Mes filleuls (ici, Léonie) ont du goût ! 🥰❤️ Surtout question lectures ;-)))
#thérapiesdeconversion #guérison #homosexualité #choupinette #lecture #Vérone #LGBT #Ariño
Archives de catégorie : Je l’ai dit
En résumé, que dit l’Affaire Mila?
Au-delà du débat insoluble de la « convenance/inconvenance de l’insulte et de la menace » (autrement dit la discussion de la forme et de son articulation avec le fond), au-delà du faux débat sur le « droit au blasphème » (le blasphème n’est pas un droit mais une réalité neutre : il n’est justifié que s’il dénonce une religion dont les actes et les pensées sont injustes et mauvais, ou s’il distingue clairement un système religieux de la personne du croyant qui y adhère), l’Affaire Mila (l’adolescente lesbienne qui a insulté l’islam sur les réseaux sociaux et s’est vue menacée de mort par des musulmans après avoir été draguée lourdement) ne fait que mettre en évidence une chose que j’avais énoncée depuis des lustres : que l’islam et la pratique homosexuelle sont les deux principales planques mondiales actuelles du diable (je l’ai écrit noir sur blanc dans mon livre Homo-Bobo-Apo). Et donc qu’il est logique qu’une fois ces deux réalités confrontées et mises face-à-face, elles s’horrifient l’une l’autre, s’insultent de tous les noms et cherchent à se détruire, pour que leur effet-miroir ne les incrimine pas toutes les deux et ne démasque pas publiquement leur nature démoniaque réciproque. Et il est aussi logique que nos contemporains, effrayés en même temps que complaisants aussi bien avec l’islam qu’avec l’homosexualité (l' »identité » et la pratique : pas la simple tendance), s’enflamment et s’agitent, afin que leur vacarme (#JesuisMila/#JenesuispasMila… qu’on peut décliner à l’infini : #athées/#religieux, #musulmans/#islamophobes, #gaysfriendly/#homophobes, #prolibertédexpression/#censeurs, etc.) occulte leur collaboration avec ces 2 péchés globalement ignorés d’eux.
Et vous remarquerez qu’avec l’Affaire Mila, on n’est pas sorti de l’auberge. Pour la bonne et simple raison que peu discutent de l’homosexualité et identifient sa place pourtant prédominante dans le débat : les discussions se centrent pour l’instant sur la dénonciation de l’islam en tant que mal, ou plutôt sur le droit à le dénoncer en tant que tel… mais quasiment personne ne s’aventure à dire en quoi c’est un mal ; et l’homosexualité (en tant que pratique), encore moins. Ce déséquilibre de dénonciation ne fait d’ailleurs qu’échauffer encore plus les susceptibilités des musulmans, des gays friendly et des dénonciateurs de l’islam. Ça s’appelle une micro guerre civile.
Le documentaire « Mes parents sont homophobes » sur France 3 ce soir
Ce soir sur France 3. Je trouve ce genre de documentaires délateurs et accusateurs tout simplement affreux. C’est un détournement grave de l’homosexualité, qui pour le coup sert d’alibi et de matraque pour taper sur les parents, sur la religion, sur un pays, sur la différence des sexes. Quelle tristesse et quelle grave dérive. Les gays friendly sont réellement homophobes.
Blanche Gardin, ou le phénomène des faux courageux
En quoi consiste le réel courage ? C’est celui du pardon (des ennemis, en l’occurrence). Pas celui d’accuser celui qui est déjà visé par la meute #MeToo des loups hurlants à la vengeance, ni d’user de sa notoriété soi-disant « rebelle » et « anti-Système » pour tirer sur des ambulances et faire justice soi-même en lynchant l’ignoble Impuni (Roman Polanski à la barre). Je ne sais pas pourquoi mais dès le départ, je n’ai jamais senti Blanche Gardin comme une humoriste et encore moins comme une humoriste engagée, audacieuse, vectrice de vérités. Elle est plutôt (et je parle bien ici de l’artiste et du personnage public qu’elle a créée ; pas de sa personne) l’incarnation de la lâcheté qui se fait passer pour courageuse. C’est un pur produit de la bien-pensance bobo justicière. Le roquet du Système. Donneuse de « leçons », par-dessus le marché. Et comble de l’orgueil : cette couardise accusatrice s’accompagne souvent chez Blanche Gardin d’un semblant d’innocence (à la Isabelle Mergault, ouaich), d’une maladresse travaillée, de cette hypocrite gaucherie surjouée. Toujours l’air de ne pas y toucher, de « passer par là par accident » (alors que l’accidentel ou le rajout anecdotique a été en réalité totalement orchestré), du « j’dis ça j’dis rien » (mais je le dis quand même). « Je me comporte comme une pute qui fait des coups de pute et appelle au lynchage putassier, mais encore désolé… » Détestable tribunal (dont quasiment personne ne verra et ne dénoncera la violence : on lui pardonne tout puisqu’elle ne l’a « pas fait exprès »). Nous sommes véritablement rentrés dans l’ère des loups déguisés en brebis incertaines. Bonne chance.
La suppression démoniaque du « la »
Je suis en ce moment en train de revisionner beaucoup de vidéos de la période de l’approbation du « mariage gay » en France (2012-2013). Je constate le carnage et la bêtise du côté des pro-mariage gay comme des anti-mariage gay, et ça me donne envie de vomir. Il n’y a pas un camp pour rattraper l’autre. Quelle triste période… dont on n’est pas encore sortis. Au contraire. Ça va même aller de mal en pis. Tout ça parce que le sujet de l’homosexualité n’a volontairement pas été abordé, ni les personnes homosexuelles (qui savent penser) n’ont été sollicitées.
Et par ailleurs, je réécoute le Pape François dans l’avion de retour de Rio, en 2013. Et c’est en retombant sur ses propos exacts que je me rends compte de l’extrême mauvaise foi (à ce point-là, c’est même démoniaque) des journalistes et de l’opinion publique collective, y compris catholiques, qui ont réussi à tronquer et à déformer sa phrase (pourtant claire) pour quasiment lui faire dire l’inverse de ce qu’elle disait, et sans même que personne ne s’en rende finalement compte (puisque tout le monde est persuadé qu’il a dit : « Qui suis-je pour juger ? », alors que c’est complètement faux). Ça tient au petit pronom personnel COD (Complément d’Objet Direct) « la ». En effet, le Pape n’a jamais dit : « Qui suis-je pour juger? » mais bien « Qui suis-je pour LA juger? » (il se référait à la personne homosexuelle) : « Chi sono io per giudicarla ? » Pourquoi ça change tout d’enlever cet article « la » ? Parce que ça remplace le jugement de personne (que le Pape condamne, et à raison !) par une soi-disant condamnation du jugement en tant que acte et capacité (le fait de juger, de penser, d’évaluer)… comme si le Pape François se faisait tout d’un coup le chantre de l’absence de raison, l’ennemi de la Vérité et de la pensée, un défenseur d’un relativisme gay friendly. En fait, la suppression de ce « la » me fait frémir autant qu’elle m’époustoufle. Et l’amnésie collective face à ce tour de passe-passe satanique aussi.
En manque de notoriété ?
Alors que je suis censuré de partout pour la sortie de mon livre sur la loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité, Benoît Berthe, qui rafle tous les plateaux télé, me fait passer pour un mec « en manque de notoriété » et obsédé par les caméras et la médiatisation. Un comble!
N.B. : Je rappelle par ailleurs aux rares catholiques qui me lisent que cette censure vient autant des non-cathos que des « cathos »… C’est ça le drame. Mais personne ne fait rien. Je vous promets : il n’y a pas un seul article, une seule recension, une seule signature, une seule conférence, une seule invitation. Pas même des journalistes catholiques. Y’a vraiment un énorme problème. L’Église coule.
Le tout premier retour de lecture de mon livre
Voici une critique de mon nouveau livre, bien sympathique ! D’un ami polonais, Filip. Ça me fait extrêmement plaisir. D’autant plus que, pour tout vous avouer, c’est le premier retour de lecture qui me parvient. Car il n’y a aucun article, aucune critique, aucune recension, qui est sorti. Et pas même mes amis ne m’écrivent pour me dire ce qu’ils en pensent… ce qui est bien triste et bien dommage. Car un livre, c’est comme une lettre qu’on envoie à un ami et qui demande logiquement un retour, une réponse :
« Bravo Philippe Ariño!
Ça vaut le coup, je viens de terminer ton nouveau livre et c’est vraiment très intéressant, à conseiller vivement. Ca me tente d’écrire un texte plus long pour faire connaître tes idées, peut-être en polonais (quitte à trouver quelqu’un qui serait intéressé par la publication d’un tel compte rendu). Pas mal de questions et de remarques (une petite partie de négatives aussi😉) qui s’imposent. Je me permets d’en partager quelques-unes (juste en guise d’esquisse et d’introduction).
À commencer par des valeurs littéraires de ton livre, parmi lesquelles on peut compter ton empressement (au sens paulien aussi: « Caritas Christi urget nos »), c’est parfois comme si tu courais😉. Je pense que le Ier chapitre où tu dénonces toutes les manoeuvres mensongères et vicieuses de ceux qui prônent l’interdiction est un vrai bijoux rhétorique (en plus d’une belle analyse cinématographique). D’ailleurs juste à la fin tu y reviens, en soulignant que cette nouvelle loi risque de nous fermer de façon efficace la bouche (plus possible de traiter publiquement d’homosexualité et d’en faire débat). D’où l’importance d’en parler maintenant..Finalement, ton livre dépasse largement ce qu’indique son titre. Né de la nécessité du moment présent, il va plus loin: il s’agit aussi (et surtout) de chercher une juste place aux personnes homosexuelles continentes dans l’Eglise et dans le monde.
Tu n’es ni pour les thérapies réparatives, ni contre..(même si, de façon ferme tu t’opposes à leur anéantissement). Tu ne considères pas l’homosexualité comme une identité, surtout celle sur laquelle se fonderait l’Amour, mais tu refutes également l’idée de maladie, de pathologie et même de souffrance (en préférant ta sacrée définition: »désir homosexuel comme basé sur la peur de la différence des sexes »😉). Tu rejettes en bloc et sans pitié toutes les nouvelles lois promulguées par LGBT, mais tu es loin de diaboliser gender, tu te sens membre de la communauté homosexuelle, en conseillant plus d’humour envers « lobby gay ». Tu dénonces aussi bien le discours traditionnel visant le déracinement de la tendance que celui nommé « gay friendly », les deux homophobes, ne respectant pas les personnes homos.Tu n’exclus pas la possibilité de la transfiguration d’attirance homosexuelle vers le mariage homme-femme, mais tu constates que c’est peu probable (surtout dans le cas des tendances profondément enracinées). Et à toi donc d’encourager les personnes homosexuelles de faire un don gratuit et radical de leur tendance, de leur peur de la différence des sexe. Tu sembles dire: « Ne cachez pas ce trésor difficile, choisissez la continence en vue du Royaume, le Seigneur se servira de vos peurs (ici s’impose le mot que tu n’aimes pas du tout: « de vos fragilités😀 ») et les transformera en Amour ». Il y a une seule phrase dans le texte où tu parles de l’homosexualité comme d’un handicap. Ceci m’a fait tout de suite pensé à la théologie de Jean Vanier, philosophe et fondateur de l’Arche qui accueille des personnes porteuses d’un handicap mental, qui est d’ailleurs mentionné par toi à une autre occasion. Ce n’est qu’en descendant aux plus bas de nous-mêmes que…
Merci bien Philippe Ariño! »
La Unión Civil llega a Perú
Ya está : me entero ahora por un amigo peruano que están pensando en hacer aprobar la Unión Civil (o sea la primera parte del « matrimonio » gay) en Perú. Cuando visité el país hace 2 años, cancelaron todas mis conferencias. Y en la cadena EWTN de Lima (¡ tele « católica » !), cortaron toda la secuencia donde avisaba del peligro de la Unión Civil… y solo decidieron guardar la parte personal y victimista (¡ política: NO !). Y allí están ahora. Es terrible la homofobia de los propios « católicos ». Finalmente, merecen y colaboran con las leyes que les van supuestamente a « imponer ».
Besoin d’aide
J’insiste par rapport à l’aide matérielle, pour ceux parmi vous qui pouvez me la fournir :
1) Je dois rembourser mes mécènes.
2) Ayant eu l’honnêteté et la transparence de dire que je sous-louais mon appart (de toute façon, sans ça, je ne pourrais pas vivre à Paris, en clair), la CAF vient de me baisser de 50€ le RSA. Déjà que je vivais avec quasiment rien… bref.
3) La bonne nouvelle, c’est que le site de l’INA (banque d’archives audiovisuelles) vient de me donner l’accréditation pour exploiter des vidéos et les insérer au documentaire. Et ça, c’est super car je serai en règle pour les droits à l’image. Par exemple, rien que la séquence du Pape François disant dans l’avion « Qui suis-je pour juger? », je vais pouvoir la mettre en vidéo d’illustration. Mais il y a un « mais » : l’exploitation des vidéos coûtent horriblement cher : 30 secondes c’est 200€. Je ne pensais pas insérer beaucoup de documents d’archives, mais au moins la scène de la biscotte dans « La Cage aux Folles », ou « Il en est » de Fernandel, ou des propos publics du Pape, par exemple. On verra. Mais autant vous dire que j’ai besoin de votre appui spirituel mais aussi matériel. Sachant que je rembourserai mes mécènes jusqu’au dernier centime d’euro.
Merci d’avance à ceux qui donneront pour la cagnotte Leetchi.
Il ne manque pas d’air, ce Mgr Aupetit !
Quel hypocrite, cet archevêque ! Lui qui, sur Paris Match, défend l’Union Civile (qui EST le « mariage » gay », et ensuite toutes les lois transhumanistes qui en découlent), lui qui également fait taire les personnes homosexuelles publiques comme moi alors que toutes les lois transhumanistes (PMA, GPA) reposent sur l’homosexualité… il ne manque pas d’air ! Vraiment, il n’a même pas honte de pousser un pareil « cri »? Et à Famille Chrétienne, ils font preuve de la même hypocrisie en le présentant comme un courageux !