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L’alchimie et les nombreuses références auriques francs-maçonnes dans le film « Les Crevettes pailletées »… même si personne ne les aura vues et ne les dénoncera


 

(La lecture de ce billet est à compléter avec mon article sur les « Goûts musicaux homosexuels » ; et vous pouvez retrouver tous les codes homos aperçus dans le film « Les Crevettes pailletées » dans mon Dictionnaire des Codes homosexuels, en particulier le code sur l’attraction des personnes homos pour l’or.)
 

Le film « Les Crevettes pailletées » (2019) de Cédric le Gallo et Maxime Govare vient de sortir dans les salles de cinéma françaises. Et il est annoncé comme LE film homo et gay friendly de l’année, teintant les prochaines Gay Pride d’un parfum de délire, de bonne humeur mais aussi de militantisme-bidon intitulé « lutte contre l’homophobie dans le sport » (une priorité nationale… oui, tout à fait…).
 

Je ne me prononcerai pas sur les intentions du film ni sur sa qualité. D’autres journalistes, qui ne savent pas ouvrir leurs yeux ni penser avec leur tête, s’en chargeront à ma place. Personnellement, il n’y a que le factuel qui m’intéresse, et le contenu concret du film. Pas ce que les gens veulent en faire pour applaudir – ou descendre plus bas que terre – les personnes homosexuelles (en l’occurrence nous) et la production « artistique » qui parlent d’elles.
 

 

Et « Les Crevettes pailletées », comme tout film ou émission de télé de propagande franc-maçonne qui se sert de la communauté homosexuelle comme poule aux œufs d’or (sans jamais régler nos réels problèmes et nous considérer) pour construire des carrières et pour briller de mille feux électriques et pailletés, se base sur l’alchimie. L’alchimie, c’est concrètement la (prétention de) transformation du plomb en or (alchimie opérative) ; mais c’est aussi, de manière plus symbolique (alchimie mystique, spéculative), la prétention chez l’Homme, aidé par le diable luciférien et ses entités énergétiques, de se transformer lui-même en (veau d’)or, de convertir son cœur de chair en cœur de pierre dorée (la quête de la Pierre philosophale défendue par les francs-maçons), de se créer soi-même et de créer l’Humanité, la Divinité et l’Amour par sa propre volonté, ses propres moyens et actions, par ses bonnes intentions et sensations.
 

Et le film de Le Gallo et Govare est truffé de références à l’alchimie… même si la brillance éclatante de ce business aurique, électrique et solaire (car le Gouvernement Mondial de l’Antéchrist entend ni plus ni moins remplacer Dieu « Jésus » par le dieu « Électricité » et le dieu « Soleil » – donc un héliocentrisme – comme je le démontrerai abondamment dans mon prochain livre sur la série populaire Joséphine ange gardien) se fait passer pour une pluie magique de confettis scintillants, pour un touchant hommage au kitsch et à la pétillance d’une communauté LGBT colorée, chaleureuse et persécutée.
 
 

Exemples d’alchimiques tirés du film :
 

1 – Le titre et l’affiche du film font clairement référence à l’or.
 

 

2 – Mathias Le Goff porte un tatouage d’une couronne dorée.
 

3 – La piscine est l’espace alchimique, narcissique, par excellence, la bulle hermétique dans laquelle les personnages sont plongés pour être dissouts et transformés en or, pour être soi-disant purifiés de leur impureté « homophobe ». L’un d’un personnage homo, Joël, conseille même symboliquement à Mathias Le Goff d’être immergé dans le bassin rainbowC’est une autre piscine. Différente. »), bien plus efficace que la piscine olympique chlorée hétérosexuelle et macho : « Monsieur Propre a la bouche sale… »
 

4 – Le cri de guerre de l’équipe LGBT (« On va vous décortiquer ! On est les crevettes pailletées ! ») est plutôt un slogan de bouchers ou de savants fous biologistes disséquant froidement leurs cobayes sur une table d’opération qu’un slogan de sportifs…
 

5 – Les personnages homosexuels sont décrits comme dorés. Par exemple, Elsa, la femme de Mathias (et « fille à pédés » par excellence), sermonne son mari en mettant la communauté homo sur un piédestal d’or : « Des amis gays, j’en ai plein. Ce sont des gens brillants et extrêmement raffinés. »
 

 

6 – Certains héros sont transformés en objets. Par exemple, Fred, le transsexuel, est appelé « Frigo » par Alex. Les déménageuses (l’équipe lesbienne) a pour cri de guerre « On va vous déménager ! ».
 

7 – Plusieurs des personnages homosexuels portent un soleil sur leur tee-shirt : Jean, Xavier, etc. Et Fred, le trans, est toujours habillé avec des costumes à paillettes, particulièrement lors de l’enterrement final où il est carrément couvert d’or ; et il chausse des bottes d’or remontant très haut.
 

 

8 – Pour sauver sa réputation et sa « carrière » (… de pierre) de sportif de haut niveau (« Ma carrière est finie… »), Mathias Le Goff entraîne une équipe de nageurs gays et/ou trans.
 

9 – Dans la chorégraphie mise en place par Fred (le trans) pour son équipe, il y a un mouvement qui renvoie à la fameuse étape alchimique de la « poudre de projection » : « Et là, POUSSIÈRE D’ÉTOILE ! » commande-t-il à ses danseurs en maillot de bain.
 

10 – Il est question de la Bête technologique : les bonnets de bain des joueurs des « Crevettes pailletées » (représentant des casques), les surnoms que s’échangent certains personnages (« Tu viens ma puce ? » dit Mathias à sa fille Victoire), etc.
 

11 – Jean, l’un des nageurs gays, prend des cachetons contre son cancer.
 

12 – Le noachisme (idéologie déiste et antéchristique d’un retour de l’Humanité à la première alliance avec Dieu sans en passer par Jésus) est très présent dans le film : Joël à un moment donné fait mention de l’Arche de Noé ; et l’un des deux jumeaux de Cédric se prénomme Noé.
 

13 – Fred (le trans) confectionne des combis de natation ainsi que des porte-clés dorés.
 

La Marque de la Bête


 

14 – La fusion et l’énergie (solaire, électrique, sportive) sont suggérées dans le film comme des processus chimiques et relationnels dont on attend les alliages et les effets inattendus : « Un groupe de pédés, confinés dans un bus, dans la chaleur de l’été… c’est sûr il va se passer des trucs ! » (Vincent). Le voyage (ou road trop) est envisagé comme un rite initiatique et gnostique de transformation : « C’est dingue comme ce voyage nous apprend sur nous-mêmes. » (Cédric). On retrouve la fusion en bouche d’Alex à la fin du film : « Mes amis : Show-Time ! »
 

15 – Xavier se fait teindre les cheveux en blond et tatouer l’anus ; Cédric porte à un moment donné une perruque blonde.
 

 

16 – Fred (le trans) loue sur le chemin vers la Croatie une auberge autrichienne qu’il présente comme une « perle architecturale ».
 

17 – Il y a des animaux empaillés dans le restaurant autrichien dans lequel l’équipe fait une halte. Et dans l’hôtel, Jean s’est endormi avec une tête de cerf serrée contre lui.
 

18 – Dans son play-back sur la chanson « Sous le vent » de Garou et Céline Dion, Jean, l’un des héros homos, chante qu’il a « trouvé son étoile » ; et Vincent, travesti en Céline Dion, porte une robe pailletée.
 

19 – Pendant son rappel des règles de base du water-polo, Mathias emploie le jargon de l’alchimie, comme un chef de chantiers face à ses ouvriers. « C’est quoi la base du water-polo ? » demande-t-il à Alex. Ensuite, il interpelle Vincent agressivement (« Vincent, quand on est à l’attaque et que le demi fait une traversée, les coéquipiers font quoi ? ») ; ce dernier se risque à une réponse interrogative (« Ils collent leurs défenseurs… ? ») et se fait immédiatement casser par Mathias (« Non !! Ils se décalent tous d’un poste pour déstabiliser le bloc ! »). Enfin, l’entraîneur s’en prend à Fred (« Fred, c’est quoi la meilleure façon de faire un pressing ? »), et n’apprécie pas son humour et son amateurisme (« Euh… le nettoyage à sec ?) puisqu’il le gratifie d’un violent jet de ballon. Tout cela pour dire que tous les conseils de l’entraînement sont alchimiques et hermétiques : « Ce qui est compliqué pour vous, c’est de vous concentrer. Il vous fait la concentration d’un joueur d’échecs ! » Il est également question de « diagos », de « lasso », donc du champ lexical lumino-textile, caractéristique de la Franc-Maçonnerie.
 

20 – Les produits chimiques dans le film sont en lien avec la sexualité : l’équipe de joueurs de water-polo s’arrête dans une station d’essence où Vincent manque de se faire violer. Et plus tard, Joël sortira avec un homme étranger en lui parlant d’essence.
 

21 – Fred (le trans) est spécialisé dans les produits cosmétiques : « Les filles comme moi ont appris très tôt à masquer un cocard. » confesse-t-il en maquillant Cédric.
 

22 – On aperçoit beaucoup le soleil, qui est même filmé en gros plan et désigné comme l’origine de l’action.
 

 

23 – Dans le bus, l’équipe des Crevettes pailletées fait brûler des fumigènes colorés roses et bleus.
 

24 – Pendant le trajet en autocar, les personnages traversent des tunnels éclairés par des néons jaunes et orangés.
 

25 – Le présentateur des Gay Games est un homme travesti qui a peint sa barbe en or et qui s’habille avec des robes pailletées de diva vénéneuse.
 

 

26 – La discothèque-piscine où se rendent les protagonistes ressemble à un véritable laboratoire alchimique. Tous portent sur le visage des paillettes dorées. Il y a des salles où la glace et le feu se confrontent, parfois avec des bougies, comme dans un sauna libertin transformé en temple. On voit aussi des bulles sphériques en plastique flottant sur l’eau de la piscine. Autour des piscines, entre personnes homos, ça discute carrière, or et commerce de fluides électriques/spermiques. Par exemple, Vincent prend du poppers. Joël, quant à lui, avoue que sa transphobie remonte à un vieux conflit qu’il a eu avec une personne transsexuelle d’une association pour laquelle ils se disputaient le poste de trésorier. Tout de suite après cet aveu, par l’entremise de Fred qui le fait passer pour un magnat de la finance, il se fait brancher (c’est le cas de le dire !) par un charmant athlète étranger, avec qui il négocie un plan cul sur fond de contrat pétrolier : « On est pareils, lui sussure le Slave, on mise sur le pétrole, sur le gaz. Je veux te sucer. ». Joël et son bel étalon finissent de signer leur contrat alchimique dans une chambre d’hôtel, en s’insultant de « sale capitaliste ».
 

 

 

 

27 – La Nouvelle Religion mondiale héliocentrique (solaire) et aurique s’appuie en général sur deux civilisations antiques en particulier (et c’est très marqué dans Joséphine ange gardien) : l’Égypte antique et l’Empire inca. Eh bien « Les Crevettes pailletées » n’échappe pas à la règle puisque pendant la scène de la beuverie en boîte homo, on aperçoit des personnages déguisés en dieux ou en notables incas. Et dans le générique final du film nous sont montrées des photos de l’équipe historique de la véritable équipe des Crevettes pailletées dans lesquelles ils sont tous costumés en Égyptiens antiques. CQFD… On les voit aussi avec un ballon de water-polo jaune.
 

28 – Toujours dans les scènes de bacchanales homosexuelles, l’expérience de l’immersion dans la piscine par Vincent est électrique : il est tellement shooté au poppers qu’il finit sous l’eau en train d’apercevoir des sirènes, puis ses hallucinations s’achèvent par un flash.
 

29 – Mathias, le personnage central du film, malgré ce qu’il prétend pour salir sa prétention, et malgré la place qui est laissée par les autres personnages à la bonne intention (« Moi, je préfère perdre avec ceux que j’aime plutôt que de gagner tout seul. » affirme son joueur vedette Jean), est jusqu’à la fin (tout comme les réalisateurs) dans une optique carriériste. Il déclare quasiment à l’issue du film que « Gagner, c’est sa vie. ». De plus, sa fille adolescente s’appelle Victoire. Et au bout du compte, l’équipe des Crevettes pailletées finit, sinon par remporter les Gays Games, du moins par remporter soi-disant le cœur des téléspectateurs mais également les prix et les trophées des festivals cinématographiques.
 

30 – Lors des derniers matchs des Gay Games, Fred (le trans) fournit des énergisants à ses camarades nageurs en les biberonnant avec une boisson jaune.
 

31 – Les personnages sont animalisés. Par exemple, ils s’auto-surnomment « les crevettes pailletées ». Et à la fin du film, les nageurs croates sont comparés à « des bestiaux ».
 

 

32 – La traduction anglaise qui a été choisie pour représenter l’équipe des Crevettes pailletées aux Gays Games est non pas affiliée à l’or mais au soleil, preuve que ce film est au service de la Nouvelle Religion mondiale héliocentrique : nos chères crevettes sont appelées les « Shiny Schrimps » (ce sera d’ailleurs le titre anglais du film). No comment.
 

33 – Dans la scène finale de l’enterrement de Jean, le prêtre gay friendly porte en ceinture un cordon doré (… accessoire tout simplement inexistant chez les prêtres catholiques dans la vie réelle).
 

Les Ambassadeurs de la Nouvelle Religion mondiale aurique


 

34 – Au moment de cette cérémonie (je n’ose même pas dire messe) mortuaire païenne grotesque, Fred (le trans) est la grande prêtresse. Il est habillé d’une combinaison « or » et porte un collier ressemblant à une parure égyptienne antique.
 

35 – Comme je le disais un peu plus haut, dans le générique final du film, on nous montre quelques clichés de l’équipe historique des Crevettes pailletées. Il y a effectivement la photo où tous les membres sont déguisés en Égyptiens parés d’or. Mais on les voit aussi poser dans les bassins avec des mannequins en plastique jaune. Et – comble du fétichisme électrico-alchimico-aurique –, la chanson qui clôture le film est celle d’Eddy de Pretto (le chanteur homo bobo qui a la cote en ce moment), « Tu seras viril », où il est question d’« étincelle » et d’un commandement de brillance qui est à la fois décrié et suivi à la lettre (« Tu brilleras par ta posture physique. »).
 

 
 

Voilà voilà. Alors en résumé, au-delà des intentions ou des avis sur le film, je tenais personnellement à en rester au film en lui-même et à vous dire ce que j’avais vu. Les gens gays friendly se font du fric et de l’or sur notre dos, à nous personnes homosexuelles, avec malheureusement, la complicité d’un grand nombre d’entre nous. Et c’est non seulement scandaleux mais homophobe. Une des rares à avoir identifié cette homophobie gay friendly (même si ce n’est pas avec les bons arguments), c’est la youtubeuse Ronde Queer. Merci à elle.
 

¡ Apertura de un bote para el rodaje « Homosexualidad » en Lourdes !

(Foto : Philippe Piron)


 

Es con total simplicidad que hago esta petición urgente de ayuda y donaciones, y que os propongo participar en vuestra medida en un fondo común en línea para la organización de un evento preciso : el RODAJE en Lourdes de un documental filmado sobre LA HOMOSEXUALIDAD, que tendrá lugar del 23 de septiembre al 2 de octubre del 2019. El artículo es traducido en francés, en italiano, y en polaco.
 

HAZ CLIC AQUÍ PARA DONAR.
 

Es una gran novedad ya que hace años que pedía a hermanos y hermanas que sean capaces, como yo, de hablar abiertamente de su homosexualidad y de su amor por Jesús a cara descubierta, corriendo el riesgo de perderlo todo (trabajo, perspectiva de sacerdocio, perspectiva de casamiento, familia, amigos, compromisos cristianos, fama, etc.). Y – evidencia de que estamos pasando una temporada especial en aquellos tiempos –, estos hermanos de Misión que han comprendido el reto mundial y eclesial de la homosexualidad por fin se han levantado y se sienten capaces de dar el gran salto público conmigo para Jesús, el mundo, y la Iglesia : hay un Colombiano, un Quebequense, un Italiano, un Mexicano, un Español y una Francesa … y esperamos pronto un Polaco y un Norteamericana. Pero sin parecerlo, tenemos el tiempo contado. Y sobre todo, los testigos homosexuales continentes – y no simplemente abstinentes – no se encuentran todos los días.

 

Por lo tanto, ya contamos con vuestra oración para acompañar este proyecto único que llevará a un reportaje, y quizás a un DVD, que servirá de soporte de formación para todos (ya que, en realidad, nadie en el mundo – excepto yo – habla de homosexualidad y propone un análisis al respecto).

 

Pero para ello, también necesitamos dinero, simplemente para cubrir los boletos de avión de los oradores que vienen de lejos, los gastos en el lugar en Lourdes, la escenografía, el salario de los operadores de cámaras, el montaje, la traducción, etc. Por eso abro un bote.

 

Sabed que este evento – desgraciadamente por un lado y afortunadamente por otro – que no tendrá la pesadez logística de una sesión sobre la homosexualidad ni de una conferencia de prensa, se organiza fuera de todo patrocinio o movimiento o partido o diócesis. ¡ Tan sólo con nuestras pequeñas personas !

 

Pero es el mayor tesoro. Puesto que no hay ningún medio católico y ningún obispo que nos respalda (a pesar de que vivimos lo que la Iglesia pide sobre la homosexualidad, y de que la Iglesia en este momento nos necesitaría porque en realidad se La ataca únicamente sobre la homosexualidad), puesto que no podemos contar públicamente con ningún sacerdote, puesto que a veces hasta nos perciben como criminales, organizamos este rodaje fuera de cualquier estructura, sin ninguna ayuda y sin etiqueta. Es nuestra debilidad pero también nuestra fuerza. Porque las personas que darán testimonio (sobre la base del programa de 8 días que establecí recientemente) no serán prisioneras de un movimiento (ya sea católico, como Courage Internacional) o de un grupo de presión (lobby pro-vida, obispos, cardenales, tele o radio …) : se presentan por su cuenta, entregan su nombre, ofrecen su persona, simplemente.

 

La gran novedad de este acontecimiento es que la homosexualidad será realmente estudiada y CENTRAL, y no un pretexto para hablar de otra cosa (Fe, sexualidad, identidad, amistad, castidad, curación o restauración, Biblia, relación personal con Dios, santidad, pureza, etc.). Al contrario. Por una vez, sólo será cuestión de homosexualidad, de heterosexualidad, de homofobia, de cultura LGTB, de bisexualidad, de transidentidad, e incluso de temas sobre los que nos prohiben hablar (masonería, política, Fin de los Tiempos). ¡ Y nadie nos impida hacerlo ! Ningún movimiento o comunidad cristiana (Courage, la Comunidad del Emmanuel, etc.) a quienes tendríamos que rendir cuentas, ninguna sesión de terapia reparativa, ningún grupo de palabra o de testimonios públicos. No habrá círculos de abogados, políticos, activistas pro-Vida, psicólogos, historiadores, sociólogos, sacerdotes, que hablen de nosotros y en nuestro lugar. ¡ Nos hará bien ! ¡ POR FIN, podremos lidiar con la homosexualidad y sólo con ella ! ¡ POR FIN, vamos a interesarnos por las personas ! … aún cuando, sin embargo, sin estas ayudas institucionales, lleguemos un poco desnudos y nos gustaría ofrecer un soporte video que no sea demasiado barato o ridículo. La idea, ya que los oradores realmente mojan la camisa, es ofrecerles no sólo condiciones decentes sino desde luego elegantes (imágenes hermosas, luces hermosas, escenario hermoso y plató hermoso para las mesas redondas, buen equipo de filmación). … un mínimo de profesionalismo y de acogida para una justa valoración !).

 

Bueno. Creo que he dicho lo esencial.

 

Sí ¡ Última cosa ! La filmación tiene lugar en Lourdes porque es María quien lleva sola nuestra continencia (abstinencia y apostolado público para Jesús y la Iglesia a través de la homosexualidad).

 

Gracias por su generosidad. Y, por lo que más quiera, compartid este mensaje para dar a conocer el fondo común y el evento. Somos tan poco respaldados y tan poco animados – aunque las necesidades en cuanto a la homosexualidad sean grandes hoy en día –, que la más minima ayuda será preciosa. Incluso 5-10 euros.
 

En nombre de Jesús, de antemano, os agradezco.
 

Philippe Ariño
 
 

Ouverture d’une CAGNOTTE pour le tournage « Homosexualité » à Lourdes

C’est en toute simplicité que je vous fais cet appel pressant à l’aide et aux dons, et vous propose de participer à votre mesure à une cagnotte en ligne pour l’organisation d’un événement précis : le TOURNAGE à Lourdes d’un documentaire filmé sur L’HOMOSEXUALITÉ, qui se tiendra du 23 septembre au 2 octobre 2019. CLIQUEZ ICI POUR LE DON. L’article est traduit en espagnol, en italien, en polonais et en anglais.
 

(Crédit photos : Philippe Piron)


 

C’est une grande première car cela faisait des années que je demandais des frères et des sœurs qui soient capables, comme moi, de parler de leur homosexualité et de leur amour de Jésus à visage découvert, en prenant ainsi le risque de tout perdre (travail, perspective de sacerdoce, perspective maritale, famille, amis, engagements chrétiens, réputation, etc.). Et – preuve que nous vivons en ce moment des temps spéciaux – ces frères de Mission ayant compris l’enjeu mondial et ecclésial de l’homosexualité se sont enfin levés et se sentent capables de faire le grand saut public avec moi pour Jésus, le monde et l’Église : il y a un Colombien, un Québécois, un Italien, un Mexicain, un Espagnol et une Française… et on espère bientôt un Polonais et un Nord-Américain. Mais mine de rien, le temps presse. Et surtout, les témoins homos continents – et pas seulement abstinents – ne courent pas les rues.

 

Nous comptons donc déjà sur votre prière pour accompagner ce projet unique qui donnera lieu à un reportage, et peut-être un DVD, pour servir de support de formation pour tous (car en réalité, personne dans le monde – à part moi – ne parle d’homosexualité et ne propose une analyse dessus).

 

Mais pour ce faire, nous avons aussi besoin d’argent, simplement pour couvrir les billets d’avion des intervenants qui viennent de loin, les frais sur place à Lourdes, les décors, le salaire des caméramen, le montage, la traduction, etc.. Voilà la raison pour laquelle j’ouvre une cagnotte.

 

Sachez que cet évènement – malheureusement d’un côté et heureusement de l’autre -, qui n’aura pas la lourdeur logistique d’une session sur l’homosexualité ni d’une conférence de presse, s’organise en dehors de tout parrainage ou mécénat ou mouvement ou parti ou diocèse. Juste avec nos petites personnes ! Mais c’est le plus grand trésor. Comme aucun média catholique et aucun évêque ne nous soutient (alors que pourtant nous vivons ce que demande l’Église sur l’homosexualité, et que l’Église en ce moment aurait bien besoin de nous parce qu’Elle ne se fait attaquer en réalité QUE sur l’homosexualité), puisque nous ne pouvons compter publiquement sur aucun prêtre, puisque nous sommes même parfois perçus comme des criminels, nous organisons ce tournage en dehors de toute structure, sans aucune aide et sans étiquette. C’est notre faiblesse mais aussi notre force. Car les personnes qui témoigneront (sur la base du programme des 8 journées que j’ai établi récemment) ne seront pas prisonnières d’un mouvement (fût-il catholique, comme Courage International) ou d’un groupe de pression (lobby pro-Vie, évêques, cardinaux, télé ou radio…) : elles s’avancent d’elles-mêmes, et donnent leur nom, offrent leur personne, tout simplement.
 

La grande nouveauté de cet événement, c’est que l’homosexualité sera vraiment à l’étude et au CENTRE, et non un prétexte pour parler d’autre chose (Foi, sexualité, identité, amitié, chasteté, guérison ou restauration, Bible, relation personnelle à Dieu, sainteté, pureté, etc.). Au contraire. Pour une fois, il ne sera question que d’homosexualité, d’hétérosexualité, d’homophobie, de culture LGBT, de bisexualité, de transidentité, et même de sujets dont on nous interdit de parler (Franc-Maçonnerie, boboïsme, politique, Fin des Temps). Et personne pour nous empêcher de le faire ! Pas de mouvement chrétien ou de communauté (Courage, l’Emmanuel, etc.) à laquelle rendre des comptes, pas de sessions de thérapie réparative, pas de groupes de parole à la con ni de témoignages publics. Pas de cercle de juristes, politiciens, militants pro-Vie, psys, historiens, sociologues, prêtres, pour parler de nous et à notre place. Ça va faire du bien ! ENFIN, on va pouvoir traiter d’homosexualité et rien que d’elle ! ENFIN, on va s’intéresser aux personnes ! … même si, pour le coup, sans ces aides institutionnelles, nous arrivons un peu nus, et que nous voudrions malgré tout proposer un support vidéo pas trop « cheap » ni dégueu. L’idée, vu que les intervenants mouillent vraiment leur chemise, c’est de leur offrir des conditions de parole non seulement décentes mais carrément classes (belles images, belles lumières, beau cadre et beau plateau pour les tables rondes, bonne équipe de tournage… un minimum de professionnalisme et d’accueil pour une juste mise en valeur !).
Voilà. Je pense avoir dit l’essentiel.
 

Si ! J’allais oublier ! Le tournage se passe à Lourdes car c’est Marie qui seule porte notre continence (abstinence et apostolat public pour Jésus et l’Église par l’homosexualité).
 

Merci de votre générosité. Et, de grâce, faites circuler ce message pour faire connaître la cagnotte et l’événement. Nous sommes si peu aidés et si peu encouragés – alors que les besoins sur l’homosexualité sont énormes aujourd’hui – que la moindre petite aide sera précieuse. Même 5-10 euros, ce sera énorme.
 

Au nom de Jésus, par avance, je vous remercie.
 

Philippe Ariño
 
 

Les goûts musicaux lesbiens : les 18 ingrédients qui peuvent plaire aux femmes lesbiennes dans les chansons

(Retrouvez le pendant gay de cette chronique sur ce lien.)
 

Quelles sont les chansons qui réunissent le plus les femmes lesbiennes, sans que nécessairement l’interprète soit elle-même lesbienne/femme ou que la chanson parle ouvertement d’homosexualité féminine et soit militante ?
 

 

 

J’ai essayé de répondre à cette question. Ça m’aura pris une semaine de travail (si si)… mais au vue des réactions positives de mes amies lesbiennes et de leurs confirmations, je n’ai pas perdu mon temps ! Vive la musique ! Vive surtout les femmes lesbiennes et leur sororité que bien souvent elles ignorent alors qu’elle est bien réelle ! Voilà donc, à mon avis, les 18 ingrédients qui, s’ils sont placés dans les chansons, peuvent attirer un certain nombre de femmes lesbiennes :
 

1 – Voix-dégaine
 

Exemple : « Billie Jean » de Michael Jackson
 

 

2 – Tristesse rétro
 

Exemple : « Avec le temps » de Léo Ferré
 

 

3 – Voix fatiguée
 

Exemple : « Twist in my sobriety » de Tanita Tikaram
 

 

4 – Ritournelle
 

Exemple : « Tom’s dinner » de Suzanne Vega
 

 

5 – La gratte
 

Exemple : « Me and Bobby Mc Gee » de Janis Joplin
 

 

6 – Terroir moustachu
 

Exemple : « La Montagne » de Jean Ferrat
 

 

7 – En anglais
 

Exemple : « Mutate » de Jeanne Added
 

 

8 – Voix inaccessiblement grave ou planante
 

Exemple : « Mmm Mmm Mmm » de Crash Test Dummies
 

 

9 – La Bourgeoise maternelle haïe
 

Exemple : « Maman a tort » de Mylène Farmer
 

 

10 – Destruction de la féminité commerciale (Je suis un mec)
 

Exemple : « As a man » d’Anna Calvi
 

 

11 – Non (Rébellion)
 

Exemple : « Répression » de Colette Magny
 

 

12 – Gros mots
 

Exemple : « Chanson con » de Juliette
 

 

13 – Beats et pulsations
 

Exemple : « Inside Out » de Madonna
 

 

14 – Batterie
 

Exemple : « I don’t want a lover » de Texas
 

 

15 – Moto (ou bruit de moteur)
 

Exemple : « En voiture Simone » de Bella Donna
 

 

16 – Feu
 

Exemple : « On brûlera » de Pomme
 

 

17 – Sadomasochisme (Mutilation corporelle)
 

Exemple : « Sex Appeal » de Sexy Sushi
 

 

18 – Wo
 

Exemple : « Perfect World » de Gossip
 

 

Décryptage de la dernière publicité de Céline Dion pour L’Oréal : le laboratoire capillaire alchimique franc-maçon

L’horreur L’Oréal ne se cache plus. La Franc-Maçonnerie fait sa grande braderie sur le tissu aurique alchimique. Approchez ! N’ayez crainte. C’est Céline Dion qui nous accueille dans sa loge !
 

 

Après vous avoir parlé de la recette des goûts musicaux homosexuels, voici mon décryptage des codes francs-maçons truffés dans la nouvelle publicité de la diva gay friendly québécoise pour la fameuse marque cosmétique de coloration de cheveux L’OréalNous le valons bien »), firme qui veut nous transformer tous en veaux d’or (sans rire), et donc à terme tuer les êtres humains (ben oui !) avec des étoiles électriques et brillantes dans les yeux.
 

La Franc-Maçonnerie, au nom de la « liberté », du « respect », et des trois champs lexicaux qui la caractérisent (1 – La lumière-or ; 2 – l’architecture ; 3 – l’Humanisme intégral gyno-angéliste), entend faire de chaque Humain l’auto-créateur de sa propre transformation en statue d’or. Et Céline se prête à l’exercice architectural, puisqu’on la voit suivre scrupuleusement toutes les étapes de l’alchimie (conversion du plomb en or) de son relooking. Elle se place dans le droit fil (c’est le cas de le dire !) de la Nouvelle Religion mondiale qui projette de remplacer Dieu (Jésus) par le dieu « Électricité » et le dieu « Soleil » (héliocentrisme)… comme je le démontrerai en détails dans mon prochain livre au sujet de la série Joséphine ange gardien.

 

1 – LUMIÈRE-OR

La publicité pour L’Oréal met le paquet sur la dorure textile ! La luxueuse chambre d’hôtel de la star est baptisée « Suite Haute Couture ». Dans la Nouvelle Religion mondiale, le lumino-textile ou pierreux occupe une très grande place, et est souvent figurée par les cheveux d’or (c.f. le film d’animation « Raiponce »). Et c’est ce que Céline reproduit sur elle. Ses cheveux luisants sont transformés en or électrique (ils sont même flashés par les photographes, à la fin).
 

 

 

 

De plus, la vedette porte une robe de chambre jaune, avec un dragon asiatique (la Bête angélique) brodé en liserets d’or.
 

 

Et ses copines s’habillent également soit avec des pantalons soit dorés, soit avec des vêtements où sont cousues des radiations solaires.
 

 

Certains paparazzis portent aussi du vernis à ongles aurique.
 

 

Les instruments de musique à cordes sont bien représentés dans la réclame : le piano et puis surtout la harpe.
 

Pour que le processus alchimique des francs-maçons s’opère, il est indispensable de respecter l’étape de l’hermétisme, c’est-à-dire de l’enfermement de l’initié(e) dans un isolement dit « créateur » et « divin » (pour se concentrer dans sa « bulle », rassembler ses « idées », construire sa propre matière aurique). Et c’est ce qu’observe scrupuleusement Céline, puisqu’elle se cloître dans ses appartements, en affichant sur la poignée de sa porte un « Please do not disturb ».
 

 

Une fois enfermée dans son atelier, la diva vit son intimité avec les accessoires de la transformation alchimique capillaire. Le plus dingue, c’est qu’elle « aime » les objets plus que les Hommes. Elle embrasse carrément sa crème…
 

 

D’ailleurs, elle possède dans sa chambre des collections impressionnantes de flacons de parfums, de chaussures, de vêtements… preuve de son idolâtrie fétichiste et matérialiste.
 

Ensuite, elle procède à l’application de la teinture en suivant différences étapes : gomminage des cheveux, shampoinage, essorage, séchage (musicale : le sèche-cheveux fait office de micro), démonstration dans le miroir, défilé chorégraphique et jeu sexy avec les cheveux en mouvement.
 

 

 

 

Dans la cosmovision maçonnique alchimique, l’or (la Pierre philosophale) occupe une place centrale. Et dans cette publicité de L’ORéal (rien que le nom de la marque vantée nous met sur la piste !), il est omniprésent. D’ailleurs, l’une des chefs du gang féminin dionien feint de lire un article de journal titré « Respect », et dont le sous-titre est consacré – je vous le donne en mille – aux « réseaux des géants miniers »…
 

 

Comme par hasard, dans le laboratoire alchimique et cosmétique de la sorcière Céline, on retrouve les cinq bandes de pouvoir aurique du rite inca déclinées par Alberto Villoldo (c.f. Cyndi Dale, Le Corps subtil : La grande Encyclopédie de l’Anatomie énergétique, 2009) : le blanc, l’argent, le jaune, le rouge et le noir.
 

 
 

2 – FÉMINITÉ ASEXUÉE AUTO-CONSTRUITE

 

La Franc-Maçonnerie, pour tuer l’être humain au nom de la diversité, veut le transformer en 5 choses : 1) en végétal ; 2) en animal ; 3) en minéral (pierre) ; 4) en robot (objet) ; 5) en ange (énergie). Et rien que pour le premier élément, les fleurs occupent une place très importante dans la publicité.
 

 

Concernant l’asexuation angéliste, l’homosexualité est relativement présente dans le spot : Céline offre un bouquet de roses à la femme de chambre de l’hôtel ; puis elle s’acoquine avec la harpiste ; et enfin, après avoir caressé la chevelure d’un homme attablé, elle lui emprunte finalement sa compagne en lui prenant la main.
 

 

De plus, le miroir de la chambre de Céline est teinté des mêmes couleurs que la transsexualité angéliste et l’asexuation bisexuelle (comme je le démontre dans mon analyse de la série Sex Education): bleu, rose et violet.
 

 

Par ailleurs, la Nouvelle Religion mondiale s’appuie sur le féminin sacré, mâtiné d’une diversité marketing. Et dans ce clip publicitaire, le féminisme déluré et rebelle est très marqué : Céline se la joue femme-enfant rebelle et inaccessible (la figure de l’Effrontée est un classique des films du Gouvernement Mondial) ; les pères sont absents ; les mères sont présentées comme les grandes méchantes.
 

 
 

3 – LA FRANC-MAÇONNERIE SATANISTE ET SON HUMANISME INTÉGRAL

 

L’humanisme intégral, comme l’explique le frère Samuel dans Les Attaques du démon contre l’Église (1999), est l’autre nom de la Bête décrite dans l’Apocalypse de saint Jean. Il constitue un individualisme de masse, autrement dit un communisme. Et on le voit parfaitement dans la publicité de Céline. L’hermétisme (qui est en réalité un narcissisme égocentrique) se fait appeler « Respect », titre-phare d’Aretha Franklin envisagé comme un hymne féministe mondial (le respect en question, en gros, est synonyme de « Foutez-moi la paix », et non d’Amour).
 

La Franc-Maçonnerie est un lobby puissant (bien qu’éclaté, invisibilisé par les bonnes intentions et les paillettes des loges artistico-médiatiques, et divisé contre lui-même). Et comme par hasard, Céline Dion se rend au « Hall-Lobby » pour y retrouver les gens de sa secte de luxe.
 

 

Parmi les accessoires les plus célèbres des initiés francs-maçons, on a les gants blancs. Et la chanteuse ne se prive pas pour les enfiler !
 

 

On retrouve également les chandeliers maçonniques à trois branches au sein de l’hôtel.
 

 

Dans les Temples maçonniques, on a également les deux colonnes qui encadrent les rituels. Eh bien on les voit clairement dans le hall de l’hôtel (dont le sol ressemble vaguement à un Pavé Mosaïque, leitmotiv franc-maçon).
 

 

Sans compter que la déco de la suite de Céline est très XVIIIe siècle (pile l’époque de l’émergence de la Franc-Maçonnerie mondiale).
 

 

Dans le symbolisme franc-maçon, les pyramides, les tours (en particulier la Dame de Fer, c’est-à-dire la Tour Eiffel) et les « W » (Marque de la Bête) sont très appréciés.
 

 

Les 3 boîtes de produit de coloration capillaire mises côte à côte (numérotées chacune 1-2-3) forment le 666, donc la Marque de la Bête diabolique. Et par ailleurs, il y a 3 plans successifs faits sur le numéro de la chambre n°361.
 

 

 

La veste pailletée de Céline avec les épaulettes bouffantes pointues a la forme cornue de la Bête.
 

 

La place du digital et du manuel (la Marque de la Bête est décrite par saint Jean comme la puce électronique qui sera située sur la main droite et le front) est grande dans la publicité de L’Oréal : certaines mannequins sont tatouées sur le dos ; et avec son chauffeur de taxi, Céline fait un « check »/« give me five », avant de lui jeter un sort avec sa main pleine d’emprise magnétique distancée (comme si elle chargeait énergétiquement le poing fermé de son cher comparse).
 

 

 

 
 

En résumé, ce vidéo-clip sympathique est top maçonnique. Et ceux qui refusent de le voir ont… de la poudre L’Oréal dans les yeux !
 
 

N.B. : Je vous renvoie à mon article sur la publicité Kenzo.
 

L’incendie de Notre-Dame n’est pas du tout une manœuvre franc-maçonne, allons allons, où allez-vous chercher tout ça… ?


 

Gustos musicales gays : los ingredientes de una canción que puede engancharnos (Teoría del Nanana)

Para los que entienden algo de francés, acabo de sacar un artículo sobre los gustos musicales homosexuales (Es fácil de escuchar porque son audios y hay muchas referencias latinas y españolas) :
 

 

¿ Queréis saber cómo engancharnos a nosotras personas gays cuando escuchamos una canción ? ¡ Nada más fácil ! Basta con poner uno de los 18 elementos fónicos siguientes :

 

1 – La Pilla
 

 

2 – Suspiros
 

 

3 – Las risas
 

 

4 – No soy la que ustedes imaginan
 

 

5 – Voz lela
 

 

6 – Glosolalias
 

 

7 – Palabras tontas
 

 

8 – Palabras extranjeras
 

 

9 – Ausencia de voz
 

 

10 – Voz celestial demasiado aguda
 

 

11 – Coros de mujeres
 

 

12 – Porristas entusiasmadas
 

 

13 – Gallinera que chilla
 

 

14 – Gritos
 

 

15 – Insultos
 

 

16 – Palmadas
 

 

17 – Negativa
 

 

18 – Na na na
 

Les goûts musicaux homosexuels : les 18 ingrédients qui peuvent nous plaire dans les chansons

(Retrouvez le pendant lesbien de cette chronique sur ce lien.)
 

Vous voulez qu’une chanson nous plaise – à nous personnes homosexuelles – et accroche notre oreille ? Rien de plus simple ! Il vous suffit d’y mettre un des 18 éléments phoniques suivants (et je me suis basé pour faire cette liste sur mes goûts personnels mais aussi beaucoup sur ceux de mes amis homos comme moi : dans la construction du désir homosexuel, la musique a joué un rôle crucial) :
 

 

1 – La coquine
 

Exemple : « I want to be loved by you » de Marilyn Monroe
 

 

2 – Soupirs
 

Exemple : « Chain Reaction » de Diana Ross
 

 

3 – Rires
 

Exemple : « Wannabe » des Spice Girls
 

 

4 – Pas celle que vous croyez
 

Exemple : « Je ne suis pas celle » de Céline Dion
 

 

5 – Voix niaise
 

Exemple : « Candyman » d’Aqua
 

 

6 – Glossolalies
 

Exemple : Final de « Mon Légionnaire » de Serge Gainsbourg
 

 

7 – Paroles cons
 

Exemple : « Et je danse » de Lova Moor
 

 

8 – Mots étrangers
 

Exemple : « Sorry » de Madonna
 

 

9 – Absence de voix
 

Exemple : « J’ai jamais dit » d’Axelle Red
 

 

10 – Voix suraiguë céleste
 

Exemple : « Anytime you need a friend » de Mariah Carey
 

 

11 – Chœurs de filles
 

Exemple : « Boys and Girls » de Charlie makes the cook
 

 

12 – Pom-pom girls excitées
 

Exemple : « Mickey » de B-Witched
 

 

13 – Basse cour qui piaille
 

Exemple : « Fallait pas commencer » de Lio
 

 

14 – Cris
 

Exemple : « And I hate you » de Melissa Mars
 

 

15 – Insultes
 

Exemple : « Garçon » de Koxie
 

 

16 – Arrêts secs, claps ou cra-cra
 

Exemple : Début de « The Sign » d’Ace of Base
 

 

17 – Refus
 

Exemple : « Je te dis non » d’Élodie Frégé
 

 

18 – Na na na
 

Exemple : « J’ai pas 20 ans » d’Alizée
 

 

Allez : sur ce, nanana !

 

N.B. 1 : Pour des raisons de droits d’auteurs, Youtube ne m’a pas laissé publier ces 18 mp3… Dommage, car c’est hyper intéressant, et que je n’avais pas mis des extraits de plus de 20 secondes…
 

N.B. 2 : Pour compléter cet article, vous avez aussi l’article sur les goûts lesbiens et celui sur les goûts internationaux.

La Vigile pascale présidée par Mgr Aupetit, pleine de rebondissements, hier soir à Saint-Sulpice…


 

Si vous n’êtes jamais allés aux messes catholiques, et que ça n’a jamais été votre truc, c’est le moment faste pour commencer. Parce que, plus ça va, plus il y a du spectacle !
 

Pour la Vigile pascale, je devais être à l’église Saint-Sulpice de Paris. Mais au vue de la messe du Vendredi Saint vécue la veille au même endroit, messe glaciale et trop pompeuse à mon goût (habituellement, le Vendredi Saint est la messe de l’année que je préfère : j’y pleure à chaudes larmes ; mais à Saint-Sulpice, l’émotion n’était pas au rendez-vous, et ça ne m’a fait ni chaud ni froid. La maîtrise humaine tue l’âme), je m’étais dit que j’irais finalement dans une autre église plus familiale et plus petite (genre Saint Nicolas-des-champs ou Saint-Roch). Eh puis finalement, j’ai pris sur moi. Comme j’avais mon badge de Saint-Médard, et qu’en plus je voulais faire plaisir au Père Gambart et être solidaire à ma paroisse géographique, je me suis finalement rendu quand même à Saint-Sulpice hier soir. À vrai dire, je ne m’attendais pas à ce que ce soit la Méga Messe cardinalice télévisée, avec des caméras de KTO partout (selon un ami prêtre, il paraît que j’apparaissais à l’écran : à défaut de m’inviter, ces connards de KTO – et attention, j’aime les connards, mais il n’empêche qu’ils le sont quand même – me filment accidentellement). Je ne m’attendais pas non plus à ce qu’il y ait autant de rebondissements inattendus. Et rien que pour ça, même si j’ai à nouveau trouvé l’atmosphère inhabituellement aseptisée pour une Veillée pascale, je ne regrette finalement pas d’avoir fait le déplacement. Le Seigneur me voulait là, témoin de sa Résurrection et de la corruption de son Église. Ils se sont passées tellement de choses qui montrent qu’en ce moment l’Église de France est infestée par la Franc-Maçonnerie – et donc par le satanisme – que ça avait du sens que je voie ça !

 

Pour commencer, j’ai eu des voisins de compète juste sur mon banc : d’abord une espèce de chef militaire vendéen d’opérette, un hurluberlu qui se prend pour un soldat du XVIIIe siècle, qui ressemblait à Michel Houellebecq avec une perruque de cheveux longs, des grosses bagouzes, une veste de Colonel Sanders maçonnique napoléonienne, des fleurs de lys et un badge doré du Roi Soleil, les gants blancs francs-macs, les ranjos, le chèche royaliste blanc porté en turban frontal… Il avait tout du « croisé » bobo catho anar d’extrême droite qui se vit sa petite foi en égoïste avec Dieu, qui défend l’identité et la civilisation de la « chrétienté », mais qui concrètement déteste tout le monde : j’en ai eu la confirmation car d’après des paroissiens habituels de Notre-Dame, il se mettait régulièrement devant et à genoux à la Cathédrale de Paris, donnant en spectacle ses mortifications de « serviteur » adoubé, ne parlant à personne, et se montrant extrêmement désagréable voire agressif quand il n’avait pas les conditions de sa mise en scène de martyre. Et quand je lui ai demandé gentiment son nom pour faire connaissance, il m’a jeté comme un malpropre : « J’ai pas envie de vous le dire. » Mais bizarrement, je reste persuadé que ce catho lunaire n’est pas aussi bourru et rigide qu’il n’en donne l’air, car à un moment donné, pendant la messe, nos deux culs se sont percutés accidentellement au moment de nous rasseoir, et la scène était tellement cocasse/clownesque que même lui n’a pas pu s’empêcher d’esquisser un sourire. Quant à mes deux voisines de gauche, deux groupies (aveuglées) de l’archevêque de Paris Monseigneur Aupetit, elles étaient adorables. J’ai eu de la chance de les avoir pour vivre cette célébration dans la joie de Pâques. C’étaient mes deux mamans. L’une m’a prêté la parka kaki qu’elle venait d’acheter pour sa nièce l’après-midi même, parce que je grelottais de froid (comme un idiot, j’avais rappliqué seulement en chemise). L’autre a fait le trajet retour jusqu’à mon quartier à pied après la messe avec moi. Et c’est en lui parlant cash de mes livres qu’elle m’a avoué qu’elle avait passé trois années en Franc-Maçonnerie (à la GLFGrande Loge Féminine), qu’elle était montée jusqu’au 3ème grade (juste avant d’en sortir il y a quelques années), et qu’elle y avait croisé énormément de « catholiques » à ses yeux « extrêmement pratiquants ». No comment.
 

– Ensuite, concernant la Messe pascale à proprement parler, j’ai vu qu’il se passait des choses bizarres. Le Christ avait beau être là (de toute façon, Il passe même par les mauvais prêtres ; et puis il y avait de saints prêtres hier soir puisqu’il y avait au moins le Père Gambart), j’ai eu des illustrations que la Franc-Maçonnerie sacerdotale rôdait dans les parages. D’ailleurs, même si on n’a pas vraiment eu le temps d’en parler, et encore moins en ces termes, j’ai croisé dans le fond de l’église à la fin de la messe le Père Gambart (qui a le charisme de prophétie et de lecture des âmes, je crois), et lui-même a senti qu’il se passait des anormalités. Il a mis ce cafouillage sur le compte de l’organisation précipitée d’une messe d’ordinaire notredamiste – donc réglée au cordeau – mais inadaptable à la logistique plus aléatoire de Saint-Sulpice… mais en tout cas, il a ressenti une agitation et une tension surnaturelles.
 

 

– Déjà, pendant toute la messe, nous étions entourés de cameramen de KTO (dont pas mal de bobos barbus ; certains bâillaient et avaient vraiment l’air de se faire chier comme des rats morts) : l’Église est de plus en plus peuplée de techniciens qui n’en ont rien à faire de la Foi, et d’évêques starisés, flattés d’être sous le feu des projecteurs. Mais je pense que le visage et le discours maçonniques transparaissait surtout à travers Mgr Aupetit (dont j’avais déjà identifié par le passé le discours franc-maçon : défense de l’Union Civile dans Paris-Match, discours sur l’amélioration et la construction architecturale lors des États Généraux de bio-éthique, etc.). Ça n’a pas loupé hier soir : homélie indigente (bien que rassurante parce que christo-centrée à la Cardinal Sarah), avec une phrase de conclusion que les initiés francs-maçons n’auraient pas reniée : Mgr Aupetit a dit aux catéchumènes (futurs baptisés) – juste après leur avoir prodigué le « sacrement d’initiation » (1h35) – que c’était à eux « d’écrire l’histoire des hommes, pour que cette histoire devienne une histoire d’amour » (1 h 30). Pouète-pouète. Mais le clou du spectacle franc-maçon offert par l’archevêque est arrivé au moment de la demande collective de renonciation au diable. Mgr Aupetit a fait un lapsus énorme (1 h 51’ 55) – que je pense personne n’a remarqué – qui montre ses sympathies pour la Franc-Maçonnerie : « Après avoir terminé l’entraînement du Carême, renouvelons la relation… euh… la renonciation à Satan, que l’on fait lors du baptême. » Moi, perso, je surkiffe les lapsus révélateurs.
 

 

– La suite, c’est-à-dire le pétage de plombs d’Amina, la première catéchumène qui devait se faire baptiser et qui s’est mise à gloser – face à l’archevêque, n’était qu’une réaction logique (1 h 54’35). Effectivement, à la surprise générale, cette femme noire, sans doute infestée par des démons, a créé le show en interrompant le rituel baptismal, en refusant de se faire baptiser, en se tournant face à l’assemblée pour se donner en spectacle. Elle parlait tout haut en mode glossolalie (vaguement dialectale), comme une personne sous emprise vaudou. Déjà, quelques minutes avant son numéro, elle semblait prise de convulsions, et ses lèvres tremblaient (1 h 44’ 22). Évidemment, les journalistes de KTO, avec leur « courage » légendaire, ont jeté un voile pudique sur la scène… mais comme c’était du direct, ils ont été pris de court et ont filmé quand même. Amina a tenté de refaire parler d’elle un peu plus tard, au moment du « Notre Père », en se dirigeant comme une automate vers l’archevêque et l’autel, mais cette fois-ci, le service d’ordre s’est chargé de la dégager. (J’avais assisté à une scène similaire à la Cathédrale d’Abidjan en Côte d’Ivoire, en 2014, lorsque pendant une homélie, une femme de la chorale, au premier rang, était sortie de ses gonds pile au moment où elle avait entendu le curé prononcer le mot « Franc-Maçonnerie », et s’était mise à hurler et à se débattre comme une dératée).
 

– La Veillée pascale s’est ensuite poursuivie sans encombres (nous ne savions pas qu’à l’autre bout du monde, au même moment, c’était la boucherie dans des églises chrétiennes du Sri Lanka : quelle tristesse). C’était Monseigneur Ribobo-Dumas qui m’a donné la communion. Si j’avais su, j’aurais mis mon badge rainbow flag : peut-être qu’alors son regard aurait pétillé. Qui sait ?

 

Bref, vous l’aurez compris, c’était une vraie Vigile pascale de Fin des Temps occidentale.
 

In una prospettiva ideale sarebbe opportuno proporre in ogni parrocchia una settimana completa di formazione sull’omosessualità della durata di 8 giorni

In una prospettiva ideale sarebbe opportuno proporre in ogni parrocchia una settimana completa di formazione sull’omosessualità (con seminari, tavole rotonde, testimonianze, occasioni di confronto, teatro e momenti di preghiera…) della durata di 8 giorni. Sognare si può…
 

 

GIORNO 1 – Omosessualità (dimensione personale):

– La scoperta della propria omosessualità (testimonianze): gioie e dolori. Conflitto interiore (percorso scolastico, amicizie, isolamento percepito…).

– Omosessualità: è un’identità? È innata o acquisita? Quale l’origine? Quando si manifesta?

– Definizione dei termini « sessualità » e soprattutto « omosessualità » (i 5 significati differenti del termine)

– Di che cosa è segno l’omosessualità? (legami non-causali tra omosessualità e abuso)

– Come si può sapere se si è davvero omosessuali? E se ciò fosse un’irrealtà?

– Il rapporto delle persone omosessuali con il loro corpo e la loro identità sessuata (travestimento, effeminatezza, virilità, complessi, gusti, sentimenti di diversità…)

– Si può cambiare orientamento sessuale? (accompagnamento psicoanalitico, innamoramento per una persona dell’altro sesso, matrimonio, paternità) (testimonianze) Omosessualità e psichiatria.

– Qual è il rapporto delle persone omosessuali con la differenza dei sessi? (misandria, misoginia, abusi, gelosia, rapporti conflittuali con i genitori)

– Contesti d’uso e spiegazione dell’acronimo LGBTQI.

– La bisessualità: esiste? (come ce la presentano socialmente; che cosa è davvero)

– La transidentità, l’intersessuazione: esistono? Quali consigli dare a una persona transgender e in certi casi transessuale?
 

GIORNO 2 – Omosessualità (dimensione familiare):

– Una persona vicina a me è omosessuale (il mio migliore amico, mio marito, mio figlio, mio nipote, mio zio, il ragazzo di cui mi sono innamorata): testimonianze

– L’omosessualità è il risultato di un’educazione? È frutto di familiarità? (incesto, gemelli, pedofilia, divorzio, aborto, mancanza d’amore…)

– È una malattia? È una moda?

– Bisogna fare coming out? E come? (testimonianze)

– Sono genitore e mio figlio mi dichiara la propria omosessualità: come reagire? Come accompagnare una persona omosessuale? (testimonianze)

– La propaganda attuale: demonizzazione dei « genitori di omosessuali » e sacralizzazione dei genitori gay friendly.

– Come parlare correttamente di omosessualità ai figli piccoli? Agli adolescenti?

– Questioni di coscienza in ambito familiare (mio figlio mi ricatta minacciando di suicidarsi, mi presenta il suo compagno e vuole invitarlo per le vacanze, m’invita al suo matrimonio; mia figlia lesbica è incinta; etc.)
 

GIORNO 3 – Omosessualità (dimensione amorosa – la « coppia »):

– La prima volta omosessuale: come l’ho vissuta? (Testimonianze)

– È Amore? (fragilità, infedeltà, ambiguità)?

– Ci sono coppie omosessuali che durano e sono felici? Si può parlare di « coppie »?

– La complessità delle « coppie » omosessuali (rapporti di forza dominazione/sottomissione, amicizia massacrata, complessità dell’amicizia sensuale o amorosa)

– Se non è amore, almeno ci assomiglia… (Testimonianze di esperienze amorose forti vissute in prima persona; testimonianze dell’incontro con Gesù, più forte rispetto alle stesse esperienze)

– Quali sono gli aspetti positivi della « coppia » omosessuale? Perché viene voglia di crederci? (le « buone » ragioni)

– Dov’è il male nella « coppia » omosessuale?

– Ci sono delle differenze tra le « coppie » omosessuali di donne e le « coppie » di uomini?

– Gli uomini sposati o le donne sposate che divorziano per vivere la loro omosessualità: casi sempre più numerosi.

– Questioni di coscienza con gli amici (esempio: incontro una « coppia » omosessuale che va d’accordo: cosa dire?; il mio migliore amico mi dice di essere gay: come reagire? Vedo che il mio amico omosessuale non è pienamente felice in coppia: cosa dirgli senza correre il rischio di perderlo?).
 

GIORNO 4 – Omosessualità (dimensione culturale, mediatica, artistica, associativa):

– Retrospettiva cronologica delle date più importanti della storia mondiale dell’omosessualità (fatti notevoli, leggi).

– I bei ricordi vissuti nella comunità omosessuale: il mondo associativo, politico, artistico, amicale, festivo (Testimonianze).

– Le serie e i film che parlano di questo tema: che immagine propongono di noi? (Estratti dei film); che interesse c’è nel guardarli?

– La ricchezza del simbolismo omosessuale (cfr. Dizionario dei Codici Omosessuali). Quali sono i punti in comune (in fatto di gusti, di vissuto) tra le persone omosessuali? Quali sono le canzoni, i film, le attività che ci piacciono? Perché?

– Perché un certo artista diventa icona gay?

-L’ambiente lesbico: una visione d’insieme.

– Il Gay Pride : è così orribile? (il caso particolare dei Gay Pride in America Latina).

 

GIORNO 5 – Omosessualità (dimensione legale, politica, internazionale):

– Esiste realmente una « lobby gay » infiltrata nei media, nel mondo dell’impresa, in politica? Fino a che punto vuole arrivare? Chi ne tiene le redini?

– Gli argomenti classici della propaganda pro-gay (diritti dell’Uomo, uguaglianza uomini/donne, rispetto, antifascismo, liberazione dall’oppressione, solidarietà, diversità, vittimizzazione).

– L’eterosessualità: la Bestia dell’Apocalisse (il diavolo camuffato nella differenza dei sessi; perché la Chiesa non ha mai difeso l’eterosessualità).

– Esplicazione dei legami tra omosessualità e Massoneria (definizione di Massoneria e alchimia).

– Omosessualità in Colombia : panoramica della situazione. Il successo crescente e incontrollabile della bisessualità tra i giovani. I due potenti schieramenti dei progressisti (supportati dalle femministe) e dei cattolici conservatori (supportati dai maschilisti) s’inaspriscono nella lotta, e i giovani abbandonano sempre di più la Chiesa perché non comprendono la sua posizione riguardo all’omosessualità.

– Che cos’è la teoria di Genere (ideologia del Gender)? Attraverso quali tramiti s’introduce nel nostro Paese? Come affrontarla?

– La gravità delle unioni civili e del « matrimonio gay »: perché sono delle leggi omofobe (anche se si presentano come « gay friendly »)? È un pretesto per parlare di procreazione medicalmente assistita e di utero in affitto?

– La promozione dell’omosessualità negli ambienti scolastici: una panoramica della situazione.

– Cosa ci aspetta per l’avvenire… (Omosessualità: segno della Fine del Mondo?)

 

GIORNO 6 – Omofobia :

– Perché è così difficile parlare di omosessualità?

– L’omofobia universalmente intesa (mito da sfatare, alibi isterico)

– L’omofobia per i cattolici (un insulto, una irrealtà)

– L’omofobia in verità: le violenze, i crimini, i suicidi, il turismo sessuale. I suoi meccanismi (il profilo psicologico dell’aggressore; dell’aggredito). Le sue radici. L’omofobia non è che un rifiuto?

– La violenza dell’ambiente omosessuale e della pratica omosessuale; i social network e i siti per incontri; la prostituzione gratuita; le tensioni nelle « coppie » ; i maltrattamenti contro i testimoni omosessuali pubblici; l’omofobia nello sport, in prigione o a scuola (testimonianze).

– L’omofobia tra persone omosessuali (testimonianze): l’odio per le personalità gay, la bifobia, la transfobia, la lesbofobia, il giovanilismo o al contrario l’odio per i giovani.

– L’omofobia insospettata dei gay friendly.

– Legami tra terrorismo e omosessualità.

– Legami tra dittature (integrismi religiosi) e omosessualità.

– I grandi dimenticati: le persone omosessuali bisessuali (le fantasie detestate), le persone omosessuali credenti, le persone omosessuali ad alta visibilità mediatica, le persone omosessuali con handicap o infettate dall’HIV (AIDS), le persone omosessuali esiliate, le persone omosessuali povere o senza fissa dimora, le persone omosessuali drogate.

 

GIORNO 7- Omosessualità (dimensione ecclesiale):

– Perché la Chiesa si oppone agli atti (e dunque alla formazione di coppie) omosessuali? Cosa dicono la Bibbia, il Catechismo e la Chiesa? Come può essere giustificato quell’« intrinsecamente disordinato »? Cosa manca ai paragrafi del Catechismo? È giusta la posizione di papa Francesco?

– Una persona omosessuale in stato di peccato mortale andrà all’inferno?

– L’omofobia dei ProVita. Come sono trattate le persone omosessuali, comprese quelle continenti, da cattolici, preti e cardinali? (Il paradosso dell’accompagnamento per le persone omosessuali in Colombia: attorniate sì da parecchie persone, ma senza essere ascoltate oppure tenute nascoste).

– Il sostegno insospettato dei cattolici ProVita al matrimonio gay (mentre credono di osteggiarlo).

– La tacita promozione dell’omosessualità nei media cosiddetti « cattolici », nei sistemi scolastici cosiddetti « cattolici ».

– Questioni di coscienza insolubili in parrocchia (il catechista o l’organista è omosessuale, il prete è omosessuale, la coppia omosessuale assiste alle messe, il capo scout è omosessuale, il seminarista è omosessuale, etc.).

– Quali sono le associazioni gay cristiane esistenti? Sono soddisfacenti (compresa Courage)? La Chiesa accoglie sufficientemente le persone omosessuali?

– L’omofobia tra i cattolici (sia tra gruppi progressisti che tra gruppi tradizionalisti) (testimonianze). Che cosa c’è che non va nei discorsi del padre James Martin ? Che cosa c’è che non va nei discorsi del cardinal Sarah ?

– I gruppi di terapia di conversione (ex-gay, terapie familiari, gruppi di restaurazione dell’identità): Dio può togliere l’omosessualità? Quali sono i risultati? (testimonianze)

– Posizione delle altre religioni in rapporto all’omosessualità: ebrei, mussulmani, protestanti.

– Gli argomenti che funzionano con le persone atee perché considerino la posizione della Chiesa sull’omosessualità (dare spiegazioni sull’omofobia; concentrarsi sulla retorica della differenza; chiarire il concetto di discriminazione; l’argomento migliore a disposizione sono le persone omosessuali continenti in carne e ossa).
 

GIORNO 8 – Omosessualità (dimensione santa):

– Omosessualità e santità: sono compatibili? (I rischi da prendere)

– Essere omosessuali e continenti espone all’essere detestati da 4 tipi di gruppi (i gay friendly; i cattolici progressisti; i cattolici indifferenti o paurosi; i cattolici conservatori). Gelosia sacerdotale.

– Le manifestazioni demoniache nel quadro della pratica omosessuale (testimonianze).

– Dio nella mia vita (testimonianze sull’esperienza dei sacramenti e la gioia di essere cattolici e di conoscere Gesù; testimonianza dei miracoli sensibili che ho vissuto nella mia vita): Gesù prende il posto che gli spetta e io non posso più praticare la mia omosessualità.

– Le persone omosessuali: amici senza pari. Le qualità specifiche delle persone omosessuali.

– Perché l’omosessualità dovrebbe essere la priorità ecclesiale e mondiale? La sfida mondiale ed ecclesiale circa l’omosessualità: perché non è un tema di poco conto ma piuttosto IL tema (a fianco a Gesù) che bisogna trattare? Gli aspri attacchi dei gruppi LGBT contro la Chiesa (sempre più numerosi).

– Perché l’omosessualità continente è la chiave che apre i cuori e lo scudo umano contro gli attacchi anticlericali attuali? (la pedofilia: una copertura per l’omosessualità).

– La bellezza, la forza e l’umorismo insolente della comunità omosessuale continente.

– Qual è la differenza tra « castità », « astinenza » e « continenza »? Come giungere a vivere la continenza? Quali sono i percorsi concreti da proporre a una persona durevolmente omosessuale per entrare a far parte dell’apostolato dell’omosessualità continente?

– È un bene proporre una pastorale specifica? Un’oblazione? Non c’è il rischio di vincolare la persona alla sua tendenza?

– Come fermare la dipendenza da masturbazione e pornografia?

– Omosessuale ma continente: chi ci può fermare?
 
 
 

N.B. : Tavole di definizioni.