Archives de catégorie : Je l’ai dit

Le pistolet arc-en-ciel sur la tempe de beaucoup de chefs d’établissements scolaires

Le harcèlement scolaire, ce n’est pas que les élèves qui le subissent.
 

Voilà le quotidien des chefs d’établissements scolaires aujourd’hui en France, y compris dans des collèges-lycées dits « protégés » : depuis une dizaine d’années, et de manière plus prononcée depuis 1 an, ils se retrouvent confrontés à un minimum de 3 cas concrets de pression homosexuelle ou transidentitaire au sein de leur établissement.
 

En effet, j’ai reçu plusieurs témoignages privés de proviseurs qui, sans être dépassés, font le même constat alarmant : explosion de la bisexualité et de la transidentité parmi leurs élèves, en particulier depuis la crise sanitaire qui a laissé plein d’élèves et de familles dans la dépression. Trois cas minimum en 1 an, c’est bien la preuve que le phénomène n’est pas anecdotique, et même, qu’il est en pleine expansion. Car je n’ai que le retour d’une poignée de directeurs, ceux qui sont droits dans leurs bottes, qui ne cèdent pas aux chantages ni à la banalisation/relativisme ambiant ni à la peur, et qui osent ouvrir la bouche. Ils sont une minorité : ça laisse donc présager du caractère massif de l’idéologie bisexualisante-asexualisante en marche… et ça laisse aussi deviner le désarroi de beaucoup de chefs d’établissement dépassés par la lame de fond, ne pouvant pas parler tout haut de situations qui engagent beaucoup de monde mais qui pourtant ont l’air privées, marginales et sont placées sous le sceau de l’anonymat. Du coup, ils se démerdent en gérant tant bien que mal le « cas par cas »… jusqu’au moment où leurs « petites » affaires éclateront au grand jour et deviendront des scandales publics dont ils seront rendus responsables et dont ils ne pourront plus se défaire si jamais ils leur opposent résistance.
 

Dans un contexte de délabrement généralisé des familles, de souffrances nouvelles des jeunes, de harcèlement scolaire relayé et renforcé par le climat de délation/transparence des réseaux sociaux, de viols et de filles agressées sexuellement lors de soirées, de prostitution juvénile en recrudescence, il est toujours plus facile de se tourner vers les fausses solutions/consolations et les fausses portes de sortie des crises, que sont les coming out arc-en-ciel (homos ou bis ou trans). Ça fait diversion. Et même si ça ne règle pas les problèmes à la racine (au contraire, ça les maquille et les renforce), ça donne l’illusion que ça les règle. Beaucoup de jeunes actuellement se croient dans leurs films ou leurs séries nord-américaines, et se mettent à imiter leurs héros d’Instagram, de YouTube, de la fac, ou de la High School télévisuelle. Voici quelques mimétismes que beaucoup de chefs d’établissements peuvent désormais observer dans l’enceinte de leur école :
 

coming out homos (ou plutôt bis) « retentissants », par exemple pendant les « débats citoyens » de classe et les heures de « vie de classe ».

coming out trans : des élèves de collège ou de lycée demandent ouvertement à « changer de prénom » (exemple : « Je m’appelais Marie, mais maintenant, vous m’appellerez Mario ! C’est un ordre et un fait ! »), et il faut que l’équipe pédagogique et la direction prennent acte de leur choix « assumé » d’identité sexuée (« Il faut respecter : c’est mon ressenti, c’est mon corps, c’est mon choix, et c’est mon droit. Et si vous ne le respectez pas, je solliciterai l’arsenal juridique et les autorités médiatiques pour que vous cédiez à ma demande légitime ! »).

– publication « sauvage » de témoignages LGBT et d’articles pro-gays dans le journal de l’établissement.

– travestissement (mec en robe) lors du gala de l’école (avec des fausses demandes d’autorisation préalables : je dis « fausse » car les chefs d’établissement voient même leur refus d’autorisation transgressé le Jour J…).

– création d’associations d’élèves contre l’homophobie ou contre la transphobie, cachées derrière l’alibi victimisant du harcèlement scolaires.

– mini campagnes médiatiques (vidéos, films) sur Internet et les réseaux sociaux (contre la « transphobie » ou les « LGBT-phobies »).
 

Cette propagande homo-bi-transsexuelle n’est pas un épiphénomène. Même si les catholiques et l’inspection académique ne disent rien, laissent faire, laissent les proviseurs à leur solitude et au musèlement croissant dont ils font l’objet, c’est bien une lame de fond. Et la digue d’opposition est en train de céder avec une facilité déconcertante.

Un autre jumeau homo

Et voilà ! En plein dans le 1000 ! Hier, j’ai fait la rencontre d’un gars homo de 26 ans, qui a un frère jumeau (un vrai)… mais contrairement à moi (mon frère jumeau n’est pas homo), son frère l’est aussi !
 

Et je précise qu’il m’a dit que lui et son frère ne se sont jamais désirés l’un l’autre érotiquement. Idem me concernant, vis-à-vis de mon frère.
 

Pour tous ceux qui veulent creuser la question du lien non-causal entre homosexualité et gémellité

« Au revoir, mon père. »

Je sors de confession à Saint Sulpice. Le prêtre a été tellement déboussolé, ému, édifié, par notre échange, qu’à la fin, au moment de me dire au revoir, il m’a sorti sans le faire exprès : « Au revoir, mon père. » (LOL)

La naïveté de la majorité des catholiques par rapport à la sexualité des jeunes d’aujourd’hui, et en particulier à leur expérience bisexuelle


 

Ce matin, j’étais à la messe des familles à saint Médard. Un peu avant le début de la célébration, une amie – et jeune mère de famille – dont la fille aînée est en pleine adolescence, m’a pris à part pour me confier que cette dernière avait eu récemment une aventure bisexuelle avec une autre fille, et se posait la question – non pas de l’homosexualité mais – de sa bisexualité, donc le fait d’être attirée par les deux sexes (garçons ou filles). Cette amie me disait que le phénomène lui semblait très répandu chez les jeunes, et que désormais, entre la vulgarisation du porno, la banalisation/idéalisation médiatique de l’homosexualité, et la diabolisation de la pédophilie venant d’un adulte (diabolisation qui, pour le coup, édulcorait et « autorisait » d’une certaine manière la pédophilie pratiquée entre adolescents), l’expérience bisexuelle était devenue presque une mode entre ados, un passage obligé dans la tête et le coeur d’un grand nombre de jeunes entre 12 et 17 ans. Y compris dans les sphères catholiques.
 

C’est loin d’être le seul témoignage que j’entends dans ce sens. Un autre ami – et père de famille – m’a dit que sa jeune fille de 14 ans, elle aussi, se disait « bi ». J’ai pu d’ailleurs en parler avec la concernée, qui semblait vraiment jouer l’épanouie, droite dans ses baskets, et complètement désinvolte. Et je sais que dans certaines classes de collèges/lycées (y compris privés), une écrasante majorité d’élèves filles se prétendent fièrement et ouvertement « bisexuelles/lesbiennes », pas seulement pour la gueule ou l’image ou le goût de la transgression « originale », mais aussi pratiquement. Je pense que c’est une réalité.
 

Et quand je vois qu’il y a encore dans les rangs catholiques un aveuglement minorant/méprisant le phénomène (une mère de famille catho m’a sorti sur Facebook qu’elle était soulagée que ses enfants n’entendent pas de conférences de moi sur l’homosexualité, estimant sans doute – et à tort – que ses ados vivent dans une bulle de pureté, et que l’homosexualité était un sujet uniquement d’« adultes » et « pornographique »), je me dis que la plupart des catholiques n’est pas au bout de ses surprises et de ses peines ! La vague des abus sexuels et de la pédophilie, présentée comme la plus grande et la plus dévastatrice que l’Église ait connue (alors que tout le monde s’accorde pour condamner la pratique pédophile… y compris les pédophiles!), ce n’est rien à côté de la vague de la bisexualité asexualisante/sentimentale/homosexualisante (que personne n’arrive à contester ou à identifier comme mauvaise, violente ou douloureuse) qui leur arrive dans la figure, et qui, elle, va engloutir l’Église Catholique humaine temporelle ! Je vous préviens depuis plus de 20 ans. Continuez à ne pas m’écouter !

Pourquoi je ne voterai même pas Zemmour

Une amie me demande à l’instant : « Bonjour Philippe. Comment vas-tu? Question perso: as-tu un candidat favori pour la présidentielle de 2022? »
 

Je lui réponds : « Salut D. Malheureusement, aucun. En mon âme et conscience, je ne peux même pas voter pour Zemmour. »
 

 

Pour l’instant, vu les candidats qui se présentent à l’élection présidentielle française, je ne vois personne qui ne soit pas dangereux. Et concernant mon opinion sur Éric Zemmour, je n’oriente pas mon jugement sous l’influence de la propagande/lynchage médiatique actuelle contre ce monsieur, donc du « ZemmourBashing » (basiquement fondé sur l’anti-racisme et l’anti-fascisme), mais sur la base d’un déjeuner que j’ai vécu en 2013 dans un restaurant huppé des Champs-Élysée avec Zemmour en personne. En effet, deux amis communs à nous avaient tenu à nous faire rencontrer, et surtout à ce que Zemmour me connaisse et m’écoute concernant l’homosexualité, car c’était un sujet de premier plan au niveau politico-médiatique. J’ai donc connu Zemmour de près (il était assis à ma droite) puisque nous déjeunions dans une petite salle privée, rien que pour nous 4, où j’étais censé être écouté par le grand maître. Le déjeuner a duré 1h30. Et je peux vous certifier que Zemmour n’écoute pas (il a monopolisé tout le temps de parole : je n’ai pas pu en placer une!), est un égo sur pattes, et méprise/ignore non seulement l’homosexualité et les personnes homosexuelles, mais aussi la différence des sexes et les catholiques/l’Église catholique. Un vrai monologue. Pourtant, toutes les conditions étaient réunies pour avoir un échange équilibré, cordial et nourri, a fortiori parce qu’à cette époque, Zemmour était déjà sous les feux de la rampe mais pas encore présidentiable, donc il n’avait pas de pression spéciale, de visée électoraliste ni de discours politiquement correct à tenir (il avait été chroniqueur chez Ruquier dans On n’est pas couché et avait son émission avec Éric Naulleau sur la chaîne Paris Première). Aucune raison pour ne pas m’écouter.
 

Alors, certes, on me dira qu’une personne a le droit de changer, et ne peut pas être arrêtée à une impression ou à un souvenir de 8 ans. On m’avancera aussi que c’est « le moins pire des candidats » (Personnellement, je n’en suis pas si sûr…). Évidemment que le pire du pire, c’est Macron. Mais nous sommes actuellement en France tellement dans un marasme moral et politique profond que même des candidats moins pires que Macron seraient les pires à des périodes plus apaisées et équilibrées.
 

Donc, de mon côté, c’est « NON » pour Zemmour. Même s’il passe devant Marine Le Pen, et qu’il se retrouve face à Macron au second tour face à Macron. Je ne privilégierai pas la peste au bénéfice du choléra (et je ne parle pas ici des personnes mais de leur action politique).

La loi-bidon de l’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité est passée aujourd’hui, dans un plébiscite écrasant


 

La loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité a été approuvée aujourd’hui haut la main à l’Assemblée Nationale en France. Tout accompagnant (psy ou religieux) de personnes homosexuelles risque amende et poursuite judiciaire… Clap clap clap. On applaudit bien fort comme des cons cette « avancée », et cette prolifération légaliste des interdits autour des personnes homosexuelles (Comme si nous avions besoin de ça… !).
 

Et quand je vois ce « 0 » pointé pour les voix « contre », je ne peux qu’hésiter entre rire et consternation. Zéro voix « contre » : c’est un « victoire » écrasante ! Et pourtant, quelle grosse pitié. Ça sent les mécanismes de réactions de meute ou de cour de collège, où nos dirigeants votent des lois inutiles, bien-pensantes, idéologiques et complètement déconnectées du réel, concernant des sujets qu’ils croient connaître mais dont ils ignorent les tenants et aboutissants (c.f. mon livre décrivant ce que sont vraiment les thérapies de conversion) sans liberté. Comme une masse uniforme et aveugle.
 

Moi, perso, je suis estomaqué face à cette pensée unique qui se rallie – par peur et moutonnage – autour de ce qu’elle croit être une évidence (« Oui, nous, déPUTés, sommes tous unis contre la torture que sont les thérapies de conversion de l’homosexualité !! »), évidence qui se trouve être dans les faits pourtant un mensonge (car ces groupes de thérapies ne sont en général pas du tout des tortures : ces députés ne savent même pas ce que sont les groupes de thérapie – groupes qui pour la plupart ne prétendent absolument pas modifier l’orientation sexuelle des personnes, et sont – du moins en France – de simples groupes d’accompagnement et de parole).
 

La France tombe bien bas. On se retrouve avec une prolifération de lois inutiles, hors-sol, votées massivement à l’échelle nationale. Plébiscitées… mais sans aucun discernement ni souci des personnes homosexuelles réelles. C’est la victoire de l’ignorance et de la peur, en plus de la victoire de l’homophobie gay friendly. Affligeant.
 

 

Je suis peiné (même si je ne suis pas à faveur de ces groupes : je suis en tout cas contre leur prohibition). Car ça ravive en moi la douleur de l’abandon de la part des miens : mon livre sur les thérapies de conversion, que j’avais écrit et publié quelques jours avant le tournage des « Folles de Dieu » fin 2019, n’a fait l’objet d’aucun soutien des catholiques (qui globalement s’en foutent complètement du sujet de l’homosexualité, et de nous : ils préfèrent jouer les pleureuses sur les abus sexuels, c’est tellement moins risqué). Et je vois à nouveau leur homophobie à travers un événement comme celui-là qui ne suscite aucune réaction de la part du clergé ou des fidèles catholiques, alors que pourtant cette loi les attaque quasi directement. C’est écoeurant.
 

Je vous partage ma peine autant que ma défaite.

La loi anti-thérapies de conversion de l’homosexualité va passer en octobre en France

La loi interdisant les #ThérapiesDeConversion en France, et portée par la députée lesbienne Laurence Vanceunebrock-Mialon, va être présentée à l’Assemblée Nationale aujourd’hui (mardi) et demain (mercredi), et a de fortes chances de passer comme un lettre à la Poste, tant les gens s’en foutent de l’homosexualité et des personnes homos, mais les craignent dans le même temps.
 

Ma voix compte peu et ne pourra rien contre cette loi-bidon. Mais au moins, j’aurai fait ce que j’ai pu pour en dénoncer la vacuité/dangerosité/homophobie (puisqu’elle va empêcher toute personne homo d’être accompagnée religieusement ou médicalement).
 

Voici 3 liens utiles pour en comprendre les enjeux :
 

– mon livre publié aux éditions Vérone.
 

– mon interview par Louis d’Avignon.
 

– mon article dénonçant le mouvement #RienÀGuérir porté par Benoît Berthe (qui fait croire qu’il a connu « l’enfer des thérapies de conversion » alors qu’il n’y a jamais foutu les pieds…).

École du partage

Abdel, mon coloc musulman, c’est vraiment une école du partage. Il partage comme il respire. Le peu qu’il a, il a besoin de le partager. C’est naturel pour lui. J’en apprends beaucoup à son contact, car je me rends compte que je ne partage pas assez, que j’ai parfois du mal à partager, que je suis encore radin ou trop dans le contrôle. C’est une vraie école du partage que j’expérimente depuis 3 mois avec lui.
 

Et ce midi, nous parlions de nos parents respectifs. Sa maman, au Maroc, est très connue dans le quartier où ils habitent, car à chaque fois qu’elle cuisine, il garde toujours une grosse portion de nourriture pour les pauvres. Et Abdel comme moi, nous n’avons jamais surpris nos parents en défaut d’accueil et de générosité. Ils ont toujours eu le coeur sur la main, n’ont pas compté ce qu’ils donnaient, et prenaient même parfois de leur indigence pour partager ou aider leur prochain (et à plus forte raison, leurs enfants).

Projet d’écriture

J’ai pour projet de prochain livre d’écrire un essai en deux parties (équitables), pour peser le « pour » et le « contre », comme si je tentais l’exercice de l’objectivité, de l’impartialité, avec une colonne de gauche et une colonne de droite) : « Les raisons pour lesquelles le couple homo est un mal/péché grave et qu’il vaut mieux y renoncer » / « Les raisons pour lesquelles l’Église a tort de le condamner et pour lesquelles certains couples homos valent le coup d’être vécu ». J’ai déjà commencé à écrire ce livre important, à lister les arguments à charge et à décharge.
 

Car force est de reconnaître que ce genre d’ouvrage, où il n’y a pas de parti pris global pour l’une des deux thèses, et donc d’orientation idéologique/moral/théologique arbitraire, de postulat doctrinal, n’existe pas. Et moi, j’ai envie non pas de me faire l’avocat du diable, ni de tout justifier ou de relativiser pour finalement donner raison à tout le monde et personne, mais d’être le plus juste et le plus aimant possible avec tout le monde, me mettre à la place de chacun, peut-être pour au final donner encore plus raison à l’Église Catholique, a fortiori à travers un chemin intellectuel plus incarné, questionné, nuancé, affronté, éprouvé, mis en difficulté ou épuré par une contradiction qui mérite aussi d’être écoutée et défendue. Et dans cette affaire de couple homosexuel et d’homosexualité, la question fondamentale qui a légitimement besoin d’être exposée et qui mérite réponse et travail (car vous allez voir que même les plus grands psychologues ou théologiens ne l’ont pas réglée), c’est bien : « Où est le mal, et c’est quoi le problème dans le couple homo ? En quoi c’est un péché grave ? »

L’importance de la confession par les temps qui courent

Je reviens de recevoir le sacrement de confession à la Basilique du Sacré-Coeur à Montmartre (Paris).
 

Avec le prêtre (un jeune, dynamique et plein d’humour), j’ai pu être compris quand j’exprimais ma gêne par rapport à certains actes de plus en plus banalisés voire vus comme « bons » par nos contemporains (l’inscription et la fréquentation des sites de rencontres, le fait de coucher avec quelqu’un pour le plaisir partagé ou la tendresse, de mater du porno, la masturbation, la fellation, la sodomie, le fait d’embrasser ou de sortir avec quelqu’un, la pratique homo, la prostitution ou la consommation gratuite par les plans cul, etc.).
 

J’ai pu aussi être pleinement compris quand j’exprimais ma peine face au manque de Foi (y compris des cathos pratiquants) et face à la décrédibilisation croissante de trésors – souvent invisibles mais pourtant réels – vécus par certaines personnes justes (mépris/désaffection pour la sainteté, pour la chasteté avant le mariage, pour le célibat sacerdotal – les prêtres passent pour d’hypocrites libertins cachés ou des « homos refoulés », pour le couple et le « faire couple », pour le renoncement à l’affectivité amoureuse, pour la famille traditionnelle, pour le célibat continent homosexuel…).
 

Oui. Une confession, ça remet tout ce qui avait été déplacé ou déformé à sa juste place ; ça révèle la vraie valeur des choses. Au-delà des mensonges et des fausses croyances (un catholique m’a sorti pas plus tard qu’aujourd’hui cette bêtise : « La masturbation n’est plus un péché depuis le Concile Vatican II ! »).