Él es Mons. José Ignacio Munilla, actual obispo de San Sebastián – España.
Se enteró de nuestro proyecto documental, notó lo importante y necesario que es, y, al saber que nos quedaban pocos recursos para su realización, no dudó en enviarnos su donación. Fue generoso y estamos muy agradecidos con él.
Al igual que Mons. José Ignacio son varios los sacerdotes que nos han apoyado económicamente y animado a seguir adelante.
También, muchos laicos y no creyentes se sumaron a la causa y nos apoyaron con la financiación del proyecto. En verdad, muchas gracias.
¡Han sido como unos ángeles para nosotros!
En cuanto a los avances, queridos amigos, estamos bien 🙂 , solo que tenemos un inconveniente, nuevamente nos estamos quedando sin recursos y necesitamos fondos para continuar con la post – producción.
Si tienes 10 soles, 20, 50, 100, 1000 o 2000 soles (o en euros en la hucha Leetchi) y puedes hacernos una donación, créeme, te habrás hecho un golazo y vamos a estar muy agradecidos.
No tenemos patrocinadores, solo contamos contigo.
Todo suma, apóyanos pe. 🙏
¡Gracias!
P.D. : Si puedes ayudarnos entra en contacto conmigo (Messenger o Whatsapp) y te diré cómo hacerlo. 🙂
Soirée géniale, d’abord avec le one-man-show d’Antoine Méry (humoriste homo et catho : très drôle), puis l’after avec Micka autour d’Antoine et de 45 membres de l’asso homo des « Dandys » venus applaudir ce dernier. Ambiance bonenfant comme je les aime (Qu’on ne me dise pas ensuite que le milieu homo est tristoune et pas convivial). La soirée s’est terminée avec la rencontre d’un transsexuel M to F noir, attiré par notre gaieté, et qui nous a dit qu’on lui avait remonté le moral. Un seul mot me vient : « Merci ».
Je m’interroge sur l’étrange mode du « Leetchi-Bashing » (sarcasme à l’encontre de la cagnotte en ligne Leetchi) lancée dernièrement par certaines icônes médiatiques du boboïsme (l’humoriste Tom Villa par exemple; Maxime Gasteuil aussi ; ou encore, pas plus tard qu’hier soir aux Césars, Florence Foresti – qui est de moins en moins drôle et a de plus en plus de mal à camoufler son carriérisme et son rôle de bouffonne du Système… ; les journaleux de France Inter ; etc. ).
Pourquoi ce rabaissement parfois haineux ? C’est quoi, votre problème, au juste ? Pourquoi ces bobos se fendent-ils soudain d’une petite pique contre Leetchi (pique qui fera ricaner leur cour de petits-bourgeois radins et de Précieuses de salon dans les dîners et les cérémonies publiques) ? Qu’ont-ils besoin, ces pseudo pourfendeurs du Régime, de tacler les modestes caisses du don (quasi) gratuit ? D’où vient cette « urgence » chez eux de mépriser les projets qui ne menaceront pas leur carrière, de « casser » les tirelires presque vides que des personnes de seconde classe remplissent péniblement et patiemment ? D’où sort chez les maîtres de l’audimat cette soudaine envie de tirer sur les ambulances, de parodier les mendiants (qu’ils ne sont pas), de dézinguer les seules niches financières solidaires qui ne sont pas encore sous leur contrôle, d’écraser/fasciser encore plus les pauvres, de retirer le seul moyen de subsistance/financement qu’ont certaines personnes sans aide, sans production, sans sponsor, pour créer et mener à bien des projets et être libres ?
Personnellement, je peux témoigner que sans la plate-forme Leetchi, jamais mon documentaire « Les Folles de Dieu » n’aurait pu se faire et ne verrait le jour. Car ce n’est pas sur les médias (y compris « catholiques ») ni sur les gens de l’Église-Institution que j’aurais pu compter ! Leetchi a été ma bouée de sauvetage. Honnêtement. Leetchi, c’est le seul espace de crowd-founding et d’amitié virtuelle solide que je connaisse, la seule plate-forme sécurisée de financement qui échappe encore aux flicages et qui permet une créativité juste, une réelle indépendance, une libre circulation des biens, une solidarité et une générosité concrètes.
Florence Foresti se dit « écœurée » de la récompense d’une œuvre de Polanski (qu’elle confond avec la personne de Polanski ou avec certains actes de Polanski : il faut lui expliquer la différence car elle n’a visiblement pas encore compris…). Moi, perso, je suis écœuré de son mépris des pauvres et des mendiants, et de son écœurement/indignation de Princesse vexée de ne pas centraliser tous les gains. Elle sera au moins attaquable sur ce seul point…
L’écœurement de « Madâââme »
(Et pour ceux qui veulent participer à un documentaire de pauvres fait par des pauvres qui ne gagneront pas un kopeck ou tout juste que le minimum pour rembourser leurs dettes – j’ai nommé « Les Folles de Dieu » -, voici le lien pour cette « pauvre cagnotte Leetchi » pour nous aider.)
Non non, les ateliers animés par les thérapeutes gays friendly Frédéric Asselineau et Yolande du Fayet de la Tour ne sont absolument pas infantilisants, voyons… Où allez-vous chercher tout ça ? 🤣
Ya sé que el título de nuestro documental « Las Locas de Dios » a veces activa un debate, no gusta a todos, molesta a algunos que desean que salgamos por una vez del cliché vulgar y degradante del homosexual afeminado, de « la marica ». Pero lo defiendo porque :
1 – El título « Homosexualidad y Verdad » no atraería a ningún espectador e incluso desanimaría a aquellos que no creen en la existencia de « la Verdad », o que podrían tacharnos de vanidosos que se creen dueños de la Verdad.
2 – No hay nada como el humor, la autoburla (con un toque de impertinencia) en un título, para relajar a todos y mantenerse humildes. La « actitud de la loca » es al mismo tiempo una aparente humillación (una Cruz, un estigma), un aparente desprecio homófobo. Pero al final, resulta ser sobre todo amistad, convivencia, risotada. ¡ Y también es una debilidad o una facilidad que nos hace mucho reír a nosotros mismos ! Entonces, que las personas demasiado serias nos dejen divertirnos, por más que ellas no estén dispuestas a reírse con nosotros ni a cruzar las piernas como nosotros. Las locas también somos un poco nosotros. Solo hace falta que reemplacéis el término « locas » por « amigos ». Son casi sinónimos en este caso.
3 – El título « Las Locas de Dios » les gustó en seguida a amigos de confianza (¡ Gracias Jean-Yves y Stéphanie !) que tienen un gran conocimiento de los medios, de la comunicación, de la calidad y de lo artístico. Así que confío plenamente en ellos. E incluso fue validado por « enemigos de confianza » jaja (el testigo italiano que hubiera tenido que participar en el rodaje…). Eso es para mí la confirmación que ¡ hemos elegido el título correcto ! ^^
4 – Este título abarca a todas las personas homosexuales que pertenecen a la comunidad LGBT, incluidas las más rechazadas, las más criticadas, las más frágiles, las más « sucias », las más homosexuales y homosexualmente incorrectas, las más « vergonzosas », las más difíciles de llevar, aquellas que juegan un rol o que le dan prioridad al parecer en detrimento del ser. ¡ Por eso las preferimos ! Y las asumimos orgullosamente como partes integrantes de nuestra familia. Subrayamos – con este título – nuestra semejanza, nuestra fraternidad/sororidad de gustos, de actitudes, de condición, de vergüenza existencial, de humor.
5 – Por lo que he podido ver, por el momento, el título « Las Locas de Dios » ha sido odiado y despreciado solo por personas homófobas que defienden únicamente una homosexualidad respetable, discreta, « integrada », viril, casi invisible, incluso ausente, y que no aman a TODAS las personas homosexuales. Por lo tanto, este título es un « detector de homófobos »… por más que ellos lo vean como un signo de homofobia y de auto-maltrato por nuestra parte. Da igual. Nosotros tratamos de amar a TODAS las personas homosexuales, incluidas las « locas » que todos odian y con las que nos sentimos unidos. Y tratamos de tolerar (sin justificarlas) todas las imágenes y caricaturas de la homosexualidad, incluso las más insultantes. No estamos aquí para ser los representantes de una homosexualidad blanca, inmaculada, pura, aceptable a decir de todos, sosa, despolitizada y desmediatizada. Queríamos mostrar tanto la homosexualidad sabia/formal (ya la verán bastante en la película) como a la pillina (incluso provocativa y « piquante »). Una no puede ir sin la otra. Dios … y las locas, en resumen. ¡ Las toman juntas o las dejan ! 🙂
N’oubliez pas, si vous avez 20 € qui traînent, de donner pour la cagnotte de notre film. Grâce à votre générosité, vous permettez à Gerson (notre témoin péruvien, et en ce moment aussi notre monteur) de vivre et de manger. C’est donc énorme et vital ! Vous me permettez aussi de rembourser au fur et à mesure mes mécènes (même si je ne les rembourse pas aussi vite que je le souhaiterais). Et enfin, nous pourrons insérer un seul extrait-vidéo en payant les droits pour une diffusion internationale (car c’est 1260 € les 30 secondes 😲 : autant vous dire que ce sera l’unique vidéo d’archives que nous pourrons nous offrir…) : une séquence montrant Lady Gaga en plein délire mégalomaniaque.
Donc sachez que votre aide est précieuse. Merci encore.
Je sais que le titre de notre documentaire « Les Folles de Dieu » fait parfois débat, ne plaît pas à tout le monde, en chiffonne certains qui souhaiteraient justement qu’on sorte pour une fois du cliché vulgaire et rabaissant de l’homosexuel efféminé et « grande follasse ». Mais je le défends car :
1 – Le titre « Homosexualité et Vérité » n’attirerait aucun spectateur et rebuterait même ceux qui ne croient pas en l’existence de « la Vérité », ou bien qui pourraient nous taxer de prétentieux s’estimant détenteurs de la Vérité.
2 – Rien de tel que l’humour, l’auto-dérision (avec un brin d’impertinence) dans un titre, pour mettre à l’aise tout le monde et rester humble. La « follasse attitude », c’est à la fois une apparente humiliation (une Croix, un stigmate), un apparent mépris homophobe. Mais c’est surtout, au final, de l’amitié, de la convivialité, de la rigolade, une faiblesse ou une facilité qui nous fait bien rire entre nous ! Donc que les gens trop sérieux nous laissent nous marrer, même si eux ne sont visiblement pas disposés à rire avec nous et à croiser les jambes comme nous. Les folles, c’est aussi un peu nous. Et vous n’avez qu’à remplacer le terme « folles » par « amis ». Ils sont quasiment synonymes ici.
3 – Le titre « Les Folles de Dieu » a tout de suite plu à des amis de confiance qui ont le sens des médias, de la com’, de la qualité et de l’artistique (j’ai nommé Jean-Yves et Stéphanie !). Donc je leur fais pleinement confiance. Et il a même été validé par des « ennemis de confiance » aussi lol (le témoin italien qui aurait dû venir au tournage…). Donc là c’est sûr : on tient le bon titre !^^
4 – Ce titre embrasse toutes les personnes homosexuelles faisant partie de la communauté LGBT, y compris les plus rejetées, les plus décriées, les plus fragiles, les plus « sales », les plus homosexuelles et homosexuellement incorrectes, les plus « honteuses », les plus difficiles à porter, celles qui jouent un rôle ou qui privilégient le paraître à l’être. Donc nous les préférons ! Et nous les assumons fièrement comme parties intégrantes de notre famille. Nous soulignons – par ce titre – notre ressemblance, notre fraternité/sororité de goûts, d’attitudes, de condition, de honte existentielle, d’humour.
5 – D’après ce que j’ai constaté, pour l’instant, le titre « Les Folles de Dieu » n’a été détesté et méprisé que par des individus homophobes qui ne prônent qu’une homosexualité respectable, discrète, « assimilée », virile, quasi invisible, voire absente, et qui n’aiment pas TOUTES les personnes homos. Ce titre est donc un « détecte-homophobes »… même s’il sera vu par ces derniers comme de l’homophobie de notre part, de l’auto-maltraitance. Tant pis. Nous, on essaie d’aimer TOUTES les personnes homosexuelles, y compris les « follasses » que tout le monde déteste et dont nous nous sentons solidaires. Et on essaie de tolérer (sans les justifier) toutes les images et les caricatures affublées à l’homosexualité, y compris les plus insultantes. On n’est pas là pour être les représentants d’une homosexualité blanche, proprette, pure, bien sous touts rapports, terne, dépolitisée et démédiatisée. Nous avons voulu représenter à la fois l’homosexualité sage (vous le constaterez bien assez dans le film) et coquine (voire provocatrice et « spicy »). L’une ne va pas sans l’autre. Dieu… et les Folles, en somme. Le pack est à prendre en entier ou à laisser ! 🙂
Exception à la règle : « Mon Jérémy » n’a pas aimé le titre (il a toujours eu un problème avec les féminisations d’hommes : c’est de naissance ^^)… mais lui, je lui pardonne tout ;-)).
Sommation à retirer et interdire la chasse à courre… Extraordinaire… 😢 C’est exactement l’interdiction qu’a imposée Hitler en son temps. Mais nos contemporains ne voient rien. Ils ne font absolument pas le parallèle entre l’époque nazie et notre présent, leurrés qu’ils sont par la diabolisation de ce qu’ils imitent inconsciemment, leurrés par leur orgueil bien-intentionné. Aveuglement de l’antifascisme moralisant.
Une femme vient de m’écrire pour me demander mon avis sur l’adoption homosexuelle, d’une part parce qu’avec son mari ils ont adopté une petite fille, et d’autre part parce que cette même femme a un frère homosexuel. Je publie ici la réponse que je lui ai faite, car il y a encore sur cette question une grande confusion/incompréhension :
Pour répondre, je crois qu’il y a deux niveaux :
– la loi du « mariage » gay qui repose sur le mensonge objectif que la paternité adoptive (sentimentale, éducationnelle) serait équivalente à la paternité biologique (de sang), puisqu’elle dit que l’éducateur est le géniteur… alors qu’on sait très bien que non. Et du coup, ce mensonge anthropologique, érigé en loi nationale voire internationale, on voit qu’il enclenche/valide un trafic d’enfant(s) qui n’a d’ailleurs pas attendu l’approbation du « mariage » gay pour s’effectuer. C’est pourquoi, même si on peut comprendre le « besoin d’enfant » et le « désir de paternité/de maternité » en tout être humain, et en particulier chez une personne homo qui vit avec angoisse l’impasse généalogique dans laquelle sa tendance sexuelle l’engage, il ne faut en aucun cas justifier cette ouverture légale à l’« adoption pour tous » pour les « couples » de même sexe et même aux célibataires (qu’ils soient homos ou non, d’ailleurs).
– la question de la reconnaissance des qualités éducatives (souvent réelles et indéniables) que nous, personnes homosexuelles, avons. La paternité adoptive a aussi des richesses et elle peut être vécue par une personne homo à travers les liens familiaux (tonton, tatie), spirituels (parrain, marraine), professionnels (l’Éducation Nationale compte beaucoup de profs homos, la France compte beaucoup d’éducateurs et d’animateurs homos !^^), amicaux et sociaux (on se rend père ou mère adoptif de notre prochain, de toute personne qu’on aide, protège, guide et sert). Voilà pourquoi je peux personnellement tout à fait admettre qu’un enfant puisse être correctement élevé et éduqué par un « couple » homo… même si je reste intimement persuadé que le meilleur nid d’Amour et de construction psycho-affective d’un enfant reste la différence des sexes homme/femme couronnée par l’Amour (la différence des sexes toute seule ne suffit pas). Et cette reconnaissance des qualités d’éducateurs ne justifie absolument pas l’établissement du « mariage » homo, autrement dit ne transforme pas d’un coup de baguette magique le « couple » homo en géniteurs et en union procréative.
N.B. : Pour comprendre le danger de l’Union Civile et du « mariage gay », et compléter cet article, je vous propose de regarder cette vidéo (à la toute fin, je fais un point synthétique sur les deux lois).
Me entristece enterarme que Gerson, nuestro hermano peruano (y el montador de nuestra película « Las Locas de Dios »), está pasando por un período difícil,
porque, por un lado, material y económicamente, no encuentra salida e incluso se pregunta cómo va a hacer para comer (el divorcio de sus padres ; un papá que los abandona, los raciona y los deja sin recursos ; sin mencionar, para Gerson, la falta de empleo y de empleador ; y nuestra solicitud de donaciones para la película que no es realmente escuchada),
y porque, por otro lado, espiritualmente, es muy atacado (tuvo la valentía de decir públicamente que la tendencia homosexual es una realidad – íntima, social y política – en un país como Perú, donde sus compatriotas minimizan el fenómeno y prefieren esconderlo en un matrimonio, una familia o en una ilusión de « sanación/desaparición » milagrosa de la tendencia mediante la ciencia y la religión : suelen echarle en cara su supuesta « mala fe » por instalarse en su orientación homo y no ser liberado por Dios y por las sesiones de terapia de su psicóloga. Para los fariseos puristas, la continencia no es suficiente, sería una cobardía oculta, y ¡ reclaman una curación completa !…) lo que obviamente hunde a Gerson en un abismo de impotencia, de duda, de angustia y de remordimientos por haberse embarcado en la aventura de nuestro documental.
Por lo tanto, solo puedo volver a pedirles con sencillez a ustedes que reconsideren nuestra necesidad material, pidiéndoles, si pueden, y dentro de sus posibilidades, que participen en la hucha. De antemano, gracias por él. Y gracias por el equipo.