Passer toute la soirée à « discuter mecs », avec un ou plusieurs amis gays, c’est vraiment un des petits plaisirs de la vie homo !^^ (Il en faut bien quelques-uns). Et j’adore ça ces moments de récré et de défouloir-là ! 😉
Archives de catégorie : Je l’ai dit
Retour à la messe
Voilà ! J’ai assisté à ma première messe depuis le 8 mars dernier ! Ça fait plaisir de recevoir Jésus-hostie à nouveau ! 😇. C’était à la basilique Notre-Dame du Perpétuel Secours (dans le 20e). Et je peux vous dire que les règles de sécurité ont été respectées scrupuleusement : impressionnant (on ne m’a jamais donné une dose pareille de gel hydro-alcoolique dans les mains : j’étais limite complètement bourré haha). Les anticléricaux (comme Jean-Loup Adénor) qui font courir le bruit que les lieux de culte seraient des foyers viraux n’auront plus rien à redire de ce côté-là.
L’Albanie approuve la loi d’interdiction des thérapies de conversion
L’Albanie vient d’approuver la loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité (juste après Malte et l’Allemagne). L’étau se resserre sur la France… même si les catholiques français ne diront rien et laisseront faire (ils n’ont même pas accueilli mon nouveau livre sur le sujet ; ils n’en ont rien à foutre des personnes homosexuelles ; et ils ne savent même pas ce que c’est que les thérapies de conversion). Pour les rares qui veulent savoir de quoi il s’agit et à quelle sauce l’Église va être mangée, commandez mon livre.
Confession post-confinement
Comique, ma première confession post-confinement. Même si sur le moment j’ai pleuré. J’étais allé exprès voir un prêtre assez âgé qui m’avait déjà super bien confessé il y a quelques mois, avec beaucoup d’empathie. Mais là, c’était pas les mêmes ni meilleures conditions : dans le choeur d’un église à l’acoustique parfaite. Et comme ce prêtre est vraiment dur de la feuille, on a été obligés de rapprocher les chaises (donc déjà, niveau distances de sécurité, c’était pas du tout ça 😂) ; et comme il n’entendait pas tout des péchés que je lui disais en baissant/infléchissant subtilement ma voix, évidemment, il me faisait répéter (« Vous avez quoi ?? » me demandait-il gentiment ; « Vous avez fait quoi ?? » 😂). J’ai dû hurler mes péchés. Et je crois que beaucoup de paroissiens qui étaient là pour le temps de prière de 18h ont été au courant de mes actes les plus glorieux 😁.
Ce qui cloche dans les récents propos d’Alain Soral sur le Sida
J’ai regardé cette vidéo récente d’Alain Soral envoyée par un ami qui me demandait ce que j’en pensais. Et comme ça parle de la pandémie du Sida – que Soral dit « anecdotique » puis même « inexistante » -, je me dis qu’il fallait que je m’y arrête un peu et que je vous dise en quoi sa démonstration témoigne d’un truc qui ne va pas. Et pour cela, j’ai relevé 4 grands axes.
LA VULGARITÉ :
Tout d’abord, la tonalité, c’est-à-dire comment Alain Soral s’exprime et comment il parle des gens. Ça a l’air d’être un détail par rapport au fond. Mais non, c’est très important, le ton. Ça indique si une personne est dans l’Amour ou pas. Et dans cet extrait vidéo, Soral se montre particulièrement vulgaire, tranchant, et que du coup, il n’y a pas d’Amour. J’ai relevé certaines expressions telles que « maladie d’homosexuels », « gueule », « l’autre enculé », « virus d’enculés », « pédosataniste », « ses potes », « junky », etc. Il se permet de parler des gens – même pour les défendre et pour dire qu’ils sont victimisés – de la manière la plus violente qui soit. À un moment, il parle même d’un « petit myopathe : un enfant en train de baver sur son fauteuil roulant ». Quel est le respect que Soral a vis-à-vis même des victimes qui soi-disant seraient persécutées par des plus grands bourreaux que lui ? Honnêtement, aucun. Rien qu’avec le ton de la démonstration d’Alain Soral, je vois qu’il y a un problème et qu’il y a une violence. Donc même si cette violence verbale se veut illustrative d’une autre violence censée la dépasser, il y a une violence.
TROUVER UNE CAUSE AU MAL :
Deuxième point : je me méfie beaucoup des gens qui veulent trouver une origine au mal. Alors qu’on sait très bien, grâce à la parabole biblique du bon grain et de l’ivraie, que lorsqu’on demande au maître du domaine d’où vient l’ivraie, il dit « Je ne sais pas. Mais ce n’est pas moi qui l’ai posée ». Donc Jésus ne trouve jamais de justification ni d’origine au mal. Et ceux qui veulent trouver une origine au mal, en général, sont des créateurs ou des justificateurs du mal qu’ils dénoncent… sauf qu’ils se cachent derrière l’identité d’accusateurs ou de lanceurs d’alerte pour ne pas se voir complices : comme ça, on ne va pas précisément les accuser du mal qu’ils pointent du doigt. Mais trouver une origine au mal, ça, c’est une démarche qui ne va pas. Et dès le début de la vidéo, il y a une recherche des « causes » du mal… donc finalement une justification en filigrane. Il est question d’« origine », de « la racine du Sida », et concernant les soi-disant causes du Sida, il est question des « drogués », des « pratiques de sodomie », du « business », du « lobby ». Pour lui, c’est ça « l’origine » du mal. Alors que nous catholiques nous reconnaissons le mal, nous ne nions pas qu’il existe, mais en revanche, si nous lui reconnaissons une origine, c’est celle du péché originel. C’est donc une origine surnaturelle, dans le cadre d’un combat spirituel angélique (et non prioritairement humain ni matériel) entre les forces du Bien et les forces du mal. Mais ce n’est certainement pas des causes humaines ni des pratiques. On ne cherche pas une origine au mal. Sinon, quelque part, on le justifie.
DES THÈSES PERTINENTES MAIS PARANOÏAQUES :
Troisième point : Alain Soral se base quand même sur des vérités pragmatiques qui sont pertinentes. Il dit des vérités. Déjà parce que Soral est un esprit brillant. Il est très très fort pour surprendre, retourner les évidences en scuds et en scoops. Par exemple, quand il balance cet effet d’annonce « Le Sida n’est pas une maladie », en soi, l’hypothèse est recevable : en effet, on peut envisager le Sida comme un symptôme. C’est intéressant de dire qu’il n’existe pas et que ce qu’on appelle « Sida » n’est autre que le Sarcome de Kaposi ou une misère nationale, et non – comme ça nous est annoncé – « le Sida » ni un virus ou une menace planétaire. Autre exemple : quand il dit aussi une autre vérité « L’antidote ou le traitement ou le vaccin est le possible poison », bon ben là, il ne peut pas le prouver, mais c’est une posture intellectuelle qui est intéressante. Alors bien sûr, ça reste quand même l’histoire insoluble de la poule et de l’oeuf (on ne saura jamais qui a commencé ! qui est l’origine ou le résultat de quoi !). Donc t’as toujours raison quand tu sors ce genre de vérités. La cause et la conséquence, a fortiori quand elles ne sont pas claires dans le cadre d’une épidémie, c’est toujours intéressant de les inverser. Il n’empêche que ce n’est pas pour ça que forcément il a raison, ou que l’antidote ou le traitement est nécessairement le poison. Ça, c’est un axiome, un a priori, un postulat déjà paranoïaque. Et je pense que quasiment tout suinte la paranoïa chez Soral.
OBSESSION POUR L’ARNAQUE :
Dernière chose : On a l’impression que le but d’Alain Soral, dans toutes ses prises de parole, en plus de cracher sur des gens dits « intouchables », c’est de prouver que tout est mensonge, qu’on « nous a mentis », que tout est manipulation. J’ai relevé le nombre de fois dans la vidéo où il a utilisé les mots « arnaque », « mensonge, « erreur », « escroquerie », « combine »… Et il développe tout un fatalisme du mensonge : c’est toujours « une fois de plus », et « une fois de plus ». Pour lui, tout est mensonge. Ou en tout cas, il est plus intéressé par le mensonge que par la Vérité-Charité. Et là, on voit qu’il y a un problème au niveau de la Priorité. Au niveau du Coeur. C’est le propre des personnalités paranoïaques souffrant du complexe de persécution ou du complot (fussent-elle ironiques sur leur propre réputation de « complotistes » !), et qui vont peu à peu, à force de tout inverser, de tout retourner ou de tout nier, tenir des raisonnements au révisionnisme exacerbé, même s’ils sont d’une grande brillance intellectuelle et qu’ils se tiennent.
Donc au-delà des vérités qu’Alain Soral peut sortir – et je pense que tout mérite d’être interrogé, y compris le Sida qui est, c’est vrai, sanctuarisé actuellement (Quand j’étais prof, dans mon ancien établissement scolaire, tous les 1er décembre, pour la journée mondiale de lutte contre le Sida, il y avait carrément un préservatif géant exposé au milieu de la cour : c’était vraiment Saint Sida !), ce n’est pas faux ce que dit Soral mais ce n’est pas vrai non plus. Dans le sens où la Vérité sans Amour n’est plus la Vérité. Finalement, l’agitateur public illustre et reproduit ce qu’il dénonce : il est aussi violent que les violents, il est marginalisé autant qu’il marginalise. Et ça, c’est pervers.
L’Allemagne profite de la crise sanitaire pour faire passer sa loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité
Comme je l’avais annoncé dans mon dernier livre Interdiction des thérapies de guérison de l’homosexualité : la loi-bidon qui passera sans difficulté en France (éd. Vérone) pour l’Allemagne et la France en 2020, l’Allemagne profite de la crise sanitaire pour faire passer par étapes la loi d’interdiction des thérapies de conversion. D’abord les moins de 18 ans, puis après les adultes. Ce sera la même chose en France. Laurence Vanceunebrock-Mialon, la députée lesbienne qui porte la loi et qui a complètement orienté ses auditions à l’Assemblée Nationale pour faire passer les groupes d’accompagnement psychologique ou religieux pour des « sectes dangereuses », s’appuiera d’abord sur la jeunesse et les mineurs. C’est plus victimisant et persuasif. Raison de plus pour lire mon livre, même s’il arrive trop tard.
Le vibrant « appel » du 7 mai lancé par certains cardinaux contre le confinement (Il me donne l’occasion de voir que j’ai été bloqué sur Twitter par le Cardinal Sarah : un honneur pour moi !)
Parmi les évêques et les cardinaux actuels (dont certains sont excellents : heureusement !) se trouvent ceux que j’appellerais les « haineux hypocrites ». Ceux qui par devant ont l’air de respecter le Pape, de feindre l’humilité et la piété, d’être les gardiens de la pureté, de la Justice et de la Vérité, de défendre l’Église Catholique en prenant position sur des sujets dits « tabous » et impopulaires (avortement, Islam, homosexualité, Idéologie du Gender, euthanasie, Franc-Maçonnerie…), d’être obéissants et fermement rebelles à la fois (c.f. le chapitre 2 de mon livre Homo-Bobo-Apo sur les cathos bobos anars d’extrême droite)… mais qui par derrière grincent des dents, méprisent les prêtres et les catholiques ordinaires, diabolisent le Monde, sont eux-mêmes francs-maçons (c.f. ma vidéo de décryptage « Pourquoi le Cardinal Sarah raconte de la merde »), sont homosexuels refoulés et/ou pratiquants, rêvent de pouvoir et de promotion (quitte à s’associer abusivement au Pape émérite Benoît XVI pour faire parler ce dernier comme une marionnette), tirent sur le Pape François (en disant ensuite qu’il ne faut pas tirer dessus…), usent de leur « intelligence » ou de Jésus ou de la dimension formelle et traditionnelle du culte pour ne pas traiter des sujets de fond et pour s’acheter le soutien de tous les néo-pharisiens sédévacantistes actuels, et qui ne perdent aucune occasion pour créer de la division au sein même de l’Église. La particularité de ces évêques et cardinaux schismatiques, c’est d’une part qu’ils jouent l’Unité tandis qu’ils divisent, et d’autre part qu’ils n’aiment pas les gens et qu’ils n’annoncent jamais – contrairement au Pape François – la Bonne Nouvelle ni la Miséricorde. Car pour eux, l’Amour est une faiblesse et une entorse à la Vérité.
Pour préparer leur sédition, l’expulsion du Pape et la destruction de l’Église, ces haineux hypocrites ont pour habitude de lancer de temps en temps des pavés dans la mare médiatique, avec l’aide et le relais des blogs de la Réacosphère (Salon Beige, Infocatólica, Riposte Catholique, Le Blog de Jeanne Smits, LifeSiteNews, etc.). Ils ont vite pris le pli de discrets « lanceurs d’alerte », rôle très à la mode en ce moment mais qui pourtant devrait nous indigner car il est juste le nom pudique des accusateurs, des délateurs, des balances, des trolls et des haters. C’est le cas par exemple de Mgr Viganò (vous savez, le mouchard qui avait accusé le Pape François d’avoir couvert Mgr McCarrick et de fomenter/soutenir la « Mafia rose » au Vatican), de Mgr Schneider (qui travaille à prouver que le Pape François est un « hérétique »…), du Cardinal Sarah (celui qui dit que « le lobby LGBT est la 2e tête de la Bête de l’Apocalypse »), du Cardinal Müller (celui qui dit que « l’homophobie n’existe pas »… #BLAGUE. Mes amis et moi, dans notre documentaire « Les Folles de Dieu », avons à peine eu assez d’une journée pour parler du sujet…), du Cardinal Burke (qui mène actuellement une croisade contre la transidentité), etc.
En général, ces évêques et cardinaux frondeurs se fendent tous les 6 du mois d’une missive qu’ils envoient dans l’océan du web plutôt qu’en privé au Pape (sous prétexte qu’ils auraient déjà essayé « en vain » de se faire entendre du Saint Père, mais que cet « Antéchrist-dictateur communiste » aurait refusé de les écouter. Pauvres petits chats…). En général, le ton de ces lettres est hyper neutre mais bénéficie et/ou alimente un contexte ecclésial sous haute tension et particulièrement émotionnel, pour ne pas dire hystérique. C’est pourquoi, malgré les apparences de calme et de fermeté qu’ils se donnent, les putschistes cardinalices passent par tous les états et tous les stades de la palette d’humeurs hystériques, mélodramatiques et grandiloquentes de la Drama Queen : d’abord la simulation de silence contemplatif et de longanimité (ils méditent, comme le Cardinal Sarah, au fin fond de leur monastère…), puis la simulation d’interrogation quand ils sont secrètement excédés et en désaccord (par exemple leurs dubias après l’encyclique Amoris Laetitia : Les pauvres petits chéris… ils voudraient bien « comprendre » mais ils ne parviennent toujours pas à « comprendre »… ils « s’interrogent »… ils « s’inquiètent »…), la simulation de désarroi (par exemple leurs déchirantes « suppliques »), la simulation de colère (leurs « pétitions » où ils se lâchent calmement, tapent silencieusement du poing sur la table et se fâchent tout rouge mais d’un air pincé, car « cela suffit ! »), et enfin la simulation de rébellion (leurs « appels » sur fond de victimisation… Ils se prennent pour le Général de Gaulle) puis de radicalité justicière (Dieu ou rien ! Le martyre ou la damnation éternelle !). Je crois qu’on peut le dire : ils sont grotesquement sincères. « Francs-maçons », on dit.
Tenez, justement, là, ils n’y tenaient plus. La situation est « trop grave »… Ils viennent de nous pondre un énième « appel » ! Cette fois sur fond de crise sanitaire Covid-19. Allô la Fachosphère ? Ici Londres. Dans cette pétition toute pourrie, on retrouve bien sûr le Cardinal Müller et sa clique de prélats comploteurs (… souvent émérites, donc à la retraite ou évincés). On s’étonnera ici de l’absence du plus hypocrite et tacticien des cardinaux de la Réacosphère, à savoir le cardinal Sarah. Mais c’est normal. Ce dernier observe une apparente distance et discrétion, pour ne pas être sur tous les fronts non plus et ne pas apparaître comme le putschiste qu’il est vraiment. Comme à son habitude, ce doucereux, qui n’en est pas à son premier coup d’essai de putsch « accidentel » (le dernier en date, c’est quand il a essayé d’enrôler le Pape Benoît XVI en le désignant « co-auteur » d’un livre qu’ils n’ont jamais écrit en commun), prend son air de ne pas y toucher. En ce qui concerne l’« appel » du 7 mai, on comprend tout de même qu’il est de mèche avec les auteurs de la pétition, mais qu’il les soutient de loin et de manière tacite. Il a refusé – pour cette fois – de se mouiller, mais il n’en pense pas moins : « Je peux partager à titre personnel certaines des interrogations ou inquiétudes qui sont soulevées en matière de restrictions des libertés fondamentales mais je n’ai pas signé cette pétition. » écrit-il dans un tweet. Je vous dis : avec lui, on retrouve souvent la palette de réactions de la Drama Queen cardinalice : simulation de silence et de retenue, neutralité fondamentaliste d’apparat, simulation d’« interrogation », simulation d’« inquiétude », révolte contenue mais réelle, puis attaque silencieuse plus ou moins frontale. L’hypocrisie dans toute sa splendeur !
Je m’attarderai peu sur le contenu de ce vibrant « appel » du 7 mai qui encourage à une désobéissance pseudo « héroïque » et ecclésiastique générale à l’encontre des mesures sanitaires anti-Coronavirus qui seraient une persécution anticléricale masquée (thèse qui se tient et que je partage par certains aspects d’ailleurs… mais c’est la réponse, les moyens d’action proposés, le discrédit jeté sur le Pape – jugé implicitement « passif », « mou » et « collabo du Système mondialiste » dans cette affaire -, la tonalité hystérique, qui me gênent). J’ai déjà écrit là-dessus. Cette victimisation me semble complètement déplacée, traduit un pharisaïsme puant, et ne donne pas tous les droits (c.f. article 1, article 2, article 3). Ce que je retiens de la nouvelle pétition, c’est simplement que le discours de ces évêques frondeurs anti-Franc-Maçonnerie et anti-Gouvernement Mondial est paradoxalement hyper maçonnique et particulièrement mondialiste. D’ailleurs, l’expression « Bien commun » (que beaucoup de prélats et de catholiques – en se basant sur la Doctrine Sociale de l’Église – croient catholique, alors que pas du tout : c’est un communisme christisé terrible) y est omniprésente et est une des signatures du Gouvernement Mondial. De même que les mots « droits » et « libertés », très utilisés dans la pétition. Quant aux expressions maçonniques du texte (souvent en lien avec la construction, la sincérité, l’alchimie et l’hermétisme), je me suis contenté d’en relever quelques-unes : « fermeture », « fermement » (2 fois), « rigoureuse », « normes liturgiques », « méthodes d’administration des sacrements », « sincère charité fraternelle », « loi naturelle », « civilisation chrétienne », « éclairent », « protège », etc. Voilà, voilà. C’est confondant de contradictions.
Je m’arrêterai là. Mais je tenais tout de même à faire une brève analyse de ce non-événement ecclésial, car il traduit bien les contractions et les secousses qui s’observent actuellement dans l’Église, même si beaucoup de catholiques ne se rendent même pas compte que leur Mère est enceinte et que la naissance est imminente.
N.B. : C’est en écrivant cet article que je découvre avec stupeur et joie que j’ai été bloqué sur Twitter par le Cardinal Sarah. Lui pourtant si calme et maître de lui-même… En même temps, je ne m’en rends compte qu’aujourd’hui : preuve que je ne me rends quasiment jamais sur son compte et qu’il ne m’empêche pas de dormir.
La perversité de la politique du confinement
Excellente intervention de Jean-Dominique Michel, un anthropologue qui a eu le covid-19 (décidément, encore un Suisse qui raconte des vérités ^^).
Une vidéo utile à tous : Jean-Jacques Crèvecoeur
Une amie m’a passé cette vidéo.
Au départ, j’ai eu la flemme parce que je la trouvais bien longue. Et en ce temps de confinement, trop de vidéos – certes intéressantes mais pas essentielles – circulent. Mais finalement, j’ai fait l’effort de la regarder jusqu’au bout. Et je ne le regrette pas. Le contenu corrobore ce que j’ai écrit dans mon livre Homo-Bobo-Apo, en plus précis. Je vous conseille de la regarder tant qu’elle est en ligne.
Je vous en fais un résumé perso :
Jean-Jacques Crèvecoeur (c’est son nom!) nous met en garde contre le traçage numérique mondial puis le puçage, qui sont planifiés mondialement sous l’excuse de nous prémunir du Coronavirus (il parle notamment des « 7 vagues épidémiologiques » pour rendre ce puçage obligatoire et voulu par tous, de l’injection d’un gel nano-technologique qui incrustera la puce RFID dans nos os, de l’assignation d’une identité numérique – projet « ID2020 » de Bill Gates – à chaque habitant de la Terre, du rôle-clé de la 5G dans ce traçage, de la « nature » du Covid-19 qui est un virus « militaire » donc construit et multi-facettes).
À la fin, il nous donne des suggestions pour que s’organise la désobéissance civile :
– Refuser catégoriquement d’être testé (les tests RTPCR, en plus, n’ont une fiabilité que de 20 % ; et notre charge virale, étant en constant changement, peut passer du positif au négatif très vite… donc les tests massifs de population ne servent à rien).
– Refuser le port du masque.
– Refuser de télécharger l’application portable pour prouver son statut viral (Au départ, cette appli ne sera pas obligatoire, et sera proposée sur la base du volontariat… mais très vite, va être imposée à tous).
– Refuser catégoriquement tout vaccin (qui infiltre la puce).
– Refuser la 5 G.
Voilà. Je vous conseille de prendre le temps de vous informer là où se trouve l’information.
De quel « mépris » parle-t-on ?
De quel « mépris », de quelle « offense » parle Mgr Rey ? Qu’est-ce que c’est que ces mots disproportionnés ? Où est le mépris dans le discours du premier ministre et dans les mesures gouvernementales ? Les mots ont un sens, voyons. Je regardais les infos de ce soir sur TF1 : à part les écoles (je ne compte pas les transports ni les lieux d’approvisionnement), tous les domaines publics (théâtres, cinémas, universités, concerts, festivals, restaurants) sont logés à la même enseigne. Qu’est-ce que c’est que cette victimisation, cette offuscation déplacée ? Certains évêques marchent sur la tête…