesent italien à une supposée force sainte et indéniable de sa vie. Or, je ne comprends même pas l’existence de la seconde. Bien sûr, la récupération est évidente : en me rendant à la librairie La Procure Saint Sulpice à Paris, à la section « jeunesse », pour faire mes achats de Noël pour mes filleuls, j’ai pu voir tous les articles dédiés à Carlo Acouphène, et je me suis dit : « Ben dis donc, c’est du matraquage et du lavage de cerveau, avant même qu’il soit déclaré saint. Cette béatification est un sacré business, en plus d’une démagogie d’Église mourante… ». Mais tout ça ne rend pas, par opposition, cette béatification nécessaire et authentique. Je ne suis pas d’accord avec le père Barré. Sa critique est encore trop tiède.

Le Coup de Marlène (Marlène Schaff présente à son insu la Singularité comme la Marque de la Bête, à la Star Academy)

Énorme ! Marlène Schaff, dans La Quotidienne de la Star Academy de ce soir (2 décembre 2024), a sans le faire exprès illustré ce que j’essaie de dire depuis le départ sur la SINGULARITÉ, à savoir que celle-ci est la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans l’Apocalypse (Apo 13). Elle a dit textuellement à Marguerite :
 

« On disait de Pierre l’année dernière que il avait cette SINGULARITÉ qui faisait que peu importe la chanson qu’il devait interpréter, ça devenait la chanson de Pierre. Je trouve que plus les semaines passent et plus tu es comme ça aussi. Tu réussis à METTRE TA PATTE sur tout ce que tu fais. »
 

#Singularity #Singularité #StarAcademy #StarAc #StarAcademyLive #TF1 #Marlène #Marguerite #SingularityIsDevil #MarqueDeLaBête #SingularityIsNear #Lucifer
 

 

3 courtes vidéos sur mon compte Instagram , intitulées « Le Coup de Marlène » :
 

Part 1 :
 


 

Part 2 :
 


 

Part 3 :
 

Le massacre de Notre-Dame par les francs-maçons

Le paradoxe de ma vie : mon article est applaudi par beaucoup (+ de 1 million de vues sur Twitter) et mon article n’est partagé par personne, et moi on m’anonymise complètement…

Je regarde ce que les francs-maçons ont fait de Notre-Dame de Paris (et quand je dis cela, je parle en connaissance de cause : j’ai entendu le Grand Maître de la GLDF en personne, Marc Henry, se vanter d’avoir rebâti, lui et d’autres obédiences, la cathédrale !) et je suis horrifié. C’est luciférien, au sens propre et aseptisé du terme : c’est sur-éclairé. Il n’y a plus de place pour l’obscurité, donc pour le mystère et la prière. Une bougie, par exemple, ne pourra plus brûler ni éclairer. C’est fini (et je parie qu’ils vont les interdire : risque d’incendie ! #PrenezNousPourDesConsCEstVachementUneBougieQuiEstLaCauseDeLIncendie). Tout est blanchi, aurifié, calcairisé, nettoyé à la chaux, muni de détecteurs, éclairé dans le moindre détail. C’est un massacre. On ne peut pas prier là-dedans. C’est devenu un musée. Les deux cours des sculptures du Louvre!
 

Moi, je me souviens très bien de l’ancienne ombre du lieu, et de la fraîcheur, de l’intimité avec Dieu, que celle-ci permettait. Et le dessin animé « Le Bossu de Notre Dame » de Disney, malgré ses imperfections et excès, a au moins le mérite d’avoir reproduit fidèlement l’obscurité de l’intérieur de Notre-Dame. Le seul moment où je l’aie vue briller de mille feux, c’était – et ça devait le rester – lors de la messe de confirmation des 400 néo-catéchumènes (j’étais parrain de Mélanie). Et sans doute à Pâques, évidemment (le transept se devait d’être lumineux). Mais une cathédrale, et à plus forte raison dédiée à la Vierge Marie, pour rester priante, ne doit pas être sous le feu des projecteurs ni éclairée comme un Château de Versailles. Ce n’est pas la Cour de Louis XIV ! Ce n’est pas un lieu de prestige, clinquant, bling-bling. C’est un lieu de prière et de dialogue obscur, silencieux, ombragé, en compagnie de la Vierge. Jadis, elle était mon coin d’ombre, de fraîcheur, d’intimité, d’oraison, d’isolement, quand dehors la canicule frappait. Maintenant, plus personne ne pourra s’y cacher avec Dieu.
 

Les francs-maçons et Macron ont tué Notre-Dame. Et vous pouvez être sûrs que la majorité des catholiques et des évêques n’y verront rien, et joueront les éblouis, les illuminés… (ils avaient déjà nié que c’était un attentat et non un incendie…).
 

À nouveau la singularité promue à la Star Academy

À nouveau, hier soir, Michael Goldman, lors du prime de la Star Academy, a explicitement fait la promotion de la « singularité »! Je ne rêve pas. C’est vraiment la Marque de la Bête de l’Apocalypse. Je collecte tous ces passages pour mon futur roman Singularity is Devil, qui avance bien (j’en suis à l’épisode 35, et il y en a 57). Bien que certains essaient de me faire taire, de me censurer, et dénigrent mon travail, j’irai jusqu’au bout. Et ce qui est assez dingue, c’est que j’ai déjà reçu 5 candidatures de comédiens parisiens intéressés pour faire les voix-off du podcast.
 

Je rappelle, pour ceux qui souhaitent comprendre le caractère démoniaque, monstrueux et apocalyptique de la singularité, que ce mot renvoie principalement à deux choses :

1) Dans le jargon des geeks (c.f. l’essai Singularity is near de Kurzweil), la singularité est le moment de basculement où l’Humain est dépassé et remplacé par la machine.

2) Dans la pensée commune, la singularité est à la fois l’unicité et l’originalité rebelle de chaque être humain (autodétermination et signature) ET chaque être humain. Elle marque (c’est le cas de le dire…) le remplacement de notre être de chair et de sang par notre identifiant numérique, et portera notre nom pour nous faire croire qu’elle est nous.