Je peux me fourvoyer ou me mentir à moi-même à certains moments. Je peux chuter. Mais il y a quelque chose qui reste constant et permanent : j’appartiens à Jésus. Incorrigiblement. Éternellement. Et c’est plus fort que moi, même si cet état de fait ne m’ôte pas ma liberté, et m’apparaît parfois comme une plaie, une chaîne. Cette appartenance est totale et sans partage. Jésus vient me chercher et m’empêche de persévérer dans l’erreur. Je ne peux pas lutter contre cette mystérieuse consécration sans forme et sans reconnaissance ecclésiale. Et personne – pas même le plus beau, le plus tendre et le plus respectueux des hommes –, ne peut rivaliser avec elle. Si je lui obéis, je suis heureux tout en souffrant. Si j’essaie de lui désobéir, je suis malheureux et souffre encore plus. Mon choix (le choix de ce qui m’est imposé et qui s’impose à moi) est fait. Et je le reposerai, je crois, toute ma vie.
Archives de catégorie : Je l’ai dit
Clip « De l’Amour » : ils se sont plantés de titre ; c’est « De la Haine »
C’est confondant, cette arrogance haineuse et moraliste des chantres de l’ « Amour ».
(Et concernant les invraisemblables caricatures féroces des manifestants de La Manif Pour Tous, je vous conseille plutôt, pour comprendre comment attaquer LMPT, cette vidéo.)
#homophobie #LGBT #UrgenceHomophobie #DeLAmour #Amour
Insoupçonnable mais réel
Je ne m’y habitue toujours pas : je viens de faire à l’instant la connaissance virtuelle d’un homme marié, hyper engagé dans l’Église Catholique, avec beaucoup d’enfants, qui (tenez-vous bien) anime des préparations mariage… et qui mène une double vie homosexuelle active. Ce n’est pas le premier cas auquel je suis confronté. C’est le troisième. Ils sont pères ou mères de famille, au-dessus de tout soupçon, ils ont 4-5-6 enfants, ils dirigent des prépas mariage, leur paroisse leur fait une confiance aveugle… et l’envers du décor est tout autre.
Ce qui me sidère, c’est le culot du diable et de ses suiveurs (et je me mets dans le lot : je suis le premier pécheur). On pourrait penser naïvement que stratégiquement, au moins pour que leurs manoeuvres ne soient pas repérées, ils observeraient une certaine forme de retenue dans le péché, le mensonge ou la dissimulation, et qu’à défaut de ne pas être des Hommes parfaits et cohérents (et ça, nous le sommes tous, imparfaits et incohérents), ils auraient la petite dose de conscience pour ne pas se poser en modèles publics. Mais que nenni ! Ceux qui ont une pratique sexuelle honteuse cachée (adultère, drogue, prostitution, drague homosexuelle ou hétérosexuelle…) ne sont pas toujours des personnes timides, sur la réserve, apeurées, submergées par la honte, qui ne se sentent pas légitimes pour prôner le modèle inverse de ce qu’elles vivent. Tout le contraire. Ce sont parfois les cordonniers les plus mal chaussés qui vont se mettre sur le devant de la scène pour nous expliquer comment nous devons marcher, faire ce qu’ils ne font pas, aimer, et qui s’affairent à nous expliquer la beauté du célibat ou du mariage consacré. Je n’en reviens pas de cet aveuglement, de ce paradoxe.
Alors, évidemment, je l’espère, ce n’est pas une majorité des préparateurs au mariage, et je n’ai aucune idée de l’ampleur du phénomène. Je ne peux que faire le constat au cas par cas. Je ne veux pas non plus rajouter de la méfiance ou du soupçon à une Église qui n’a pas besoin de cela en ce moment, et qui abrite des témoins fidèles à ce qu’ils prônent. Mais je ne peux pas me taire non plus. La très grande majorité des bons cathos ne se doutent même pas de ce qui se passe dans le clergé, dans leur communauté paroissiale, dans leur famille, ne voient pas qui les dirige et qui leur sert de modèles/pasteurs, même sous l’apparence du témoignage du bon père de famille, de la bonne mère de famille bien sous tous rapports, du bon prêtre. Ils me riraient au nez en découvrant tout ce que je sais en coulisses. Beaucoup me traitent de paranoïaque voyant de l’homosexualité partout où elle ne serait pas. Pourtant, ce que je vous dis est une certaine réalité. Insoupçonnable mais réelle.
La Lettre d’Emmanuel Macron aux Français pour le Grand Débat National : l’exact déroulé des étapes de l’alchimie des francs-maçons
Vous me croyez si vous voulez ou non, vous me traitez de paranoïaque complotiste si ça vous chante… mais la lettre d’Emmanuel Macron aux Français dans le cadre du Grand Débat National est un scrupuleux suivi des 7 étapes du processus alchimique mises en place par les francs-maçons, et que je décline à travers la série Joséphine ange-gardien (mais je pourrais aisément appliquer cette grille aux discours de notre président).
En effet, Macron nous sert sa soupe maçonnique de la « fermeté » (étape 1), de la « confiance » (étape 5), du « lien » (étape 4), du « bâtir ensemble un Contrat social » à la Rousseau (étape 3). On a même droit à la mention de « idées claires » (étape 2) de Descartes !
Les Gilets Jaunes sont donc invités à devenir les gentils travailleurs lumineux du grand plan national « concerté » du Grand Architecte de l’Univers (le « Peuple »), hypocritement applaudi par l’ingénieur en chef (Macron) et son équipe de cols blancs libertaires (ayant déjà pris les grandes décisions au préalable, sans consulter le Peuple – le « mariage » gay – et ne proposant du débat que pour les questions sociétales annexes, ne soumettant au Peuple que des changements d’ordre cosmétique). Et le pire, c’est qu’une majorité de catholiques croit en l’efficacité et la grandeur du geste présidentiel… On se fait allègrement rouler dans la farine par le maître boulanger, et certains demandent quand même à être cuits !
#GiletsJaunes
N.B. : Rien à voir, et pourtant… : la nouvelle chanson des Enfoirés « On trace » (écrite par l’architecte Vianney) renvoie à l’étape 3 du processus alchimique (l’écriture du plan architectural maçonnique) et également à la Chaîne d’Union maçonnique (« Pour dessiner l’histoire, il faut nos mains tenues. »). On est cernés.
Libérez Barabbas !… euh… Christophe Dettinger !
Quand je vois mes contacts « catholiques » défendre la violence employée par Christophe Dettinger (le boxeur gilet jaune), et transformer ce dernier en héros-martyr, je ne peux pas m’empêcher de me dire qu’il y a 2000 ans, à choisir entre le Jésus désarmé, affaibli, et Barabbas, le patriote jusque-boutiste incarcéré pour ses idéaux politiques, ils auraient sauvé Barabbas. Certains me sortent que Jésus justifierait tous les moyens de la légitime défense, a « divisé » à son époque, déteste l’injustice, est du côté des pauvres et des maltraités (comprendre « des gilets jaunes »), a su employer la force quand c’était nécessaire. Nous n’avons pas le même Évangile, visiblement. Et la vengeance les aveugle.
#ActeIX #GiletsJaunes
Grand Débat national biaisé dès le départ
Génial. Au Journal Télévisé de TF1 ce soir, ils ont annoncé les 4 dossiers du Grand Débat proposé par le Gouvernement la semaine prochaine… en prohibant le seul thème qui intéresse vraiment les Français, qui aurait mérité débat, et qui leur a été imposé/confisqué il y a 5 ans sans aucun débat : le mariage gay. Ça promet !
#mascarade #mariagegay #foutagedegueule #débatbidon
Disney à mon aide pour découvrir les 6 étapes de l’alchimie
En ce moment, je suis en train de dégager – sur la base de Joséphine ange-gardien mais j’aurais pu partir de tellement d’autres terrains d’analyse – les 6 étapes du processus alchimique de transmutation des métaux, et plus largement, de création occultiste de l’Humain et du Divin (le clonage par cryogénie/haute température, mais également par invocation/intervention des esprits lucifériens « cosmiques »).
Et c’est rigolo comme les 18 premières années de ma vie passées devant la télé à regarder tous les Disney et les Tintin n’ont pas été en vain… :-). En y repensant, c’est hallucinant tous les sorciers-chimistes et les docteurs Frankenstein habitant l’Empire Walt Disney. Je pense par exemple au laboratoire de sorcellerie de Jafar dans « Aladdin » (avec la table de travail, l’astrolabe, les pierres précieuses, les sabliers…), de Médusa dans « Bernard et Bianca » (fascinée par les diamants), d’Elsa dans « la Reine des Neiges » (avec la chorégraphie d’Elsa qui s’isole dans son palais de glace après avoir puisé sa puissance des flocons de neige cosmiques), de la sorcière de « Blanche-Neige » (avec ses grimoires, ses alambics, ses filtres maléfiques énergisés aux éclairs…), du Docteur Facilier dans « La Princesse et la Grenouille » (avec ses amulettes, ses masques vaudous, ses flacons). Les gentils sorciers Disney ne sont pas en reste : Basile Détective privé (dans son labo de chimiste plein d’alambics), Merlin l’Enchanteur (avec ses filtres, son astrolabe, ses livres et ses objets vivants un peu indisciplinés), Maurice le papa inventeur de Belle dans « La Belle et la Bête » (que Monsieur d’Arque, un homme assoiffé de pièces d’or, veut faire interner à l’asile), Yen Sid le magicien de Fantasia (face à son autel et sa pierre philosophale), les trois fées de « La Belle au Bois Dormant » (Flora, Pâquerette et Pimprenelle, qui incarnent à la fois la Nature – leurs noms initiaux sont Flore, Faune et Joli-Temps – mais également les étapes du travail alchimique : Flora et Pimprenelle pour le ménage et l’hermétisme de leur maison dans laquelle le moindre interstice doit être bouché, Pâquerette pour l’écriture de la recette et la cuisson du gâteau, Flora et Pimprenelle pour la confection et le tissage de la robe d’Aurore), la fée Clochette dans « Peter Pan » (qui permet de voler, d’être le maître des horloges et possède de secret d’éternelle jeunesse), la Fée bleue de « Pinocchio » (soudeuse de coeur-conscience en or pour Jiminy Grillon, et animatrice d’objets inertes…).
Les païens se prosternent devant Jésus
Je reviens de la messe de l’Épiphanie (« Révélation »). C’est un de mes moments préférés de l’année liturgique. Découvrir que ce sont des païens (les rois mages étaient des agnostiques) et des pauvres, et non des « bons Juifs » ni des « bons croyants », qui se sont prosternés devant Jésus, quelle claque magnifique ! Ne nous trompons pas de sens : l’Épiphanie, ce n’est pas nous, catholiques, qui allons vers Dieu pour ensuite le faire connaître aux extrémités du Monde ; c’est avaler la pilule que ce sont les incroyants, les étrangers, les bobos, les païens, les pécheurs et les criminels, qui adorent et nous présentent le Bébé.
Tout bon sur l’alchimie pour Joséphine ange-gardien !
Pour vous la faire courte, ce soir, je me documente un peu sur l’alchimie avant de bosser demain mon chapitre sur l’hermétisme et l’alchimie dans Joséphine ange-gardien, et en particulier sur les étapes de transmutation des métaux.
Et figurez-vous que j’ai établi depuis un moment le plan de mon livre sur ce code couleurs : Chapitre 1 dédié à la « Magie BLANCHE » (avec des sous-catégories : magie JAUNE, et un peu magie verte et magie grise) ; Chapitre 2 dédié à la « Magie ROUGE » ; Chapitre 3 dédié à la « Magie NOIRE ». Tout cela juste en regardant la série, et sans connaître ce que j’ai appris ce soir en lisant la page Wikipédia sur l’alchimie, et dans laquelle il est écrit ceci :
« Les phases classiques du travail alchimique sont au nombre de trois. Elles sont distinguées par la couleur que prend la matière au fur et à mesure. Elles correspondent aussi aux types de manipulation chimique : œuvre au NOIR calcination, œuvre au BLANC lessivage et réduction, œuvre au ROUGE pour obtenir l’incandescence. On trouve ces phases dès Zosime de Panopolis. La phase blanche est parfois divisée en phase blanche lessivage et phase JAUNE réduction par certains auteurs alchimistes, qui admettent ainsi quatre phases (noir, blanc, jaune, rouge) pour l’ensemble au lieu de trois (noir, blanc, rouge). »
CQFD ! Exactement mon plan de livre ! 😂🌈 C’est qui qu’a tout compris ?^^
« Gloire à Satan » exprimé dans l’émission Burger Quiz
Incroyable. Même dans des émissions (pas drôles) actuelles comme Burger Quiz, maintenant, des incantations d’ordre satanistes sont clairement exprimées : « Gloire à Satan. » (Bouchra, candidate qui a remporté le Burger de la mort cette année)
Le diable et ses suiveurs ne se cachent plus et n’ont plus rien à perdre (puisqu’ils ont déjà perdu). Mais le plus étonnant, c’est qu’il s’exprime à travers des gens qui ne croient même pas en son existence.