Je démontre depuis 1 an que la Singularité est la « Marque de la Bête » de l’Apocalypse. Regardez cette interview de l’entrepreneur à succès Oussama (Ammar) à partir de 1h57, qui se dit le « King of Singularity », et allie la singularité aux Pokémon, donc à la Bête!
(Regardez son arrogance décontractée. C’est effrayant. Et il reprend à son compte exactement le slogan de la voiture LBX « L’Exceptionnel comme standard ». C’est ça, la Marque de la Bête : ériger l’exceptionnalité en standard, en marque « qualité » universelle.)
Si vous voulez mon avis, en toute honnêteté (et croyez-en ma vieille expérience de côtoiement des hommes trans M to F!), la thèse conspirationniste/complotiste selon laquelle Brigitte Macron serait un homme (un certain Jean-Michel Trogneux) ne tient pas debout. Ce qui me le fait dire, c’est sa voix : j’écoute Brigitte lors de sa dernière interview au JT de TF1, et sa voix est parfaitement féminine. Il faut savoir que, même dans les processus de « transition » les plus réussis, la voix (en plus des mains et des pieds) est l’élément humain le plus difficile à modifier, à trafiquer. Les tentatives de changement vocal par la prise d’hormones sont peu probants. La voix et les mains, malgré tout ce que feront les hormones et la chirurgie, resteront inchangées et « trahiront » toujours l’origine et l’essence sexuée d’une personne, a fortiori le « passing » d’homme à femme (l’illusion plus crédible est celle du passing de femme à homme).
Ceci dit, ça n’enlève rien à la très probable bisexualité du président Macron, à l’existence des « trous » étranges dans la biographie de Brigitte (pas de photos d’elle enceinte, pas de traces de l’ex-mari…), ni au caractère incestuel malsain et artificiel du « couple » présidentiel (ça sent l’arrangement et la couverture pour accéder au pouvoir…). J’entends tout ça. Mais la suspicion-accusation calomnieuse de transsexualité décrédibilise le camp complotiste (y compris Candace Owens, Dieudonné, Jean-Dominique Michel, ou des médias comme Tocsin). À croire que ces derniers font exprès de se focaliser sur la transsexualité de Brigitte Macron pour occulter/couvrir le reste des faits (bien plus plausibles) que je viens de souligner.
Je regarde la série Elsbeth ce soir sur TF1. C’est un parfait exemple de ce que je démontre sur la SINGULARITÉ en tant que « Marque de la Bête » de l’Apocalypse! L’héroïne est la Bête curieuse « géniale » animalisée et technologisée.
#Elsbeth #Singularité #SingularityIsDevil #HPI
En fait, la singularité telle que définie par les médias est tout sauf singulière. Elle est le nouveau conformisme. On se démarque pour mieux être marqué.
N.B. : Ce qui est vrai pour Elsbeth l’est aussi pour d’autres séries. J’ai un gros dossier – que j’ai composé moi-même – sur Joséphine ange gardien en tant que Bête technologisée : elle se définit ainsi. Et puis ça peut marcher avec Scooby-Doo, Ugly Betty, HPI, Columbo, Astrid et Raphaëlle, etc. En fait, depuis des décennies, les réalisateurs sont en train de nous faire un lavage de cerveau, de nous dresser, pour que nous nous identifiions à des héros ou des héroïnes incarnant la Marque de la Bête.
Ça y est : je pense avoir deviné sur quel sujet le pape François va se faire avoir, rétropédaler trop tard. L’histoire de la dette. Il veut faire de l’année jubilaire 2025 « l’occasion de remettre les dettes, en particulier qui pèsent sur les pays les plus pauvres ». Sauf que cette remise de dette impliquera la Blockchain, donc la Marque de la Bête.
Un internaute (avec un pseudonyme hispanophone) vient me voir aujourd’hui pour me demander en espagnol :
« Peut-être te méfies-tu d’un ‘profil anonyme’ comme le mien. Je ne sais pas si mes idées viennent de moi ou non, mais j’aimerais connaître l’avis de quelqu’un comme toi qui analyses les choses. Je suspecte 3 personnes d’être l’Antéchrist : Alex Soros, David Meyer de Rothschild et un 3e homme que je ne préfère pas nommer ici en public. Peut-être que je me trompe complètement… »
Je lui réponds :
« Tu as raison de t’interroger sur la provenance de tes idées : car je pense personnellement que chercher l’Antéchrist en dehors de ton cœur ou de ta propre personne, vient du diable. Nous pouvons tous, comme le dit saint Jean (1 Jn 2, 18), être l’Antéchrist, et encore plus si nous croyons que l’Antéchrist est forcément L’AUTRE, ou Soros et compagnie, et pas nous en premier !… car l’Antéchrist pense précisément la même chose ! Je ne commencerai à croire quelqu’un qui me parle de l’Antéchrist qu’à partir du moment où il se considèrera lui-même comme le potentiel premier Antéchrist. Ceux qui jouent aux devinettes avec l’Antéchrist – un Antéchrist autre qu’eux-mêmes – sont déjà dans l’erreur et commencent à devenir l’Antéchrist sans s’en rendre compte. »
Aidez-moi en votant pour le logo de mon roman Singularity is Devil (censé représenter la Marque de la Bête apocalyptique) que vous préférez et que vous verriez le mieux illustrer le podcast :
Vous pouvez mettre le numéro en commentaire, qui vous inspire le plus (et, pourquoi pas, un argument)…
Merci d’avance !
N.B. : Mon choix de l’anglais pour le titre est une référence à l’essai Singularity is near de Kurzweil, qui traite justement de la singularité comme le moment où la machine remplace l’Humain. Ce n’est donc pas du snobisme de ma part pour « faire cool et branché », mais bien un écho à l’autre sens de la singularité, dans le jargon des geeks et des maîtres de Gafa. Et par ailleurs, j’ai aussi appris dernièrement qu’en astronomie, la « Singularité » était le nom donné aux « trous noirs » (donc une référence aux zones de néant et diaboliques dans le Cosmos).
Ce qui est dramatique dans l’Église Catholique actuelle (et que j’appelle la « franchise », au sens même maçonnique autant qu’intentionnel du terme), c’est cette joie et Espérance forcées, cette auto-injonction à tout positiver pour « prouver sa Foi » (et surtout se faire voir et se faire de la thune…) et prouver sa « joie dans le Seigneur », comme le fait constamment la jeune religieuse des réseaux sociaux soeur Albertine. Cet air béat et cucul, cet enthousiasme surjoué, c’est un désastre. Ça n’évangélise et ne convainc personne. Au passage, la jeune femme, en plus d’être complètement à côté de la plaque (par rapport à Notre-Dame, à l’attentat qui y a eu lieu, et à la récupération par les francs-maçons du sanctuaire), en plus d’avoir l’air d’une imbécile heureuse illuminée (désolé, mais c’est ça), est une caricature vivante des petites bourgeoises BCBG tradismatiques (qui, à la différence des Miss France qui ont une « cause qui leur tienTAcoeur », ont toujours « quelque chose dans le coeur » ou « sur le coeur » qu’il leur viendrait directement de l’Esprit Saint, qu’elles se sentent l’obligation de dire absolument et « en toute humilité/joie/amitié » à la grande assemblée, … et qui est en général totalement creux). Ce n’est pas « Jacques a dit » ou « Jésus te dit », mais « SurLeCoeur a dit ». Quand va-t-on sortir de la posture, se réveiller, et parler vrai (au lieu de jouer celui qui parle vrai et qui est convaincu de l’Amour de Dieu)?
Juste une image, pour illustrer l’homélie (franc-mac’ et chiante) de l’archevêque de Paris, Mgr Ulrich, à #NotreDame.
« Le matériau choisi par l’artiste – le bronze – entre, vous le voyez, dans un dialogue FRANC avec l’édifice de PIERRE. » (7’40)
Et là, je vois des contacts qui s’extasient sur la lecture du « Pont » de Victor Hugo par Marion Cotillard… Apportez-moi une corde… ou bien je vais me jeter sous un… PONT. Le pont – je l’ai étudié largement – est une métaphore très courue de la Franc-Maçonnerie… mais comme les gens (et spécialement les cathos) n’y connaissent rien au symbolisme maçonnique et s’en désintéressent (parce qu’au fond, ils l’intègrent sans s’en rendre compte), ils applaudissent comme des cons…
La série Signé Cat’s Eyes, qui cartonne sur TF1, est une préfiguration de la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans l’Apocalypse (Apo 13), à savoir le remplacement de notre personne de chair et de sang par notre identifiant numérique (le 666 implanté de manière subcutanée sur le front ou la main… et les 3 héroïnes représentent, à leur manière, chacun des numéros 6). Écoutez cette interview, où il est question justement d’une « Marque » féminine bestiale sur la main, et basée sur l’auto-détermination :
Il s’agit bien d’une marque ou d’une signature codée. L’actrice Constance Labbé va même jusqu’à dire, à la 4’16 minute de cette autre interview (sur Europe 1), que la puce (que représente la carte de visite lancée dans les airs par les héroïnes, pour signer mystérieusement leur identité d’agents doubles justicières et félines) va apparaître par la suite dans la série : « Les cartes, on les implante, mais par la suite. » (5’03).
J’attends avec impatience que le mot « Singularité » sorte à un moment donné dans l’un des épisodes. Je guette…