Archives de catégorie : Phil de l’Araignée

Le fossé incommensurable d’incompréhension entre les pro « vaccins » qui ne trouvent pas le Pass Sanitaire « grave » (c’est juste le mouvement de contestation de ce dernier qui leur paraît « grave »…) et les anti « vaccins » qui alertent de la gravité du tournant civilisationnel irréversible que ce Pass reflète


 

Il ne vous aura pas échappé, depuis l’allocution hallucinante du Président Macron le 12 juillet 2021 dernier qui a littéralement divisé la France, que deux camps (pas si « caricaturaux » que ça, contrairement aux dires de ceux qui souhaitent la paix des ménages, la paix civile, et éviter les amalgames fracturant notre pays) – « vaccinés » et non-« vaccinés » (ou, plus subtil : les pro « vaccin » et les anti « vaccin »… étant donné qu’il existe de plus en plus de personnes « vaccinées » s’opposant à l’injection qu’ils ont reçue à contre cœur et par chantage) – se sont formés et ne pourront plus ni se comprendre ni se retrouver.
 

On constate, avec sidération pour ceux qui comprennent les enjeux du « vaccin » et du Pass Sanitaire, à un fossé énormissime dans les réactions. Ça part dans les extrêmes… donc ça illustre un dialogue de sourds et une incommunicabilité forte : soit côté pro « vaccins » c’est la banalisation complète et décomplexée de la situation (et le pire, c’est qu’ils sont très sincères quand ils nous disent qu’ils ne comprennent pas nos manifestations contre le Pass Sanitaire, les qualificatifs de « dictature » affublés au régime politique français actuel ; ils jugent aussi que, par la facilité que nous aurions à pouvoir éviter le chômage ou l’apartheid social que nous dénonçons – il suffirait que nous acceptions une petite piqûre de rien du tout pour que notre « cauchemar » s’achève ! – ce seraient nous-mêmes qui nous auto-exclurions et qui serions nos propres dictateurs ! Les enfants gâtés nous prennent pour les enfants gâtés : c’est sidérant), soit côté anti « vaccin » COVID c’est la panique puis la révolte, ou bien, de manière plus catholique et sainte, l’opposition ferme, déterminée, dans l’Espérance mais quand même la conscience qu’un virage extrêmement dramatique a été pris d’un point de vue national et mondial.
 

C’est hallucinant et paradoxal mais c’est ainsi : La Fin du Monde, ou l’horreur, aux yeux des méchants et de ceux qui leur sont soumis, paraît et paraîtra, grâce aux commodités qu’il ou elle leur apporte (pain et jeux, sécurité, facilité, confort matériel, praticité, côté « élection » et « préférence » conféré par le privilège, etc.), quelque chose de tout à fait « acceptable », « rassérénant » voire « divin ». Comme le soulignait le philosophe français Michel Foucault (décrivant par exemple la mitoyenneté des camps de concentration nazis avec des quartiers pavillonnaires bourgeois respirant la quiétude et le bonheur en pleine Seconde Guerre mondiale), l’horreur côtoie le bonheur et la banalité de très près !
 

Et pour le privilégié qui se trouve à l’abri et au sec, il a beau voir qu’il pleut dehors, il ne comprend pas le malheur et la gravité de ceux qui, dehors, souffrent concrètement de la pluie, du déluge et de ses conséquences, mais aussi de son rejet : tous les drames lui paraissent, sinon existants, au moins exagérés. « Rien n’est grave puisque rien ne l’atteindra ! » pense-t-il, dans son immense orgueil et son immense naïveté. Pourtant, même son sentiment de paix (teinté chroniquement de peur, émaillé de quelques crises d’angoisse irrationnelles et de paranoïa : comme vous pouvez le constater, même les « vaccinés », qui pourtant devraient dormir désormais sur leurs deux oreilles vu qu’ils se croient « protégés », s’imaginent encore et toujours qu’ils peuvent être contaminés par la minorité de gens non « vaccinés » ou par un variant du virus initial qui a muté) est funestement prophétique, eschatologique. Je citerais volontiers, dans la Bible, la Première Lettre de saint Paul aux Corinthiens : « Quand les gens diront : ‘Quelle paix ! Quelle tranquillité !’, c’est alors que, tout à coup, la catastrophe s’abattra sur eux, comme les douleurs sur la femme enceinte : ils ne pourront pas y échapper. » (1 Cor 5, 3).
 

La tranquillité et la paix vantées en ce moment par les bourgeois matérialistes qui ont accepté le « vaccin » pour conserver leurs petits privilèges sont, de leur part, un aveu inconscient de leur peur pathologique et de leur égoïsme, ainsi que de leur déconnexion des vrais pauvres, mais aussi une confirmation que la Fin des Temps « pour tous » est proche puisque leur attitude d’indifférence à l’injustice et de fausse paix a été prophétisée mot pour mot par saint Paul.
 

Au fond du fond, au milieu de cette confusion mondiale entre « sécurité » et « Amour », il nous est révélé à tous la différence fondamentale (et inconciliable) entre paix venant du Monde (une paix unitaire, aseptisée, sécuritaire, visant l’absence de violences et de conflits, l’absence du mal, et l’uniformité) et la Paix venant de Jésus (un Paix qui n’est pas confortable, et qui, par Amour, tolère la Croix, le risque, le mal, et par Justice et haine des injustices, partage et divise le bon du mauvais, en détruisant le mauvais). La différence aussi entre Amour et tranquillité. Pour aimer vraiment, il faut se risquer, risquer sa vie et renoncer à la tranquillité. Tout récemment, mon propriétaire, très gentiment, m’a conseillé de me faire « vacciner » : « Vous serez tout de même plus tranquille. ». Tout aussi gentiment, je lui ai ris au nez, en lui disant : « Mais moi, je n’ai jamais voulu d’une vie ‘tranquille’ ! ». Je lui ai presque avoué que la vie tranquille dont il rêve était mon pire cauchemar !

Le vaccin gay (Homosexualité = étroite complice de la « vaccination » de masse ; et le « vaccin » anti-COVID = manière d’injecter au Monde l’idéologie LGBT)

« Are you pro life ? Do you reverence human life ? Then get vaccinated for God’s sake. I mean that literally. » (traduction en français : « Êtes-vous pro-vie ? Défendez-vous la vie humaine ? Alors faites-vous vacciner pour l’Amour de Dieu. Je le dis franchement. »).
 

Ce sont les mots du prêtre jésuite nord-américain gay friendly James Martin qui viennent d’être postés et « likés » en masse sur Twitter. (Entre parenthèses, pour qui se prend-il pour nous donner ce genre de conseils de santé intime très graves et lourds de conséquences ? Il a des parts chez Pfizer ou quoi ? L’humanisme intégral est bel et bien l’autre nom de la Bête de l’Apocalypse.)
 

Je voulais juste attirer votre attention sur un rapprochement que personne ne fait (car il est invisible, et que les deux sujets semblent complètement étrangers l’un par rapport à l’autre) entre « vaccination » et « promotion de l’homosexualité », mais qui existe réellement, et qui saute aux yeux une fois qu’on l’a identifié.
 

Entendez-moi bien : j’ai bien dit « promotion de l’homosexualité » (justification de la pseudo « identité homo » et du pseudo « Amour homo », ainsi que pratique homosexuelle) et non « homosexualité » (la tendance homosexuelle non-actée et non-justifiée : dans mon cas, je ressens cette tendance mais pour autant je suis contre ces soi-disant « vaccins » anti-COVID ; et un certain nombre de personnes homosexuelles aussi : Florian Philippot par exemple…).
 

 

Donc en gros, je ne suis pas en train de dire que toutes les personnes homosexuelles seraient des agents du Gouvernement Mondial et justifieraient la « vaccination ». Je crois en revanche que quasi toutes les personnes gays friendly voire pratiquant/justifiant leur tendance sont comme par hasard « vaccinées » et défendent – aussi bien dans la sphère privée que dans la sphère publique et politique – l’obligation « vaccinale » de masse. Je pense notamment à Gabriel Attal, porte-parole du Gouvernement, et dont l’homosexualité pratiquée est de notoriété publique ; je pense à la députée lesbienne Laurence Vanceunbrock-Mialon qui a fait approuver la PMA sans père et qui est à fond pro « vaccins » ; je pense à notre président français Emmanuel Macron, dont la bisexualité savamment cachée n’est un secret pour personne ; je pense au président de l’Assemblée Nationale Richard Ferrand, franc-maçon et gay friendly jusqu’au bout des ongles (il est l’artisan du « mariage » gay) ; je pense à la ministre de l’égalité femmes-hommes, des diversités et contre les discriminations, Élisabeth Moreno, qui fait tout pour imposer les lois LGBT à la France et qui, avant Macron, a fait pression pour la « vaccination » obligatoire ; et je pense même à notre ministre de la santé et des SOLIDARITÉS (Tout comme le mot « Diversités », « Solidarités » est à entendre comme un synonyme d’« homosexualité pratiquée et justifiée identitairement ») Olivier Véran, pourtant marié avec des enfants, mais – croyez-en mon « Gaydar » ( = radar à gays) – est, à mon avis, bisexuel (son cheveu sur la langue, sa manière de s’exprimer et de se mouvoir ; et puis surtout, ses « engagements » politiques : en 2015, il a milité pour la levée de la discrimination des personnes homosexuelles au don du sang ; et en ce moment, il est aux manettes de la loi d’interdiction des thérapies de conversion de l’homosexualité, ainsi que de la promotion de la transition transsexuelle des adolescents transgenres). Donc intentionnellement et politiquement, homosexualité pratiquée ou justifiée identitairement/sentimentalement et « vaccin » marchent main dans la main. Que la population mondiale s’en rende compte ou non, ou que ce soit conscient ou non chez eux, les promoteurs du « vaccin » cherchent à travers ce dernier à promouvoir et imposer l’homosexualité au Monde.

 

Ça, ce n’est qu’au niveau politique. Mais j’ai remarqué aussi que d’un point de vue plus populaire (c’est très visible sur les sites de rencontres gays, où les internautes montrent qu’ils sont de parfaits petits soldats des mesures sanitaires), l’homosexualité pratiquée étant d’une part un signe d’attachement matérialiste très marqué (c.f. voir mon Dictionnaire des Codes homosexuels tous les symboles renvoyant au désir homosexuel en tant que désir d’être objet) et d’autre part un signe de peur (l’homosexualité pratiquée est l’homophobie, comme je l’explique dans L’Homophobie en Vérité).

 

Il y a une parenté de combat, une affinité, un rapprochement entre lutte LGBT et pandémie (on l’a vu pendant l’année 2020 du confinement mondial : beaucoup de lois LGBT sont passées dans les pays pendant que le spectre du virus Corona était agité et faisait diversion). Tout comme il y a une association de malfaiteurs insoupçonnée entre personnes homosexuelles pratiquant leur homosexualité et francs-maçons (Dernièrement, j’ai rencontré un grand nombre de personnes homosexuelles qui m’ont révélé être francs-macs).
 

Tenez-vous-le donc pour dit. Par l’homosexualité, le Gouvernement Mondial essaie de vous imposer le « vaccin ». Par le « vaccin », Il essaie de vous imposer l’homosexualité. Vous verrez très souvent les deux sujets corrélés. Et ce n’est pas un hasard. Les gay friendly et les défenseurs du « vaccin » travaillent pour le même maître. Et ce maître n’est pas Jésus (même si, de plus en plus, certains parlent en son nom). Et symboliquement, vous verrez à la soumission de beaucoup au « vaccin » leur niveau de « gay friendly attitude », de corruption à l’idéologie promotionnelle de l’homosexualité. Et ce, en particulier chez les prêtres, les évêques et les cardinaux « catholiques ». J’ai envie de dire « Plus tu es pro-vaccin, plus tu dévoiles à ton insu ta collaboration avec le lobby pro-gays ». Et si je me trompe, qu’on me le démontre.
 

 
 

N.B. : La Bonne Nouvelle dans tout ça, pour nous personnes homosexuelles opposées à la « vaccination », c’est que notre refus catégorique du « vaccin » va logiquement et librement s’accompagner d’un renoncement à la pratique homosexuelle, donc de la continence (si et seulement si nous persévérons jusqu’au bout dans notre rejet de ce « vaccin »). Et le refus de la « Marque de la Bête » sera le signe que nous sommes effectivement continents et détachés du matériel et des idoles (de la société matérialiste ; dont la plus grosse = l’homosexualité). Les maîtres-mots de notre résistance : PAUVRETÉ et CHASTETÉ.

Le silence des évêques de France face au dictateur Macron + la Marque de la Bête ouvertement montrée dans les publicités Windows HP Elite

Trois jours après l’allocution inédite et sidérante du dictateur Emmanuel Macron qui a imposé à tous les Français la « vaccination » obligatoire, on aurait dû voir normalement les évêques et les cardinaux de France se lever et exprimer leur indignation. Pourquoi ne les entend-on pas ? Eh bien tout simplement parce qu’ils se sont tous fait vacciner comme des cons, et qu’en réalité, ce sont tous sans exception des carriéristes qui servent leurs intérêts plutôt que l’Église et Jésus. Et si je me trompe pour l’un d’entre eux, qu’on me le démontre. D’ailleurs, ils lèchent tellement les bottes de Macron qu’ils le reçoivent comme par hasard en grandes pompes demain à Lourdes (Ribobo-Dumas, le très gay friendly recteur du sanctuaire, n’en peut plus d’attendre : il va revoir son grand maître vénérable, depuis les Bernardins…).
 

 

Par ailleurs, je viens de voir la nouvelle publicité de la tablette de Windows HP Elite 10. On y voit clairement la présence de la Bête (c.f. Pour plus d’infos, lisez mon livre Homo-Bobo-Apo). Ceux qui interprètent la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans la Bible, comme une métaphore pas concrète se plantent complètement. Le 666 et le nom de la Bête (ici, un dragon) sont explicitement nommés (Je vous mets le lien des deux versions, car l’une contient le 666 à l’envers).
 


 
 
 

P.S. : Pour l’instant, je n’ai pas rencontré de prêtres catholiques qui ne se soient pas fait « vacciner ». Si ça se trouve, il n’y en a pas. Et ils sont tous devenus stupides. (Ça m’étonnerait, connaissant le Seigneur, qu’Il ne nous en ait pas laissé au moins un de bon…)

Dieudonné et son pacte « humoristique » avec l’Imaginaire (Mon premier Bal des Quenelles… à la place de la Gay Pride!^^)


 

Hier, c’était la première fois que je me rendais au Bal des Quenelles (13e édition) organisé autour du très controversé humoriste Dieudonné à Saint-Lubin-de-la-Haye. J’y suis allé surtout par amitié pour Morgan Priest, mais également par curiosité et envie de rencontrer du monde. Il se trouve que, grâce aux vidéos que j’ai faites avec Morgan, j’ai été reconnu par quelques personnes venues assister au spectacle d’une heure de Dieudo puis à la remise de prix des Quenelles d’or de l’année sacrant les personnalités qui ont le plus « quenellé » (c’est-à-dire « entubé », « enculé ») le « Système ».
 

Je pourrais faire une étude sociologique entière de ce que j’ai observé hier soir, mais je ne vais pas m’étendre ici (car je n’ai pas le temps). Je me contenterai juste de dire que je ne regrette absolument pas d’y être allé, rien que parce que j’ai fait la connaissance d’un gars super qui s’appelle Alexis (et qui est devenu, en quelques heures, un ami), parce que j’ai revu des gens que j’aime et découvert d’autres que je ne connaissais pas, parce que j’ai beaucoup ri de cette insolence bon enfant et en même temps souvent pertinente et percutante qui caractérise l’esprit de ce meeting politique déguisé en farce potache frondeuse, et parce que j’ai été ému par la liberté de ton ainsi que par les persécutions réelles (censure, perte de travail, pressions, procès, incarcérations parfois) que subissent certains défenseurs de la Vérité aujourd’hui. Dieudo leur offre une tribune amplement méritée, et montre par-là même que derrière son personnage diabolisé de « crapule », c’est un amuseur au grand cœur. Donc mon impression d’ensemble, c’est l’émerveillement. Des soirées comme celles-là reboostent ma conscience politique et me font sortir de la peur, de l’image, du ronronnement ou du désespoir. Merci à Dieudonné pour ça. Quelle bonne et utile rigolade !
 

Le seul « bémol » (et non des moindres) qui éteint un chouia mon enthousiasme et mon entière adhésion, c’est que parfois, dans le discours de Dieudonné, à certains moments il y a des choses que je ne trouve pas justes. Et notamment par rapport aux personnes homosexuelles. Je trouve que Dieudo manque d’amour à notre égard. Il a eu des phrases de lui qui n’étaient pas jouées, qui ne sortaient pas de ses personnages, mais bien des propos qu’il pensait vraiment lui, en particulier concernant Emmanuel Macron. J’ai beau ne pas aimer du tout la politique de notre président, j’ai beau apprécier le second degré (y compris sur l’homosexualité, et employé par des personnes qui ne sont pas homos), quand Dieudonné sort de manière acerbe « Vas plutôt sucer des bites, espèce de p’tite pédale… » (véridique : sur le coup, j’ai noté la phrase pour m’en souvenir), là, je ne rigole plus. Je trouve que l’humoriste ne distingue pas bien les personnes homosexuelles de la promotion politique de l’homosexualité. Dit autrement, son distingo n’est pas net entre Juifs et sionisme, ou entre personnes homosexuelles et « lobby LGBT », voire même entre homosexualité et sionisme (c.f. son allusion acide à la boîte trans de Tel-Aviv).
 

Or ces amalgames volontaires marquent une exaspération réelle chez Dieudo, un ressentiment fort, un désir de vengeance, en même temps qu’une confusion intérieure entre actes (ou discours ou images) et personnes. Et c’est d’autant plus malaisant que ça alimente et réveille de manière assez affirmée l’expression ouverte et récriminante d’une homophobie réelle dans le public de Dieudo (Dans les discours qui ont précédé l’arrivée de l’humoriste, certains speakers gilets jaunes se sont lâchés à l’encontre des « LGBTQ qui ne pensent qu’à leur cul », comme si nous personnes homos étions les putes dévirilisées et débauchées du Système… Et toi, petit homo perdu dans cette assistance qui pue la testostérone, tu souris jaune, tu te sens tout d’un coup bien seul et bien symboliquement méprisé par la foule islamo-catho-anarchisée qui t’entoure, qui joue les fiers-à-bras révoltés, et qui aboie par à-coup compulsif son ras-le-bol et ses désirs d’en finir avec la « dictature arc-en-ciel judaïsante »).
 

Dieudonné peut très bien se draper dans l’excuse de l’humour, de la dénonciation des injustices politiques, se cacher derrière ce qu’il appelle « l’imaginaire », pour dire des vacheries ou lancer ses pics contre certaines personnes ou groupes médiatiques : ça ne change rien. « L’imaginaire c’est l’autre nom du mal », comme dit Jean-Paul Sartre (Je précise que je ne suis pas fan de Sartre : il a écrit beaucoup de conneries. Mais sa définition de l’imaginaire, dans son livre Saint Genet, comédien et martyr, je l’ai retenue ; et je trouve cette distinction entre l’imagination – qui peut être bonne quand elle est reliée à la Vérité – et l’imaginaire – qui lui est l’autre nom du mal – particulièrement pertinente). Dieudonné, sur scène, bien souvent prétexte de « faire parler son imaginaire » pour dire que sa haine est cachée, drôle et est permise du moment qu’elle n’est pas ouvertement exposée à la figure de la personne qu’il attaque. Sauf que, je pense que finalement, en exposant son « imaginaire », à savoir son mal et ses désirs de vengeance, à un auditoire largement acquis à sa cause, il crée/alimente une haine homophobe qui ne s’avoue pas elle-même.
 

Et ça, évidemment que ça me dérange ! Car il faut aimer les personnes homosexuelles. Et j’ai senti, tout au long de son spectacle, dans les rares moments où il était question d’homosexualité, un fort ressentiment dans la foule. J’ai senti une rancœur, un agacement, une exaspération… que je comprends, attention : parce qu’il y a plein de lois actuellement qui passent au nom des personnes homosexuelles alors qu’elles n’ont rien à voir avec l’homosexualité, et qui sont des lois injustes, même parfois des trafics humains. Je comprends le ressentiment. Je comprends que le public dieudonnéen (la « Dieudosphère »), notamment croyant ou soi-disant « hétérosexuel », soit agacé. Mais je ne peux pas justifier la haine et la vengeance.
 

Conclusion : j’ai aimé mon premier Bal des Quenelles… mais Dieudonné a encore énormément de progrès à faire pour aimer les personnes homosexuelles, ne pas les ignorer ou écarter, et ne pas sélectionner (par la caricature plus ou moins consciente) ses amis ou victimes ainsi que ses ennemis.
 

Los peligros del cristocentrismo católico desencarnado en cuanto a los testigos públicos de la continencia homosexual


 

Actualmente, me empiezan a entrevistar bastantes periodistas españoles y latinoamericanos. A veces, es un éxito, porque no me piden que desempeñe el papel del santo inmaculado, iluminado, « ex-gay », exaltado, alegre, apuesto y perfecto. Pero a veces, es un desastre, porque no aceptan que yo represente una santidad « ensuciada », oscura, atormentada, imperfecta, dolorosa, difícil, penosa, débil, en camino, a veces indignada o inquieta, una santidad que valoriza la homosexualidad tanto como a Jesús.
 

Acabo de participar en una entrevista que no me ha salido tan bien como la de Enrique Vidal (el youtuber de « Enriquísimo TV », que no es homo) donde pude ser totalmente libre de decir lo que quería. Por la simple razón que la periodista católica que me hacía las preguntas no aceptaba que hablara de cosas negativas (la Cruz, la dificultad de la condición homo o de la renuncia a la pareja, la puerta estrecha de la continencia, las tentaciones, los desiertos, la dureza del discurso de la Iglesia sobre la homosexualidad y la dureza de la exigencia del celibato, las realidades de divisiones dentro de la Iglesia o de falta de apoyo objetiva de la mayoría de los católicos, el riesgo concreto de cisma a causa de la homosexualidad dentro de la Iglesia, la primacía de la homosexualidad comparado con otros temas espinosos en la Iglesia, etc.), porque interpretabas esas cosas negativas como « exageraciones » mías, como « faltas de Fe » de mi parte, o la negación del poder de Jesús contra ellas… ¡ lo que no son ! Al igual que los protestantes o que los nuevos conversos con quienes es imposible hablar de muerte, de enfermedad, de pecados, de caídas, de dificultades, de tentaciones, porque, según ellos, « Dios todo lo colma y todo lo vence ».
 

En realidad, los protestantizados entre los católicos quieren la Resurrección sin la Pasión y sin la Cruz, la Fe sin la duda y sin la libertad humana, la santidad sin la imperfección (los santos pecaron hasta el final de su vida), la liberación espectacular e inmediata sin las liberaciones parciales y progresivas. Y tienen miedo a acoger el sufrimiento de los demás : no lo quieren llevar ni escuchar… puesto que ellos mismos niegan sus heridas del pasado y no quieren dejarse contagiar por los males que oyen ; incluso no quieren dejarse contagiar por su propia compasión. « El mal y el sufrimiento no existen puesto que no deberían existir, y que Dios los quita. »
 

No he visto esta fe mágica, este cristocentrismo purista (que todo lo borra, que borra nuestra Humanidad que todavía sufre y vive en el pecado, y que piensa que fuera de una vida sacramental intensa y regular no hay salvación), en Enrique Vidal. Porque él me ha escuchado sin protestar, y ha aceptado que yo sufra, que advierta de riesgos reales, que denuncie injusticias, que describa problemas eclesiales o íntimos reales, que confiese que la condición homosexual es difícil (por mucho que uno tenga Fe y crea en Dios y experimente concretamente Su Acción en su vida)… No había en Enrique ninguna idealización del camino cristiano. No había resistencias o huídas cuando abordaba temas desagradables o negativos. Y no interpreta lo negativo que oía de mí, como una irrealidad, una mentira, un exceso, o una falta de Fe (Hasta Jesús mismo dudó que no había sido abandonado por su padre). Al contrario. Reconoció que el camino de la Fe y de la Salvación no es recto, que puede encontrarse fuera de la Biblia y de la oración (y dentro del ambiente homosexual), que pasa por el reconocimiento de la existencia del mal, por la Pasión y la Cruz. Dios nos colmará plenamente Arriba, en el Cielo, y su Victoria será plena solo allá. ¡ Pero primero nos toca vivir la Pasión/sufrir/combatir abajo ! Y dudo del discurso exaltado y desencarnado de los que pretenden que gracias a Jesús, Jesús y Jesús (el cristocentrismo y el espiritualismo integral que veo mucho en el protestantismo), viven el Cielo en la Tierra, que ya no sufren y ya no tienen bajones ni dificultades ni tristezas. Jesús-Dios mismo tuvo bajones, y de los fuertísimos… y por tanto, no carecía de Fe, de Esperanza y de fuerza. Y yo, antes de encarnar el ejemplo de persona homo liberada totalmente por Dios y alegre, quiero mostrar que el camino que me regala Dios es bello justamente porque es duro, que no es recto, que es un combate, que es complejo y libre, que es encarnado, porque Dios me permite experimentar Su Misericordia dado que Él no me ha transformado en Superman, y porque permite que yo sea a veces pecador en nombre del respeto de mi libertad (y encima, no se asusta de mis pecados).
 

Basta de iluminismo cristocentrado. No hay Pan sin Copa.
 
 
 

N.B. : Recibo ahora un mensaje de la periodista donde ella reconoce que solo quiere para su reportaje a testigos que se presentan como « ex-gays » (Ha entrevistado a Mauricio Clark, por ejemplo)… y que me dice – a pesar de que le haya contado con todos los detalles los tres encuentros sensibles con Jesús que experimenté concretamente – que « todavía no he encontrado verdaderamente a Jesús » y que « rezará por mí y por mi conversión » jaja! #LosCatólicosProtestantizadosSonUnaGozada. Pues que rece por los demás en lugar de rezar por ella, que así « aman » los fariseos sacramentalistas !

La primavera de las salidas del armario de los sacerdotes homosexuales anticlericales (el caso del padre británico James Alison)


 

Actualmente, salen en los medios de comunicación cada vez más sacerdotes/religiosos que se declaran abiertamente homosexuales (Jean-Michel Dunand, Krzysztof Charamsa, James Alison…) o que lo ocultan más o menos bien (la dominica Véronique Margron, el jesuita norteamericano James Martin). Estos clérigos a veces provienen del protestantismo. Y su denominador común es que no son obedientes a la enseñanza de la Iglesia, que a veces mantienen secreta su homosexualidad y que la viven mediante una propaganda de la acogida de las personas homosexuales creyentes.
 

Podrían dar la espalda a la Iglesia. ¡Pero no! Al contrario: insisten en quedarse dentro de la Casa, como agentes dobles cuya homosexualidad permanecerá astutamente confidencial, tan tácita como un secreto a voces. Se muestran lo suficientemente inteligentes y ambiguos como para no ser descubiertos (aunque no insistan mucho en su voto de celibato… que generalmente presentan con desprecio como una « necesidad generacional y cultural impuesta »… y por eso podemos tener serias dudas sobre su verdadera abstinencia sexual) y como para no ser destituidos de su función sacerdotal. Ya que centrar su discurso en la acogida de los « católicos LGBT » y de las personas homosexuales, aunque huela a un entrismo « inclusivo » barato y a una demagogia « gay friendly » que no anuncia toda la verdad sobre la práctica homo y no presenta la homosexualidad actuada como el mal y el pecado que es, aunque suela ir acompañada del zarpazo del « outing » (revelación forzosada de la homosexualidad) de sus correligionarios-sacerdotes, no constituye un patinazo lo suficientemente grave como para imponer una exclusión de la Iglesia (excomunión), un despido y una vuelta al estado laico.
 

Al igual que los alumnos perturbadores en una clase que se hacen los remolones para poder transgredir progresivamente las reglas, estos curas y religiosos progres borderline avanzan de puntillas. Se sienten a símismos investidos de la « Misión » de convertir a la Iglesia Católica institucional, que consideran « oscurantista », al « Evangelio del Amor y de la aceptación de todas las diferencias » (a fortiori la « diferencia catomosexual » de la que tanto habrían sufrido cruelmente en el pasado). Y no son los ataques demonizantes y poco sutiles de los católicos conservadores los que los detendrán (¡ Al contrario, los refuerzan y les proporcionan una publicidad bárbara !).
 

¡ Estos sacerdotes homos/gays friendly nunca dirán públicamente que practican su homosexualidad : se limitan a aplaudir a buena distancia una determinada práctica homo – « estable », « totalmente compatible con la práctica religiosa » y supuestamente « auténtica » – experimentada por otros ! De esta manera, se protegen contra los ataques, mientras siguen viviendo/practicando/justificando su homosexualidad a través de otras personas o parejas. Se podría decir que se trata de una homosexualidad actuada « de sustitución ». Una transposición que me parece tanto más perversa cuanto que es una forma de satisfacción implícita de su propia tendencia homo, pero que pasa hipócritamente por una contención, un sacrificio santo, una renuncia altruista, una retirada de humildad (« No vivo mi homosexualidad para que la puedas vivir tú… » declaman teatral/tácitamente las divas sacerdotales abstinentes que hacen su vibrante y conmovedora « salida del armario » tardía desde su lecho de muerte). Es una actitud asquerosa. Pero por lo visto, funciona, conmueve, y genera una espléndida y lucrativa carrera (perdón… « pastoral de las periferias ») o una segunda vida eclesiástica « santa ». James Martin, por ejemplo, vende muchos libros y aparece en muchos programas de televisión. ¡ Es un lifting perfecto para darse una imagen de benefactor que va a modernizar y « abrir » su « Iglesia polvorienta » ! ¡ Una reconversión sacerdotal reluciente ! Y que es muy fácil, además, ya que nadie sabe nada de la homosexualidad, y la gran mayoría de los católicos la temen y no le hacen caso.
 

Para imponer su propaganda naturalista-gay friendly (dicho de otro modo, estos sacerdotes abierta/secretamente homosexuales forman parte de los esencialistas/creacionistas que sostienen que la tendencia Y la práctica homosexuales serían « naturales » y por lo tanto necesariamente « buenas y bendecidas/deseadas/creadas por Dios », y también son aquellos que, en cambio, argumentarán que la continencia homosexual « no es natural », es « peligrosa », « suicida », « homófoba » y sería una « homosexualidad reprimida » : en resumen, caricaturizan falsamente la continencia como la abstinencia y la inhibición que no es), hasta se valen de un respaldo papal. Es decir que se aprovechan de la fragilidad y ambigüedad de la posición actual del Papa Francisco acerca de la homosexualidad (y luego acerca de las Uniones civiles), también se aprovechan de la bondad papal y de la ambivalencia del concepto de « acogida » y de « Amor » (la acogida y el Amor solo existen dentro de la Verdad: el Amor verdadero no es, como cree el Mundo, ¡ « incondicionado » ni « incondicional » ! La condición del Amor es 1) el respeto inviolable de nuestra libertad; y 2) el consentimiento a la Cruz), para aprovechar el resquicio eclesial y seguir armando su propaganda identitaria y sentimental homosexual sin ser molestados. Están protegidos por su estatuto eclesial, por sus buenas intenciones de acogida y de no-juicio a las personas, por la ignorancia/homofobia de sus contemporáneos y de los católicos en general, y se dejan llevar por la innegable influencia mediática de la homosexualidad y por la tensión/incomprensión cada vez más masiva en torno a la virginidad sacerdotal. Por lo tanto, ¡ se les abre un bulevar !
 

Aunque los católicos no me escuchen y se nieguen a entenderme al respecto, hay dos « detalles » importantes en el discurso del padre James Alison que lo traicionan e invalidan : primero, es su sobrevaloración de la franqueza (sustitución de la Verdad por la franqueza/honestidad/transparencia/sinceridad : dicho sea de paso, la franqueza es la base ideológica de la Franc-Masonería anticrística mundial) ; y en segundo lugar, es su sobrevaloración de la heterosexualidad (confundida con la diferencia de sexos : es en la heterosexualidad – que es el diablo disfrazado de diferencia de sexos – en la que se basan todas las leyes pro-gays).
 

Quisiera decir una cosa para terminar : tengan en cuenta que no estoy para nada en contra de la salida del armario de los sacerdotes en sí. Todo lo contrario. Lo dije en mi documental « Las Locas de Dios » durante las mesas redondas sobre la homosexualidad sacerdotal. La salida del armario sacerdotal, si estuviera orientada y apoyada por la continencia, salvaría a la Iglesia. El único problema es que, en los medios de comunicación, los pocos sacerdotes que actualmente están saliendo del armario no son continentes, y hasta refutan el requisito de abstinencia y de celibato exigido por la Iglesia a las personas que son duraderamente homosexuales, y atacan al clero designándolo como homófobo y « homosexual reprimido » en su mayoría. Mi sueño hubiera sido contar, entre las « Locas de Dios », con un testigo sacerdote continente (pero el amigo en que pensaba tenía miedo de perder su puesto de cura – porque, a fin de cuentas, no es siempre homosexualmente abstinente – y por eso se escabulló). Habría sido revolucionario. Y faltan muchísimo estos sacerdotes homosexuales continentes a la Iglesia. Felizmente, mediante la persona de Gerson Gonzales (el testigo peruano, que hizo 3 años de seminario), finalmente conseguimos a uno ;-).

Le printemps des coming out de prêtres gays anticléricaux (le cas du père britannique James Alison)


 

En ce moment, on voit de plus en plus émerger médiatiquement des prêtres/religieux qui se disent ouvertement homos (Jean-Michel Dunand, Krzysztof Charamsa, James Alison…) ou qui le cachent plus ou moins bien (la sœur dominicaine Véronique Margron, le jésuite nord-américain James Martin). Ces clercs viennent parfois du protestantisme. Et ils ont pour dénominateur commun de ne pas être obéissants à l’enseignement de l’Église, de garder leur homosexualité parfois secrète, et de la vivre par une propagande de l’accueil des personnes homos croyantes.
 

Ils pourraient tourner les talons à l’Église. Mais non ! Au contraire : ils s’acharnent à rester dans la Baraque, comme des agents doubles dont l’homosexualité restera savamment confidentielle, tacite comme un secret de Polichinelle. Ils se montrent suffisamment rusés et ambigus pour ne pas être pris en flag’ (même s’ils insistent peu sur leur vœu de célibat… qu’ils présentent en général avec mépris comme une « nécessité générationnelle et culturelle imposée »… si bien qu’on peut avoir de sérieux doutes sur leur abstinence sexuelle réelle) et pour ne pas être démis de leur fonction sacerdotale. Car centrer son discours sur l’accueil des « catholiques LGBT » et des personnes homos, même si ça pue l’entrisme « inclusif » facile et la démagogie « gay friendly » qui n’annonce pas la vérité entière sur la pratique homo et ne présente pas l’homosexualité actée comme le mal et le péché qu’elle est, même si ça s’accompagne en général du coup de griffe narquois de l’« outing » (révélation forcée d’homosexualité) de leurs coreligionnaires-prêtres, ne constitue pas un dérapage suffisamment grave pour imposer une exclusion de l’Église (ex-communication), une destitution et un retour à l’état laïc.
 

Comme les élèves perturbateurs borderline d’une classe jouant les lèche-culs pour pouvoir transgresser progressivement les règles, ces prêtres et religieux progressistes s’avancent à pas de loup. Ils se sentent investis de la « Mission » de convertir l’Église Catholique institutionnelle qu’ils jugent « obscurantiste » à l’« Évangile de l’Amour et de l’accueil de toutes les différences » (a fortiori la « différence cathomosexuelle » dont ils auraient cruellement souffert par le passé). Et ce n’est pas les attaques diabolisantes et peu subtiles des catholiques conservateurs qui vont les arrêter (Bien au contraire, elles les renforcent et leur font une pub du tonnerre !).
 

Ces curés homos/gays friendly ne diront jamais publiquement qu’ils pratiquent leur homosexualité : ils se limitent à applaudir à bonne distance une certaine pratique homo – « stable », « totalement compatible avec la pratique religieuse » et soi-disant « authentique » – chez les autres ! Comme ça, ils se mettent à l’abri, tout en vivant/pratiquant leur homosexualité par personnes ou couples interposés. C’est une homosexualité actée « de substitution », pourrait-on dire. Une transposition qui m’apparaît d’autant plus perverse qu’elle est une forme d’assouvissement implicite de sa tendance homo mais qui passe hypocritement pour de la retenue, un sacrifice saint, un renoncement altruiste, un retrait d’humilité (« Je ne vis pas mon homosexualité pour que vous puissiez la vivre… » déclament théâtralement/tacitement les divas sacerdotales abstinentes qui font leur vibrant et poignant « coming out » tardif sur leur lit de mort). C’est puant. Mais visiblement, ça marche, ça émeut, et ça crée une belle et lucrative carrière (pardon… « pastorale des périphéries ») ou une seconde vie ecclésiastique « sainte ». James Martin, par exemple, vend beaucoup de livres et passe sur plein de plateaux télé. Parfait lifting pour s’offrir une image de bienfaiteur qui va moderniser et « ouvrir » sa « poussiéreuse Église » ! Belle reconversion sacerdotale ! Et facile, puisque personne n’y connaît rien à l’homosexualité et que la grande majorité des catholiques la craigne ET n’en a rien à foutre.
 

Pour continuer leur propagande naturalisto-gay-friendly (Autrement dit, ces prêtres ouvertement homos font partie des essentialistes/créationnistes qui soutiennent que la tendance ET la pratique homos seraient « naturelles » et donc forcément « bonnes et bénies/voulues/créées par Dieu », et sont de ceux qui a contrario avanceront que la continence homosexuelle « n’est pas naturelle », est « dangereuse », « suicidaire », « homophobe » et serait une « homosexualité refoulée » : bref, ils caricaturent à tort la continence en abstinence et en refoulement qu’elle n’est pas), ils se valent même d’une caution papale. À savoir qu’ils profitent de la fragilité et de l’ambiguïté du positionnement actuel du Pape François sur l’homosexualité (et ensuite sur les Unions civiles), qu’ils profitent aussi de la bonté papale et des ambivalences du concept d’« accueil » et d’« Amour » (accueillir et aimer, c’est en Vérité : ce n’est pas, comme le croit le Monde, « inconditionné » ni « inconditionnel »! La condition de l’Amour, c’est 1) le respect inviolable de notre liberté ; et 2) le consentement à la Croix), pour s’engouffrer dans la brèche ecclésiale et continuer leur propagande identitaire et sentimentale homosexuelle sans être inquiétés. Ils sont couverts par leur statut ecclésial, leurs bonnes intentions d’accueil et de non-jugement des personnes, par l’ignorance/homophobie de leurs contemporains et des catholiques en général, et sont portés par l’influence médiatique indéniable de l’homosexualité et par la crispation/incompréhension de plus en plus massive autour de la virginité sacerdotale. Un boulevard s’ouvre donc à eux !
 

Même si les catholiques ne m’écoutent pas et refusent de me comprendre à ce sujet, deux « détails » importants dans le discours du père James Alison le trahissent et l’invalident : c’est d’abord sa surévaluation de la franchise (substitution de la Vérité par la franchise/honnêteté/transparence/sincérité : au passage, la franchise est la base idéologique de la Franc-Maçonnerie antéchristique mondiale) ; et ensuite, c’est sa surévaluation de l’hétérosexualité (confondue avec la différence des sexes : c’est sur l’hétérosexualité – qui est le diable déguisé en différence des sexes – que s’appuient toutes les lois pro-gays).
 

Je tiens à dire une chose pour conclure: sachez que je n’ai rien contre les coming out sacerdotaux en soi. Bien au contraire ! Je l’ai dit dans mon documentaire « Les Folles de Dieu » lors des tables rondes sur l’homosexualité sacerdotale. Les coming out sacerdotaux, s’ils étaient orientés et appuyés par la continence, sauveraient l’Église. Le seul problème, c’est que médiatiquement, les seuls prêtres qui actuellement sortent du placard ne sont pas continents voire contestent l’exigence d’abstinence et de célibat demandée par l’Église aux personnes durablement homosexuelles, et tapent sur le clergé en le désignant comme majoritairement homophobe et homosexuel refoulé. Mon rêve eût été de compter, parmi les « Folles de Dieu », un témoin prêtre continent (mais l’ami en question a eu peur de perdre son poste – car au fond, il n’est pas toujours homosexuellement abstinent – et donc il s’est défilé). Ça, ça aurait été révolutionnaire ! Et ça manque à l’Église, ces prêtres homos continents. Heureusement, en la personne de Gerson Gonzales (le témoin péruvien, qui a fait 3 ans de séminaire), nous l’avons finalement eu ;-).
 

L’homosexualité : une affaire de mecs plus qu’une affaire de nanas


 

Je viens d’avoir un échange avec un prêtre de Paris qui a montré (avec succès) la première partie des « Folles de Dieu » à un groupe de jeunes qu’il encadre. Et il m’a avoué que sa proposition de visionnage du film n’avait attiré malheureusement que des filles ! « J’ai bien parlé de votre super film à mon groupe de Jeunes Pro (que des filles, c’est comme ça, je dois les attirer plus que les mecs) et je leur ai montré le début. On en parle tellement peu dans nos milieux cathos… et c’était super. On attend la suite avec impatience ! »
 

Voici ma réponse : « Pour ce qui est du documentaire, je me réjouis que vous ayez partagé ça avec des jeunes pros : c’est super ! (Ne vous inquiétez pas : le peu de succès du thème auprès des garçons ne vient pas de vous, mais du thème de l’homosexualité en lui-même, qui en général met la majorité des hommes très mal à l’aise. Car – et c’est une des grandes différences à mon sens entre l’homosexualité masculine et l’homosexualité féminine – dans l’imaginaire collectif l’homosexualité masculine remet vraiment en cause l’identité masculine toute entière (un mec homo, a fortiori passif, « n’est pas un homme », pense-t-on), tandis que l’homosexualité féminine ne menace pas et n’annule pas à ce point l’identité féminine (bien au contraire, elle peut la renforcer !). C’est là qu’on voit que l’homosexualité, socialement, c’est vraiment beaucoup plus une crise de la masculinité et de la paternité qu’une crise de la féminité et de la maternité : un homme qui se sent homo pourra difficilement apparaître comme un homme, bander ni être père, à l’inverse d’une femme homosexuelle qui pourra simuler (homo-)sexuellement et peut toujours techniquement être mère et apparaître comme une femme (et elle ne sera pas la risée de sa classe si elle joue les p’tits mecs : un gars frêle et efféminé, si). C’est pour ça, à mon avis, qu’il y a beaucoup plus de personnes qui se disent et se sentent homos chez les hommes, et que les femmes homosexuelles exclusives sont en minorité et ne sont pas toujours prises au sérieux quand elles font leur coming out. L’homosexualité masculine donne à croire qu’« on n’est pas un homme », qu’on perd la force qui nous rendrait homme : elle touche de plein fouet l’identité sexuée des garçons. C’est pour ça qu’elle apparaîtra la plupart du temps comme un argument d’autorité. C’est beaucoup moins prononcé côté filles, chez qui la sensualité homo-érotique et la tendresse passent beaucoup plus inaperçues et sont tolérées voire encouragées (comme de l’amitié, ou du jeu de camaraderie, ou de la beauté féminine, ou de l’audace bisexuelle) dans la sphère publique. Un homme qui se dit « homo », on n’insistera pas pour qu’il « change de bord » et on croira davantage son coming out qu’une fille: car il peut moins simuler sexuellement. Et j’ai remarqué, à l’époque où je faisais des conférences face à des scolaires et des groupes différenciés sexuellement, que les classes de mecs étaient beaucoup plus mal à l’aise et paniquées par l’homosexualité, que les classes de filles, qui étaient très relax et ne sentaient pas leur identité sexuée visée ni menacée par le sujet. Bref. L’homosexualité, je crois, est un phénomène foncièrement et prioritairement masculin. Quoi qu’en dise la société bisexuelle qui rêve d’égalité parfaite des sexes. L’homosexualité, c’est un problème (et une peur) de la masculinité. Pas tant une peur de la féminité. À bientôt, et merci. Philippe »

« Je dois vous faire un aveu : tôt ou tard, je finirai par me faire vacciner. »

Ce qui ressort des discussions personnelles que je peux avoir en ce moment avec mes amis sur la situation intime, sociale et mondiale actuelle, c’est qu’à plus ou moins long terme, nous sentons tous que le soi-disant « vaccin » anti-COVID (qui se trouve être en réalité une thérapie génique qui va fragiliser l’Humanité toute en entière face à l’émergence des mutations du virus) va devenir tacitement obligatoire pour tous. Et donc que le choix de l’accepter ou de le refuser se posera très prochainement à tout un chacun, sans exception (sauf les bébés et les personnes rendues volontairement ou involontairement inconscientes). Plus rares sont ceux qui, en revanche, sont capables d’admettre (calmement, et dans l’Espérance de la Résurrection de Jésus) que derrière cette décision du « vaccin » se cache un choix personnel plus grave encore de vie ou de mort (non pas donnée par le virus mais par les organisateurs de la dictature sanitaire censée éradiquer celui-ci).
 

En tout cas, pour opérer ce positionnement, nous devons d’ores-et-déjà répondre à quatre questions fondamentales : Vais-je (et dois-je) accepter pour moi-même ce pseudo « vaccin » ? Et si je décide de le refuser, combien de temps vais-je pouvoir tenir ? Est-ce que cette résistance vaut le coup ? Et surtout, jusqu’où (et jusqu’à quels sacrifices) je suis prêt à aller ?
 

Répondre à ces interrogations, même si dans un premier temps ça ne revêt pas de caractère urgent ni fatal, va – plus vite qu’on ne le croit – s’imposer comme un enjeu de vie ou de mort, donc devenir grave, douloureux, cornélien, cruel, lourd de conséquences, mais aussi paradoxalement courageux et salutaire (au sens céleste du terme !) si le choix du Maître de notre vie est le bon. Car en effet, ce qui nous permet de répondre à ces 4 questions, c’est bien le choix du Maître de notre vie : soit nous choisissons d’appartenir à Jésus et de consentir à sa Croix (et je crois que c’est le seul bon Maître pour nous tous), soit nous choisissons une ou plusieurs des divinités de pacotille que je vais vous lister maintenant.
 

J’ai identifié en effet que les idoles auxquelles sont soumis les gens qui ont cédé à la pseudo « vaccination » sont à peu près toutes les mêmes : le dieu « Grands Voyages » (ou « Mobilité »), le dieu « Culture », le dieu « Qualité de vie », le dieu « Confort », le dieu « Peur » ou « Ras-le-bol », le dieu « Nourriture » (Pour certains, sans déconner, la nourriture a plus d’importance que leur entourage humain, et même que Dieu !), le dieu « Santé » (Ils vouent un véritable culte à la Santé, et sont au bout du compte complètement soumis et en stress avec leur propre corps et celui des autres), le dieu « Bien-être », le dieu « Protection », le dieu « Instant », le dieu « Équilibre », le dieu « (bonne) Situation », le dieu « Sécurité (matérielle ou financière ou professionnelle) », le dieu « Carrière » (Beaucoup me justifient qu’ils vont céder au « vaccin » pour conserver leur boulot), le dieu « Animal », le dieu « Amis/Proches/Famille biologique/Enfants/Entourage » (Certains se planquent derrière leurs proches pour s’inventer une responsabilité « naturelle » et « évidente »), le dieu « les Autres » ou « Altruisme/Solidarité » (Je ne compte plus le nombre de personnes qui disent sincèrement qu’elles se font vacciner « pour les autres » et par « solidarité collective », pour « le Bien de l’Humanité » : elles se prennent carrément pour des héros et des sauveurs), le dieu « ma propre vie terrestre » (Beaucoup de gens qui se vaccinent croient que « leur vie leur appartient » et qu’elle est leur « propriété privée » dont ils peuvent disposer comme ils l’entendent : quelle illusion ! et quel orgueil !), le dieu « Vaccin » (Très sérieusement, même les athées parlent du « vaccin » en termes divins et le présentent comme le « Messie », le « Sauveur des Hommes »)… Ils feraient bien de relire ces deux paroles de Jésus dans la Bible : « Celui qui veut marcher à ma suite, qu’il renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix chaque jour et qu’il me suive. Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie à cause de moi la sauvera. » (Lc 9, 23-24) ; « Amen, je vous le dis : celui qui aura quitté, à cause de mon nom, des maisons, des frères, des sœurs, un père, une mère, des enfants, ou une terre, recevra le centuple, et il aura en héritage la vie éternelle. » (Mt 19, 29).
 

Et comble de l’aveuglement collectif, toutes ces idoles que je viens de citer – qui sont en réalité les alibis matériels et idéologiques dorés de la peur, du matérialisme, de l’individualisme et de l’égoïsme les plus effrayants – sont appelées sincèrement/hypocritement « libertés fondamentales », « obligations incontournables », « Nature », « uniques solutions », ou bien sont habillées de « fatalité inexorable » et d’autovictimisation par ceux qui décident de s’y enchaîner en faisant croire qu’ils n’ont pas d’autre choix que d’être des « héros malgré eux ».
 

Quant à la petite minorité de récalcitrants qui s’opposent encore à la soi-disant « vaccination », j’identifie une grande diversité (… de potentielles girouettes ou résistants en carton !) et une grande fragilité dans leur détermination. Et pour cause : Qui peut présumer de ses forces quand il sera acculé à des contraintes qui lui paraîtront inhumaines, insensées voire mortelles, à un moment donné ? Qui peut savoir jusqu’où ira sa résistance, surtout si celle-ci le conduit au mieux à une mort sociale et à une vie ascétique faite de privations, de renoncements et de mortifications, au pire à une grève de la faim apparemment « volontaire » donc à la mort ? Personne. Pas même moi. Mais je pense – sans vouloir dramatiser les choses ou projeter l’avenir de l’Humanité dans un scénario-catastrophe – que le refus du vaccin, au moment où ce dernier sera rendu mondialement obligatoire, va conduire, peut-être dans un futur assez lointain (mais je ne pense pas : je nous laisse 3 à 9 ans), à la mort. L’enjeu de vie ou de mort entourant le « vaccin », qu’on en ait conscience ou non, est déjà là. Et il est suffisamment lourd pour qu’on choisisse d’ores-et-déjà notre camp. Un positionnement pareil, avec deux directions si radicalement opposées mais partant d’un même point, se fait dès maintenant et ne peut s’improviser. Ce sont peu ou prou les mêmes que le choix entre le dieu Internet/Électricité et le Dieu Jésus, d’ailleurs.
 

Sommes-nous prêts à mourir pour résister au « vaccin » (et donc à la puce RFID subcutanée) ? C’est bien là la question fondamentale. Avec mes amis, on se la soumet dès à présent, sans prétendre la résoudre avec certitude ni prêter serment. Et on voit tout de suite à travers celle-ci qui est le Maître qu’on s’est choisi pour notre vie. À travers cette question, on distingue aussi très clairement les faux résistants (ceux qui s’opposent à la « vaccination » pour encore peu de temps, et qui disent : « La vaccination, ce sera le plus tard possible pour moi. Mais tôt ou tard, je finirai par me faire vacciner. ») des vrais résistants (ceux qui s’opposent vraiment à la « vaccination » et qui sont prêts à tout perdre : carrière, amis, famille, enfant, et même vie).
 

Et à ce propos, les apparences sont trompeuses ! Même ceux qui médiatiquement passent pour les « Antivax de la première heure », pour de courageux fondeurs, pour des chefs d’insurrection incorruptibles (je pense surtout au charismatique Florian Philippot, qui, en France, incarne politiquement le plus l’opposition aux « vaccins »), m’apparaissent comme très peu solides, voire comme de faux libertadores. Car au fond, derrière leur mouvement de contre-pouvoir, fût-il risqué et apparemment sacrificiel/désintéressé, il y a de la carrière, donc un poison : Philippot a beaucoup de suiveurs sur les réseaux sociaux, et un parti politique qui constitue une idole et un attachement terrestre tout aussi toxique que le « vaccin » anti-COVID. En fait, je vois que la fronde anti-vaccinale de Philippot est de l’ordre de la posture (et donc de l’imposture) car ce politicien ne s’oppose pas tant à la « vaccination » qu’à l’« imposition de celle-ci à tous » (ce qui constitue une nuance de taille, puisqu’il finit par cautionner ce qu’il dénonce ! Le vaccin ne lui pose pas problème tant qu’il est circonscrit/soumis/relativisé à la décision personnelle). En gros, Philippot ne défend pas la vraie Liberté (le fait de choisir le meilleur, c’est-à-dire Jésus, et de consentir à sa Passion et à sa Croix) mais uniquement le libre arbitre (le fait d’« avoir le choix », ou bien le fait de décider par soi-même de ce qui est bon ou mauvais pour soi, ou bien le fait de ne pas se voir imposer une chose universellement). Bref, il opte pour un orgueil tout aussi gros que celui qui a poussé les « vaccinés » à se soumettre à la thérapie génique anticovidique et aux mesures sanitaires. Il se plante de combat… même si le moyen (le refus du « vaccin ») semble juste, ou que l’ancien député européen s’oppose apparemment au « vaccin ». En réalité, Philippot ne s’oppose pas au « vaccin » mais à son imposition. Et en plus, pour les mauvaises raisons. Par conséquent, ce n’est certainement pas lui l’Homme providentiel qui nous en délivrera.

Ces beaux prêtres qui nous aiment justement et chastement

Je viens de rencontrer ce matin un jeune prêtre de Paris suite à notre échange de mails où il me félicitait pour le courage des « Folles de Dieu ». J’avais pris rendez-vous avec lui, suis allé dans son église. Et on a eu un super échange. Très profond, dans la simplicité, quelquefois les blagues, et beaucoup de vérités partagées. Il m’a vraiment écouté. Et il a compris l’enjeu ecclésial et mondial de l’homosexualité. Mon Dieu que ça fait du bien de rencontrer des prêtres véritablement choisis par le Seigneur, et envoyés par Lui !
 

Et ce qui ne gâche rien (car le Seigneur a du goût, et n’appelle pas que des thons lol !), en plus d’être jeune et intelligent, il est humble et beau. Parfois, en le regardant dans les yeux, j’avais l’impression d’y reconnaître le regard de Jésus. Quand j’avais montré son visage à mon équipe des « Folles de Dieu » (dans notre groupe fermé Facebook), certains s’étaient exclamés « Oh mon Dieu, il est trop beau !!! Je suis amoureux !! C’est mon futur mari !!! ». Et à la fin de notre entretien de ce matin, je me suis permis de lui rapporter les réactions d’enthousiasme et de gratitude – pas toujours désintéressées ^^ – de mes camarades à son égard. Non seulement ça ne l’a pas fait rougir ni gonfler d’orgueil mais ça l’a au contraire fait rire et encore plus « prendre en tendresse et en complicité » notre groupe de cathos homos. C’est vraiment génial.
 

J’aime ces prêtres conscients du charme qu’ils dégagent mais davantage conscients que ce dernier sert la Présence de Jésus en eux. J’aime ces prêtres non-homosexuels qui ne sont pas coincés ou mondains, qui ne sont pas « troublés par le trouble » qu’ils peuvent générer par leur sex-appeal chez leur public féminin comme masculin/homosexuel : ça veut dire qu’ils maîtrisent ce trouble, qu’ils ne se laissent pas impressionner par leur beauté, qu’ils n’en jouent pas pour séduire ou pour exercer une quelconque influence, et qu’ils l’offrent à Jésus et au Monde dans le célibat et dans l’humour, dans la joie. C’est magnifique, Seigneur, ces amis et pères sacerdotaux que tu nous donnes !