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Quand les scandales sur les « vaccins » éclateront, les puissants qui les ont commandités ne s’en remettront pas (Conférence du Dr Zelenko)

Chers amis, une amie m’envoie ça. Pour moi, c’est la vidéo la plus importante que je n’ai jamais entendue depuis le départ sur le scandale planétaire qu’est ce « vaccin » anti-COVID. Je vous demande de l’écouter entièrement. Et quand ce scandale va éclater au grand jour, tous les puissants de la Terre vont être renversés à cause de toutes les morts et de tous les mensonges qu’ils auront générés. Je ne défends pas la « liberté » en soi (puisque nos ennemis défendent aussi la « liberté »… pour nous asservir) ni ne me cache derrière la défense du libre arbitre ou derrière le Pass sanitaire. Le mal réside dans ce soi-disant « vaccin » (qui endommage le cœur, les ovaires, etc., et crée des caillots sanguins, des ruptures d’anévrisme, des crises cardiaques, des fausses couches et des cancers), ou mieux dit, dans la réponse immunitaire (protéines Spike) qu’il provoque.
 

(Avec cette amie, Macha, nous nous sommes mis à retranscrire tout le texte de cette vidéo, tant qu’elle est encore en ligne, après un retravail de la traduction française – bien approximative parfois) (Je précise aussi que, suite à la précision donnée par Amélie l’amie infectiologue de la « Soirée Dissidence 1 », contrairement à ce que dit le Dr Zelenko, la population d’Israël n’a pas été vaccinée à 85% mais à 62%, au 9 août 2021… ce qui n’enlève rien à la pertinence des constats du médecin, ni au fait qu’Israël soit bien un laboratoire du Monde).
 
 

Homme 1 : Le Dr Vladimir Zelenko est médecin de famille agréé par le conseil d’administration depuis plus de 20 ans. Il a été décrit par ses patients en tant que membre de la famille de milliers de familles. Et c’est un conseiller médical au Corps d’Ambulances Volontaires à Kiryas Joël à New-York. Dr Zelenko a développé son désormais célèbre protocole Zelenko, qui a sauvé d’innombrables vies dans le Monde entier. Alors bienvenue Dr Zelenko. Merci de vous joindre à nous. J’aimerais que vous commentiez notre sujet.
 

Dr Zelenko : Merci beaucoup de m’avoir invité. Vous pouvez m’entendre ?
 

Homme 1 : Oui, très clairement.
 

Dr Zelenko : Je vais donc vous faire part rapidement de mon expérience. Mon équipe a traité directement 6000 patients. J’ai formé des centaines de médecins, qui forment à leur tour leurs étudiants. Et grâce à notre travail commun d’équipe, nous avons traité des millions de patients avec succès. Le président Trump était mon patient. Rudi Giuliani était mon patient. Rabbi Haïm Kanievsky a été mon patient. Même Rabbi Litzman, votre ministre de la Santé d’Israël, était mon patient, l’an dernier. Je vous cite juste quelques personnalités qui m’ont contacté pour des soins, y compris le président Bolsonaro du Brésil. Désormais, mon expérience m’a donné une perspective unique et précise pour comprendre la pandémie de la COVID-19, expérience qui permet à de nombreuses personnes d’éviter de se rendre à l’hôpital. Et concernant plus spécialement nos enfants, je vous le dis franchement : la seule raison qui pourrait justifier leur vaccination, c’est que l’État – ou vous-mêmes ! – soyez en faveur du sacrifice d’enfants ! Si vous voulez les utiliser comme parfaits cobayes, allez-y ! Injectez-les ! Même de carbone, si ça vous chante ! Sinon, de grâce, abstenez-vous.

Je vais vous dire pourquoi vous devez refuser cette « vaccination ». Chaque fois que vous voulez tester la fiabilité d’un traitement, il faut l’examiner sous trois angles : 1) Est-ce sans danger ? 2) Est-ce que ça marche ? 3) Et en avez-vous besoin ?

Tout ce qui est possible n’est pas à tester. Ce n’est pas parce que vous avez une capacité, que vous devez l’utiliser. Il doit y avoir une nécessité médicale. Il faut en avoir besoin. Regardez les chiffres que nous rapporte le CDC [Center for Disease Control and Prevention = Agence nationale de Santé publique aux États-Unis] : les enfants de moins de 18 ans sont épargnés par le virus. Leur taux de survie sans traitement est de 99,998%. Comme l’a dit le Dr Yeadon, le virus de la grippe est plus dangereux pour les enfants que la COVID-19 ! Et il a fait une estimation que sur un échantillon de 1 million, une centaine d’enfants allaient mourir de la « vaccination ». De mon côté, j’évaluerais malheureusement ce chiffre largement à la hausse. Et je vais vous expliquer pourquoi.

Si vous avez un groupe démographique qui n’a aucun risque de mourir d’une maladie, pourquoi lui injecter un poison mortel ? Prenez l’exemple des deux pays dans le Monde dont les citoyens sont les plus vaccinés : Israël (avec un taux de vaccination élevé de 85%), et l’île des Seychelles dans l’Océan Indien (avec un taux de vaccination s’élevant également à plus de 80%). Les deux pays connaissent un rebond épidémique avec l’émergence du variant Delta. Alors, je vous le demande : si vous avez vacciné la majorité de votre population, pourquoi avez-vous encore une épidémie ? Autre incohérence énorme : Pourquoi donner une troisième dose de la même chose qui n’a pas marché les deux premières fois ? Expliquez-moi ! Ceci répond à la question de savoir si ça marche ou non.

Maintenant, parlons sécurité. Voilà le vrai problème. Il y a trois niveaux de sécurité ou de mortalité que nous devons regarder : niveau aigu, subaigu, et à long terme.

Le niveau aigu commence, je dirais, au moment de l’injection et dure jusqu’à trois mois. Le risque numéro UN de la piqûre est la formation de caillots sanguins, comme l’a souligné le Dr Yeadon, ainsi que l’Institut Salk. D’ailleurs, tout ce que je dis s’appuie sur énormément de sources scientifiques fiables, donc je vous demande de me croire : je peux prouver tout ce que j’avance. Selon l’Institut Salk, lorsqu’une personne reçoit une injection de ce produit, le corps devient entre guillemets une « usine productrice de Spikes » sécrétant des trillions de Spikes, qui migrent vers l’endothélium, qui est le revêtement intérieur de vos vaisseaux sanguins. Ce sont essentiellement de petites épines à l’intérieur de votre système vasculaire. Comme les cellules sanguines circulent à travers cela, elles sont endommagées. Elles causent des caillots sanguins. Si ça arrive dans le cœur, ça provoque une crise cardiaque. Si ça arrive dans le cerveau, c’est un AVC [Accident Cardio-Vasculaire]. Nous voyons donc que la première cause de décès, à court terme, est donc la formation de caillots sanguins. Et la plupart (40% des cas) se passe dans les trois ou quatre premiers jours de l’injection de ce poison mortel. Maintenant, l’autre problème est qu’il provoque une cardite légère ou inflammation du cœur des enfants ou des jeunes adultes. Et le troisième problème, à mon avis le plus inquiétant, et qui a été rapporté par un article du New England Journal of Medicine, c’est que, compte tenu de leurs données préliminaires, le taux de fausses couches – dans le premier trimestre où la femme se fait vacciner – passe de 10% à 80% au cours du premier trimestre. Je veux que vous compreniez ce que je viens de dire. Le risque de fausses couches au cours du premier trimestre des femmes enceintes, lorsqu’elles sont vaccinées, est multiplié par 8 ! Ce sont les premiers constats de recherches qu’on observe, même si ça peut évoluer dans le temps. Mais voilà déjà ce qu’on voit aujourd’hui. Et nous sommes loin d’avoir tout vu !

Le deuxième problème qui se pose, c’est le risque réel de surmortalité que fait courir le « vaccin ». Les études qui ont été faites sur les animaux injectés ont montré que tous les animaux ont bien réagi en générant des anticorps. Cependant, une fois contaminés par le virus contre lequel ils avaient été immunisés, un grand pourcentage d’entre eux sont morts. Et après enquête, on a découvert que leur système immunitaire les avait tués. On pourrait appeler ça « l’amélioration dépendante des anticorps » [ADE = Antibody-Dependent Enhancement], ou « l’amorçage pathogène », ou « l’amélioration paradoxale du système immunitaire ». Mais le fait est que beaucoup de ces animaux sont morts. Alors on peut me rétorquer que les êtres humains réagissent différemment. Je vous répondrai : peut-être. Toutefois, rien n’est moins sûr. On n’a aucun recul. Et la vaccination humaine sont encore en phase d’expérimentation. Le Monde scientifique a les yeux tournés vers Israël. C’est même le PDG de Pfizer qui l’a dit : « Israël est le plus grand laboratoire du Monde. »… Ça laisse sans voix. Le Dr Luc Montagnier, lauréat du Prix Nobel de Médecine pour la découverte du VIH, a quand même dit que ces « vaccins » constituaient le plus grand risque de génocide de l’Histoire de l’Humanité. Il n’exclut pas le risque d’une réaction immunitaire d’ADE chez les êtres humains dans un futur proche. Ma question est donc la suivante : Pourquoi ferais-je vacciner quelqu’un avec une substance potentiellement destructrice et mortelle sans exclure ce risque d’abord ?

Et le troisième élément, ce sont les conséquences à long terme. Il y a des preuves indéniables que le produit injecté affecte la fertilité, endommage la fonction ovarienne, réduit le nombre de spermatozoïdes. Ça, c’est une première chose. Ensuite, il augmente certainement le nombre de maladies auto-immunes. Qui sait, au fil du temps, comment cela va réduire la durée de vie ? Et la semaine dernière, un article a été publié, montrant que cela augmente le risque de cancer.

Donc à tous points de vue, aussi bien dans le contexte aigu à court terme, où il provoque des caillots de sang, l’inflammation du cœur et des fausses couches, aussi bien dans le contexte subaigu à moyen terme, où il peut entraîner une réaction immunitaire pathologique désastreuse, que dans le contexte suraigu à long terme, où il provoque une augmentation des maladies auto-immunes, le cancer, et l’infertilité. C’est un gros problème. En fait, je vais le dire comme ça : à mon avis, l’actuel gouvernement israélien est un fac-simile de Josef Mengele. Ils ont tous deux engagé l’expérimentation humaine de leur propre Peuple. C’est pourquoi je vous déconseille de suivre le discours de propagande vaccinale tenu par Kol Israel [Service de radio-diffusion étatique d’Israël]. Fiez-vous plutôt au discours rabbinique. Car si la tête est malade, qu’attendez-vous du corps ? Je soupçonne fortement Kol Israël d’obéir à des intérêts politiques, et de diffuser des mensonges « scientifiques » visant à altérer vos opinions et votre bon sens. Et croyez bien que mes dénonciations ne sont pas gratuites ! Je reçois quotidiennement des menaces de mort. Je risque ma vie, ma carrière, ma sécurité financière, ma réputation, presque ma famille, juste parce que je me tiens ici devant vous et que j’ose dire ce que je vous dis.

Donc, pour résumer, je ne vous dirai qu’une chose : ce vaccin n’est pas nécessaire. Et personne n’en a besoin. Pour raison bien simple. Les enfants, je l’ai déjà dit, ont 99,998% de chances de guérir. Les jeunes adultes de 18 à 45 ans, ont 99,95% de chances de guérir. Ceci, toujours d’après le CDC. Une personne qui a déjà attrapé la COVID 19 et qui a produit des anticorps naturellement est un milliard de fois plus protégée que par l’immunité artificiellement induite par le vaccin. Alors pourquoi je ferais vacciner quelqu’un avec un poison mortel qui crée des anticorps moins efficaces voire carrément dangereux quand j’ai déjà des anticorps sains ? Ensuite, concernant la population à haut risque ayant un taux de mortalité de 7,5%, au vu de mes recherches qui étaient les premières au Monde, que j’ai publiées dans une revue scientifique évaluée par des pairs, qui sont devenues la base de plus de 200 autres études, et qui ont corroboré mes observations, il a été prouvé que si vous traitez les gens dans le bon délai, vous réduisez le taux de mortalité de 85%. Donc sur 600 000 Américains touchés, nous aurions pu éviter à 51 0000 d’entre eux d’aller à l’hôpital et de mourir. Et d’ailleurs, en avril 2020, j’ai soumis cette information à B.B. Netanyahu directement. Et j’ai informé chaque membre de votre Ministère de la Santé aussi. Ma question est donc la suivante : Si je peux réduire le taux de mortalité de 7,5% à moins d’un demi pourcent, pourquoi utiliserais-je un poison mortel qui ne fonctionne pas et qui a des effets secondaires terribles et horribles ? Je vous propose de faire ensemble ce comparatif. Si nous laissons l’ensemble de la population se faire contaminer par la COVID 19 sans intervenir et sans la traiter, le taux de mortalité mondial passerait de 7,5% à 1,5%, et on parviendrait (c’est une probabilité : pas un souhait personnel) à 35 millions de morts, soit à un chiffre bien inférieur à celui qu’on risque de connaître avec le traitement vaccinal. Toutefois, à en croire les conseils de certains « leaders mondiaux » comme Bill Gates qui s’est exprimé l’an dernier, leur objectif est de vacciner 7 milliards de personnes. Le taux de mortalité serait de plus de 2 milliards de personnes.

Alors réveillez-vous ! C’est la Troisième Guerre mondiale. Nous atteignons un niveau de malfaisance et de malveillance probablement jamais vu dans l’Histoire de l’Humanité. Je suis contre le sacrifice des enfants. Je suis contre l’idée de revivre un autre Zeroah [viande d’agneau renvoyant au sacrifice pascal vécu par le Peuple juif à la veille de la sortie d’Égypte]. Et je crois vraiment que Dieu met à l’épreuve chaque être humain. Et voici le choix radical devant lequel Il nous met : Allez-vous vous prosterner devant moi ? Allez-vous me demander ma protection ? Allez-vous être courageux, prendre sur vous vos peurs, et implorer mon aide ? Ou bien allez-vous courir vers l’autre Zeroah [comprendre ici « idole », « dieu providentiel », « maître »], les Zeroah du vaccin de vos gouvernements, des despotes et des tyrans ? ces apprentis-sorciers qui nous dirigent et nous envoûtent ? Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Ces gens ne sont pas différents des Pharaons. Ils se prennent pour Dieu et veulent que vous vous prosterniez devant eux. Libre à vous de vous laisser « protéger » par eux… mais vous verrez comment ça va se terminer. J’ai vu la peur pousser les gens à faire des choses qui sont complètement irrationnelles, qui n’ont pas de sens. Certains vont jusqu’à sacrifier leurs propres enfants. Et oui, votre Ministère de la Santé vous ment. Vos statistiques sont toutes fausses. Si vous voulez voir des chiffres fiables, il existe un site appelé worldometers.info : si vous regardez le cas spécifique d’Israël, vous pourrez constater que le 20 décembre 2020, il y a eu un pic énorme dans la courbe des morts en Israël. Savez-vous ce qui s’est passé en Israël à cette date ? La vaccination nationale a commencé. Et ce sont des chiffres officiels rapportés par le gouvernement israélien lui-même. Ils sont juste trop stupides pour le cacher. Il n’y a rien, absolument rien, qui puisse justifier l’emploi de ce poison mortel, à moins de vouloir sacrifier des êtres humains. C’était tout ce que j’avais à dire.
 

Homme 1 : Après une telle démonstration, je ne pense pas que vous puissiez dire que vous avez fini. Nous apprécions le temps que vous nous avez accordé, ainsi que votre travail. Très précis et très clair. Nous vous en sommes très reconnaissants.
 

Dr Zelenko : Avez-vous des questions ?
 
 

Homme 2 : De nombreuses questions ! Mais, pour commencer, vous avez dit que 2 milliards mourraient si 7 milliards utilisaient la piqûre. C’est bien ce que vous avez dit, docteur ?
 

Dr Zelenko : Non. Ce n’est pas moi qui ai annoncé ça, mais des experts mondiaux. Je me base sur les prédictions du Dr Malone, qui est l’inventeur de la technologie d’ARNm pour les vaccins (ses découvertes sont même brevetées). C’est pourtant lui qui demande de ne pas en faire usage ! Le gouvernement vous ment. Les effets secondaires sont terribles. Le Dr K. Hill d’Irlande a déclaré qu’elle croit que d’ici deux ans, 90% des personnes vaccinées seront mortes.

Quand on a interrogé le Dr Michael Yeadon (j’espère qu’il est encore là pour le confirmer), il a dit que ce chiffre était excessif. Donc je ne sais pas. Ce n’est peut-être pas 90%. Et ce n’est peut-être pas dans deux ans, mais dans trois.
Et le Dr Luc Montagnier, qui est – excusez du peu ! – le lauréat du Prix Nobel pour la découverte du VIH, dit que ce « vaccin » constitue probablement le plus grand génocide dans l’Histoire de l’Humanité…
 

Homme 1 : Donc, un instant, Dr Zelenko : vous nous confirmez bien qu’à ce jour, il y a 6 millions de personnes qui ont reçu le vaccin Pfizer, c’est bien ça ?
 

Homme 2 : Le vaccin Pfizer est d’ores-et-déjà été injecté à 3 millions de personnes. Donc si on part de ce pourcentage de morts sur ces 3 millions, on devrait aboutir de 500 000 à 800 000 de morts ?
 

Dr Zelenko : Sur la durée, oui.
 

Homme 1 : Dr Zelenko, vous avez mentionné des études démontrant que le vaccin causerait probablement des problèmes d’infertilité (réduction du nombre de spermatozoïdes), voire de cancers. Le gouvernement va-t-il parler de ces effets secondaires ? Pourquoi les ignorent-ils ? On nous renvoie à longueur de temps d’autres contre-études qui invalident les premières : « Il n’y a pas de problèmes de fertilité ou de cancers ! Tous ça ce sont des fakes ! Le vaccin n’a aucune incidence sur les spermatozoïdes ou les cancers ! » Tout ce que vous nous avez dit est constamment démenti non seulement par les gouvernements mais par l’industrie médicale qui nous assure que toutes ces études démontrant que la vaccination est dangereuse sont intégralement mensongères et farfelues.
 

Dr Zelenko : Toutes les personnes que vous venez de mentionner, je peux vous assurer qu’elles n’ont pas soigné une seule personne atteinte de la COVID-19 ! Alors que de mon côté, j’ai traité plus de 6000 patients ! Donc vous devez savoir à qui vous parlez. Et je n’ai rien à gagner ici, si ce n’est la perte de ma vie. Je vais vous dire ceci : oui, il y a eu une coalition parfaitement coordonnée pour supprimer des renseignements qui pouvaient sauver des vies. Les médicaments comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, qui sont pourtant les plus sûrs dans l’histoire de la médecine, ont été écartés, et vous ne pouvez même pas les obtenir en Israël. Les médecins osant dire quelque chose qui va à l’encontre du « tout vaccinal » ont été censurés. Y compris des experts mondiaux des vaccin tels que le Dr Malone, par exemple, qui a mis au point le vaccin ARNm, et qui a osé se lever contre ce projet vaccinal mondial : il a été expulsé de toutes les plateformes médiatiques. Pouvez-vous me dire pourquoi ? Pouvez-vous me dire aussi pourquoi toutes les données des effets secondaires de ce poison mortel sont censurées ? Et dites-moi pourquoi est exercé mondialement un chantage psychologique d’une telle force ? Désormais, ils sont même en train de vacciner les gens de force, et contre leur volonté ! Vous avez encore des doutes ? Pas moi. On assiste à un véritable génocide mondial planifié. Et Israël ouvre la voie.
 

Homme 1 : Absolument. Mais les diverses instances d’informations aux États-Unis vous présenteront des statistiques contraires aux vôtres…
 

Dr Zelenko : Certes. Mais puisque vous évoquez le nombre de victimes, parlons-en ! Actuellement, on dénombre 11 000 morts des suites du vaccin, et 450 000 cas d’effets non-désirables. Et quand bien même ça ne soit « que » ça, ça ne vous suffirait pas pour trouver les vaccins suspects ? À partir de combien de morts allons-nous nous insurger ?
 

Homme 1 : Un seul suffirait !
 

Dr Zelenko : Nous sommes d’accord ! Et même du côté des pro vaccins, ils commencent à revoir leurs chiffres et à reconnaître les dégâts de leur campagne vaccinale. Il y a un lanceur d’alerte du CDC, Christophe Lower, qui vient de révéler que ce ne sont pas 11 000 mais 45 000 morts des suites de l’injection. Ça ne nous suffit pas ? Et puis il y a une étude de Harvard de 2009 qui a montré que seulement 1% des cas réels sont rapportés. Maintenant, il est fort probable que les effets secondaires soient encore plus dissimulés que les décès. Donc, dans le doute, disons que seuls 20 % des décès post-injection sont signalés. Et encore, je vois très large ! Donc si vous prenez les 45 000 morts, selon le lanceur d’alerte, ou même si vous prenez les 11 000 cas selon le comptage officiel, la fourchette des victimes décédées du vaccin est comprise entre 50 000 ou 200 000, au choix.

Et puis deux autres problèmes majeurs se posent concernant ces données. J’ai des collègues qui ont perdu des patients juste après l’injection. Ils essaient de faire des signalements, mais le Système rejette leurs rapports, sans donner d’explication. Et l’autre problème – et j’ai des preuves de ça aussi – c’est que les signalements qui ont été déposés sont maintenant détruits et effacés par le Système… et impossible de mettre la main dessus ! Donc nous n’avons plus affaire simplement à une théorie du complot : c’est carrément un complot réel ! Il y a 18 mois, si je vous avais dit que la COVID-19 était une arme biologique, vous m’auriez dit que je suis un conspirationniste. Vous savez, Noé, dans la Bible, était conspirationniste !… jusqu’à ce qu’il pleuve [et que le Déluge submerge toute la surface de la Terre] ! Donc, en ce moment, si je vous dis que le vaccin est une arme biologique artificielle, je vous parle bien d’une conspiration, et pas d’une simple « théorie » conspirationniste.
 

 

Tout le monde s’accorde aujourd’hui pour dire que cette pandémie a été créée artificiellement. Et je suis capable de vous dire avec précision quand est-ce que ce virus a été conçu. Je connais même les numéros de brevet associés à ses transmutations. En 1999, le Dr Ralph Barrett, à l’Université de Caroline du Nord, a associé un Coronavirus de chauve-souris et une protéine de surface afin que leur association infecte les êtres humains. Cette expérimentation étant devenue illégale en Amérique, elle a été confiée – avec l’argent des contribuables américains et par l’intermédiaire de Fauci – à la ville de Wuhan où elle s’est poursuivie, jusqu’à ce qu’ils trouvent un moyen de modifier ce virus pour le rendre extrêmement destructeur pour les poumons humains, et qu’il cause des caillots sanguins. Donc ils ont pris un virus naturel, et ont lentement et progressivement apporté deux modifications. Il leur a fallu 22 ans – non, que dis-je ? 20 ans ! – pour que ce virus puisse infecter les humains et ensuite détruise leurs tissus. Et ce que je vous dis, ce n’est pas une théorie du complot : c’est carrément un complot ! C’est un complot pour commettre un génocide. C’est si difficile pour les Juifs d’admettre qu’il y aurait un groupe de personnes projetant de détruire l’Humanité et la Divinité ?!? Car c’est bien de ça dont il s’agit. C’est une guerre contre Dieu !

Il y a deux façons de considérer l’existence humaine. Soit vous admettez que tout être humain est à l’image de Dieu, et par conséquent que votre vie est sacrée. Soit vous partez du principe que parce que votre vie vous appartient, vous auriez tous les droits sur elle… et à ce compte-là, vous vous moquez de Dieu, vous pensez que votre vie est votre propriété privée et que vous pouvez en faire ce que vous voulez ; et, par voie de conséquence, vous décidez combien de personnes méritent de vivre sur la surface de la Terre et qui devrait mourir. Cette deuxième vision de la vie semble obéir au système eugéniste de Darwin, mais en réalité, elle remonte à beaucoup plus loin. Cette cosmovision élabore une hiérarchie pyramidale de mérite(s) d’exister, et distingue grosso modo trois grandes catégories d’humanités : l’Ubermensch (« les êtres supérieurs » ou « Hommes Nouveaux »), le Mensch (« les êtres intermédiaires ») et l’Untermensch (« les êtres inférieurs » ou « les sous-races »). Si vous appliquez ça à il y a 80 ans, les Ubermensch étaient ces Nazis qui se disaient descendants de dieux aryens, qui estimaient que c’était leur mission, leur bon droit, de décider qui méritait de vivre ou de mourir. Un peu en-dessous se trouvaient la catégorie des Menschen, qui étaient les Anglo-Saxons, les Européens : eux avaient le droit de vivre mais à la condition d’être esclaves des Ubermensch. Et à la base de la pyramide croupissaient les Untermenschen, à savoir les Juifs, les Slaves, les personnes handicapées, les gitans, les prisonniers politiques, bref, toutes ces catégories de population qui devaient être éradiquées et finir en poussière. Tout ceci ressemble à une fiction, sauf que cette fiction a tué 200 millions de personnes ! Et il est en train de se produire exactement la même chose maintenant, sauf que cette persécution n’est plus antisémite. La seule différence, c’est que les Nazis ont cédé leur place aujourd’hui à une oligarchie de personnes qui a le sentiment d’avoir évolué vers un niveau de conscience plus élevé, niveau de conscience supérieur qui, grâce à leur nouvelle intelligence et leur lucidité, leur permettrait d’aboutir à ce même classement d’humanités. Au fond, je ne pense pas qu’ils aient évolué. Ce ne sont que des païens parvenus régressifs. Ils ne sont ni plus ni moins qu’une résurgence contemporaine des Mamzers ( = bâtards) décrits par la Torah à propos de l’Auora ( = Fin des Temps) et de Moloch ( = l’Antéchrist pour les catholiques et les musulmans).
 

Homme 1 : J’entends bien cela. Mais nous, ainsi que le CDC lui-même [Center for Disease Control and Prevention = Agence nationale de Santé publique aux États-Unis] et aussi le Président Biden, mènent également un programme de vaccination. Personnellement, je suis opposé à cette campagne. Mais vous savez, sans vouloir vous décourager, vous pouvez alerter et crier tant que vous voulez dans votre coin, maintenant, il est trop tard : aujourd’hui, en Amérique, je pense qu’on a déjà atteint les 200 millions de personnes vaccinées…
 

Dr Zelenko : Alors laissez-moi vous parler du CDC. L’année dernière, le Président Trump avait signé un décret qui stipulait que chaque Américain devait avoir accès à l’hydroxychloroquine. Ce projet de loi est parvenu au secrétaire de la santé et des services humains, Azar. Et il a fini entre les mains du Dr Rick Bright, du CDC. Mais ce même Dr Rick Bright, au lieu de l’accepter et de soumettre une loi qui aurait donné accès à ce médicament à chaque Américain, et plus largement à chaque être humain dans le Monde, a préféré se plier aux vaccins des grandes firmes pharmaceutiques. Et du coup, la seule objection qu’Israël m’a opposée aux traitements préventifs, ce fut : « Votre CDC, votre FDA [Food and Drugs Administration], ne l’approuvent pas. »
 

Car, il faut le savoir, les membres du Gouvernement israélien sont les pantins des Américains et les imitent en tous points. Donc, vu que les Américains n’étaient pas prêts à autoriser l’hydoxychloroquine et l’ivermectine, Israël ne les a pas autorisées non plus ! Alors, qu’ont-ils tous décidé d’un commun accord ? Ils ont créé une autorisation d’utilisation restreinte qui limitait l’accès à ces médicaments aux seuls patients hospitalisés, ce qui a eu pour effet d’en priver les patients en auto-médication ou qui auraient pu être soignés en consultation externe par leur médecin généraliste. Ceci a été confirmé par le Dr Rick Bright lui-même dans un documentaire intitulé « Totalement Sous Contrôle ». Ce n’est pas moi qui le dis : ce sont les mots du Dr Bright en personne ! Donc comme je disais, ils ont retiré l’autorisation d’utilisation d’urgence de l’hydroxychloroquine, en se valant de l’étude du Lancet qui faisait croire que ce médicament tuait des gens. Le problème de cette étude, c’est qu’elle était bourrée d’incohérences, et le Lancet a dû la retirer puisqu’elle se basait sur des données fictives et inventées de toutes pièces. Mais la FDA et le CDC l’ont quand même utilisée après qu’elle a été invalidée pour faire barrage à l’autorisation d’utilisation de ces médicaments en cas d’urgence. La raison est simple : si vous autorisez officiellement l’accès à un médicament en cas d’urgence, les autres médicaments perdent leur monopole. Et trois semaines plus tard, Remdesivir, fabriqué par Gilead Pharmaceuticals, a obtenu une autorisation d’utilisation d’urgence, en décrochant un contrat de 3 milliards de dollars. Et la firme a dissimulé son énorme bénéfice. Certes, Remdesivir a réduit le séjour à l’hôpital à cinq jours, mais sans garantie de survie du patient, et fait grimper le coût de sa thérapie (par voie intraveineuse) à 3200 $ par patient… quand le traitement médicamenteux que j’utilisais coûtait seulement 20 cents la pilule administrée à domicile, et parvenait à réduire les décès et les hospitalisations de 84%. Ça signifie que le gouvernement américain a permis à Remdesivir de se tailler 84% de la part du gâteau des soins contre la COVID-19 ! Alors autant vous dire que le CDC n’est pas un organisme digne de confiance à mes yeux !

Vous savez, si l’on écoute le NIH [National Institute of Health] en ce moment, seuls les hôpitaux seraient capables de traiter la COVID-19. Pas les médecins généralistes, ni même d’autres traitements de prévention ! On commence à s’occuper des malades du COVID qu’à partir du moment où ils sont hospitalisables, qu’ils sont au bord de l’asphyxie (soit, avec un taux d’oxygène inférieur à 92% !), et qu’ils ont besoin d’être intubés !

En clair, le discours médical diffusé actuellement dans les mass médias, c’est la propagande d’un gouvernement qui veut votre mort. Malgré 18 mois d’essais cliniques de traitements parallèles permettant d’éviter les hospitalisations et de nombreux décès, corroborés par des dizaines d’études qui attestent de leur efficacité curative et qui affichent des taux de rémission atteignant les 85%, vous avez encore une agence gouvernementale qui trouve le moyen de faire de mauvaises recommandations. Ils ont perdu toute crédibilité à mes yeux.

[28’33 à 29’00 : pas sûr encore de ma traduction] Oui. Nos gouvernements sont corrompus. Oui, nos gouvernements conspirent contre nous ! Vous savez, la situation est tellement grave que si je m’écoutais, et si j’étais une crapule, je prendrais rendez-vous avec un leader mondial. Je m’adresserais à Bibi [Benyamin Netanyahu] ou Bennet, et je lui proposerais ce genre de deal : « Écoutez, voici 500 millions de dollars. Ça restera entre nous. Je vous les verse sur un compte que personne ne pourra tracer. Si vous ne le faites pas, nous allons tuer votre famille. »

Nous nous retrouvons aujourd’hui confrontés, d’une manière différente mais étonnamment similaire, au même choix radical de vie et de mort pris par nos ancêtres au temps de l’Exode. Il leur restait 10% de chance de Salut et de fuite. Et puis ils ont dû faire face à l’Épreuve de la Porte qui s’ouvre au milieu de la Mer morte. Déjà, à l’époque, seulement un Juif sur dix quitta l’Égypte et se rendit en Israël. Cela signifie qu’il n’y aura vraisemblablement que 10% de notre Peuple qui sera capable de faire le grand saut psychologique et spirituel qui le fera passer l’esclavage à la Pensée rédemptrice. C’est bien ça le problème ! Nous assistons à une collision de deux systèmes inconciliables : l’un qui refuse la primauté de Dieu, et l’autre qui la reconnait. Rien de nouveau sous le soleil. C’est la même histoire depuis le Commencement du Monde. C’est juste que le champ de bataille maintenant est la COVID-19.
 

Homme 2 : D’accord. Merci beaucoup, docteur. Personnellement, j’ai suivi votre protocole, et en 4 jours, j’étais guéri.
 

Dr Zelenko : Alors pourquoi les autres Juifs ne le suivent pas ?

La Marque de la Bête par HUMAN IMMOBILIER

C’est drôle : je tombe sur cette pub (horrible, au passage) de HUMAN IMMOBILIER, qui illustre tout à fait ce que je dis depuis des années sur la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans l’Apocalypse.
 

 

La Marque de la Bête est à mon avis (et selon des années d’observation) quatre choses principalement :
 

1) l’hétérosexualité (idolâtrie des différences – au détriment de la différence des sexes et de la différence Créateur/créatures à savoir Jésus et l’Église Catholique).
 

2) la puce RFID subcutanée (en forme de 666 ou d’animal-totem).
 

3) la passion (et évidemment, cette idolâtrie pour les passions éjecte la Passion de Jésus, à savoir la Croix ; soit dit en passant, ce n’est pas un hasard si le PASS sanitaire commence précisément comme le mot « PASSion »…).
 

4) l’humanisme intégral (c’est-à-dire les valeurs du Christ sans le Christ, l’Humain au centre et Dieu jarté par un dieu moniste « Énergie » ; ou bien, côté catho, l’humanisme intégral se diluera en hypocrite et pharisien spiritualisme intégral, mettant le Christ au centre au détriment de l’Humain). Pour cela, je me suis basé sur ce que dit le frère Samuel et prêtre exorciste (il a écrit noir sur blanc dans Les Attaques du démon contre l’Église que « la Bête de l’Apocalypse était l’humanisme intégral »… et il a tout à fait raison).
 

Cette publicité maçonnique d’HUMAN IMMOBILIER (Immobilier et architecture, au programme), choisissant comme logo un animal (la cigogne), et mettant l’Humain au centre, promotionne la Marque de la Bête, et illustre parfaitement les 4 points que j’ai relevés.
 
 

Quant à mon documentaire des « Folles de Dieu », je suis bien content, lors de mon exposé consacré aux liens entre « Homosexualité et la Fin du Monde » (Journée 6 sur la « Dimension homophobe de l’homosexualité » : vous l’entendrez dans la partie 18), d’avoir décliné dans le détail ces quatre caractéristiques de la « Marque de la Bête » inconnues du grand public, et particulièrement bien éclairées par les oeuvres artistiques homosexuelles.
 
 
 

P.S. : Je ferai un mini-topo sur la Marque de la Bête (en lien avec le « vaccin ») à la prochaine « Soirée Dissidence 3 » du 19 août 2021 à Paris (en commençant par la sortie glaçante de Macron sur la « Bête de l’Événement »).

Le fossé incommensurable d’incompréhension entre les pro « vaccins » qui ne trouvent pas le Pass Sanitaire « grave » (c’est juste le mouvement de contestation de ce dernier qui leur paraît « grave »…) et les anti « vaccins » qui alertent de la gravité du tournant civilisationnel irréversible que ce Pass reflète


 

Il ne vous aura pas échappé, depuis l’allocution hallucinante du Président Macron le 12 juillet 2021 dernier qui a littéralement divisé la France, que deux camps (pas si « caricaturaux » que ça, contrairement aux dires de ceux qui souhaitent la paix des ménages, la paix civile, et éviter les amalgames fracturant notre pays) – « vaccinés » et non-« vaccinés » (ou, plus subtil : les pro « vaccin » et les anti « vaccin »… étant donné qu’il existe de plus en plus de personnes « vaccinées » s’opposant à l’injection qu’ils ont reçue à contre cœur et par chantage) – se sont formés et ne pourront plus ni se comprendre ni se retrouver.
 

On constate, avec sidération pour ceux qui comprennent les enjeux du « vaccin » et du Pass Sanitaire, à un fossé énormissime dans les réactions. Ça part dans les extrêmes… donc ça illustre un dialogue de sourds et une incommunicabilité forte : soit côté pro « vaccins » c’est la banalisation complète et décomplexée de la situation (et le pire, c’est qu’ils sont très sincères quand ils nous disent qu’ils ne comprennent pas nos manifestations contre le Pass Sanitaire, les qualificatifs de « dictature » affublés au régime politique français actuel ; ils jugent aussi que, par la facilité que nous aurions à pouvoir éviter le chômage ou l’apartheid social que nous dénonçons – il suffirait que nous acceptions une petite piqûre de rien du tout pour que notre « cauchemar » s’achève ! – ce seraient nous-mêmes qui nous auto-exclurions et qui serions nos propres dictateurs ! Les enfants gâtés nous prennent pour les enfants gâtés : c’est sidérant), soit côté anti « vaccin » COVID c’est la panique puis la révolte, ou bien, de manière plus catholique et sainte, l’opposition ferme, déterminée, dans l’Espérance mais quand même la conscience qu’un virage extrêmement dramatique a été pris d’un point de vue national et mondial.
 

C’est hallucinant et paradoxal mais c’est ainsi : La Fin du Monde, ou l’horreur, aux yeux des méchants et de ceux qui leur sont soumis, paraît et paraîtra, grâce aux commodités qu’il ou elle leur apporte (pain et jeux, sécurité, facilité, confort matériel, praticité, côté « élection » et « préférence » conféré par le privilège, etc.), quelque chose de tout à fait « acceptable », « rassérénant » voire « divin ». Comme le soulignait le philosophe français Michel Foucault (décrivant par exemple la mitoyenneté des camps de concentration nazis avec des quartiers pavillonnaires bourgeois respirant la quiétude et le bonheur en pleine Seconde Guerre mondiale), l’horreur côtoie le bonheur et la banalité de très près !
 

Et pour le privilégié qui se trouve à l’abri et au sec, il a beau voir qu’il pleut dehors, il ne comprend pas le malheur et la gravité de ceux qui, dehors, souffrent concrètement de la pluie, du déluge et de ses conséquences, mais aussi de son rejet : tous les drames lui paraissent, sinon existants, au moins exagérés. « Rien n’est grave puisque rien ne l’atteindra ! » pense-t-il, dans son immense orgueil et son immense naïveté. Pourtant, même son sentiment de paix (teinté chroniquement de peur, émaillé de quelques crises d’angoisse irrationnelles et de paranoïa : comme vous pouvez le constater, même les « vaccinés », qui pourtant devraient dormir désormais sur leurs deux oreilles vu qu’ils se croient « protégés », s’imaginent encore et toujours qu’ils peuvent être contaminés par la minorité de gens non « vaccinés » ou par un variant du virus initial qui a muté) est funestement prophétique, eschatologique. Je citerais volontiers, dans la Bible, la Première Lettre de saint Paul aux Corinthiens : « Quand les gens diront : ‘Quelle paix ! Quelle tranquillité !’, c’est alors que, tout à coup, la catastrophe s’abattra sur eux, comme les douleurs sur la femme enceinte : ils ne pourront pas y échapper. » (1 Cor 5, 3).
 

La tranquillité et la paix vantées en ce moment par les bourgeois matérialistes qui ont accepté le « vaccin » pour conserver leurs petits privilèges sont, de leur part, un aveu inconscient de leur peur pathologique et de leur égoïsme, ainsi que de leur déconnexion des vrais pauvres, mais aussi une confirmation que la Fin des Temps « pour tous » est proche puisque leur attitude d’indifférence à l’injustice et de fausse paix a été prophétisée mot pour mot par saint Paul.
 

Au fond du fond, au milieu de cette confusion mondiale entre « sécurité » et « Amour », il nous est révélé à tous la différence fondamentale (et inconciliable) entre paix venant du Monde (une paix unitaire, aseptisée, sécuritaire, visant l’absence de violences et de conflits, l’absence du mal, et l’uniformité) et la Paix venant de Jésus (un Paix qui n’est pas confortable, et qui, par Amour, tolère la Croix, le risque, le mal, et par Justice et haine des injustices, partage et divise le bon du mauvais, en détruisant le mauvais). La différence aussi entre Amour et tranquillité. Pour aimer vraiment, il faut se risquer, risquer sa vie et renoncer à la tranquillité. Tout récemment, mon propriétaire, très gentiment, m’a conseillé de me faire « vacciner » : « Vous serez tout de même plus tranquille. ». Tout aussi gentiment, je lui ai ris au nez, en lui disant : « Mais moi, je n’ai jamais voulu d’une vie ‘tranquille’ ! ». Je lui ai presque avoué que la vie tranquille dont il rêve était mon pire cauchemar !

Le vaccin gay (Homosexualité = étroite complice de la « vaccination » de masse ; et le « vaccin » anti-COVID = manière d’injecter au Monde l’idéologie LGBT)

« Are you pro life ? Do you reverence human life ? Then get vaccinated for God’s sake. I mean that literally. » (traduction en français : « Êtes-vous pro-vie ? Défendez-vous la vie humaine ? Alors faites-vous vacciner pour l’Amour de Dieu. Je le dis franchement. »).
 

Ce sont les mots du prêtre jésuite nord-américain gay friendly James Martin qui viennent d’être postés et « likés » en masse sur Twitter. (Entre parenthèses, pour qui se prend-il pour nous donner ce genre de conseils de santé intime très graves et lourds de conséquences ? Il a des parts chez Pfizer ou quoi ? L’humanisme intégral est bel et bien l’autre nom de la Bête de l’Apocalypse.)
 

Je voulais juste attirer votre attention sur un rapprochement que personne ne fait (car il est invisible, et que les deux sujets semblent complètement étrangers l’un par rapport à l’autre) entre « vaccination » et « promotion de l’homosexualité », mais qui existe réellement, et qui saute aux yeux une fois qu’on l’a identifié.
 

Entendez-moi bien : j’ai bien dit « promotion de l’homosexualité » (justification de la pseudo « identité homo » et du pseudo « Amour homo », ainsi que pratique homosexuelle) et non « homosexualité » (la tendance homosexuelle non-actée et non-justifiée : dans mon cas, je ressens cette tendance mais pour autant je suis contre ces soi-disant « vaccins » anti-COVID ; et un certain nombre de personnes homosexuelles aussi : Florian Philippot par exemple…).
 

 

Donc en gros, je ne suis pas en train de dire que toutes les personnes homosexuelles seraient des agents du Gouvernement Mondial et justifieraient la « vaccination ». Je crois en revanche que quasi toutes les personnes gays friendly voire pratiquant/justifiant leur tendance sont comme par hasard « vaccinées » et défendent – aussi bien dans la sphère privée que dans la sphère publique et politique – l’obligation « vaccinale » de masse. Je pense notamment à Gabriel Attal, porte-parole du Gouvernement, et dont l’homosexualité pratiquée est de notoriété publique ; je pense à la députée lesbienne Laurence Vanceunbrock-Mialon qui a fait approuver la PMA sans père et qui est à fond pro « vaccins » ; je pense à notre président français Emmanuel Macron, dont la bisexualité savamment cachée n’est un secret pour personne ; je pense au président de l’Assemblée Nationale Richard Ferrand, franc-maçon et gay friendly jusqu’au bout des ongles (il est l’artisan du « mariage » gay) ; je pense à la ministre de l’égalité femmes-hommes, des diversités et contre les discriminations, Élisabeth Moreno, qui fait tout pour imposer les lois LGBT à la France et qui, avant Macron, a fait pression pour la « vaccination » obligatoire ; et je pense même à notre ministre de la santé et des SOLIDARITÉS (Tout comme le mot « Diversités », « Solidarités » est à entendre comme un synonyme d’« homosexualité pratiquée et justifiée identitairement ») Olivier Véran, pourtant marié avec des enfants, mais – croyez-en mon « Gaydar » ( = radar à gays) – est, à mon avis, bisexuel (son cheveu sur la langue, sa manière de s’exprimer et de se mouvoir ; et puis surtout, ses « engagements » politiques : en 2015, il a milité pour la levée de la discrimination des personnes homosexuelles au don du sang ; et en ce moment, il est aux manettes de la loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité, ainsi que de la promotion de la transition transsexuelle des adolescents transgenres). Donc intentionnellement et politiquement, homosexualité pratiquée ou justifiée identitairement/sentimentalement et « vaccin » marchent main dans la main. Que la population mondiale s’en rende compte ou non, ou que ce soit conscient ou non chez eux, les promoteurs du « vaccin » cherchent à travers ce dernier à promouvoir et imposer l’homosexualité au Monde.

 

Ça, ce n’est qu’au niveau politique. Mais j’ai remarqué aussi que d’un point de vue plus populaire (c’est très visible sur les sites de rencontres gays, où les internautes montrent qu’ils sont de parfaits petits soldats des mesures sanitaires), l’homosexualité pratiquée étant d’une part un signe d’attachement matérialiste très marqué (c.f. voir mon Dictionnaire des Codes homosexuels tous les symboles renvoyant au désir homosexuel en tant que désir d’être objet) et d’autre part un signe de peur (l’homosexualité pratiquée est l’homophobie, comme je l’explique dans L’Homophobie en Vérité).

 

Il y a une parenté de combat, une affinité, un rapprochement entre lutte LGBT et pandémie (on l’a vu pendant l’année 2020 du confinement mondial : beaucoup de lois LGBT sont passées dans les pays pendant que le spectre du virus Corona était agité et faisait diversion). Tout comme il y a une association de malfaiteurs insoupçonnée entre personnes homosexuelles pratiquant leur homosexualité et francs-maçons (Dernièrement, j’ai rencontré un grand nombre de personnes homosexuelles qui m’ont révélé être francs-macs).
 

Tenez-vous-le donc pour dit. Par l’homosexualité, le Gouvernement Mondial essaie de vous imposer le « vaccin ». Par le « vaccin », Il essaie de vous imposer l’homosexualité. Vous verrez très souvent les deux sujets corrélés. Et ce n’est pas un hasard. Les gay friendly et les défenseurs du « vaccin » travaillent pour le même maître. Et ce maître n’est pas Jésus (même si, de plus en plus, certains parlent en son nom). Et symboliquement, vous verrez à la soumission de beaucoup au « vaccin » leur niveau de « gay friendly attitude », de corruption à l’idéologie promotionnelle de l’homosexualité. Et ce, en particulier chez les prêtres, les évêques et les cardinaux « catholiques ». J’ai envie de dire « Plus tu es pro-vaccin, plus tu dévoiles à ton insu ta collaboration avec le lobby pro-gays ». Et si je me trompe, qu’on me le démontre.
 

 
 

N.B. : La Bonne Nouvelle dans tout ça, pour nous personnes homosexuelles opposées à la « vaccination », c’est que notre refus catégorique du « vaccin » va logiquement et librement s’accompagner d’un renoncement à la pratique homosexuelle, donc de la continence (si et seulement si nous persévérons jusqu’au bout dans notre rejet de ce « vaccin »). Et le refus de la « Marque de la Bête » sera le signe que nous sommes effectivement continents et détachés du matériel et des idoles (de la société matérialiste ; dont la plus grosse = l’homosexualité). Les maîtres-mots de notre résistance : PAUVRETÉ et CHASTETÉ.

Le silence des évêques de France face au dictateur Macron + la Marque de la Bête ouvertement montrée dans les publicités Windows HP Elite

Trois jours après l’allocution inédite et sidérante du dictateur Emmanuel Macron qui a imposé à tous les Français la « vaccination » obligatoire, on aurait dû voir normalement les évêques et les cardinaux de France se lever et exprimer leur indignation. Pourquoi ne les entend-on pas ? Eh bien tout simplement parce qu’ils se sont tous fait vacciner comme des cons, et qu’en réalité, ce sont tous sans exception des carriéristes qui servent leurs intérêts plutôt que l’Église et Jésus. Et si je me trompe pour l’un d’entre eux, qu’on me le démontre. D’ailleurs, ils lèchent tellement les bottes de Macron qu’ils le reçoivent comme par hasard en grandes pompes demain à Lourdes (Ribobo-Dumas, le très gay friendly recteur du sanctuaire, n’en peut plus d’attendre : il va revoir son grand maître vénérable, depuis les Bernardins…).
 

 

Par ailleurs, je viens de voir la nouvelle publicité de la tablette de Windows HP Elite 10. On y voit clairement la présence de la Bête (c.f. Pour plus d’infos, lisez mon livre Homo-Bobo-Apo). Ceux qui interprètent la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans la Bible, comme une métaphore pas concrète se plantent complètement. Le 666 et le nom de la Bête (ici, un dragon) sont explicitement nommés (Je vous mets le lien des deux versions, car l’une contient le 666 à l’envers).
 


 
 
 

P.S. : Pour l’instant, je n’ai pas rencontré de prêtres catholiques qui ne se soient pas fait « vacciner ». Si ça se trouve, il n’y en a pas. Et ils sont tous devenus stupides. (Ça m’étonnerait, connaissant le Seigneur, qu’Il ne nous en ait pas laissé au moins un de bon…)

Dieudonné et son pacte « humoristique » avec l’Imaginaire (Mon premier Bal des Quenelles… à la place de la Gay Pride!^^)


 

Hier, c’était la première fois que je me rendais au Bal des Quenelles (13e édition) organisé autour du très controversé humoriste Dieudonné à Saint-Lubin-de-la-Haye. J’y suis allé surtout par amitié pour Morgan Priest, mais également par curiosité et envie de rencontrer du monde. Il se trouve que, grâce aux vidéos que j’ai faites avec Morgan, j’ai été reconnu par quelques personnes venues assister au spectacle d’une heure de Dieudo puis à la remise de prix des Quenelles d’or de l’année sacrant les personnalités qui ont le plus « quenellé » (c’est-à-dire « entubé », « enculé ») le « Système ».
 

Je pourrais faire une étude sociologique entière de ce que j’ai observé hier soir, mais je ne vais pas m’étendre ici (car je n’ai pas le temps). Je me contenterai juste de dire que je ne regrette absolument pas d’y être allé, rien que parce que j’ai fait la connaissance d’un gars super qui s’appelle Alexis (et qui est devenu, en quelques heures, un ami), parce que j’ai revu des gens que j’aime et découvert d’autres que je ne connaissais pas, parce que j’ai beaucoup ri de cette insolence bon enfant et en même temps souvent pertinente et percutante qui caractérise l’esprit de ce meeting politique déguisé en farce potache frondeuse, et parce que j’ai été ému par la liberté de ton ainsi que par les persécutions réelles (censure, perte de travail, pressions, procès, incarcérations parfois) que subissent certains défenseurs de la Vérité aujourd’hui. Dieudo leur offre une tribune amplement méritée, et montre par-là même que derrière son personnage diabolisé de « crapule », c’est un amuseur au grand cœur. Donc mon impression d’ensemble, c’est l’émerveillement. Des soirées comme celles-là reboostent ma conscience politique et me font sortir de la peur, de l’image, du ronronnement ou du désespoir. Merci à Dieudonné pour ça. Quelle bonne et utile rigolade !
 

Le seul « bémol » (et non des moindres) qui éteint un chouia mon enthousiasme et mon entière adhésion, c’est que parfois, dans le discours de Dieudonné, à certains moments il y a des choses que je ne trouve pas justes. Et notamment par rapport aux personnes homosexuelles. Je trouve que Dieudo manque d’amour à notre égard. Il a eu des phrases de lui qui n’étaient pas jouées, qui ne sortaient pas de ses personnages, mais bien des propos qu’il pensait vraiment lui, en particulier concernant Emmanuel Macron. J’ai beau ne pas aimer du tout la politique de notre président, j’ai beau apprécier le second degré (y compris sur l’homosexualité, et employé par des personnes qui ne sont pas homos), quand Dieudonné sort de manière acerbe « Vas plutôt sucer des bites, espèce de p’tite pédale… » (véridique : sur le coup, j’ai noté la phrase pour m’en souvenir), là, je ne rigole plus. Je trouve que l’humoriste ne distingue pas bien les personnes homosexuelles de la promotion politique de l’homosexualité. Dit autrement, son distingo n’est pas net entre Juifs et sionisme, ou entre personnes homosexuelles et « lobby LGBT », voire même entre homosexualité et sionisme (c.f. son allusion acide à la boîte trans de Tel-Aviv).
 

Or ces amalgames volontaires marquent une exaspération réelle chez Dieudo, un ressentiment fort, un désir de vengeance, en même temps qu’une confusion intérieure entre actes (ou discours ou images) et personnes. Et c’est d’autant plus malaisant que ça alimente et réveille de manière assez affirmée l’expression ouverte et récriminante d’une homophobie réelle dans le public de Dieudo (Dans les discours qui ont précédé l’arrivée de l’humoriste, certains speakers gilets jaunes se sont lâchés à l’encontre des « LGBTQ qui ne pensent qu’à leur cul », comme si nous personnes homos étions les putes dévirilisées et débauchées du Système… Et toi, petit homo perdu dans cette assistance qui pue la testostérone, tu souris jaune, tu te sens tout d’un coup bien seul et bien symboliquement méprisé par la foule islamo-catho-anarchisée qui t’entoure, qui joue les fiers-à-bras révoltés, et qui aboie par à-coup compulsif son ras-le-bol et ses désirs d’en finir avec la « dictature arc-en-ciel judaïsante »).
 

Dieudonné peut très bien se draper dans l’excuse de l’humour, de la dénonciation des injustices politiques, se cacher derrière ce qu’il appelle « l’imaginaire », pour dire des vacheries ou lancer ses pics contre certaines personnes ou groupes médiatiques : ça ne change rien. « L’imaginaire c’est l’autre nom du mal », comme dit Jean-Paul Sartre (Je précise que je ne suis pas fan de Sartre : il a écrit beaucoup de conneries. Mais sa définition de l’imaginaire, dans son livre Saint Genet, comédien et martyr, je l’ai retenue ; et je trouve cette distinction entre l’imagination – qui peut être bonne quand elle est reliée à la Vérité – et l’imaginaire – qui lui est l’autre nom du mal – particulièrement pertinente). Dieudonné, sur scène, bien souvent prétexte de « faire parler son imaginaire » pour dire que sa haine est cachée, drôle et est permise du moment qu’elle n’est pas ouvertement exposée à la figure de la personne qu’il attaque. Sauf que, je pense que finalement, en exposant son « imaginaire », à savoir son mal et ses désirs de vengeance, à un auditoire largement acquis à sa cause, il crée/alimente une haine homophobe qui ne s’avoue pas elle-même.
 

Et ça, évidemment que ça me dérange ! Car il faut aimer les personnes homosexuelles. Et j’ai senti, tout au long de son spectacle, dans les rares moments où il était question d’homosexualité, un fort ressentiment dans la foule. J’ai senti une rancœur, un agacement, une exaspération… que je comprends, attention : parce qu’il y a plein de lois actuellement qui passent au nom des personnes homosexuelles alors qu’elles n’ont rien à voir avec l’homosexualité, et qui sont des lois injustes, même parfois des trafics humains. Je comprends le ressentiment. Je comprends que le public dieudonnéen (la « Dieudosphère »), notamment croyant ou soi-disant « hétérosexuel », soit agacé. Mais je ne peux pas justifier la haine et la vengeance.
 

Conclusion : j’ai aimé mon premier Bal des Quenelles… mais Dieudonné a encore énormément de progrès à faire pour aimer les personnes homosexuelles, ne pas les ignorer ou écarter, et ne pas sélectionner (par la caricature plus ou moins consciente) ses amis ou victimes ainsi que ses ennemis.
 

Los peligros del cristocentrismo católico desencarnado en cuanto a los testigos públicos de la continencia homosexual


 

Actualmente, me empiezan a entrevistar bastantes periodistas españoles y latinoamericanos. A veces, es un éxito, porque no me piden que desempeñe el papel del santo inmaculado, iluminado, « ex-gay », exaltado, alegre, apuesto y perfecto. Pero a veces, es un desastre, porque no aceptan que yo represente una santidad « ensuciada », oscura, atormentada, imperfecta, dolorosa, difícil, penosa, débil, en camino, a veces indignada o inquieta, una santidad que valoriza la homosexualidad tanto como a Jesús.
 

Acabo de participar en una entrevista que no me ha salido tan bien como la de Enrique Vidal (el youtuber de « Enriquísimo TV », que no es homo) donde pude ser totalmente libre de decir lo que quería. Por la simple razón que la periodista católica que me hacía las preguntas no aceptaba que hablara de cosas negativas (la Cruz, la dificultad de la condición homo o de la renuncia a la pareja, la puerta estrecha de la continencia, las tentaciones, los desiertos, la dureza del discurso de la Iglesia sobre la homosexualidad y la dureza de la exigencia del celibato, las realidades de divisiones dentro de la Iglesia o de falta de apoyo objetiva de la mayoría de los católicos, el riesgo concreto de cisma a causa de la homosexualidad dentro de la Iglesia, la primacía de la homosexualidad comparado con otros temas espinosos en la Iglesia, etc.), porque interpretabas esas cosas negativas como « exageraciones » mías, como « faltas de Fe » de mi parte, o la negación del poder de Jesús contra ellas… ¡ lo que no son ! Al igual que los protestantes o que los nuevos conversos con quienes es imposible hablar de muerte, de enfermedad, de pecados, de caídas, de dificultades, de tentaciones, porque, según ellos, « Dios todo lo colma y todo lo vence ».
 

En realidad, los protestantizados entre los católicos quieren la Resurrección sin la Pasión y sin la Cruz, la Fe sin la duda y sin la libertad humana, la santidad sin la imperfección (los santos pecaron hasta el final de su vida), la liberación espectacular e inmediata sin las liberaciones parciales y progresivas. Y tienen miedo a acoger el sufrimiento de los demás : no lo quieren llevar ni escuchar… puesto que ellos mismos niegan sus heridas del pasado y no quieren dejarse contagiar por los males que oyen ; incluso no quieren dejarse contagiar por su propia compasión. « El mal y el sufrimiento no existen puesto que no deberían existir, y que Dios los quita. »
 

No he visto esta fe mágica, este cristocentrismo purista (que todo lo borra, que borra nuestra Humanidad que todavía sufre y vive en el pecado, y que piensa que fuera de una vida sacramental intensa y regular no hay salvación), en Enrique Vidal. Porque él me ha escuchado sin protestar, y ha aceptado que yo sufra, que advierta de riesgos reales, que denuncie injusticias, que describa problemas eclesiales o íntimos reales, que confiese que la condición homosexual es difícil (por mucho que uno tenga Fe y crea en Dios y experimente concretamente Su Acción en su vida)… No había en Enrique ninguna idealización del camino cristiano. No había resistencias o huídas cuando abordaba temas desagradables o negativos. Y no interpreta lo negativo que oía de mí, como una irrealidad, una mentira, un exceso, o una falta de Fe (Hasta Jesús mismo dudó que no había sido abandonado por su padre). Al contrario. Reconoció que el camino de la Fe y de la Salvación no es recto, que puede encontrarse fuera de la Biblia y de la oración (y dentro del ambiente homosexual), que pasa por el reconocimiento de la existencia del mal, por la Pasión y la Cruz. Dios nos colmará plenamente Arriba, en el Cielo, y su Victoria será plena solo allá. ¡ Pero primero nos toca vivir la Pasión/sufrir/combatir abajo ! Y dudo del discurso exaltado y desencarnado de los que pretenden que gracias a Jesús, Jesús y Jesús (el cristocentrismo y el espiritualismo integral que veo mucho en el protestantismo), viven el Cielo en la Tierra, que ya no sufren y ya no tienen bajones ni dificultades ni tristezas. Jesús-Dios mismo tuvo bajones, y de los fuertísimos… y por tanto, no carecía de Fe, de Esperanza y de fuerza. Y yo, antes de encarnar el ejemplo de persona homo liberada totalmente por Dios y alegre, quiero mostrar que el camino que me regala Dios es bello justamente porque es duro, que no es recto, que es un combate, que es complejo y libre, que es encarnado, porque Dios me permite experimentar Su Misericordia dado que Él no me ha transformado en Superman, y porque permite que yo sea a veces pecador en nombre del respeto de mi libertad (y encima, no se asusta de mis pecados).
 

Basta de iluminismo cristocentrado. No hay Pan sin Copa.
 
 
 

N.B. : Recibo ahora un mensaje de la periodista donde ella reconoce que solo quiere para su reportaje a testigos que se presentan como « ex-gays » (Ha entrevistado a Mauricio Clark, por ejemplo)… y que me dice – a pesar de que le haya contado con todos los detalles los tres encuentros sensibles con Jesús que experimenté concretamente – que « todavía no he encontrado verdaderamente a Jesús » y que « rezará por mí y por mi conversión » jaja! #LosCatólicosProtestantizadosSonUnaGozada. Pues que rece por los demás en lugar de rezar por ella, que así « aman » los fariseos sacramentalistas !

La primavera de las salidas del armario de los sacerdotes homosexuales anticlericales (el caso del padre británico James Alison)


 

Actualmente, salen en los medios de comunicación cada vez más sacerdotes/religiosos que se declaran abiertamente homosexuales (Jean-Michel Dunand, Krzysztof Charamsa, James Alison…) o que lo ocultan más o menos bien (la dominica Véronique Margron, el jesuita norteamericano James Martin). Estos clérigos a veces provienen del protestantismo. Y su denominador común es que no son obedientes a la enseñanza de la Iglesia, que a veces mantienen secreta su homosexualidad y que la viven mediante una propaganda de la acogida de las personas homosexuales creyentes.
 

Podrían dar la espalda a la Iglesia. ¡Pero no! Al contrario: insisten en quedarse dentro de la Casa, como agentes dobles cuya homosexualidad permanecerá astutamente confidencial, tan tácita como un secreto a voces. Se muestran lo suficientemente inteligentes y ambiguos como para no ser descubiertos (aunque no insistan mucho en su voto de celibato… que generalmente presentan con desprecio como una « necesidad generacional y cultural impuesta »… y por eso podemos tener serias dudas sobre su verdadera abstinencia sexual) y como para no ser destituidos de su función sacerdotal. Ya que centrar su discurso en la acogida de los « católicos LGBT » y de las personas homosexuales, aunque huela a un entrismo « inclusivo » barato y a una demagogia « gay friendly » que no anuncia toda la verdad sobre la práctica homo y no presenta la homosexualidad actuada como el mal y el pecado que es, aunque suela ir acompañada del zarpazo del « outing » (revelación forzosada de la homosexualidad) de sus correligionarios-sacerdotes, no constituye un patinazo lo suficientemente grave como para imponer una exclusión de la Iglesia (excomunión), un despido y una vuelta al estado laico.
 

Al igual que los alumnos perturbadores en una clase que se hacen los remolones para poder transgredir progresivamente las reglas, estos curas y religiosos progres borderline avanzan de puntillas. Se sienten a símismos investidos de la « Misión » de convertir a la Iglesia Católica institucional, que consideran « oscurantista », al « Evangelio del Amor y de la aceptación de todas las diferencias » (a fortiori la « diferencia catomosexual » de la que tanto habrían sufrido cruelmente en el pasado). Y no son los ataques demonizantes y poco sutiles de los católicos conservadores los que los detendrán (¡ Al contrario, los refuerzan y les proporcionan una publicidad bárbara !).
 

¡ Estos sacerdotes homos/gays friendly nunca dirán públicamente que practican su homosexualidad : se limitan a aplaudir a buena distancia una determinada práctica homo – « estable », « totalmente compatible con la práctica religiosa » y supuestamente « auténtica » – experimentada por otros ! De esta manera, se protegen contra los ataques, mientras siguen viviendo/practicando/justificando su homosexualidad a través de otras personas o parejas. Se podría decir que se trata de una homosexualidad actuada « de sustitución ». Una transposición que me parece tanto más perversa cuanto que es una forma de satisfacción implícita de su propia tendencia homo, pero que pasa hipócritamente por una contención, un sacrificio santo, una renuncia altruista, una retirada de humildad (« No vivo mi homosexualidad para que la puedas vivir tú… » declaman teatral/tácitamente las divas sacerdotales abstinentes que hacen su vibrante y conmovedora « salida del armario » tardía desde su lecho de muerte). Es una actitud asquerosa. Pero por lo visto, funciona, conmueve, y genera una espléndida y lucrativa carrera (perdón… « pastoral de las periferias ») o una segunda vida eclesiástica « santa ». James Martin, por ejemplo, vende muchos libros y aparece en muchos programas de televisión. ¡ Es un lifting perfecto para darse una imagen de benefactor que va a modernizar y « abrir » su « Iglesia polvorienta » ! ¡ Una reconversión sacerdotal reluciente ! Y que es muy fácil, además, ya que nadie sabe nada de la homosexualidad, y la gran mayoría de los católicos la temen y no le hacen caso.
 

Para imponer su propaganda naturalista-gay friendly (dicho de otro modo, estos sacerdotes abierta/secretamente homosexuales forman parte de los esencialistas/creacionistas que sostienen que la tendencia Y la práctica homosexuales serían « naturales » y por lo tanto necesariamente « buenas y bendecidas/deseadas/creadas por Dios », y también son aquellos que, en cambio, argumentarán que la continencia homosexual « no es natural », es « peligrosa », « suicida », « homófoba » y sería una « homosexualidad reprimida » : en resumen, caricaturizan falsamente la continencia como la abstinencia y la inhibición que no es), hasta se valen de un respaldo papal. Es decir que se aprovechan de la fragilidad y ambigüedad de la posición actual del Papa Francisco acerca de la homosexualidad (y luego acerca de las Uniones civiles), también se aprovechan de la bondad papal y de la ambivalencia del concepto de « acogida » y de « Amor » (la acogida y el Amor solo existen dentro de la Verdad: el Amor verdadero no es, como cree el Mundo, ¡ « incondicionado » ni « incondicional » ! La condición del Amor es 1) el respeto inviolable de nuestra libertad; y 2) el consentimiento a la Cruz), para aprovechar el resquicio eclesial y seguir armando su propaganda identitaria y sentimental homosexual sin ser molestados. Están protegidos por su estatuto eclesial, por sus buenas intenciones de acogida y de no-juicio a las personas, por la ignorancia/homofobia de sus contemporáneos y de los católicos en general, y se dejan llevar por la innegable influencia mediática de la homosexualidad y por la tensión/incomprensión cada vez más masiva en torno a la virginidad sacerdotal. Por lo tanto, ¡ se les abre un bulevar !
 

Aunque los católicos no me escuchen y se nieguen a entenderme al respecto, hay dos « detalles » importantes en el discurso del padre James Alison que lo traicionan e invalidan : primero, es su sobrevaloración de la franqueza (sustitución de la Verdad por la franqueza/honestidad/transparencia/sinceridad : dicho sea de paso, la franqueza es la base ideológica de la Franc-Masonería anticrística mundial) ; y en segundo lugar, es su sobrevaloración de la heterosexualidad (confundida con la diferencia de sexos : es en la heterosexualidad – que es el diablo disfrazado de diferencia de sexos – en la que se basan todas las leyes pro-gays).
 

Quisiera decir una cosa para terminar : tengan en cuenta que no estoy para nada en contra de la salida del armario de los sacerdotes en sí. Todo lo contrario. Lo dije en mi documental « Las Locas de Dios » durante las mesas redondas sobre la homosexualidad sacerdotal. La salida del armario sacerdotal, si estuviera orientada y apoyada por la continencia, salvaría a la Iglesia. El único problema es que, en los medios de comunicación, los pocos sacerdotes que actualmente están saliendo del armario no son continentes, y hasta refutan el requisito de abstinencia y de celibato exigido por la Iglesia a las personas que son duraderamente homosexuales, y atacan al clero designándolo como homófobo y « homosexual reprimido » en su mayoría. Mi sueño hubiera sido contar, entre las « Locas de Dios », con un testigo sacerdote continente (pero el amigo en que pensaba tenía miedo de perder su puesto de cura – porque, a fin de cuentas, no es siempre homosexualmente abstinente – y por eso se escabulló). Habría sido revolucionario. Y faltan muchísimo estos sacerdotes homosexuales continentes a la Iglesia. Felizmente, mediante la persona de Gerson Gonzales (el testigo peruano, que hizo 3 años de seminario), finalmente conseguimos a uno ;-).

Le printemps des coming out de prêtres gays anticléricaux (le cas du père britannique James Alison)


 

En ce moment, on voit de plus en plus émerger médiatiquement des prêtres/religieux qui se disent ouvertement homos (Jean-Michel Dunand, Krzysztof Charamsa, James Alison…) ou qui le cachent plus ou moins bien (la sœur dominicaine Véronique Margron, le jésuite nord-américain James Martin). Ces clercs viennent parfois du protestantisme. Et ils ont pour dénominateur commun de ne pas être obéissants à l’enseignement de l’Église, de garder leur homosexualité parfois secrète, et de la vivre par une propagande de l’accueil des personnes homos croyantes.
 

Ils pourraient tourner les talons à l’Église. Mais non ! Au contraire : ils s’acharnent à rester dans la Baraque, comme des agents doubles dont l’homosexualité restera savamment confidentielle, tacite comme un secret de Polichinelle. Ils se montrent suffisamment rusés et ambigus pour ne pas être pris en flag’ (même s’ils insistent peu sur leur vœu de célibat… qu’ils présentent en général avec mépris comme une « nécessité générationnelle et culturelle imposée »… si bien qu’on peut avoir de sérieux doutes sur leur abstinence sexuelle réelle) et pour ne pas être démis de leur fonction sacerdotale. Car centrer son discours sur l’accueil des « catholiques LGBT » et des personnes homos, même si ça pue l’entrisme « inclusif » facile et la démagogie « gay friendly » qui n’annonce pas la vérité entière sur la pratique homo et ne présente pas l’homosexualité actée comme le mal et le péché qu’elle est, même si ça s’accompagne en général du coup de griffe narquois de l’« outing » (révélation forcée d’homosexualité) de leurs coreligionnaires-prêtres, ne constitue pas un dérapage suffisamment grave pour imposer une exclusion de l’Église (ex-communication), une destitution et un retour à l’état laïc.
 

Comme les élèves perturbateurs borderline d’une classe jouant les lèche-culs pour pouvoir transgresser progressivement les règles, ces prêtres et religieux progressistes s’avancent à pas de loup. Ils se sentent investis de la « Mission » de convertir l’Église Catholique institutionnelle qu’ils jugent « obscurantiste » à l’« Évangile de l’Amour et de l’accueil de toutes les différences » (a fortiori la « différence cathomosexuelle » dont ils auraient cruellement souffert par le passé). Et ce n’est pas les attaques diabolisantes et peu subtiles des catholiques conservateurs qui vont les arrêter (Bien au contraire, elles les renforcent et leur font une pub du tonnerre !).
 

Ces curés homos/gays friendly ne diront jamais publiquement qu’ils pratiquent leur homosexualité : ils se limitent à applaudir à bonne distance une certaine pratique homo – « stable », « totalement compatible avec la pratique religieuse » et soi-disant « authentique » – chez les autres ! Comme ça, ils se mettent à l’abri, tout en vivant/pratiquant leur homosexualité par personnes ou couples interposés. C’est une homosexualité actée « de substitution », pourrait-on dire. Une transposition qui m’apparaît d’autant plus perverse qu’elle est une forme d’assouvissement implicite de sa tendance homo mais qui passe hypocritement pour de la retenue, un sacrifice saint, un renoncement altruiste, un retrait d’humilité (« Je ne vis pas mon homosexualité pour que vous puissiez la vivre… » déclament théâtralement/tacitement les divas sacerdotales abstinentes qui font leur vibrant et poignant « coming out » tardif sur leur lit de mort). C’est puant. Mais visiblement, ça marche, ça émeut, et ça crée une belle et lucrative carrière (pardon… « pastorale des périphéries ») ou une seconde vie ecclésiastique « sainte ». James Martin, par exemple, vend beaucoup de livres et passe sur plein de plateaux télé. Parfait lifting pour s’offrir une image de bienfaiteur qui va moderniser et « ouvrir » sa « poussiéreuse Église » ! Belle reconversion sacerdotale ! Et facile, puisque personne n’y connaît rien à l’homosexualité et que la grande majorité des catholiques la craigne ET n’en a rien à foutre.
 

Pour continuer leur propagande naturalisto-gay-friendly (Autrement dit, ces prêtres ouvertement homos font partie des essentialistes/créationnistes qui soutiennent que la tendance ET la pratique homos seraient « naturelles » et donc forcément « bonnes et bénies/voulues/créées par Dieu », et sont de ceux qui a contrario avanceront que la continence homosexuelle « n’est pas naturelle », est « dangereuse », « suicidaire », « homophobe » et serait une « homosexualité refoulée » : bref, ils caricaturent à tort la continence en abstinence et en refoulement qu’elle n’est pas), ils se valent même d’une caution papale. À savoir qu’ils profitent de la fragilité et de l’ambiguïté du positionnement actuel du Pape François sur l’homosexualité (et ensuite sur les Unions civiles), qu’ils profitent aussi de la bonté papale et des ambivalences du concept d’« accueil » et d’« Amour » (accueillir et aimer, c’est en Vérité : ce n’est pas, comme le croit le Monde, « inconditionné » ni « inconditionnel »! La condition de l’Amour, c’est 1) le respect inviolable de notre liberté ; et 2) le consentement à la Croix), pour s’engouffrer dans la brèche ecclésiale et continuer leur propagande identitaire et sentimentale homosexuelle sans être inquiétés. Ils sont couverts par leur statut ecclésial, leurs bonnes intentions d’accueil et de non-jugement des personnes, par l’ignorance/homophobie de leurs contemporains et des catholiques en général, et sont portés par l’influence médiatique indéniable de l’homosexualité et par la crispation/incompréhension de plus en plus massive autour de la virginité sacerdotale. Un boulevard s’ouvre donc à eux !
 

Même si les catholiques ne m’écoutent pas et refusent de me comprendre à ce sujet, deux « détails » importants dans le discours du père James Alison le trahissent et l’invalident : c’est d’abord sa surévaluation de la franchise (substitution de la Vérité par la franchise/honnêteté/transparence/sincérité : au passage, la franchise est la base idéologique de la Franc-Maçonnerie antéchristique mondiale) ; et ensuite, c’est sa surévaluation de l’hétérosexualité (confondue avec la différence des sexes : c’est sur l’hétérosexualité – qui est le diable déguisé en différence des sexes – que s’appuient toutes les lois pro-gays).
 

Je tiens à dire une chose pour conclure: sachez que je n’ai rien contre les coming out sacerdotaux en soi. Bien au contraire ! Je l’ai dit dans mon documentaire « Les Folles de Dieu » lors des tables rondes sur l’homosexualité sacerdotale. Les coming out sacerdotaux, s’ils étaient orientés et appuyés par la continence, sauveraient l’Église. Le seul problème, c’est que médiatiquement, les seuls prêtres qui actuellement sortent du placard ne sont pas continents voire contestent l’exigence d’abstinence et de célibat demandée par l’Église aux personnes durablement homosexuelles, et tapent sur le clergé en le désignant comme majoritairement homophobe et homosexuel refoulé. Mon rêve eût été de compter, parmi les « Folles de Dieu », un témoin prêtre continent (mais l’ami en question a eu peur de perdre son poste – car au fond, il n’est pas toujours homosexuellement abstinent – et donc il s’est défilé). Ça, ça aurait été révolutionnaire ! Et ça manque à l’Église, ces prêtres homos continents. Heureusement, en la personne de Gerson Gonzales (le témoin péruvien, qui a fait 3 ans de séminaire), nous l’avons finalement eu ;-).
 

L’homosexualité : une affaire de mecs plus qu’une affaire de nanas


 

Je viens d’avoir un échange avec un prêtre de Paris qui a montré (avec succès) la première partie des « Folles de Dieu » à un groupe de jeunes qu’il encadre. Et il m’a avoué que sa proposition de visionnage du film n’avait attiré malheureusement que des filles ! « J’ai bien parlé de votre super film à mon groupe de Jeunes Pro (que des filles, c’est comme ça, je dois les attirer plus que les mecs) et je leur ai montré le début. On en parle tellement peu dans nos milieux cathos… et c’était super. On attend la suite avec impatience ! »
 

Voici ma réponse : « Pour ce qui est du documentaire, je me réjouis que vous ayez partagé ça avec des jeunes pros : c’est super ! (Ne vous inquiétez pas : le peu de succès du thème auprès des garçons ne vient pas de vous, mais du thème de l’homosexualité en lui-même, qui en général met la majorité des hommes très mal à l’aise. Car – et c’est une des grandes différences à mon sens entre l’homosexualité masculine et l’homosexualité féminine – dans l’imaginaire collectif l’homosexualité masculine remet vraiment en cause l’identité masculine toute entière (un mec homo, a fortiori passif, « n’est pas un homme », pense-t-on), tandis que l’homosexualité féminine ne menace pas et n’annule pas à ce point l’identité féminine (bien au contraire, elle peut la renforcer !). C’est là qu’on voit que l’homosexualité, socialement, c’est vraiment beaucoup plus une crise de la masculinité et de la paternité qu’une crise de la féminité et de la maternité : un homme qui se sent homo pourra difficilement apparaître comme un homme, bander ni être père, à l’inverse d’une femme homosexuelle qui pourra simuler (homo-)sexuellement et peut toujours techniquement être mère et apparaître comme une femme (et elle ne sera pas la risée de sa classe si elle joue les p’tits mecs : un gars frêle et efféminé, si). C’est pour ça, à mon avis, qu’il y a beaucoup plus de personnes qui se disent et se sentent homos chez les hommes, et que les femmes homosexuelles exclusives sont en minorité et ne sont pas toujours prises au sérieux quand elles font leur coming out. L’homosexualité masculine donne à croire qu’« on n’est pas un homme », qu’on perd la force qui nous rendrait homme : elle touche de plein fouet l’identité sexuée des garçons. C’est pour ça qu’elle apparaîtra la plupart du temps comme un argument d’autorité. C’est beaucoup moins prononcé côté filles, chez qui la sensualité homo-érotique et la tendresse passent beaucoup plus inaperçues et sont tolérées voire encouragées (comme de l’amitié, ou du jeu de camaraderie, ou de la beauté féminine, ou de l’audace bisexuelle) dans la sphère publique. Un homme qui se dit « homo », on n’insistera pas pour qu’il « change de bord » et on croira davantage son coming out qu’une fille: car il peut moins simuler sexuellement. Et j’ai remarqué, à l’époque où je faisais des conférences face à des scolaires et des groupes différenciés sexuellement, que les classes de mecs étaient beaucoup plus mal à l’aise et paniquées par l’homosexualité, que les classes de filles, qui étaient très relax et ne sentaient pas leur identité sexuée visée ni menacée par le sujet. Bref. L’homosexualité, je crois, est un phénomène foncièrement et prioritairement masculin. Quoi qu’en dise la société bisexuelle qui rêve d’égalité parfaite des sexes. L’homosexualité, c’est un problème (et une peur) de la masculinité. Pas tant une peur de la féminité. À bientôt, et merci. Philippe »