Archives de catégorie : Phil de l’Araignée

« Je dois vous faire un aveu : tôt ou tard, je finirai par me faire vacciner. »

Ce qui ressort des discussions personnelles que je peux avoir en ce moment avec mes amis sur la situation intime, sociale et mondiale actuelle, c’est qu’à plus ou moins long terme, nous sentons tous que le soi-disant « vaccin » anti-COVID (qui se trouve être en réalité une thérapie génique qui va fragiliser l’Humanité toute en entière face à l’émergence des mutations du virus) va devenir tacitement obligatoire pour tous. Et donc que le choix de l’accepter ou de le refuser se posera très prochainement à tout un chacun, sans exception (sauf les bébés et les personnes rendues volontairement ou involontairement inconscientes). Plus rares sont ceux qui, en revanche, sont capables d’admettre (calmement, et dans l’Espérance de la Résurrection de Jésus) que derrière cette décision du « vaccin » se cache un choix personnel plus grave encore de vie ou de mort (non pas donnée par le virus mais par les organisateurs de la dictature sanitaire censée éradiquer celui-ci).
 

En tout cas, pour opérer ce positionnement, nous devons d’ores-et-déjà répondre à quatre questions fondamentales : Vais-je (et dois-je) accepter pour moi-même ce pseudo « vaccin » ? Et si je décide de le refuser, combien de temps vais-je pouvoir tenir ? Est-ce que cette résistance vaut le coup ? Et surtout, jusqu’où (et jusqu’à quels sacrifices) je suis prêt à aller ?
 

Répondre à ces interrogations, même si dans un premier temps ça ne revêt pas de caractère urgent ni fatal, va – plus vite qu’on ne le croit – s’imposer comme un enjeu de vie ou de mort, donc devenir grave, douloureux, cornélien, cruel, lourd de conséquences, mais aussi paradoxalement courageux et salutaire (au sens céleste du terme !) si le choix du Maître de notre vie est le bon. Car en effet, ce qui nous permet de répondre à ces 4 questions, c’est bien le choix du Maître de notre vie : soit nous choisissons d’appartenir à Jésus et de consentir à sa Croix (et je crois que c’est le seul bon Maître pour nous tous), soit nous choisissons une ou plusieurs des divinités de pacotille que je vais vous lister maintenant.
 

J’ai identifié en effet que les idoles auxquelles sont soumis les gens qui ont cédé à la pseudo « vaccination » sont à peu près toutes les mêmes : le dieu « Grands Voyages » (ou « Mobilité »), le dieu « Culture », le dieu « Qualité de vie », le dieu « Confort », le dieu « Peur » ou « Ras-le-bol », le dieu « Nourriture » (Pour certains, sans déconner, la nourriture a plus d’importance que leur entourage humain, et même que Dieu !), le dieu « Santé » (Ils vouent un véritable culte à la Santé, et sont au bout du compte complètement soumis et en stress avec leur propre corps et celui des autres), le dieu « Bien-être », le dieu « Protection », le dieu « Instant », le dieu « Équilibre », le dieu « (bonne) Situation », le dieu « Sécurité (matérielle ou financière ou professionnelle) », le dieu « Carrière » (Beaucoup me justifient qu’ils vont céder au « vaccin » pour conserver leur boulot), le dieu « Animal », le dieu « Amis/Proches/Famille biologique/Enfants/Entourage » (Certains se planquent derrière leurs proches pour s’inventer une responsabilité « naturelle » et « évidente »), le dieu « les Autres » ou « Altruisme/Solidarité » (Je ne compte plus le nombre de personnes qui disent sincèrement qu’elles se font vacciner « pour les autres » et par « solidarité collective », pour « le Bien de l’Humanité » : elles se prennent carrément pour des héros et des sauveurs), le dieu « ma propre vie terrestre » (Beaucoup de gens qui se vaccinent croient que « leur vie leur appartient » et qu’elle est leur « propriété privée » dont ils peuvent disposer comme ils l’entendent : quelle illusion ! et quel orgueil !), le dieu « Vaccin » (Très sérieusement, même les athées parlent du « vaccin » en termes divins et le présentent comme le « Messie », le « Sauveur des Hommes »)… Ils feraient bien de relire ces deux paroles de Jésus dans la Bible : « Celui qui veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix chaque jour et qu’il me suive. Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie à cause de moi la sauvera. » (Lc 9, 23-24) ; « Amen, je vous le dis : celui qui aura quitté, à cause de mon nom, des maisons, des frères, des sœurs, un père, une mère, des enfants, ou une terre, recevra le centuple, et il aura en héritage la vie éternelle. » (Mt 19, 29).
 

Et comble de l’aveuglement collectif, toutes ces idoles que je viens de citer – qui sont en réalité les alibis matériels et idéologiques dorés de la peur, du matérialisme, de l’individualisme et de l’égoïsme les plus effrayants – sont appelées sincèrement/hypocritement « libertés fondamentales », « obligations incontournables », « Nature », « uniques solutions », ou bien sont habillées de « fatalité inexorable » et d’autovictimisation par ceux qui décident de s’y enchaîner en faisant croire qu’ils n’ont pas d’autre choix que d’être des « héros malgré eux ».
 

Quant à la petite minorité de récalcitrants qui s’opposent encore à la soi-disant « vaccination », j’identifie une grande diversité (… de potentielles girouettes ou résistants en carton !) et une grande fragilité dans leur détermination. Et pour cause : Qui peut présumer de ses forces quand il sera acculé à des contraintes qui lui paraîtront inhumaines, insensées voire mortelles, à un moment donné ? Qui peut savoir jusqu’où ira sa résistance, surtout si celle-ci le conduit au mieux à une mort sociale et à une vie ascétique faite de privations, de renoncements et de mortifications, au pire à une grève de la faim apparemment « volontaire » donc à la mort ? Personne. Pas même moi. Mais je pense – sans vouloir dramatiser les choses ou projeter l’avenir de l’Humanité dans un scénario-catastrophe – que le refus du vaccin, au moment où ce dernier sera rendu mondialement obligatoire, va conduire, peut-être dans un futur assez lointain (mais je ne pense pas : je nous laisse 3 à 9 ans), à la mort. L’enjeu de vie ou de mort entourant le « vaccin », qu’on en ait conscience ou non, est déjà là. Et il est suffisamment lourd pour qu’on choisisse d’ores-et-déjà notre camp. Un positionnement pareil, avec deux directions si radicalement opposées mais partant d’un même point, se fait dès maintenant et ne peut s’improviser. Ce sont peu ou prou les mêmes que le choix entre le dieu Internet/Électricité et le Dieu Jésus, d’ailleurs.
 

Sommes-nous prêts à mourir pour résister au « vaccin » (et donc à la puce RFID subcutanée) ? C’est bien là la question fondamentale. Avec mes amis, on se la soumet dès à présent, sans prétendre la résoudre avec certitude ni prêter serment. Et on voit tout de suite à travers celle-ci qui est le Maître qu’on s’est choisi pour notre vie. À travers cette question, on distingue aussi très clairement les faux résistants (ceux qui s’opposent à la « vaccination » pour encore peu de temps, et qui disent : « La vaccination, ce sera le plus tard possible pour moi. Mais tôt ou tard, je finirai par me faire vacciner. ») des vrais résistants (ceux qui s’opposent vraiment à la « vaccination » et qui sont prêts à tout perdre : carrière, amis, famille, enfant, et même vie).
 

Et à ce propos, les apparences sont trompeuses ! Même ceux qui médiatiquement passent pour les « Antivax de la première heure », pour de courageux fondeurs, pour des chefs d’insurrection incorruptibles (je pense surtout au charismatique Florian Philippot, qui, en France, incarne politiquement le plus l’opposition aux « vaccins »), m’apparaissent comme très peu solides, voire comme de faux libertadores. Car au fond, derrière leur mouvement de contre-pouvoir, fût-il risqué et apparemment sacrificiel/désintéressé, il y a de la carrière, donc un poison : Philippot a beaucoup de suiveurs sur les réseaux sociaux, et un parti politique qui constitue une idole et un attachement terrestre tout aussi toxique que le « vaccin » anti-COVID. En fait, je vois que la fronde anti-vaccinale de Philippot est de l’ordre de la posture (et donc de l’imposture) car ce politicien ne s’oppose pas tant à la « vaccination » qu’à l’« imposition de celle-ci à tous » (ce qui constitue une nuance de taille, puisqu’il finit par cautionner ce qu’il dénonce ! Le vaccin ne lui pose pas problème tant qu’il est circonscrit/soumis/relativisé à la décision personnelle). En gros, Philippot ne défend pas la vraie Liberté (le fait de choisir le meilleur, c’est-à-dire Jésus, et de consentir à sa Passion et à sa Croix) mais uniquement le libre arbitre (le fait d’« avoir le choix », ou bien le fait de décider par soi-même de ce qui est bon ou mauvais pour soi, ou bien le fait de ne pas se voir imposer une chose universellement). Bref, il opte pour un orgueil tout aussi gros que celui qui a poussé les « vaccinés » à se soumettre à la thérapie génique anticovidique et aux mesures sanitaires. Il se plante de combat… même si le moyen (le refus du « vaccin ») semble juste, ou que l’ancien député européen s’oppose apparemment au « vaccin ». En réalité, Philippot ne s’oppose pas au « vaccin » mais à son imposition. Et en plus, pour les mauvaises raisons. Par conséquent, ce n’est certainement pas lui l’Homme providentiel qui nous en délivrera.

Ces beaux prêtres qui nous aiment justement et chastement

Je viens de rencontrer ce matin un jeune prêtre de Paris suite à notre échange de mails où il me félicitait pour le courage des « Folles de Dieu ». J’avais pris rendez-vous avec lui, suis allé dans son église. Et on a eu un super échange. Très profond, dans la simplicité, quelquefois les blagues, et beaucoup de vérités partagées. Il m’a vraiment écouté. Et il a compris l’enjeu ecclésial et mondial de l’homosexualité. Mon Dieu que ça fait du bien de rencontrer des prêtres véritablement choisis par le Seigneur, et envoyés par Lui !
 

Et ce qui ne gâche rien (car le Seigneur a du goût, et n’appelle pas que des thons lol !), en plus d’être jeune et intelligent, il est humble et beau. Parfois, en le regardant dans les yeux, j’avais l’impression d’y reconnaître le regard de Jésus. Quand j’avais montré son visage à mon équipe des « Folles de Dieu » (dans notre groupe fermé Facebook), certains s’étaient exclamés « Oh mon Dieu, il est trop beau !!! Je suis amoureux !! C’est mon futur mari !!! ». Et à la fin de notre entretien de ce matin, je me suis permis de lui rapporter les réactions d’enthousiasme et de gratitude – pas toujours désintéressées ^^ – de mes camarades à son égard. Non seulement ça ne l’a pas fait rougir ni gonfler d’orgueil mais ça l’a au contraire fait rire et encore plus « prendre en tendresse et en complicité » notre groupe de cathos homos. C’est vraiment génial.
 

J’aime ces prêtres conscients du charme qu’ils dégagent mais davantage conscients que ce dernier sert la Présence de Jésus en eux. J’aime ces prêtres non-homosexuels qui ne sont pas coincés ou mondains, qui ne sont pas « troublés par le trouble » qu’ils peuvent générer par leur sex-appeal chez leur public féminin comme masculin/homosexuel : ça veut dire qu’ils maîtrisent ce trouble, qu’ils ne se laissent pas impressionner par leur beauté, qu’ils n’en jouent pas pour séduire ou pour exercer une quelconque influence, et qu’ils l’offrent à Jésus et au Monde dans le célibat et dans l’humour, dans la joie. C’est magnifique, Seigneur, ces amis et pères sacerdotaux que tu nous donnes !

Comment nous allons mourir et comment va se passer notre rencontre en face à face avec Jésus


 

À 11h ce matin, je me suis rendu à la messe de l’Ascension à l’église saint Nicolas des Champs (à Paris). Et j’ai eu la chance d’écouter en direct une nouvelle homélie du père Thierry Avalle. Homélie qui nous a tous bien secoués, parce qu’il a raconté comment nous allions mourir et ce qui se passera quand nous nous retrouverons face à Jésus en personne. Vous pouvez réécouter le podcast de 9 minutes. Et puis j’ai retranscrit le début de son sermon, quand il raconte la mort d’un jeune enfant de 10 ans qui est monté au Ciel. Et je sais que le père Avalle dit vrai, car c’est lui qui dirige la fameuse prière des malades tous les jeudis à saint Nicolas :
 

 

« Je pense à cet enfant qui avait été renversé par une voiture. Il avait à peu près l’âge de 10 ans. Il était tombé dans le coma, avec une lésion cérébrale irréversible (en principe), donc dans un état comateux profond duquel il ne devait pas sortir. Une personne était venue prier pour lui à la prière des malades. Une parole [prophétique] a dit : ‘On est venu prier pour un enfant qui est dans le coma. Il va en sortir. Et dans son coma, il aura fait une belle expérience.’
 

Et, de fait, il est sorti du coma le soir ou le lendemain, je ne sais plus. Et peu à peu, il a raconté à ses parents ce qui s’est passé durant ce temps où il était dans le coma. Il a raconté qu’au moment où la voiture l’a renversé – la voiture roulait à 70 km/h à peu près -, il s’est décorporé (ce n’était pas son langage mais on peut le traduire comme ça). Il s’est vu au-dessus. Et puis à un moment donné, il a été aspiré vers le Ciel. Et là, il a vu Jésus. Jésus dans sa Gloire. Et quand il a vu Jésus, il a couru vers lui. Il a voulu l’embrasser. Et Jésus lui a dit : ‘Non, on ne s’embrasse pas. Parce que tu vas retourner sur Terre.’ Et ce qui est assez étonnant, c’est que Jésus avait sur son corps les marques de la blessure [de l’accident] de cet enfant. C’était une blessure à la tête et une blessure à la cuisse. Cet enfant ne connaissait pas ses blessures. Et il racontait ses blessures qui étaient sur Jésus. Parce que Jésus porte nos blessures.

Et ce qui est assez étonnant, c’est qu’il racontait aussi qu’il a vu le nom de ses parents inscrits quelque part : il y avait un endroit où le nom de ses parents était inscrit au Ciel, ne connaissant pas cette Parole de la Bible (évidemment, à 10 ans) ‘Réjouissez-vous parce que vos noms sont inscrits dans les Cieux.’ Il a vu l’enfer. Dans l’enfer, il a vu quelques djihadistes, a-t-il raconté.

Et à la fin, son père lui a demandé : ‘Est-ce que tu es heureux de revenir sur Terre ? Est-ce que tu es heureux de n’être pas mort ?’ Et il a répondu à ses parents : ‘Je suis heureux de vous revoir. Mais c’était beaucoup mieux Là-Haut.’ [rires] Eh oui ! C’est beaucoup mieux Là-Haut ! Donc le Seigneur est monté au Ciel, et nous y attend. Parce que c’est beaucoup beaucoup beaucoup mieux Là-Haut. »
 

Je trouve ce récit d’autant plus frappant qu’il nous montre comment va se passer notre mort et notre rencontre en face à face avec Jésus. Donc il vaut mieux s’y préparer ! Car ça risque d’être à la fois magnifique et terrible : nous allons voir concrètement combien Jésus porte les souffrances et les péchés du Monde, donc combien Il nous aime et combien nous avons pu le faire souffrir quand nous avons mal agi sur Terre.

Les 4 principaux Mentors de la communauté homosexuelle (Disney/Tintin/Agatha Christie/la star violée) sont francs-maçons

Les 4 principaux maîtres à penser de la communauté homosexuelle mondiale, qui ont inconsciemment façonné la tendance homo-érotique de toute personne homo depuis son plus jeune âge je crois, sont francs-maçons. Je le remarque en regardant rétrospectivement ma vie et en écoutant les goûts et les sources d’influence de mes frères et sœurs homosexuels (rares sont les exceptions de ce lavage de cerveaux culturel parmi les personnes homosexuelles).
 

J’ai eu, dès ma naissance, 4 Mentors (ou Muses) qui m’ont attiré et qui ont littéralement aspiré mon désir, mon affectivité et mon identité jusqu’à l’âge adulte. Ces mentors ont pour particularité commune d’avoir créé à échelle mondiale des univers hermétiques originaux (type « Star Wars », « Harry Potter », « Le Seigneur des Anneaux » ou saga Marvel de super-héros, côté hétéro-bisexuel), d’avoir proposé au Monde de véritables cosmovisions asexualisantes et bisexualisantes magnifiant la mort, la violence et la souffrance humaines :
 

– WALT DISNEY : Adolescent, j’enregistrais toutes les émissions et tous les extraits de Disney qui passaient à la télé ; et jusqu’à très tard, à chacun de mes anniversaires, je continuais à demander à mes parents des cassettes des « grands classiques » (… même si « Hercule » a un peu mis un frein radical à mon idolâtrie). Et j’ai remarqué que beaucoup de mes frères homos étaient passés par le même stade de disneymania (et certains n’en sortiront, je pense, jamais !). Sans compter que les parcs d’attractions Disney et les studios Disney, c’est vraiment GayLand : une grande majorité des employés sont homos ! J’ai par ailleurs démontré à plusieurs reprises les nombreux liens entre Walt Disney et la Franc-Maçonnerie/homosexualité.
 

– TINTIN. Enfant et adolescent, je faisais une fixette sur Tintin (et un tout petit peu sur Astérix, mais pas tant). Je vivais littéralement aux couleurs du héros globe-trotter quasi asexué créé par Hergé. Et très inconsciemment, je vibrais surtout pour les épisodes où le mysticisme maçonnique et alchimique était à son apogée : Les Cigares du Pharaon avec ses sociétés secrètes, Les 7 Boules de cristal et Madame Yamilah, Le Crabe aux pinces d’or tourné vers l’Orient, etc. En gros, la Franc-Maçonnerie, je n’en suis pas passé loin et je continue de ne pas en passer loin ! ^^ (… d’où l’importance, pour s’en prémunir, de la pauvreté matérielle, de l’humilité, de l’Amour, de l’attachement à l’Église, du rejet des honneurs et de la carrière). Que je sache, Hergé, contrairement à Disney, n’était pas officiellement un initié franc-maçon. Mais l’Empire fictionnel à la fois hermétique, symbolique et alchimique qu’il a créé regorge de références maçonniques. Et j’ai récemment rencontrés en vrai plusieurs francs-maçons qui étaient à la fois homosexuels et de grands tintinophiles !
 

– LA STAR VIOLÉE. En plus des super-héros (j’y inclus aussi les magical girls et les grandes sportives des mangas japonais), toute personne homosexuelle s’est fortement identifiée à l’actrice ou à la chanteuse qui a été violée (Lady Gaga, Madonna, Barbara, etc.) et qui joue la femme violée/prostituée sublimée sur les écrans (Jeanne Mas, Dalida, La Callas, Mylène Farmer, etc.), se vengeant par sa force de caractère et par sa carrière éblouissante (donc maçonnique) de sa condition de « victime » (genre les Drôles de Dames ou la femme d’affaire à la tête d’un Empire discographique et cinématographique monstrueux).
 

– AGATHA CHRISTIE. Depuis l’âge de 7 ans, j’ai développé une véritable passion esthétique (et même érotique !) pour l’univers d’Agatha Christie, la romancière britannique qui a vendu le plus de romans au Monde. La captation de ma libido pour Agatha s’est produite/cristallisée en particulier sur son roman Les Dix Petits Nègres. Le surgissement impromptu de la violence diabolique dans l’univers pourtant feutré, figé et délicat du confort bourgeois m’a toujours paru sexy. Et je ne suis pas une exception dans la communauté homosexuelle (c.f. mon sous-code Les Dix Petits Nègres de mon Dictionnaire des Codes homosexuels)! Agatha Christie attire inconsciemment les personnes homosexuelles car elle rend brillante et géniale la folie ; elle salit magnifiquement le « dieu des homos » à savoir la bourgeoise ou le bourgeois. L’apparition du crime dans le milieu hermétique, sophistiqué et clinquant des élites intellectuelles et matérialistes, on trouve que c’est le comble de l’érotisme, de l’élégance et du charme sexuel ! Alors à dire vrai, je ne sais pas si Agatha Christie a été officiellement une initiée franc-maçonne. J’en doute ; et après tout, ce n’est pas tellement la question. En revanche, la vie de la maman d’Hercule Poirot et de Miss Marple est sans nul doute très inconsciemment maçonnique, et son œuvre romanesque regorge de références à la Franc-Maçonnerie mondialiste (c.f. mon Dictionnaire des Codes apocalyptiques). J’ai regardé hier le documentaire sur ARTE « Agatha Christie : la Reine du crime », ainsi que « Mort sur le Nil ». Et les indices maçonniques pleuvaient : par exemple, la règle de vie d’Agatha Christie (« Vivre uniquement pour sa famille et ses amis ») a toujours été le boboïsme ; Agatha Christie a vécu pile à la période de consolidation de la Franc-Maçonnerie mondiale (XIXe siècle) ; Elle a écrit 66 romans ; Elle était très douée en mathématiques, et ses énigmes romanesques fonctionnent comme des algorithmes de Blockchain (avec la précision d’une ingénierie d’horlogerie, ou d’un jeu de piste chiffré reposant sur des indices) ; Le père d’Agatha Christie était courtier en Bourse ; À l’instar des francs-maçons, Agatha a toujours fait partie de l’élite bourgeoise ; Elle avait la fièvre des voyages (elle a fait le Tour du Monde en 1922, ce qui était rare pour une femme à l’époque) ; Elle a vécu en France (berceau idéologique de la Franc-Maçonnerie, à l’instar de l’Angleterre) et à Londres, elle a surtout développé une passion pour les pays d’Orient (comme les francs-maçons) puisqu’elle est partie en Égypte, en Irak, notamment pour y diriger des fouilles archéologiques avec son deuxième mari (archéologue, de métier) Max Mallowan ; Elle était une femme divorcée (comme beaucoup de francs-maçons… qui n’ont pas beaucoup de respect pour le mariage) ; Elle avait un côté Indiana Jones au féminin, toujours en quête d’aventure (La quête – par l’expérience – est un leitmotiv de la Franc-Maçonnerie) ; Elle était fascinée d’une part par la technique des fouilles, et surtout par les vieilles pierres, les métaux précieux (elle adorait les villas, et disait textuellement qu’elle « préférait les maisons aux êtres humains » !) ; Agatha aimait aussi les machines (elle s’est acheté une voiture) ; C’était une férue de photographie ; Elle vouait un culte aux plantes et à la Nature (elle adorait les arbres, a été pendant la Première Guerre mondiale infirmière à l’hôpital et y a reçu une bonne formation de botaniste – et finalement d’alchimiste maçonnique – sur les plantes toxiques, l’élaboration des médicaments et des poisons mortels) ; À l’issue du documentaire « Agatha Christie : la Reine du Crime », il était souligné que l’idole existentielle de l’écrivaine était, selon ses propres mots, « la chance » (or la chance est une des clés de voûte idéologiques du Gouvernement Mondial) ; etc. Fictionnellement parlant, les romans d’Agatha Christie reposent beaucoup sur le tandem maçonnique hermétisme/symbolisme : tous ses héros sont enfermés dans un train, une île, un manoir, une bulle dont ils ne peuvent pas s’échapper… et dans chacun des recoins du huis clos sont délestés des indices dont le lecteur doit déchiffrer la portée symbolique. Chaque lecteur est donc engagé à devenir alchimiste. Dans l’univers d’Agatha Christie, le héros détective est un maître gnostique, donc de la connaissance… et je rappelle que la Connaissance est le Graal de la Franc-Maçonnerie (Hier, précisément dans le film « Mort sur le Nil », j’entendais Hercule Poirot se présenter pompeusement comme le champion omnipotent de la Gnose, autrement dit, il se prenait pour Dieu : « Louise, je sais tout sur vous. » « Moi Hercule Poirot j’ai des yeux qui remarquent tout. »). Malgré ses limites humaines dont la lenteur et la cécité temporaire qu’elles lui imposent le désespèrent, le détective chez Agatha Christie finit par décrypter minutieusement tous les symboles, par reconstituer tous les morceaux du puzzle de son enquête, telle une caméra intelligente ou une Blockchain. Rien ni personne ne lui résiste. Pas même le coupable, dont l’intelligence et la méthode rivalisent pourtant de brillance avec celles de l’enquêteur : le criminel et le détective sont quasi jumeaux gnostiques (et parfois se confondent, comme dans La Souricière !). Chez Agatha Christie, la Vérité est réduite à la factualité des choses (On entend Hercule Poirot ou Miss Marple défendre la Vérité comme un empirisme purement matérialiste et humaniste : quand ils annoncent, triomphant, qu’ils font faire « éclater la Vérité », c’est sans appel, c’est net et sans bavure !), et donc cette « Vérité » n’est pas du tout synonyme d’Amour ni de Jésus, comme ça devrait être idéalement le cas. Les personnages qui s’aventurent à dépasser la matière ou à croire à une transcendance divine sont rares : en général, la grande majorité des faux suspects des romans d’Agatha Christie sont tous des matérialistes carriéristes. Seul le vrai coupable des intrigues ne tue jamais prioritairement pour le matériel/la carrière, mais pour une raison précisément immatérielle, spirituelle ou passionnelle… et on voit comment il finit : c’est lui qui a le mauvais rôle). Les œuvres d’Agatha Christie ont pour maîtres le matérialisme et la raison raisonnante (logique, rationalité, intellect, déduction, calculs arithmétiques, mathématiques, algorithmes…). L’ennemi, c’est la croyance (considéré comme une superstition, comme un orgueil poussant au crime, ou comme le seul détail de « naïveté » trahissant fatalement et in extremis le génie de l’assassin) : exactement comme dans la pensée maçonnique !
 

Voilà. Tout ça pour dire que je pense que Walt Disney, Hergé, les stars (cinématographiquement et parfois réellement) violées, et Agatha Christie, m’ont entraîné depuis tout petit à voir mes idolâtries, à identifier les esclavages qui m’ont très probablement homosexualisé/franc-maçonnisé à mon insu. Et je rends grâce pour ces lumières spirituelles, même si je fais attention à ne pas m’en gargariser. Et si une personne homosexuelle vient me voir en me soutenant qu’elle ne s’est identifiée et enchaînée (au niveau du désir et des fantasmes) à aucun de ces 4 génies créateurs et à leurs univers, je serais très curieux de rencontrer cette exception et d’en parler avec elle !

Les mystérieux liens qui unissent les Folles de Dieu et l’Allemagne


 

LE SAVIEZ-VOUS? La vidéo allemande « Die Tunten Gottes » (traduction des « Folles de Dieu ») est sortie sur YouTube. Mais connaissez-vous tous les nombreux liens qui relient les Folles de Dieu à l’Allemagne ?
 

– Guillaume Gourinat (témoin transgenre du film) est à moitié allemand (il n’est pas parfaitement bilingue mais il s’est doublé lui-même dans le documentaire), et est administrativement rattaché à l’Allemagne. Il habite Baden-Baden (Sud-Ouest du pays)… ville où est d’ailleurs né le journaliste Éric Naulleau (le comparse d’Éric Zemmour) !

– Notre photographe et caméraman Jean-Yves Morvan a fait son service militaire en Allemagne !! (haha) Alors qu’il est bien français, il s’est retrouvé par accident envoyé dans une caserne militaire de la frontière allemande où on y regroupait tous les « cas », les rebus de l’armée française qu’on voulait « mater » et « dresser ». C’était quasiment un camp de redressement… et lui faisait partie du quota de gars un peu normaux censés influencer positivement les autres. Une expérience allemande traumatisante autant qu’extraordinaire pour lui !

– Perrine Coulombel (témoin lesbienne du documentaire) a, quant à elle, une sœur qui vit à Berlin (la capitale) avec son compagnon (italien).

– Moi, j’ai une petite histoire avec l’Allemagne (lol) : j’ai étudié 5 ans l’allemand au collège et au lycée (je n’ai pris l’espagnol qu’en classe de terminale) et c’est grâce à ça que j’ai pu m’auto-doubler en allemand pour le film… alors que pourtant je pensais qu’il ne m’en restait rien. Et par ailleurs, je suis allé en voyage scolaire en classe de 4e à Oldenburg (ville du Nord-Ouest jumelée avec Cholet en France)… et j’avais une correspondante qui s’appelait Zilke Schmidt. Sinon, j’avais 9 ans quand le Mur de Berlin est tombé (j’étais en classe de CM1 et je m’en souviens comme si c’était hier). Mon grand frère et une de mes grandes sœurs sont allés travailler à cette époque dans une usine Coca-Cola à Tuttlingen (ville du Sud-Ouest de l’Allemagne) pour un boulot d’été… et Miguel a rapporté de là-bas des chansons du groupe allemand – Münchener Freiheit – qui encore aujourd’hui reste une référence et un modèle d’inspiration musicale inépuisable pour moi, même si c’est kitsch.
 
 
 

Autrement, parmi les collaborateurs (traduction, musique, communication…) des Folles de Dieu, il y a aussi un sacré bout d’Allemagne :
 

– Les chanteuses Rahan (qui chante l’hymne country des « Folles de Dieu » que vous commencez à bien connaître maintenant : « Deep Blue Sea ») ainsi que la chanteuse Vallée Stoffler (dont le nom de famille est un coming out germanique à lui seul !^^ Elle nous a offert deux bijoux musicaux pour le film, à savoir « Les Étincelles » et « Démesure », que vous entendrez plus tard) sont originaires du Nord-Est de la France et parlent très bien allemand.
 

– La chanteuse (blonde !) Steph Bach (qui nous offre son titre « Fucking Friend » pour l’épisode 2 du film) est née en Lorraine. Et son grand-père était ce qu’on appelle un « Malgré Nous » (L’expression « Malgré-nous » désigne les Alsaciens et Mosellans enrôlés de force dans la Wehrmacht, armée régulière allemande, durant la Seconde Guerre mondiale).
 

– Le rappeur Monis (qui nous offre son titre « Harvey » pour la journée 4 du film consacrée à la communauté LGBT) a fait 9 ans d’allemand (en LV1), est allé régulièrement en Allemagne, a eu un correspondant allemand (Benyamin) qui l’a beaucoup marqué. La communauté homosexuelle et artistique allemande l’a aussi beaucoup inspiré musicalement.
 

– Le chef d’orchestre et compositeur Anselme Killian a traduit la quasi totalité de notre documentaire en allemand. Sans lui, la version allemande des « Folles de Dieu » n’aurait jamais vu le jour. Il a abattu un travail colossal. Et les Allemands ainsi que l’Église en Allemagne lui doivent/devront beaucoup !
 

– Le doublage allemand – c’est une exception comparé aux autres distributions des voix-off – est particulièrement sacerdotal… C’est marrant ! Trois prêtres (le père Thomas Schmitt, le père Philippe Rittershaus et le père Christian Modemann) nous ont aidés. Nous avons donc – une fois n’est pas coutume – été particulièrement soutenus par l’Église allemande. Nous n’oublierons pas.
 

 

Concernant enfin les petites anecdotes secrètes de la version allemande des « Folles de Dieu » :
 

– Vous remarquerez peut-être que certaines séquences ont été rallongées (par rapport aux versions française, anglaise, espagnole) ou comportent des images et propos inédits. En fait, cela est dû au fait que le débit des doublages en allemand était trop lent pour le défilement des images. Du coup, Gerson a été obligés de rajouter des extraits. L’Allemagne, ça rend généreux ^^.

– Il y a trois personnes de l’équipe qui se sont auto-doublées en allemand : Guillaume, moi… et quelqu’un qu’on n’attendait pas, à savoir Éric Chevillard ! Comme ce dernier n’avait que quelques phrases à dire (même s’il ne parle pas du tout allemand), il s’est prêté au jeu. Et il ne s’en sort pas trop mal (haha).

– La « campagne » de communication à destination de l’Allemagne risque d’être impressionnante (nous avons récolté un très grand nombre de mails à qui envoyer le lien de la première partie). Si ça se trouve, les Folles de Dieu seront invitées en Allemagne en premier… On verra bien.

– En visitant les sites des diocèses allemands, j’ai eu un coup de cœur pour deux diocèses (très différents l’un de l’autre, d’ailleurs) : le diocèse de Trèves (Trier) et le diocèse de Munich et Freising (München und Freising ; celui du Cardinal Marx… que j’ai défendu ouvertement et avec conviction à deux reprises lors du tournage, pendant l’avant-dernière journée consacrée à la dimension ecclésiales de l’homosexualité).

Plaidoyer personnel en faveur de Fabien Lecœuvre (N’en déplaise au chœur braillant et hystérisé des indignés de la chanteuse Hoshi)


 

Je réécoute les propos du journaliste Fabien Lecœuvre concernant la chanteuse Hoshi. J’essaie de comprendre pourquoi ils ont déclenché une telle levée de boucliers, une telle vague d’offuscation… car objectivement, ils n’ont rien de choquant ni de faux. Un chroniqueur musical a quand même le droit de donner son avis et ses goûts, a aussi le droit de parler de sexualité et de beauté à l’antenne, sans déclencher une Intifada contre lui, sans se faire insulter de tous les mots, sans se faire traîner en procès d’ignominie, d’attaque de personne, et de sexisme (D’ailleurs, quand on y réfléchit de plus près, qui sont les sexistes dans cette controverse ? On est en droit de se le demander, quand on voit comment les féministes gays friendly et misandres se sont emparées du débat pour hyper-viriliser/patriarcaliser/hétérosexualiser l’affaire… alors que Lecœuvre, avant d’être un mâle, est et s’est exprimé en tant qu’être humain).
 

Ce qui me frappe dans ce buzz victimisant – dont Hoshi et ses producteurs se frottent secrètement les mains car il n’y a pas meilleur campagne de pub que d’apparaître comme une victime qu’on aurait attaquée injustement sur son physique ou son handicap -, c’est d’une part la démission intellectuelle et l’irrationnalité de beaucoup de nos contemporains (car si vous réécoutez la séquence de la chronique de Fabien Lecœuvre, il n’a jamais – contrairement à ce que prétend malhonnêtement Hoshi pour manipuler son auditoire – attaqué Hoshi sur son physique : il a parlé de beauté, de canons de beauté universels, d’attitudes, de séduction, de manière de se présenter et d’attirer, de grâce, d’élégance ; jamais du corps ni des personnes en tant qu’êtres), et d’autre part du pouvoir aveuglant de l’indignation collective (Comme disent Élisabeth Lévy et Philippe Murray dans Homo-Festivus, pour empêcher le Peuple de penser, on le prend par les émotions et on le pousse à surréagir en « cachant l’objet d’indignation par l’indignation elle-même ». Dans l’Affaire Hoshi, les gens n’écoutent plus les propos objectifs de Lecœuvre mais préfèrent écouter le concert assourdissant de leur propre indignation/offuscation – « Chuis trôôôp chôquéé!! Toi aussi?!? » – ainsi que l’entrechoquement des indignations entre personnes qui pensent pareil – pour s’y contempler narcissiquement et jouir de leur révolte disproportionnée).
 

Un troisième détail louche m’interpelle dans cette histoire (histoire un peu trop vite classée et artificiellement conclue par la formulation forcée publique de plates excuses de Fabien Lecœuvre sur Twitter pour éteindre l’incendie qu’il aurait allumé : je dis bien « qu’il aurait », car on se rend compte que le pompier pyromane de l’affaire, c’est Hoshi, qui rêve que le feu de cette fausse polémique ne s’éteigne jamais… contrairement à ce qu’elle dit), c’est ce réductionnisme de la beauté et même de la sexualité à l’individu. Quel égocentrisme et quel orgueil, quand on y pense! Pourquoi réduire automatiquement/hystériquement, comme le font Hoshi et ses défenseurs, la beauté au physique (si ce n’est précisément dans une optique victimisante et idolâtre de personnification de la beauté, pour ensuite y voir une attaque de personne dès que cette beauté est remise en cause, ou bien pour y voir absolument une attaque personnelle qui n’existait pas, puisque Fabien Lecœuvre parlait de l’attitude, d’une manière de se présenter et de se comporter, parlait « du beau » dans sa dimension universelle, sensuelle et érotique, parlait aussi de sa nostalgie de la différence des sexes et de sa crainte – légitime quand on voit la nouvelle génération de chanteuses bis-homos agressives et sans grâce que Hoshi comme par hasard cite en fin d’interview : Angèle, Pomme, Yseult, Christine and the queens, etc. – de voir cette différence des sexes défigurée et asexualisée par un courant artistique queer dark visant l’asexuation et l’extinction du beau désir entre l’homme et la femme, désir qui passe aussi par la musique)?
 

Oui. Vraiment, dans cette guerre contre Fabien Lecœuvre, je vois bien autre chose qu’une lutte pour défendre les gens différents attaqués sur leur physique. J’y vois une attaque contre les hommes (misandrie) et contre la différence des sexes (attaque que Fabien Lecœuvre a tenté maladroitement de dénoncer en s’aventurant sur le thème de la beauté… dans un Monde qui vénère désormais davantage la laideur et la violence). J’y vois une promotion cachée de la pratique homo et de l’« identité » homo. Bravo Fabien Lecœuvre. Pardon pour le monceau d’insultes que les cons gays friendly déversent en ce moment sur vous (et c’est moi, une personne homosexuelle, qui vous le dis!). Pardon d’avoir été suspendu d’Europe 1 (pardon pour les flipettes qui dirigent cette radio)*. Et courage. Le cœur (Lecœuvre) y est ;-).
 

 
 
 

N.B. : Je parle que maintenant, quand vous osez médiatiquement tenir un discours universaliste sur la sexualité, vous perdez votre boulot : c’est mon cas ; ce fut presque le cas de Cyril Hanouna lors de son canular sur l’homosexualité ; ce fut le cas du caricaturiste Xavier Gorce, viré du journal Le Monde juste pour un dessin associant transsexualité et souffrance ; et tant d’autres exemples ignorés du grand public.

Journal de l’Antéchrist (Élections au Pérou, variant brésilien, Ukraine, loi « séparatisme » en France… et « Un Sac de billes »)

J’ouvre le journal des nouvelles mondiales ce matin. C’est… comment dire… flippant 😅. La victoire (éphémère) de l’Antéchrist (le diable qui sera définitivement renversé par Jésus à la Fin des Temps) et de son Gouvernement Mondial se profile à grands pas :
 

– Au Pérou, ça pue politiquement. Le premier tour des élections présidentielles ont éjecté de justesse Aliaga le candidat des catholiques (qui finit bon troisième)… et au deuxième tour, il reste les deux candidats corrompus les plus dangereux : Castillo, le communiste aux tendances terroristes; et Keiko Fujimori, la fille de l’ancien président, qui est incarcéré pour corruption. Le Pérou prend le chemin désastreux du Venezuela. #AllIsWell.
 

– Au Brésil, le variant (issu – mais ça, le grand public ne le reconnaîtra que plus tard – des vaccins anti-COVID), c’est-à-dire la mutation du virus générée non par le vaccin mais par la réponse immunitaire causée par ce dernier, est apparemment carabiné.
 

– En Ukraine, lieu (avec la Pologne), je le rappelle, qui a été désigné par Jésus en personne à soeur Faustine, comme point de départ de Son retour sur Terre (« De la Pologne sortira l’étincelle qui préparera le Monde pour mon ultime Venue »), ça chauffe aussi. L’OTAN demande à la Russie de Poutine de cesser ses provocations.
 

– En France, les pires lois continuent d’être votées pendant qu’on occupe/terrorise les gens avec le COVID : l’euthanasie ( = le « droit » de tuer les gens qui souffrent ou qui en ont marre de vivre)… et là, la loi « séparatisme », qui met la République au-dessus de Dieu et des religions, sous couvert de lutter contre les « extrémismes » et les « prosélytismes » (genre port du voile, prières de rue, discours religieux trop politisés, etc.). Concrètement, l’Homme est en train de se prendre pour Dieu (il appelle ça « laïcité ») et décide d’obéir à l’Empereur plutôt qu’à Dieu et à ses convictions religieuses. Cette loi « séparatisme » (défendue en plus par certains « cathos » comme Valérie Boyer, la vendue de La Manif Pour Tous) va concrètement museler les catholiques (qui par exemple seront interdits de créer des écoles hors contrat, seront sommés de cantonner leur Foi dans la sphère du privé, donc en gros de se la fermer…), les musulmans (par exemple, à l’Éducation Nationale, les accompagnatrices scolaires voilées seront interdites), et finalement tout religieux identifiable (À quand l’interdiction de l’habit et du voile religieux, jugés « trop ostentatoires et prosélytes »? #BienvenueDansLeMacronismeEnMarche #MerciDarmanin). C’est du laïcisme pur, justifié par le « vivre-ensemble ». C’est extrêmement grave. Le Gouvernement français va obliger tout croyant en Dieu à se cacher, à se noyer dans la masse, à mettre les « valeurs de la République » au-dessus de ses croyances religieuses et des lois de Dieu. On marche sur la tête !
 

 

Alors, petite pointe d’Espérance : j’ai regardé hier soir le film « Un Sac de billes » sur France 3. Très beau film. Pas trop manichéen anti-Nazis, donc j’ai supporté. Et à un moment, on nous montre un prêtre catholique gentil, qui aide les deux jeunes héros juifs à échapper à la rafle. Et quand ces derniers le remercient de leur avoir sauvé la vie, le curé leur répond, en refusant les honneurs : « Y’a pas de quoi. Tous les enfants du Monde sont mes enfants. » ENFIN un film récent qui montre la bonté des prêtres !

L’orgueil de Tugdual Derville


 

L’orgueil de Tugdual Derville, et finalement de tous les porte-parole ou leaders d’opinion catholiques actuels en France, c’est de savoir que toutes les lois transhumanistes très graves qui passent en ce moment dans le pays (lois sur les unions civiles, le « mariage » gay, loi d’extension de l’avortement, lois sur le statut de l’embryon et donc la PMA sans père puis la GPA, lois promotionnant l’euthanasie, lois d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité, et finalement toutes les lois dites « de bio-éthique », etc.) ont pour base intentionnelle et sentimentale L’HOMOSEXUALITÉ et sont portées principalement par des députés ou des personnes homosexuelles (Caroline Mécary, Laurence Vanceunebrock-Mialon, Jean-Claude Romero, Yannick Kerlogot, Raphaël Gérard, Ian Brossat, Moundir Mahjoubi, Anne Brugnera, Coralie Dubost, Matthieu Gatipon, Jonathan Denis, Hervé Gastaud, Pierre Karleskind, Annaig Le Meur, Damien Pichereau, Cécile Rilhac, Florian Bachelier, Bastien Lachaud, Julien Bargeton, Raphaël Gérard évidemment, et j’en passe) et/ou gays friendly (Emmanuel Macron, Élisabeth Moreno, Olivier Falorni, Adrien Taquet, Claire Pitollat, Albane Gaillot, Véronique Jamoulle, etc.). Et je ne parle même pas de leurs nombreux relais médiatiques et/ou francs-maçons ! (Benoît Berthe, Christophe Beaugrand, Jarry, Yann Barthès, Caroline Fourest, Marc-Olivier Fogiel, Daniel Borillo, Didier Eribon, Eddy Bellegueule, etc.)
 

Tugdual Derville (mais j’aurais tout aussi bien pu parler de Christine Boutin, d’Agnès Thill, de François-Xavier Bellamy, de Jean-Frédéric Poisson, de Ludovine de la Rochère, de Charlotte d’Ornellas, d’Éric Zemmour, des journalistes de KTO, des journalistes de l’Incorrect ou de Valeurs actuelles, de Fabrice Hadjadj, du blogueur Fikmonskov ou encore Koz Toujours, du père Cédric Burgun, de Pierre-Yves Rougeyron, de Sylvain Durain, de Jean-Pierre Denis, de tous les journalistes de TV Liberté, de tous nos évêques – à commencer par Mgr Aupetit, Mgr d’Ornellas), tous ces gens-là qui occupent illégitimement la place de porte-parole, qui ont même parfois été consultés en audiences à l’Assemblée Nationale et interrogés par la doxa homosexuelle, SAVENT que les tenants de ces lois sont homos, puisqu’ils se sont retrouvés face-à-face avec eux ! Ils savent mais se taisent. Par homophobie autant que par arrivisme.
 

Ce silence de leur part, cette rétention d’informations, cette chasse gardée pour conserver le pouvoir, cette obstination à garder à tout prix le micro (et surtout son argent, sa petite place ou audience médiatique), non seulement vont nous perdre (nous catholiques), nous font perdre successivement tous nos combats politiques, mais s’appellent tout simplement l’orgueil.
 

Les responsables catholiques (pas le fidèle catholique de la base, pour qui l’homosexualité paraît lointaine et abstraite) connaissent la place prépondérante et l’importance symbolique de l’homosexualité et des personnes homos dans le « débat » public, sur l’échiquier politique et médiatique (J’entends régulièrement Tugdual Derville s’indigner poliment/collégialement sur Twitter de se voir constamment opposé à Jean-Luc Romero sur les plateaux-télé ou radio sur la question de… l’euthanasie ! Même pas de l’homosexualité ! Et pourtant, l’homosexualité est toujours en soubassement. Et ce, pour tout intervenant catholique, systématiquement associé à La Manif Pour Tous et au « mariage gay » dès qu’il foule un plateau télé. Autre exemple : j’ai vu le 29 août 2019 dernier la députée lesbienne Laurence Vanceunebrock-Mialon arbitrer les auditions des responsables des cultes à l’Assemblée sur… la PMA pour toutes ! Et bien sûr, elle les a méprisés, et avec art, en leur inventant une « parabole » biblique de son cru !). La personnalité homosexuelle, c’est celle qui est préposée tacitement pour, sur la sphère publique ou dans l’hémicycle, symboliquement bouffer tout cru tout opposant à une loi transhumaniste bafouant les droits humains fondamentaux.
 

Les leaders catholiques savent pertinemment où les débats de bio-éthique se crispent et se verrouillent : sur l’homosexualité. Mais ils ne disent rien. Leur orgueil, ce n’est pas seulement de dissimuler cet état de fait, mais c’est ensuite de ne pas céder leur petite place ou micro aux personnes homos beaucoup mieux qualifiées et légitimes qu’eux pour enrayer ces lois et s’opposer sur les plateaux-télé à leurs adversaires homos. Ils nous écartent, nous ignorent. Tout ça pour garder une audience ou une carrière dans le milieu catho et le monde associatif/médiatique pro-Vie.
 

Quelle tristesse. Quel gâchis. Quelle responsabilité. Quel orgueil.

Un ami m’explique simplement les raisons pour lesquelles il faut refuser les vaccins contre la COVID-19


 

Pour ceux qui savent un peu penser avant d’agir…
 

Un ami – biologiste de formation – de confiance me résume simplement pourquoi il ne faut pas se faire vacciner contre la COVID-19. Je n’ai jamais lu une synthèse aussi claire. Merci Sylvain !
 

« Dans ma jeunesse j’ai étudié avec passion la biologie cellulaire. Cela m’a donné le bagage nécessaire pour comprendre l’enjeu des vaccins actuels proposé. La vidéo de Christian Vélot est particulièrement claire, complète et didactique.
 

Je vous propose un résumé sur la partie vaccins.
 

Il existe 3 grandes familles de Vaccins :

1 – Les vaccins classiques :Ceux qui sont avec des virus atténués ou inhibés.

2- Vaccins avec antigène : c’est un morceau de virus qui va susciter la répons immunitaire. Vaccins connus également.

3- Les vaccins génétiques :
 

Nouvelles générations de vaccins avec 2 types, ceux à ADN et ceux à ARNm (ARN Messager).
 

– Ceux à ADN viennent des expériences de thérapie génique, on insère un morceau d’ADN dans nos chromosomes. L’expérience avant montré que le brin peut s’insérer dans des oncogènes (gène du cancer) et le réveiller. Ce ne sont pas les effets secondaire immédiats, mais qui apparaîtront dans les années à venir.
 

Ce sont les vaccins Astrazeneca, Spounik, Johnson (je mets des fautes car j’ai été jeté de Facebook la première fois).
 

– Ceux à ARNm, Pfizer et Moderna.
 

Pas de risques pour nos chromosomes, ni pour les vaccinés, toutefois, le risque est pour la population mondiale car il y a un risque assez probable qu’un jour le vaccin se recombine avec un autre virus et qu’un nouveau monstre viral en sorte. Même si le risque n’est que de 1 pour 100 000 000, vu le nombre de vaccinés…
 

Le Pr Vélot pointe donc un manque de patience et de prudence.
 

 

Ceux qui ont déjà reçu une première injection d’Astrazeneca vous pouvez refuser la 2ème, cela limitera les risques. »