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Publication de mon nouveau livre : HOMO-BOBO-APO !


 

Chers amis,
 

J’ai l’honneur de vous présenter mon nouveau livre : Homo-Bobo-Apo ! Vous pouvez le télécharger en version papier payante dans la boutique Kindle, ou bien le lire gratuitement ici sur écran sur le lien suivant (HBA français). L’épilogue du livre (« Homosexualité : Et si l’Église avait tort ? ») a été rajoutée dans le PDF et l’audio. Par ailleurs, vous pouvez également commander la couverture en poster, si vous voulez 🙂 : elle a été réalisée par le talentueux graphiste Rael-Miguel ! Vous pouvez aussi écouter en audio sur YouTube.
 

Mon livre devait être publié initialement aux éditions Pierre Téqui… mais comme visiblement on ne peut plus toucher aujourd’hui ni aux mouvements pro-Vie ni aux évêques, je le publie en auto-édition. Vu l’état actuel du journalisme et des maisons d’édition dits « catholiques », je ne me battrai pas. Ce n’est pas grave: c’est même un honneur pour moi d’avoir été refusé à cause de ma critique du cardinal Sarah, très franchement !
 

Comme ce livre est censuré, vous devinez bien que vous êtes ma seule communication et pub. Je compte sur vous pour le faire connaître. D’autant plus que je doute, vu les thématiques abordées (homophobie, Franc-Maçonnerie à l’intérieur de l’Église, Fin des Temps), que je sois invité en conférence ou sur des plateaux télé.
 

J’aurais aimé avoir le temps de traduire ce livre en espagnol avant mon voyage au Pérou du 1er au 10 octobre (la traduction est à 21 % : HBA español). Mais ça semble compromis. Dommage car il clarifie et synthétise tous mes livres et mon blog.
 

 

Pourquoi je suis sûr que Jésus existe vraiment aujourd’hui et n’est ni une idée ni un simple prophète du passé


 

Beaucoup de gens athées (ou plutôt antithéistes : ils croient souvent en Dieu, mais pas en l’Église Catholique ni en Jésus) ont du mal à ouvrir leur coeur à Dieu du simple fait que nous les croyants ne témoignons pas assez de notre rencontre concrète et personnelle avec Jésus, des signes que nous voyons, nous ne parlons pas assez des (rares) miracles attestés par l’Église Catholique, nous ne faisons pas mention des manifestations divines ou démoniaques que nous connaissons (très éloignées de ce qu’on peut voir au cinéma), nous restons dans un discours de convictions, de croyances, de répétition de méta-vérités, qui expriment des évidences ou une catéchèse apprise, mais très théorique et avec un présupposé de croyance ( = Soit tu adhères, soit tu n’adhères pas, mais c’est une question de foi et de confiance).
 

Or, nous avons largement matière à témoigner que Jésus existe vraiment aujourd’hui, qu’Il n’appartient pas au passé, et qu’il vient nous chercher, nous parler, souvent de manière hyper drôle en plus, car très spectaculaire, originale et pourtant discrète ! Même si la foi ne pourra jamais s’imposer, et que les signes de la présence réelle du Christ dans notre vie ne constitueront jamais des preuves scientifiques irréfutables, je crois que nous sommes trop frileux pour dévoiler les miracles christiques du quotidien que nous observons dans notre vie. Sans doute parce que nous n’avons pas une vie intérieure et de prière assez riche, sans doute parce que nous ne savons pas regarder notre vie, et que nous réservons l’expérience des miracles aux saints du passé et à une minorité, parce que nous imaginons les miracles de Dieu comme des effets spéciaux de cinéma. En voyant l’annonce du film « Jésus : l’Enquête » (qui m’a l’air top protestant), je me suis posé la question : Si je devais prouver l’existence de Jésus dans ma vie à quelqu’un qui n’y croit pas, sans m’en référer à des paroles bibliques ou à des rumeurs de miracles connus ou à des moments d’émotivité, qu’est-ce que je dirais ?
 

 

Eh bien si je fais la liste des signes (à mes yeux, tangibles et indéniables) de l’existence de Dieu dans ma vie, voici les moments-clés où Jésus m’a parlé directement (et il a fallu que j’attende mes 34 ans pour les connaître). Vu ma cécité, certainement que j’en oublie beaucoup. Et puis il y aurait toutes les rencontres improbables, que je pourrais citer et qui ne sont absolument pas le fruit du hasard. Mais je vais me limiter au factuel. J’en ai relevés 8. Vous verrez : ce ne sont pas des visions, des songes, des apparitions, des voix descendues du Ciel, des guérisons spectaculaires, et il n’y a pas d’effets spéciaux. C’est mieux que ça. Et c’est plus pauvre :
 

– En 2014, la pièce Les Sex friends de Quentin (parlant de Carmen tout du long) et la publication de mon code « Carmen » sur mon blog le matin même.

– Chaleur sortant des mains du prêtre au moment de l’absolution de mes péchés lors de la confession à la basilique du Sacré-Cœur de Paris, en 2014. Un jeune prêtre ordonné depuis 3 mois, et qui confessait dans le cadre du Festival Anuncio à Montmartre.

– Les cadeaux de saint Antoine de Padoue : 1) Invitation de Giovanni Ferrara (un seul prêtre italien m’a fait venir de France pour l’Italie, sans connaître ma dévotion pour saint Antoine, et en dehors des circuits classiques de conférences italiens de la Manif Pour Tous) : c’est un prêtre de Padoue !) + 2) Les bougies humaines (En 2015, ce que j’avais dit en prière à saint Antoine dans la basilique du Sacré-Cœur a été redit quelques minutes après mot pour mot dès la première phrase du prêtre polonais en homélie : « Nous sommes tous des bougies humaines. ») + 3) Mili et Élie (En 2015, une amie, Mili Hawran, est allée exprès pour moi à la cathédrale Notre-Dame de Paris afin de prier devant la statue de saint Antoine de Padoue, car elle aimait beaucoup ma chanson sur le saint ; elle m’a même écrit par textos qu’elle ne le trouvait pas – elle a fini par tomber dessus – ; elle a demandé gratuitement à saint Antoine d’avoir l’occasion de revoir un jour un ami libanais commun cher à notre cœur et que nous n’arrivions jamais à voir… et sur qui tombe-t-elle en sortant de la cathédrale ? Sur Élie, accompagnant un groupe de Libanais en visite à Paris ! Une chance sur un milliard ! L’un et l’autre n’en revenaient pas…) + 4) Un autostop avec la voiture qui recule sur la voie d’accélération (En 2016, j’étais totalement perdu en pleine cambrousse en France, à faire du stop à un endroit désastreux où je risquais de moisir. J’ai appelé à l’aide saint Antoine… et de manière quasiment immédiate et totalement risquée et improbable, une voiture d’un musulman qui roulait pourtant vite sur la voie rapide m’a vu de très loin en contrebas, et a fait une rocambolesque marche arrière sur la voie d’accélération très éloignée derrière moi…).

– Le brouillon du texto « Je suis un affamé de Vérité » destiné à mon Jérémy et que j’ai écrit en pleine messe à l’église parisienne de Saint Roch le 14 mai 2017… et le père Philippe Desgens, à la fin de son homélie, qui sort juste avant de revenir à sa place : « Si nous ne suivons pas Jésus, nous resterons toujours des affamés de Vérité. »

– Pentecôte 2017 : Concordance exacte entre le discours du père Albert Gambart le matin en confession à saint Médard, et celui de ma mère spirituelle en entretien l’après-midi même.

 

Je suis sûr que si nous étions plus nombreux à faire la liste des « preuves » de l’existence de Jésus dans notre vie, nos contemporains arrêteraient de prendre la foi pour une banale histoire de superstitions, de principes infondés ou de théories intellectuelles. C’est parce que nous, catholiques, ne parlons pas assez de Jésus vivant, et que nous nous en servons comme prétexte pour blablater de tout un tas d’autres choses indirectement reliées à lui (y compris des expériences pseudo mystiques où Il nous serait apparu comme un ange), que la Foi se perd dans notre monde. Au travail !

Les intellectuels « catholiques » et la tentation nominaliste


 

J’ai remarqué depuis un certain temps que l’intelligentsia catholique mondiale tournait en rond car elle tombe, par peur et orgueil, dans la tentation nominaliste : celle qui fait qu’on s’accroche à un mot en particulier, dont on s’investit ambassadeur et spécialiste, et qu’on érige en fétiche sacré pour ensuite s’acheter une carrière, un livre, un combat, une place de conférencier, un média, une revue, une chaîne de télé, un parti politique, voire une prêtrise, une sainteté, une papauté.
 

Ce mot peut varier dans le temps, selon les modes, et dans la carrière d’un même porte-parole. En général, il s’agit d’un mot nouveau ou d’un concept philosophique rassurant, permettant de développer les syllogismes de la méta-Vérité, et qui porte en général une connotation spirituelle et religieuse censée acheter la confiance des catholiques et avoir une assise anthropologique accessible aussi aux non-croyants. La particularité de ce mot, c’est qu’il est juste sans être prioritaire, c’est qu’il dit une évidence sans pour autant nommer le mal et le point de crispation ; c’est qu’il décrit un symptôme secondaire ou une conséquence du mal premier qu’il ne désigne pourtant pas.
 

Chaque intellectuel ou groupe catholique d’aujourd’hui s’est endormi sur son mot-laurier. Par exemple :
Manif Pour Tous : ENFANT, FAMILLE, VIE, MÈRE, GPA, GENDER
– Cardinal Sarah : SILENCE, DIEU, RITE, MARTYRE, VÉRITÉ, CHRIST, ÉGLISE, PRIÈRE, ÊTRE CHRÉTIEN
– Fabrice Hadjadj : SEXUALITÉ, APOCALYPSE, INCARNATION (CORPS), TRANSHUMANISME
– Les Antigones, Eugénie Bastié : ÊTRE FEMME, FÉMINISME, RÉACTIONNISME
– Sylvain Durain : ÊTRE HOMME, PÈRE, MASCULINITÉ, DIFFÉRENCIATION (DIFFÉRENCE DES SEXES)
– François-Xavier Bellamy : TRANSMISSION, CULTURE, ÉDUCATION
– Père Pierre-Hervé Grosjean : ENGAGEMENT, SEXUALITÉ
– Père Cédric Burgun : EUROPE, MARIAGE
– Robert Ménard : RACINES CHRÉTIENNES, CHRÉTIENTÉ, CIVILISATION, MÉDIAS, ISLAM
– Tugdual Derville : CONSCIENCE, ÉCOLOGIE, VULNÉRABILITÉ/FRAGILITÉ, VIE, BIENVEILLANCE, HANDICAP
– Père Pascal Ide : GRATITUDE, CINÉMA
– Père Pierre Amar : COMMUNICATION, ÉVANGÉLISATION, INTERNET, MISSION
– Grégory Turpin : JÉSUS, HUMILITÉ, CHARITÉ, TÉMOIGNAGE, ESPÉRANCE
Courage International : CHASTETÉ, SAINTETÉ, FRATERNITÉ
Radio Courtoisie : LAÏCISME, PATRIE, NATIONALISME, IDENTITÉ, RÉALITÉ, LIBERTÉ, CRITIQUE DU PAPE ET DE VATICAN II, DROITE, TOTALITARISME, MÉDIAS et LOBBYS, SOUVERAINETÉ, RÉSISTANCE
– Radio Notre-Drame : SOLIDARITÉ, SPIRITUALITÉ
– Revue Limite : CROISSANCE-DÉCROISSANCE, CONSOMMATION
Aleteia : Les listes de verbes à l’infinitif, SAINTS (du passé)
– Koz Toujours : le tout-venant des mots de la sphère bobo droite « pondérée » et « optimiste ».

 

Alors, me direz-vous, quelle est la différence entre ces intellectuels et mon propos, puisque moi aussi, quelque part, je travaille depuis longtemps sur les mots « HOMOSEXUALITÉ », « HÉTÉROSEXUALITÉ », « HOMOPHOBIE », « BOBOÏSME », « FRANC-MAÇONNERIE », « ANTÉCHRIST », « FIN DES TEMPS » ? Peut-être que je tombe également dans le travers nombriliste que je dénonce, et que je peux me mettre dans le lot des nominalistes arrivistes qui se cachent derrière un domaine de spécialité et un sujet-lubie, pour finalement en faire ma légitimité, mon fond de commerce et une priorité universelle qu’il ne serait pas. Mais je ne crois pas. Pour deux raisons : d’abord parce que – et ça reste un mystère même pour moi – l’homosexualité et les autres termes que j’aborde nomment vraiment où se trouve le mal : ce sont sur ces mots précisément que se situe le point de crispation (intellectuel et surtout de croyance et de cœur) de la population mondiale, toutes catégories sociales confondues ; d’autre part parce que ce n’est pas en partageant des articles – aussi justes et honnêtes intellectuellement soient-ils, aussi anti-politiquement corrects soient-ils – des intellectuels que j’ai cités plus haut que vous risquez quoi que ce soit pour votre boulot, santé, famille, réputation, sphère amicale. Or, la Parole de Vérité du Christ est scandaleuse par nature, elle est signe de contradiction, et fait tout perdre : la vie physique mais d’abord la vie sociale. C’est à cela qu’on la reconnaît. Perdez-vous la vie et des amis en partageant un article de François-Xavier Bellamy, de Jean-Pierre Denis ou du cardinal Sarah ? Non. Perdrez-vous votre vie sociale en parlant du père, des chrétiens d’Orient, de l’Europe, du silence, des personnes handicapées, du Pape et des dubias, du diable, de pédophilie, et va-t-on vous en vouloir à mort ? Non. Vous perdrez un peu plus en parlant d’islam, d’avortement, d’extrême droite, de gauche, encore que… Mais le pire, c’est quand vous traitez d’homosexualité, d’homophobie, d’hétérosexualité, et du « mariage gay ». Là, personne ne vous comprend, et pire, tout le monde vous en veut ! Que ce soient les progressistes ou les conservateurs. Étant donné que ça change le monde. Et c’est le seul sujet qui mondialement n’est pas compris et attise une haine incroyable. Socialement, on vous en veut à peine de voter FN ou de critiquer l’islam : en revanche, on vous en veut de vous être opposés au « mariage gay » et on ne vous le pardonnera jamais. Et les ennemis de l’Église Catholique lui en veulent à mort de désigner la pratique homosexuelle comme un péché mortel. Il n’y a qu’un seul mal (ou signe de mal) que les chefs de l’Église n’osent pas aborder et désigner comme tel : c’est l’homosexualité et l’hétérosexualité. Je n’y peux rien. C’est un fait. Peu évident mais un fait réel.
 

C’est la raison pour laquelle, dans les rares émissions radiophoniques ou télévisuelles où je suis convié, ou au milieu des responsables « cathos » (de comités de rédaction, d’aumôneries, de paroisses), je me sens en profond décalage, perdu, et je trouve que ça blablate de plein de sujets intéressants mais néanmoins à côté de la plaque. Car la primauté de l’homosexualité n’est pas reconnue, alors qu’elle est effective dans notre monde actuel. Dans les forums, les tables rondes, les émissions, les synodes, ça tourne autour du pot « homosexualité ». Par exemple, les mots « sexualité », « paternité », « chasteté », « jeunes », « pornographie », cernent timidement le sujet, mais n’y répondent pas : ce n’est pas encore ces mots-là qui touchent les gens. Ils s’en moquent ! Ce qui intéresse les gens, c’est l’homosexualité. Même si l’abord classique et universel du sujet, par sa mauvaise qualité ou sa violence, les pousse à croire que ça les rase d’avance et que c’est un sujet annexe.
 

J’en appelle donc d’urgence mes frères intellectuels catholiques à arrêter leur commerce verbal, leur dégueuli bien appris et scolaire de mots-fétiches catholiquement corrects, leur esbroufe phénoménologique, intellectualiste et conceptualiste, leurs émissions inutiles, et à mettre leur égo de côté, s’ils ne veulent pas ressembler aux scribes et aux pharisiens tant décriés par Jésus lui-même. Il est temps de mettre notre purisme idolâtre de la Vérité en veilleuse pour rejoindre les gens dans leurs systèmes de croyances (aussi infondées soient-elles), leurs mots, leur affect, et là où ça a bugué dans le coeur et leur tête. Car c’est sur la bipolarité homo-hétérosexualité.

Walt Disney, franc-maçon ?


 

Wikipedia nous dit que l’appartenance de Walt Disney à la Franc-Maçonnerie est une rumeur insensée. La question n’est pas nouvelle. Mais elle est souvent mal traitée. À mon avis, il ne faut pas chercher la Franc-Maçonnerie chez Disney dans les détails trop matériels ou trop visuels (ex : le positionnement des doigts, les gants blancs de Mickey, les équerres et les compas, le pavé mosaïque, les méchants de Disney étiquetés diaboliques, etc.) mais davantage dans les idées, souvent hyper positives et bien intentionnées.
 

En effet, ce qui caractérise l’idéologie franc-maçonne (comme je l’explique dans mon livre Homo-Bobo-Apo), c’est, entre autres :
 

1) le lexique de la lumière (et également celui de la force, de l’électricité, de l’énergie, de l’astrologie).

2) le lexique de la construction et de l’architecture (notamment par le recours à l’alchimie, à l’hermétique et aux déplacements de conscience qui transformeraient le cœur humain en cube d’or). La Franc-Maçonnerie défend l’idée que l’Homme se construirait Lui-même par sa propre sincérité/franchise et se sauverait par ses propres actes de solidarité.

3) le lexique de l’humanisme intégral (les valeurs du Christ mais sans le Christ ; le processus de création, de changement et d’amélioration de l’Homme par Lui-même ; la défense de la paix, mais non celle du Christ ; l’optimisme et l’espoir, remplaçant l’Espérance et la Résurrection) et du spiritualisme intégral (comme si nous étions des anges + manichéisme basé sur le dithéisme, comme si le bien et le mal étaient deux forces antagonistes et complémentaires qui s’équilibreraient l’une l’autre).

4) le primat de la subjectivité personnelle (la franchise, la sincérité, les rêves, les projets, la volonté, les sentiments amoureux, l’impression, la conscience) et l’idéologie du non-renoncement (Pour être libre, il ne faudrait renoncer à rien, ni même au mal et surtout pas à soi-même.

5) l’anticatholicisme, le satanisme et le noachisme (le remplacement de l’Homme par la nature et les animaux ; le retour au temps de Noé).

6) la promotion de l’hétérosexualité (toutes les différences sauf la différence des sexes dans le mariage et sauf la différence Créateur-créatures à travers Jésus et l’Église Catholique) et de l’homosexualité. J’ai développé dans Homo-Bobo-Apo pourquoi l’hétérosexualité était le pilier de la Franc-Maçonnerie mondiale.
 

 

 

C’est exactement cette idéologie que l’on retrouve chez Walt Disney et dans ses films :
 

1) « Quand on prie la bonne étoile » de Jiminy Grillon est la chanson-phare de l’Empire Walt Disney. Et la Fée bleue qui est priée est la fée Électricité. À ce propos, beaucoup de chaînes d’Union (rituel maçonnique appelé aussi égrégore) sont visibles dans les grands classiques Disney.

2) La toute-puissance de la conscience est parfaitement bien représentée par la figure de Jiminy Grillon, le cricket de « Pinocchio ». D’ailleurs, à l’issue de ce film, comme par hasard, le petit insecte reçoit à la place du cœur une médaille plaquée or (« Magnifique ! De l’or contrôlé ! » s’écrie-t-il).

3) Ce sont les valeurs d’amour, de paix, de justice, de respect, de tolérance, de vie, qui sont défendues par Disney. Mais pas du tout la paix divisante et crucifiante de Jésus. Et bien sûr, Jésus n’est jamais nommé par Walt Disney. Il est juste suggéré : « L’esprit d’amour, l’enfant qui naît, sont des trésors qu’il faut garder. Que la paix soit éternelle. » (cf. « Belle Nuit » de « La Belle et le Clochard ») De même que la Franc-Maçonnerie vise l’amélioration, le changement et la création de l’Homme par Lui-même, Walt Disney est obnubilé par l’amélioration humaniste : « Quand je vais faire un tour, je pense toujours à quelque chose qui ne va pas et à comment cela peut être amélioré. »

4) Il est difficile d’ignorer dans la cosmovision de Walt Disney la prévalence de l’onirisme, du rêve, de la volonté personnelle, de l’esprit d’enfance, sur la réalité. « Si vous pouvez le rêver, vous pouvez le faire. » « Tous nos rêves peuvent devenir réalité, si nous avons le courage de les poursuivre. »

5) Toute l’œuvre de Disney transpire l’ésotérisme, le noachisme et le satanisme. Quand on proposa à Walt de réaliser des films sur la religion, il refusa. Bien que baptisé chrétien (chez les protestants), il ne mettait pas les pieds dans les églises et ne pratiquait pas. En revanche, dans ses Silly Symphonies, il se réfère à la Bible, mais seulement pour s’intéresser à Satan, Hadès, ou bien l’Arche de Noé. Question Franc-Maçonnerie, Walt Disney faisait partie d’une loge franc-maçonne connue : Demolay. Il développa une véritable fascination pour la figure d’Abraham Lincoln, le maître des Droits de l’Homme et des Lumières aux États-Unis : quand son studio créa le premier personnage humain totalement fonctionnel d’audio-animatronic pour la foire internationale de New York (1964-1965), Walt Disney lui donna les traits d’Abraham Lincoln ! Et quand on regarde la Walt Disney Company, tout son fonctionnement et ses codes obéissent au fonctionnement et aux codes d’une obédience franc-maçonne : son noyau d’animateurs (que Disney a lui-même baptisé Les Neuf Sages) avec ses tables de la loi (les 12 principes de l’animation), les imagineers (planificateurs et ingénieurs de Disney), la prépondérance de la magie (blanche, rouge et souvent noire), la place des héros et des légendes, le lexique de la quête, l’invocation d’esprits (parfois des défunts, des marabouts, des génies, des feux follets, des demi-dieux), etc.

6) De plus en plus chez Disney, l’amour n’est plus relié à la différence des sexes, et encore moins au mariage, mais juste au culte de la diversité, des « libertés » (« Libérée, délivrée !!! ») et des différences en elles-mêmes. L’anticonformisme et le désir d’autonomie du héros le poussent à croire en l’auto-suffisance et en sa divinité individuelle qui se diluera dans un grand tout énergétique. Quant à l’homosexualité et à la transidentité, elles sont chaque fois plus visibles chez les personnages secondaires des films Disney.
 

« Le Crime de l’Orient-Express » de Branagh : film à la plus grande gloire de l’Antéchrist, et annonciateur de la Fin des Temps

Poirot, le Justicier à la cape noire, et derrière, sa Bête


 

Je reviens d’aller voir « Le Crime de l’Orient-Express » (2017) de Kenneth Branagh. Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est un parfait indicateur de l’imminence de la Fin des Temps, mais également un excellent portrait-robot de l’Antéchrist à travers la figure du détective Hercule Poirot, le justicier gnostique et omniscient :
 

– Comme par hasard, le film démarre à Jérusalem, au Mur des Lamentations (lieu de l’Armageddon final), où se trouvent mis sur le banc des accusés d’un vol de relique (porteuse d’un rubis, placée au Saint Sépulcre) les représentants des trois religions monothéistes du Livre : un rabbin (pour le judaïsme), un prêtre en soutane (pour le catholicisme) et un imam (pour l’Islam). Hercule Poirot, maintes fois appelé accidentellement « Achille » par les personnages du film (comme s’il était un demi-dieu grec), a la tâche de démasquer le coupable de ce vol. Et il désignera finalement le sergent qui lui a confié l’enquête. La caractéristique de l’Antéchrist, c’est qu’il se placera en grand justicier qui épargnera en apparence la forme cultuelle, institutionnelle et rituelle des trois grandes religions mondiales, pour d’une part se désigner un ennemi caricaturalement diabolique (ici, le sergent ; puis Edward Ratchett, l’homme au visage mutilé ; puis enfin l’Humanité pécheresse) qu’il vaincra aux yeux de tous et qui le fera passer pour Dieu, et pour d’autre part écrabouiller secrètement Jésus et l’Église Catholique. Poirot est vraiment présenté comme Jésus lui-même : « Monsieur Poirot, je dois calmer une dispute entre trois religieux. Si vous voulez accomplir un miracle, c’est maintenant. » (Pierre Michel à Poirot). Le début de cette adaptation du « Crime de l’Orient-Express » est une préfiguration de ce qui se passera à la Fin des Temps, à la bataille d’Armageddon qui se déroulera près de Jérusalem, la ville sainte. Jérusalem est l’objet de toutes les convoitises, puisqu’il s’y trouve d’une part le Mur des Lamentations (juifs), l’Esplanade des Mosquées (musulmans) et le Saint Sépulcre (tombeau du Christ pour les catholiques), bref, le Temple de Jérusalem (pour les trois religions). Et l’Antéchrist va arriver en grand ordonnateur pour opérer un soi-disant miracle : celui d’incarner Dieu à la place de Dieu, en séduisant les cultes traditionnels, et en présentant Jésus comme le diable qu’il terrassera en apparences.
 

– Dans le film, il est fréquemment fait référence à l’eschatologie, c’est-à-dire au Jugement Dernier et à la Fin des Temps (sauf que ce jugement est laissé au détective et non à Jésus). « Le monde se dirige vers sa destruction. » (Poirot). Par exemple, M. Bouc annonce à Poirot qu’il va « voir des gens jusqu’à la Fin des Temps ».
 

Ratchett (Johnny Depp)


 

– Hercule Poirot ne se prend pas pour de la merde et n’est pas pris pour de la merde. « Je m’appelle Hercule Poirot. Et je suis sans doute le plus grand détective du monde. » Il se considère comme Dieu. Il voit le monde à l’image de sa propre volonté et de sa connaissance : « J’ai cet avantage de voir le monde tel qu’il devrait être. » Il est même dit que Poirot « voit dans les âmes », est un « détective de génie » (Marie) : « Ça sert à rien de mentir, mon amour. Il peut voir à travers nous. » (Lucy à Serguei en parlant de Poirot) Il se prend pour un grand visionnaire, à l’exactitude mathématique : « J’avais raison dans mes prédictions. » C’est un homme autosuffisant : « Je ne suis jamais mieux que seul. » Il se place en séparateur implacable et méthodique du bien et du mal, sans pardon possible, sans purgatoire : « Il y a un bien, il y a un mal, il n’y a pas de juste milieu. » (Poirot) Il est considéré par le méchant officiel de l’histoire – Ratchett le balafré – comme son Archange : « Je voudrais vous engager pour veiller sur moi. » Non seulement Poirot ne l’aidera pas, mais il laissera faire le meurtre de cet homme par personnes interposées. Ratchett incarne la caricature du mal, avec ses « péchés mignons », et qui sera punie. Mais le véritable Antéchrist, c’est le mal déguisé en vérité, à savoir l’Hercule Poirot de ce film, qui se sert de sa lutte contre un diable fantasmé, pour finalement devenir secrètement ce diable au-dessus de tout soupçon : « On dit des mensonges. Deux personnes s’en rendront compte : votre dieu et Hercule Poirot. » (Poirot) Il est Lucifer, un ange de lumière qui brille par son intelligence et sa connaissance (gnose), à défaut de briller par l’amour de Jésus : « Vous êtes un homme terriblement brillant. » (Caroline Hubbard à Poirot) C’est l’apôtre de l’espoir (« Avec l’espoir au cœur » dit-il), du rationalisme (« J’ai placé un fol espoir sur l’ordre, la méthode et les petites cellules grises » rajoute-t-il), de l’équilibre (« Il me faut apprendre avec le déséquilibre… » concluera-t-il, la mort dans l’âme), de la connaissance absolue et arithmétique (« J’ai toujours été sûr. Trop sûr. Et maintenant, j’ai honte, tel un petit enfant : je ne sais pas. »), de la conscience (« Où est la conscience, alors ? »), de la vérité vraie (« Bouc peut mentir. Moi, je ne peux pas. »), de la paix (à défaut de la paix de Jésus : « Puissions-nous trouver la paix. »).
 

– L’Antéchrist est cet homme qui s’absout et se culpabilise lui-même, en se rendant détenteur de ses péchés au lieu de les laisser à Jésus. À ce titre, le docteur Arbuthnot imite Poirot : « Mes péchés sont les miens. Et je les paierai seul. »
 

– Bouc est l’assistant de Poirot. Un nom pareil, ça ne s’improvise pas ! Le bouc est l’animal traditionnel du diable.
 

– La Bête de l’Apocalypse est parfois visible dans le film : c’est le dragon du kimono rouge, ou bien encore le train. D’ailleurs, Hercule Poirot incarne cet esprit maléfique habitant le robot d’acier : « Je sens quelque chose de malfaisant dans ce train. » (Poirot)
 

– On retrouve dans ce film le jargon classique de la Franc-Maçonnerie : lexique de la lumière et de l’alchimie (« Vous règlerez la flamme maintenant. » dit Poirot à Bouc ; « On cherche la vérité de l’intérieur et non de l’extérieur. », Poirot), lexique de l’architecture (« Pour bien sonder la nature humaine, il faut les bons outils. » déclare Poirot), lexique de l’humanisme intégral (progressiste et mélioratif : « Nous devons être meilleurs que les bêtes. », Poirot), lexique du superprimitivisme (ex : Ratchett est antiquaire ; et tout le film est placé sous le sceau de l’archéologie).
 

– Le personnage qui a tout manigancé pour tuer Ratchett, c’est la Veuve (Michelle Pfeiffer). Et comme par hasard, le Fils de la Veuve est le mythe fondateur de la Franc-Maçonnerie, comme l’explique parfaitement Jean-Claude Lozac’hmeur. « C’est elle, Lucifer, et nous devons tomber. » (Pilar).
 

– Hercule Poirot est fasciné par la division… tout comme le Diviseur. « J’ai touché du doigt la fracture de l’âme humaine. » Il s’attache à prouver l’ambiguïté paradoxale du mal, sa fêlure, sans pour autant la guérir. Il est irrésistiblement aspiré par le génie des grands criminels, au point de compatir/louvoyer avec lui.
 

Les 12 disciples… mais pas du Christ


 

– À l’issue du film, Poirot est le diable conviant à sa table ses 12 disciples (comme une Sainte Cène inversée), qui sont tous des assassins qu’il finit par absoudre de leur crime collectif. « Il y avait le bien. Il y avait le mal. Maintenant, il y a vous. » (Poirot à toute sa petite cour de criminels archétypaux sans identité et sans psychologie, cour qui échappera à sa justice divine) ; « Il n’y a pas d’assassins ici. » (idem).
 

– Poirot représente véritablement l’Antéchrist dans la mesure où il est cet Ambassadeur de la justice sans amour. D’ailleurs, à la fin, il quitte l’Orient-Express sans avoir rendu service à la Vérité et sans avoir fait appliquer la justice. Les criminels se séparent de leur gourou flegmatique et muet à propos du meurtre réel qui a été commis : « Vous êtes le seul à pouvoir apporter la justice. » (Bouc à Poirot)
 
 

« Le Crime de l’Orient-Express », même si c’est un mauvais film, est très instructif. Je ne suis pas sûr que beaucoup de spectateurs allant le voir identifieront le sous-texte antéchristique, franc-maçonnique et eschatologique. Beaucoup n’y verront qu’une énième adaptation « class » de l’œuvre d’Agatha Christie. Mais je m’adresse aux autres – aux non-snobs – et aux croyants en Jésus. Car Jésus n’a jamais été aussi proche, et autant annoncé par les œuvres cinématographiques les plus anodines qui soient.
 

Mi corto libro LA HOMOSEXUALIDAD EN PERÚ

Grafismo : Rael-Miguel


 

¡ Ya está ! He terminado de escribir el corto libro que describe mi viaje a Perú (1 al 11 de octubre de 2017). Es mi primer libro que sale únicamente en idioma español. ¡ Así que disfrutarlo ! PARA LEER EL LIBRO EN FORMATO, pinchar AQUÍ : LA HOMOSEXUALIDAD EN PERÚ.
 

 

RESUMEN : La homosexualidad no existe en Perú. Apenas constituye un tema para debatir. Es una realidad occidental que no tiene nada que ver con la cultura y la tradición de los peruanos, que han sabido guardar su independiencia, sus raíces, su identidad y su fe. Nunca se contagiarán con las leyes pro-gays actuales como el matrimonio gay. La Familia, la Vida y la oración son más fuertes que las ideologías antinaturales e inconsistentes del liberalismo capitalista que adoctrinan a nuestros hijos. Y en el asunto, prevalecen los derechos de los niños, la familia heterosexual y cristiana, la dignidad humana y la libertad de expresión, de educación, de conciencia y de religión.
 

Si ustedes piensan así, es que no conocen a Perú y defienden sin saberlo la Unión Civil, que es el « matrimonio gay » disfrazado. Encima, si desprecian la palabra « homofobia » y si no hablan de homosexualidad, o mejor dicho, si no dejan a las personas homosexuales continentes hablar de éstas, se les impondrá el conjunto de leyes a favor de la homosexualidad sin debate posible, y por mucho que manifiesten en masa.
 
 
 
 
 

Anexo 1 : SEXUALIDAD
 

 

Anexo 2 : HOMOSEXUALIDAD
 

 

Anexo 3 : HETEROSEXUALIDAD
 

 

Anexo 4 : HOMOFOBIA
 

 

Anexo 5 : TRANSIDENTIDAD
 

 

Anexo 6 : JERGA RIDÍCULA DE LOS PRO-VIDA
 


 
 

Foto en Cuzco sacada por Jhon Vladimir Soria

Qui a écrit le discours du Pape François sur l’Europe ?


 

Qui écrit les discours papaux ? Parce que là, le Pape doit se réveiller sérieusement car il marche à la botte des francs-maçons de la Curie.
 

Je me penche par hasard sur le discours du Pape François, donné il y a 3 jours, devant la COMECE (Commission des Épiscopats de la Communauté Européenne) et juste après le cardinal Marx (ça ne s’improvise pas, un nom pareil… ! En plus, ce cardinal applaudit Emmanuel Macron, et est lui-même applaudi par les journalistes « chrétiens » francs-maçons tout droit sortis des écoles d’ingénieurs des Arts et Métiers… : tout va bien). Et franchement, vous voulez mon ressenti profond ? Je suis affolé. J’espère que ce n’est pas le Pape en personne qui rédige ses discours. Ou alors on est mal. Je crois plutôt que ce sont les cardinaux les plus francs-maçons qui soient qui les lui pondent… et que le Pape, pour l’instant, ne tilte pas. J’ai écrit, dans mon dernier livre Homo-Bobo-Apo : « Le Pape François continuera à diriger tant bien que mal l’Église. À un moment donné, il se laissera piéger par les traîtres qui l’entoureront et prendra une mauvaise décision. J’ai appris par une personne en odeur de sainteté, que prochainement, la très grande majorité des évêques allait signer un contrat avec le Gouvernement Mondial… et que seuls deux ou trois d’entre eux auront la force de s’y opposer. Le Pape finira par s’en rendre compte et cherchera à faire marche arrière. » (p. 308) Je ne pensais pas que ce serait si vrai si vite !
 

 

 

 

 

J’ai lu en entier son 5e discours du 28 octobre dernier, et ce qui ressort, c’est qu’il emprunte tout le lexique de la Franc-Maçonnerie. Il faut savoir que la Franc-Maçonnerie mondiale appuie son idéologie de la construction, de l’amélioration et du Salut de l’Homme par Lui-même et par ses propres actes de solidarité, sur 3 lexiques principaux : la lumière, l’architecture (construction) et l’humanisme intégral (les valeurs du Christ sans le Christ). Dans le récent discours du Pape, c’est un festival franc-maçon :
 

Il emploie (j’ai compté) 10 fois le verbe « construire ». Rien que ça… (« se construiront », « construit », « construire », « contribuer à construire » « un lieu de dialogue, à la fois sincère et constructif » « le rôle positif et constructif de la religion », « constructif », « Dans un cas, on détruit les ponts et dans l’autre, on construit des murs », « la construction d’un monde toujours plus humain », « construisent les maisons ».
 

Le Pape parle Lumières. Il appelle à « éclairer la voie de l’avenir de l’Europe ». Le champ lexical de la lumière et du tissu, comme je l’écris dans mes livres sur la Franc-Maçonnerie, vont souvent de pair : « Sans éducation, la culture ne se forme pas et le tissu vital des communautés se dessèche. »
 

Le Pape centre tout son discours sur l’Homme et ses valeurs humanistes, sans jamais parler de Jésus (L’humanisme intégral, je le rappelle, est l’autre nom de la Bête de l’Apocalypse) : « défis », « processus » ; « valoriser les différences », « œuvrer pour promouvoir la personne humaine dans sa perfection, ainsi que pour assurer le bien de la société terrestre et la construction d’un monde toujours plus humain » ; « ‘Développement’ est à entendre dans le sens que le bienheureux Paul VI a donné à ce mot : ‘Pour être authentique, il doit être intégral, c’est-à-dire promouvoir tout homme et tout l’homme.’ » ; « Ce qui compte pour nous, c’est l’homme, chaque homme, chaque groupement d’hommes, jusqu’à l’humanité tout entière. », « développement humain »,
 

Le Pape dit des phrases au mieux apprises, au pire incompréhensibles : « Personne et communauté sont donc les fondements de l’Europe que, en tant que chrétiens, nous voulons et pouvons contribuer à construire. Les pierres de cet édifice s’appellent : dialogue, inclusion, solidarité, développement et paix. » ; « Être dirigeant exige des études, de la préparation et de l’expérience. » ; « Redevenir une communauté solidaire signifie redécouvrir la valeur de son propre passé, pour enrichir le présent et transmettre à la postérité un avenir d’espérance. » ; « [Nous devons] affirmer le droit à la paix. C’est un droit. » (Depuis quand la Paix est un « droit » ?) ; « Être artisans de paix signifie se faire promoteurs d’une culture de la paix. Cela exige l’amour de la vérité, sans laquelle il ne peut y avoir de relations humaines authentiques, la recherche de la justice, sans laquelle l’oppression est la norme prédominante dans n’importe quelle communauté. » ; « La paix exige de la pure créativité. » ; « avoir le courage de travailler pour poursuivre pleinement le rêve des Pères fondateurs d’une Europe unie et unanime, une communauté de peuples désireux de partager un destin de développement et de paix. » ; « En ce temps, les chrétiens sont appelés à redonner une âme à l’Europe, à réveiller sa conscience, non pas pour occuper les espaces – ce serait du prosélytisme – mais pour encourager les processus qui créent de nouveaux dynamismes dans la société. » (Un carambar pour celui qui est capable d’interpréter le sens de cette phrase ! Et le mot « processus » est la ritournelle du Gouvernement Mondial) ; « changer le monde ».
 

On retrouve dans le discours papal tout le lexique des architectes : « (Re)penser l’Europe. Une contribution chrétienne à l’avenir du projet européen » ; « modelées » ; « civilisation » ; « ruines » ; « ville » ; « Empire » ; « l’édification commune » ; « Nous sommes appelés à édifier une Europe dans laquelle on peut se rencontrer et échanger à tous les niveaux » ; « polis » ; « ériger » ; « Œuvrer pour une communauté inclusive signifie édifier un espace de solidarité. » ; « transmettre aux jeunes les instruments matériels et culturels pour affronter l’avenir », « tâche », « développement des civilisations » ; « travail », « se renouveler » ; « construire » ; « inventif », « construisent les maisons », « fondamentales », « travailleurs », « entreprise », « ressort », « développement », « œuvrer », « travailler », « fondateurs de l’Europe » ; « les travaux ». Il ne manquait plus que le mot « chantiers » et la boucle était bouclée !
 

Il est question à deux reprises d’un « cercle », comme s’il se fondait une petite loge. Sans compter les occurrences du mot « communauté » : « appartenance à une communauté »
 

Même saint Benoît est transformé par le Pape en Grand Architecte ! : « Saint Benoît a été messager de paix, artisan d’union, maître de civilisation. »
 
 

 

Bref, ce qui est appelé une « contribution des chrétiens » (mot répété 4 fois) est en réalité une véritable collaboration avec le Gouvernement Mondial, avec la Franc-Maçonnerie (basée sur l’humanisme intégral, la communication et la solidarité). Et la majorité des prêtres européistes – et inconsciemment francs-maçons – jubile. Mon Dieu, réveillez-nous de ce cauchemar dans lequel nous rentrons. Moi, j’appelle le Pape ou les cardinaux qui le côtoient (les rares qui sont honnêtes) à se réveiller sérieusement et à arrêter de se laisser manipuler.
 

 

Macron parlant aujourd’hui au Conseil de l’Europe de la « démocratie par le Droit » et qui présente Pierre-Yves Leborgn, Commissaire des Droits de l’Homme, comme un « véritable pèlerin ».

Carta abierta a los Peruanos antes de mi visita del 1 al 10 de octubre en Lima y Cuzco


 

Amigos peruanos,
 

Viajaré a su hermoso país peruano del 1 al 10 de octubre de 2017 (del 2 al 5 a Cuzco, y del 6 al 10 en Lima). Antes de que llegue, he estudiado un poco lo que está sucediendo en su país en cuanto al « avance » de los derechos LGBT y de lo que les espera si no hacen nada o continúan usando los mismos argumentos y métodos.
 

Mi nombre es Philippe Ariño. Soy francés, católico, homosexual continente, autor de libros sobre la homosexualidad (incluyendo Homosexualidad en Verdad, así como mi último libro, Homo-Bobo-Apo). Tengo un gran conocimiento de la cultura homosexual mundial, del Género, de la Unión Civil, del « matrimonio homosexual » y de la Francmasonería. He visto los errores cometidos en Europa y que ustedes no deben repetir. También veo lo que sucede en el mundo (viajé al Líbano, a la Costa de Marfil, a la Martínica …) y conozco la forma perversa y bienintencionada que toman las leyes pro-gays.
 

Para ahorrarles las trampas que su gobierno les está tendiendo, y especialmente para prepararles para nuestro encuentro en Cuzco y Lima, les propongo que se reorganicen y revisen totalmente su estrategia. ¡ Es un giro, un cambio de look completo, al que les invito !
 

Aquí está a grandes rasgos mi hoja de ruta, que servirá de base para nuestro ciclo de conferencias peruanas, y que dista mucho de parecerse a un simple testimonio sobre « Cómo acoger a las personas homosexuales », sobre el « Ser católico y homosexual : ello existe y es posible, escuchen mi testimonio » o sobre « ¿ Qué propone la Iglesia a las personas atraídas por las personas del mismo sexo ? ». Nada de eso. Conmigo, no escucharán un testimonio. Será un análisis. Análisis que concierne a todos, y más aún a los líderes pro-Vida (políticos, abogados, juristas, psicólogos, sacerdotes, militantes…), a los católicos, a los jóvenes, y a las personas que se imaginan no ser afectadas por la homosexualidad.
 

Para resumir y darles el menú de nuestros intercambios, quisiera advertirles primero acerca de los errores que evitar, y luego darle claves para llevar a cabo nuestra lucha :
 

1) Los errores que evitar :

– tener miedo a la homosexualidad, considerar que no existe y que es un falso problema, y hablar en lugar de las personas homosexuales.

– limitarse a un tratamiento emocional, sentimentalista, miserabilista, clínico, de la homosexualidad, a un simple testimonio, o pensar que, porque hablamos de ésta, la justificamos o, por el contrario, la demonizamos.

– conceptualizar los problemas, en lugar de mirarlos de cara, e histerizarse sobre unas palabras (« ideología, dictadura, Francmasonería , Izquierda, Género, Lobby LGBT », « propaganda gay », etc.), o bien sacralizar conceptos innegables (familia, educación, niños, matrimonio, etc.), para al final oponerse mal a los libertarios progresistas.

– Hablar sólo sobre el niño y defender un fondamentalismo familiarista integral.

– banalizar la Unión Civilpara evitar el « matrimonio homosexual » (mientras que es una misma ley…).

– desuniversalizar la homosexualidad a fin de reducir su influencia.

– despreciar o caricaturizar la sinceridad de los pro-Género, endurecer el tono contra ellos, caricaturizar sus argumentos ; por ejemplo, creer que quieren « homosexualizar el planeta », o convertir a los niños en niñas, o que están en contra de la familia, o están en contra de la Iglesia, o que son todos de izquierdas : los pro-gays se ríen de ustedes e incluso les inventan otras intenciones.

– amoldarse a los movimientos pro-Vida españoles o norteamericanos.

– considerar que los movimientos pro-Vida no tienen absolutamente nada que reprocharse dado que sus objetivos son justos. ¡ Hará falta atreverse a la autocrítica !
 

2) Las soluciones (aunque podamos pensar que la batalla es, de hecho, hasta la fecha, ya casi perdida):

– dejar de considerar la homosexualidad como una irrealidad o un pecado (cuando ésta no se practica, sólo se reduce a un « signo de pecado ») ; enfrentarse a ella ; dejar de despreciarla o de considerarla como un subtema y una trampa ; poner la homosexualidad en el centro de nuestras reflexiones y entender por qué sólo ella puede salvarnos de la oleada gay friendly que está afectando todos los países del mundo, incluyendo a Perú que se oponía al 65 % a las Uniones Civiles en 2013.

– constituir un grupo sólido de testigos homosexuales peruanos, y capacitarlos para hablar de la homosexualidad, de la homofobia y sobre todo de la heterosexualidad ; mostrarles el poder del papel que la Iglesia y la homosexualidad continente les dan ; advertirlos también contra los ataques que van a sufrir (por parte de los progresistas, pero también – y eso es sorprendente – por parte de los pro-Vida católicos y de ciertos cardenales).

– Poner a las personas homosexuales peruanas verdaderamente católicas, así como a los periodistas católicos, al trabajo respecto a la heterosexualidad ; huir del enfoque natalista, familiarista, libertario o complotista comúnmente elegido por los pro-Vida latinoamericanos ; dicho de otro modo, salir urgentemente del proteccionismo (histérica y amenazador) pro-niños y pro-libertad (libertad de expresión, de educación, de religión) ; parar de victimizarse ; mirar de cara el acuerdo tácito de los pro-Vida con la homosexualidad y con las Uniones Civiles ; dar cuenta del arraigo de las ideas LGBT en Perú (en relación con la corrupción estatal, con la propaganda sentimental televisiva) ; mirar el estado actual de la Iglesia universal, de la enseñanza católica y de vuestra juventud (la impregnación de la homosexualidad y de la masonería dentro de la Iglesia, el reciente apoyo del Papa Francisco a la Unión Civil) ; realizar un balance interno antes de culpar al mundo exterior ; analizar la parálisis de los medios supuestamente « católicos » y « pro-Vida » en cuanto a la homosexualidad.

– identificar cómo pasan las leyes pro-gays en los otros países, para no imitar a los países occidentales ; comprender los errores de los colectivos familiaristas (y muchas veces inconscientemente homófobos) como Con mis hijos no te metas , que copian los francmasones de ultraderecha pro-Vida europeos como Hazte Oír o Citizen Go o La Manif Pour Tous ; analizar algunas cuentas Twitter de los pro-Vida para ver sus argumentos desastrosos ; descifrar la ineficiencia de las Manifestaciones Para Todos en Francia, o de la Marcha Nacional del 4 de marzo de 2017 en Perú.

– identificar al enemigo : la heterosexualidad (y sus sinónimos : « igualdad de oportunidades », « diversidad », « derechos », « igualdad », « pluralidad », « lucha contra las discriminaciones, etc.) ; analizar la retórica de la ministra de Educación Marilú Martens y las buenas intenciones de su Currículo Nacional ; comprender los argumentos de Carlos Bruce ; ver los disfraces que viste la propaganda LGBTheterosexualidad », « igualdad entre hombres y mujeres », « valores », « amor parental », « progreso », etc., y lo más inesperado : el Catecismo de la Iglesia Católica, mal defendido por los aparentes guardianes de la Santa Doctrina tales como el cardenal Sara, y quienes sin embargo imponen una auténtica censura sobre la homosexualidad y sin saberlo apoyan las leyes que condenan).

 

Sin exagerar, nuestras reuniones serán cruciales para su país. No se lo pierdan. Gracias por difundir la noticia.
 

Philippe Ariño

Lettre ouverte aux Péruviens avant ma visite du 1er au 10 octobre à Lima et à Cuzco


 

Amis péruviens,
 

Je viens bientôt dans votre beau pays du Pérou, du 1er au 10 octobre 2017 (du 2 au 5 à Cuzco, et du 6 au 10 à Lima). J’ai étudié, avant de venir, ce qui se passe dans votre pays en matière d’« avancée » des droits LGBT, et ce qui vous attend si vous ne faites rien ou si vous continuez à utiliser les mêmes arguments et méthodes.
 

Je m’appelle Philippe Ariño. Je suis français, catholique, homosexuel continent, auteur de livres sur l’homosexualité (dont La homosexualidad en Verdad, ainsi que mon dernier ouvrage, Homo-Bobo-Apo). J’ai une très bonne connaissance de la culture homosexuelle mondiale, du Gender, de l’Union Civile, du « mariage gay » et de la Franc-Maçonnerie. Et j’ai vu les erreurs faites en Europe et qu’il ne faut pas que vous reproduisiez. Je vois également ce qui se passe dans le monde (j’ai voyagé au Liban, en Côte d’Ivoire, en Martinique…) et je sais quelle forme perverse et bien-intentionnée prennent les lois pro-gays.

 

Pour que vous évitiez les pièges que votre gouvernement vous tend, et surtout pour préparer notre rencontre à Cuzco et à Lima, je vous propose de réorganiser et revoir intégralement votre stratégie. C’est un turn-over, un relooking complet auquel je vous invite !
 

Voici dans les grandes lignes ma feuille de route qui va servir de base à notre cycle de conférences péruviennes, et qui est bien loin de ressembler à un simple témoignage cucul sur « Comment accueillir les personnes homosexuelles ? », sur « Je suis à la fois catholique et homosexuel : ça existe et c’est possible, écoutez mon témoignage » ou sur « Que propose l’Église aux personnes attirées par les personnes de même sexe ? ». Rien de tout ça. Avec moi, vous n’entendrez pas un témoignage. Ce sera une analyse. Analyse qui concerne tout le monde, et à plus forte raison les responsables pro-Vie (hommes politiques, avocats, juristes, psychologues, prêtres, militants…), les catholiques, les jeunes, et les personnes qui ne se croient pas concernées par l’homosexualité.

 

Pour résumer et vous donner le menu de nos échanges, je compte vous mettre en garde d’abord sur les erreurs à éviter, et ensuite vous donner des clés pour orienter notre combat :
 

1) Les erreurs à éviter :

– avoir peur de l’homosexualité, considérer qu’elle n’existe pas et que c’est un faux problème, et parler à la place des personnes homosexuelles.

– se limiter à un traitement émotionnel, sensibleriste, misérabiliste, de l’homosexualité, à un simple témoignage, ou penser que, parce qu’on en parle, on va la justifier ou au contraire la diaboliser.

– conceptualiser les problèmes, au lieu de les regarder en face, et s’hystériser sur des mots (« idéologie », « dictature », « Franc-Maçonnerie », « gauche », « Gender », « Lobby LGBT », « propagande gay », etc.), ou bien sacraliser des concepts (« famille », « éducation », « enfants », « mariage », etc.), pour finalement mal s’opposer aux libertaires progressistes.

– ne parler que de l’enfant et faire du familialisme intégral.

– banaliser l’Union Civile pour éviter le « mariage gay ».

– désuniversaliser l’homosexualité pour en réduire l’influence.

– mépriser ou caricaturer la sincérité des pro-Gender, durcir le ton contre eux, caricaturer leurs arguments ; par exemple, croire qu’ils veulent « homosexualiser la planète » ou transformer les petits garçons en petites filles, ou qu’ils sont contre la famille, ou qu’ils sont contre l’Église, ou qu’ils sont tous de gauche : les pro-gays se moquent de vous et vous inventent même d’autres intentions.

– prendre modèle sur les mouvements pro-Vie espagnols ou nord-américains.

– considérer que les mouvements pro-Vie n’ont absolument rien à se reprocher car leurs buts sont justes. Il va falloir oser l’auto-critique !
 

2) Les solutions (même si on peut estimer que la bataille est, à ce jour, déjà perdue d’avance) :

– cesser de considérer l’homosexualité comme une irréalité ou un péché (quand elle n’est pas pratiquée, elle n’est qu’un « signe de péché ») ; la regarder en face ; arrêter de la mépriser ou de la considérer comme un sous-thème et un piège ; mettre l’homosexualité au centre de nos réflexions et comprendre pourquoi elle seule peut nous sauver de la vague gay friendly qui déferle sur tous les pays du monde, y compris le Pérou qui était pourtant opposé à 65 % aux Unions Civiles en 2013.

– constituer un groupe de témoins homosexuels péruviens solide, et les former sur l’homosexualité, l’homophobie et surtout sur l’hétérosexualité ; leur montrer la puissance du rôle que l’Église et l’homosexualité continente leur donnent ; les prévenir aussi des attaques qu’ils vont subir (de la part des progressistes, mais aussi – et c’est surprenant – de la part des pro-Vie « catholiques » et de certains cardinaux).

– mettre les personnes homosexuelles péruviennes, ainsi que les journalistes catholiques, au travail au sujet de l’hétérosexualité ; fuir l’angle nataliste, familialiste, libertaire ou complotiste, communément choisi par les pro-Vie latino-américains ; autrement dit, sortir au plus vite du protectionnisme parental (hystérique et menaçant) pro-Enfants et pro-liberté (liberté d’expression, d’éducation, de religion) ; arrêter de se victimiser ; regarder en face la compromission des pro-Vie avec l’homosexualité et les Unions Civiles ; faire un état des lieux de la progression des idées LGBT au Pérou (en lien avec la corruption étatique, la propagande sentimentale télévisuelle) ; regarder l’état actuel de l’Église universelle, de l’enseignement catholique et de votre jeunesse (imprégnation de l’homosexualité et de la franc-maçonnerie au sein de l’Église, le récent soutien du Pape François à l’Union Civile) ; faire un bilan interne avant de rejeter la faute sur l’extérieur ; analyser la paralysie des médias pseudo « catholiques » et « pro-Vie » au sujet de l’homosexualité.

– identifier comment les lois pro-gays passent dans les autres pays, pour ne pas imiter les pays occidentaux ; comprendre les erreurs des collectifs familialistes (et souvent inconsciemment homophobes) tels que Con mis hijos no te metas, copiant les groupes francs-maçons d’extrême droite pro-Vie européens tels que Hazte Oír ou Citizen Go ; analyser certains comptes Twitter des pro-Vie pour voir leur argumentaire catastrophique ; décrypter l’inefficacité des Manifs Pour Tous en France, ou de la Marcha Nacional du 4 mars 2017 au Pérou.

– identifier l’ennemi : l’hétérosexualité (et ses synonymes : « égalité des chances », « diversité », « droits », « égalité », « différences », « pluralité », « lutte contre les discriminations », etc.) ; analyser la rhétorique de la ministre de l’Éducation Marilú Martens et les bonnes intentions de son Currículo Nacional ; comprendre les arguments de Carlos Bruce ; voir les déguisements que prend la propagande LGBThétérosexualité », « égalité homme-femme », lutte pour les « droits des indigènes », « évangélisme », « solidarité », « valeurs », « lutte contre les discriminations », « amour parental », « progrès », etc., et le plus inattendu : le Catéchisme de l’Église Catholique, mal défendu par des apparents gardiens de la Sainte Doctrine tels que le cardinal Sarah, et qui pourtant imposent une véritable censure sur l’homosexualité, et soutiennent à leur insu les lois qu’ils condamnent)

 

Sans exagérer, nos rencontres vont être cruciales pour votre pays. Ne passez pas à côté. Merci de diffuser l’info et de convoquer le maximum de monde.
 

Dans la joie de vous rencontrer.

 

Philippe Ariño