Archives de catégorie : Je l’ai dit

Soeurs lesbiennes, ne vous laissez pas confisquer les mots qui vous nomment !


 

Les femmes lesbiennes n’existent tout simplement pas sur le net. Je cherchais (pour faire un audio sur les goûts musicaux lesbiens, comme je l’ai fait pour les goûts musicaux gays) « lesbiennes standards musicaux »… et directement, sur Google, ce n’est que du porno qui nous est proposé. Elles n’écrivent quasiment rien sur elles, en fait. Personne pour les représenter. C’est effrayant.
 

Les femmes lesbiennes réelles sont des parfaites illustrations de l’homophobie gay friendly galopante qui envahit actuellement le monde… puisqu’elles sont zappées par Internet sous prétexte d’être systématiquement associées, dans les moteurs de recherche, à des sites pornos (c.f. l’article de Paris Match « Pourquoi Internet a un problème avec le mot ‘lesbienne’ » du 30 avril 2019). Mais, pour le coup, elles sont appelées, en réaction et à leur insu, à devenir les premières dénonciatrices incarnées de cette hypocrisie mondiale et médiatique, les pièces à conviction vivantes ou les révélatrices de ce paradoxe violent de la promotion globale de la croyance en « l’identité/la pratique homosexuelles ». L’invisibilité, la caricature et l’indifférence dont elles font les frais doivent les encourager aussi à parler du lesbianisme, à sortir du bois, à réinvestir les mots qui les définissent, à faire que l’adjectif « lesbienne » ne se substantise pas, ne soit pas sali par le machisme pornographique, et soit au contraire relié à des réalités positives, intellectuelles, humaines, culturelles voire même spirituelles. Les filles, réveillez-vous !

Ma Gloire est de devenir fakir

Je remarque qu’en lien avec mon livre sur Joséphine, le génie ou l’ange sont souvent des fantasmes fictionnels d’êtres humains voulant en réalité se transformer en statue de pierre. C’est le cas par exemple de l’animateur homosexuel MaGloire qui, dans la nouvelle version 2019 de l’émission Fort Boyard, campe un personnage de génie qui emmène les candidats dans l’épreuve du Fakir, où ils doivent marcher sur des clous (encore le plomb alchimique…) et des verres (encore le sablier narcissique…) : « Vous me connaissez… mon génie aura un costume divin et bijouté ! Avec plein de pierreries comme j’aime ! » (c.f. l’article « MaGloire le nouveau génie de Fort Boyard » de Marie Poussel pour le journal Le Parisien, daté du 4 mai 2019).

 

Mais sans doute que là encore, comme dit Xavier Guillaume à mon sujet, je sombre dans le « symbolisme paranoïaque »… #CEstPasTousLesJoursFacileDêtreBobo
 

Affiche gay friendly et anti-homophobie du journal L’Équipe : on parie combien que personne n’en parlera?


 

On parie combien que nos médias ne vont pas parler de l’affiche en elle-même (son contenu et son symbolisme concrets, à savoir l’illustration que la pratique homosexuelle est un narcissisme mis en place par la Bête technologique décrite dans l’Apocalypse, et – par la même occasion – l’homophobie en actes : je vous renvoie à mes livres L’Homophobie en Vérité et Homo-Bobo-Apo décrivant la Bête, ainsi qu’à mes travaux sur la place des piscines, des jumeaux et des animaux bioniques dans les œuvres homosexuelles) mais qu’ils parleront uniquement des intentions (en général gays friendly et anti-homophobie) de l’affiche et des bonnes intentions « révolutionnaires » qu’ils voudront se donner, ou bien uniquement des réactions (d’indignation) qu’ils prêteront et inventeront à ce public fantôme « offusqué » qui s’opposerait à cette affiche, et – pour les journalistes un peu moins ignares que les autres – de quelques éléments de contexte inconnus du grand public (la mention de certains exemples de faits divers d’homophobie dans le sport, la sortie dans 4 jours du film « Les Crevettes pailletées » – oh ? tiens ? comme c’est bizarre, cette synchronicité de calendrier entre le journal L’Équipe… ?). Bref : ils parleront de tout sauf de l’affiche et de l’homosexualité. Ça me navre d’avance, cette homophobie gay friendly… Mieux vaut que vous écoutiez nos chansons, ce sera plus utile que leur blabla.

Le « Christ » mais pas « Jésus »


 

Récemment, une amie qui a grandi (et souffert !) entourée de cathos bobos anars d’extrême droite (appelés grossièrement « tradis ») m’a fait une remarque très pertinente qui pourrait être rajoutée à l’interview des 12 fixettes de la Réacosphère et qui est applicable au Cardinal Sarah et à tous ses suiveurs aveuglés : elle s’est rendue compte qu’à leur contact, par déformation éducationnelle, elle avait un mal fou à prononcer le prénom de « Jésus », et a remarqué que les rares fois où elle et ses frères conservateurs en parlent (car en règle générale, les bobos cathos de la Fachosphère – c’est assez criant sur les réseaux sociaux – ne le professent jamais publiquement), ils se contentent de dire « le Christ » ou « Jésus-Christ », ou pire « chrétienté ». Incapables d’oser reconnaître la Personne de Jésus, de Le voir comme un ami proche et d’instaurer une relation de coeur-à-coeur avec Lui, obnubilés par le « Christ-Patrimoine », le « Christ-Identité », le « Christ-Civilisation » ou le « Christ-Fétiche sacré », terrorisés à l’idée de Lui enlever sa magnificence divine de solennité et qu’Il soit considéré comme « un pote », les néo-pharisiens « catholiques » préfèrent sombrer dans un christo-centrisme puriste, glacial et conquérant, plutôt que de prononcer le simple prénom de leur Maître.

¿ Nacimiento de una Internacional homosexual continente ?

Es realmente muy extraño y sobrenatural. Soy testigo del nacimiento de una especie de Internacional homosexual continente (por lo tanto, pública) : hermanos de todas partes del mundo, con una madurez increíble y una fe profundamente arraigada en Cristo, conscientes de la importancia mundial de la homosexualidad, vienen a mí, me contactan desde Colombia, Italia, Quebec, España. Y no controlo nada. Están dispuestos a renunciar a todo para dar su homosexualidad al mundo y a Jesús. Y no tienen la mentalidad « Courage » o « Teología del Cuerpo de Juan Pablo II ». Al contrario : se parecen a mí en las intuiciones y en la voluntad de hablar realmente de homosexualidad. ¿ Qué esta pasando ? ¿ Otra jugada del Espíritu Santo? ¿ Una efusión planetaria ?
 

Naissance d’une Internationale homosexuelle continente ?

C’est vraiment très étrange et surnaturel. Je suis en train d’assister à la naissance d’une sorte d’Internationale homosexuelle continente (donc publique) : des frères du monde entier, à la maturité incroyable et à la foi très enracinée en Christ, ayant conscience de l’importance mondiale de l’homosexualité, viennent vers moi, me contactent depuis la Colombie, l’Italie, le Québec, l’Espagne. Et je ne maîtrise rien. Ils sont prêts à tout lâcher pour donner leur homosexualité au monde et à Jésus. Et ils n’ont pas la mentalité « Courage » ni « Théologie du Corps de Jean-Paul II ». Au contraire : ils me ressemblent dans les intuitions et la volonté de parler vraiment d’homosexualité. Que se passe-t-il ? Encore un coup de l’Esprit Saint ? Une effusion planétaire ?

J’entends vos attaques contre l’Église Catholique, mais ne vous fatiguez pas…


 

Je reçois en ce moment un certain nombre de mails adorables de personnes qui atterrissent sur mon blog pour me féliciter de tel ou tel article, de telle ou telle vidéo… et qui, par la même occasion, me disent qu’ils ont viré protestants ou athées parce qu’ils ont été dégoûtés de l’attitude des catholiques et de leurs chefs. Je comprends complètement leur ressentiment à l’égard de l’Église Catholique. Je souffre aussi du rejet des catholiques. Mais comme j’ai vécu des miracles sensibles à travers des sacrements (miracles eucharistiques, paroles de connaissance venues de certains prêtres catholiques, effusion chaude de l’Esprit Saint pendant une confession et la réception du sacrement de réconciliation reçue des mains d’un prêtre catholique, expériences de la communion des saints avec saint Antoine de Padoue, par exemple), je sais que malgré l’imperfection de ses membres, c’est dans l’Église Catholique que se trouve l’entièreté et la plénitude de la Révélation divine ^^. Je sais aussi que c’est par les prêtres (même cons) que Jésus est Dieu réellement présent. Alors ne vous fatiguez pas… 🙂
 

(Néanmoins, pour mes amis d’autres confessions religieuses chrétiennes, je rends grâce qu’ils n’aient pas lâché Jésus à travers le protestantisme.)
 

Accueil progressif du diable masqué et de ses représentations sur les plateaux télé


 

Le diable – non reconnu comme diabolique – débarque de plus en plus sur les plateaux-télé du monde entier. La différence d’attitude avec les années antérieures par rapport à lui, c’est qu’aujourd’hui, il ne fait quasiment plus rire. Il est pris pour réel, puissant, impressionnant, inquiétant autant qu’attirant. Et les animateurs qui l’accueillent acceptent de s’y laisser soumettre, acceptent la part de « mystère » et le silence de ce Belphégor en capuche, tolèrent de ne pas comprendre et de renoncer à leur liberté, applaudissent un personnage sans visage. Limite ils s’excusent de l’avoir traité comme un humain et d’avoir osé se comporter en misérables humains avec lui. Un apparent « respect » et une allégeance démissionnaire s’observent. Un pacte de non-agression et de laisser-faire est signé. Et le spectateur ne sait pas s’il doit en rire ou pas. Car en réalité, il assiste à un envoûtement collectif, à une signature. Et le diable – et ses représentants carnavalesques « énigmatiques » – signent toujours : 666.
 

 

« Monstre » dans The Voice


 

 

 

Pourquoi la mort de Jésus n’était pas une petite mort et a ressemblé à une Fin du Monde

Aujourd’hui, Vendredi Saint : mort de Jésus sur la Croix.
 

 

Ce qu’il faut que nous réalisions (et même les fidèles et les prêtres catholiques actuels ont du mal), c’est qu’à ce moment-là précis, les témoins ont cru que c’était vraiment la Fin du Monde. Les centurions qui ont transpercé le Christ se sont dit : « Oups… On a fait une énorme connerie. C’était bien Dieu et le Fils de Dieu ! » Les éléments naturels et humains se sont déchaînés : le rideau du Temple de Jérusalem s’est déchiré en deux ; il s’est fait une obscurité sur toute la Terre (certainement les trois jours de Ténèbres que nous allons revivre à la Fin du Monde, comme je le raconte dans mon livre Homo-Bobo-Apo) ; saint Matthieu rapporte qu’il y a eu des tremblements de terre et carrément une éclipse solaire (même Wikipedia en parle). Bref, ça a dû être impressionnant, pour que la Terre entière soit au courant et s’émeuve d’une mort infâme à laquelle même les disciples n’ont pas osé assister (sauf Jean). Il faut prendre la mesure que Dieu, Créateur de la Terre, a accepté temporairement de mourir, donc qu’Il entraîne dans sa chute toute la Création.
 

 

Beaucoup de catholiques, en ce jour, en restent à une compréhension horizontale et nombriliste de l’événement : « Jésus est mort pour nous et a souffert le martyre, c’est trop triste… » Ils se plaisent à jouer les Stabat Mater #NotreDame endeuillées et « pleines d’Espérance » (c.f. voir le Padreblog ci-dessous). Mais NON. La crucifixion n’est pas QUE triste. C’est aussi impressionnante, universellement effroyable. C’est la preuve qu’Il est Dieu, qu’Il existe. Et c’est aussi la preuve que nous allons prochainement revivre exactement la même chose à échelle mondiale, dans une version différente mais encore plus impressionnante !