Malgré la légitime tristesse et la compassion suscitée par la tuerie des 21 personnes (dont 19 écoliers) dans l’école primaire nord-américaine d’Uvalde au Texas, je vous propose de sortir de l’émotion pour aller à l’analyse, et de comprendre pourquoi ce drame n’est pas « un de plus », mais qu’il entend inconsciemment imposer à échelle mondiale la Marque de la Bête décrite par saint Jean dans l’Apocalypse. Comme je l’avais déjà expliqué dans mon livre Homo-Bobo-Apo, et comme je l’ai également fait lors de mon dossier sur « Homosexualité et Fin du Monde » (ce sera dans la partie 18 du documentaire « Les Folles de Dieu », lors de la Journée consacrée à l’homophobie), je dis que la Marque de la Bête, en plus d’être visuellement un V surmonté d’un W, est concrètement 4 choses :
– elle est l’HÉTÉROSEXUALITÉ (culte de la DIFFÉRENCE, dont l’ambassadrice principale est le rainbow flag LGBT) ;
– elle a une MARQUE (la puce électro luciférienne, le 666 sur la main et le front, le W, la Blockchain, le pseudo « vaccin », un identifiant numérique donc un interface électrico-aurico-solaire) ;
– elle est l’HUMANISME INTÉGRAL (un pacifisme sans le Christ, tourné vers l’amélioration et la perfection) ;
– elle est centrée sur la PASSION (pas la Passion du Christ, mais les goûts et la volonté individuelle)
Ça se vérifie complètement dans les articles de journaux qui pleurent en ce moment le massacre texan : l’assaillant décrit comme un « monstre » ou une « bête folle » totalement déshumanisée, la diversité chantée par le portrait des victimes, les dirigeants politiques (Biden, O’Bama, Kamala Harris…) jouant sincèrement la comédie de la compassion révoltée (alors que ce sont eux qui ont orchestré ce qu’ils déplorent) et de l’humanisme intégral, la passion invoquée à tout bout de champ : faites par exemple l’exercice sur cet article, en comptant le nombre de fois où le mot « passion » est employé ; mais ça marche aussi sur celui-là, ou encore cet article. On peut, dans une lecture même évangélique, rapprocher le drame à la Passion du Christ inaugurée par le dimanche des Rameaux (le tueur ne s’appelle pas Salvador RAMOS – rameaux en espagnol – par hasard) : tout fait humain peut avoir une lecture surnaturelle, spirituelle et même eschatologique. Quant à cette fusillade et toutes les nombreuses autres aux États-Unis, présentée hypocritement comme un « problème insoluble » et « irrationnel », une « victoire du lobby des armes à feu », elle est au contraire tout à fait rationnelle et signifiante : les politiciens francs-maçons – Biden, O’Bama, Macron, etc. – comptent sur l’effet « accumulatif » et « révolte » pour justifier, à long terme, l’instauration de la Marque de la Bête (puce RFID subcutanée) afin de surveiller tous les faits et gestes de chaque être humain de la Planète. J’écris cet article pour que les maîtresses et enfants d’Uvalde ne soient pas morts pour rien.
Toute la vie du Monde et terrestre est centrée sur Dieu, à savoir Jésus. C’est pourquoi il est important de se pencher sur le Temple de Jérusalem, au temps de Jésus, mais également aujourd’hui. Pour une raison simple : comprendre pourquoi il va être le théâtre du dernier conflit mondial, d’une dispute de toutes les religions et nations : d’une part, sur le Rocher de Jérusalem (l’Esplanade des Mosquées), les conflits sont forts en ce moment pour la reconstruction du Troisième Temple de Jérusalem (je parle de ce Troisième Temple dans mon livre Homo-Bobo-Apo) ; et d’autre part, selon les prophéties juives, islamiques, catholiques, mais aussi les convoitises de l’Antéchrist qui entend se faire passer pour le Christ, tous les religieux de la Terre attendent l’arrivée (selon les Juifs) ou le retour en gloire (selon les musulmans et les chrétiens) du Messie. Voilà pourquoi toutes les tensions spirituelles vont se cristalliser prochainement sur Jérusalem et son Temple. Le conflit israëlo-palestinien ne peut d’ailleurs être compris qu’à l’aune de l’eschatologie et de la Parousie. Il est d’ailleurs fort probable que se reconstruise ce Troisième Temple de Salomon, et que l’Antéchrist (qui aura trompé les Juifs, les Musulmans et bon nombre de Catholiques) s’y installe quelques temps (peut-être 3 ans et demi) afin d’y être vénéré comme le Fils de Dieu. Je vous conseille donc de regarder cette vidéo du père Mougin.
N.B. : Et il va falloir – quand j’aurai le temps, c’est-à-dire « jamais » lol – se pencher sur le trajet exact de Jésus dans le Temple de Jérusalem, entre sa condamnation à mort et sa crucifixion. C’est là la clé du déroulement des événements de la Passion finale du Monde (le frère que j’avais vu à Brignoles m’avait montré sur une carte du Temple ce circuit, pour m’expliquer comment la Fin du Monde allait arriver. Tout est centré sur Jésus. Le déroulement des Fins dernières, on l’a en LUI, en fait.)
J’ai discuté hier soir et ce matin sur un site de rencontres gays avec une personne transsexuelle F to M (une femme qui s’est changée en homme, et qui se présente comme « homme trans »). Elle a une trentaine d’années. Elle est d’une étonnante intelligence. Elle est venue vers moi car elle aussi, elle n’est pas « vaccinée » (autant dire que c’est un OVNI sur le site où la majorité des gays se sont faits docilement piquer et sont macronistes…) et a voté « blanc » comme moi aux dernières élections présidentielles (parce qu’elle a compris que Marine Le Pen et Macron étaient tous les deux d’extrême droite… Je pense que la majorité des Français mettront des années avant de capter ça, voire même sont trop stupides pour le capter.).
Les mots me manquent pour vous dire mon émotion en lisant cette « femme d’un autre genre ». Voici un extrait de notre échange, prouvant le recul qu’elle a sur elle-même, y compris sur la transidentité (elle me fait penser, à ce titre, à Guillaume/Andréa, le témoin trans M to F de mon documentaire « Les Folles de Dieu », qui ne mâche pas ses mots sur la réalité transsexuelle et transgenre, mais qui malgré ça, n’en reste pas moins prisonnière de cette dernière) :
MOI – Je suis sidéré. J’ai l’impression qu’il n’y a pas de personnes normales et bien dans ses pompes et sa tête, ici. (Et en retournant sur ton profil, sans m’y attendre, j’ai vu que tu étais « trans » et que tu es née fille…).
ELLE – Je sens un lien de corrélation (dans ton analyse en tout cas) entre tes deux derniers messages (sourire)…
MOI – Comment ne pas le faire ? Le monde gay (et trans) est effrayant.
ELLE – Oui, sans doute. Mais difficile de ne pas être gay ou trans, quand fondamentalement tu l’es. Je dirais que ça ne se choisit pas et qu’il faut vivre avec.
MOI – Oui. J’ai bien conscience qu’il y a une part subie et non choisie dans ces deux conditions.
ELLE – Tu ne vas pas te forcer à être hétéro si tu es gay ou te forcer à être une femme si tu te sens instinctivement et primitivement homme, on peut essayer (j’ai essayé) ça ne marche pas. Donc pourquoi se censurer? On ne va pas vivre comme un ermite non plus. Mais je comprends qu’on puisse voir cela comme « effrayant ».
MOI – C’est déjà bien que tu admettes cette peur.
ELLE – On a parlé un peu politique hier soir : je ne suis pas un militant extrémiste, je trouve ça faux et simpliste…
MOI – Tu prêches un converti en disant ça.
ELLE – donc j’accepte les critiques sur la transidentité tout en voyant que c’est difficile voire impossible de résister à ce « penchant » quand fondamentalement on l’est.
MOI – J’ai un proche ami trans M to F, donc je comprends la difficulté que tu soulèves.
ELLE – Après, ça devient vraiment n’importe quoi ce « monde trans » avec toutes ces déclinaisons. Moi franchement je fuis les relations avec des trans, ça m’égare encore plus. Je suis un vrai solitaire, hormis quelques rares amis tous profs d’université (car je les ai rencontrés pendant mes études). Sinon, il y a les gens avec qui je travaille et c’est tout, en gros… Ça me fout le cafard de fréquenter des trans. Ça peut paraître transphobe mais c’est la vérité.
MOI – Je comprends complètement.
ELLE – Le pire c’est que comme j’ai une vie normale (enfin… par rapport à beaucoup d’entre eux). Beaucoup me prennent comme modèle et veulent me coller, c’est très gênant.
MOI – Je comprends ton isolement. Et ça me serre le cœur.
ELLE – C’est sûr. Et à mon avis c’est difficilement remédiable.
MOI – Et toi, tu es attirée (désolé si je te féminise et t’enferme dans la biologie ou te semble irrespectueux et insultant) par les hommes exclusivement ? tu te dis « homosexuel/gay » ?
ELLE – Honnêtement, beaucoup d’homosexuels ne veulent pas de moi (et souvent justement ceux qui me plaisent). Voilà pourquoi je me sens pas trop gay, car non apprécié par cette population. De l’extérieur – et même de l’intérieur – c’est très difficile à comprendre car véritablement contre-nature, quoi qu’on en dise. Et pourtant cela existe. Moi je trouve tous les arguments des détracteurs bons (qu’« on ne peut pas changer la biologie », etc.) mais il n’en demeure pas moins que cela existe et de manière inexorable. Et comme il n’y a pas vraiment de solutions, je vis au mieux comme ça. Mais ça suppose pas mal d’ascèse, en effet. Surtout quand on est lucide. J’adore les amitiés un peu amoureuses avec les personnes sensibles et profondes (les hommes soyons honnête) :). Grand plaisir de l’existence : partager des plaisir raffinés. Il y a de très beaux aphorismes de Nietzsche sur ça, et il dit que l’amitié est supérieure à l’amour. »
Mon cœur saigne. Pour trois raisons principales, sans doute :
1) parce que je sens face à elle son incroyable isolement, plus grand que le mien, et qu’il me paraît, dans un temps humain, indépassable, insoluble, cruel, abominable ;
2) parce que, en nous pouvant pas être attiré érotiquement et amoureusement par elle comme « il » le souhaiterait, je participe à mon insu, à son rejet. Les trans sont vraiment « les rejetés des rejetés ». Y compris des gays comme moi, et des trans comme eux. Pourtant, beaucoup sont d’une intelligence supérieure. Et d’une étonnante paix et acceptation. La femme trans dont je vous parle ne supporte pas que je pleure sur son sort, et essaie de voir sa situation « impossible » du bon côté. Les bras m’en tombent quand même ;
3) parce qu’égoïstement je suis triste de voir que les seules personnes qui peuvent me comprendre pleinement politiquement, intellectuellement et même spirituellement, ne pourront jamais être mes amants et me révulsent physiquement !
En même temps que je me suis lancé dans la traduction de la chanson la plus biscornue mais aussi la plus mythique du groupe Queen « Bohemian Rhapsody », je me suis risqué à en faire une lecture symbolique surnaturelle du combat spirituel de l’âme écartelée entre enfer et Paradis. Et cette lecture, vous verrez, se tient parfaitement ! Peut-être même que je suis le premier à révéler/résoudre le sens profond des paroles de cette chanson. Vous me direz ! 😉
Un garçon se suicide et vit dans l’Au-delà le combat spirituel entre forces du mal et forces du Bien.
Premier tableau : Arrivée de Jésus dans l’Au-delà, avec un premier contact avec les anges.
Is this the real life ?
[Le garçon :] Suis-je dans la vraie vie ?
Is this just fantasy ?
[Le garçon :] Ou suis-je seulement en train de rêver ?
Caught in a landslide.
[Le garçon :] J’ai été projeté dans une autre dimension.
No escape from reality.
[Le garçon :] Une cruelle réalité s’impose à moi.
Open your eyes.
[Un chœur d’anges de Dieu s’adressant au garçon :] Ouvre les yeux.
Look up to the skies and see.
[Le chœur des anges de Dieu s’adressant au garçon :] Lève les yeux aux Cieux et regarde.
I’m just a poor boy. I need no sympathy.
[Le garçon aux anges :] Je ne suis qu’un pauvre pécheur. Je ne mérite pas votre pitié.
Because I’m easy come, easy go
[Le garçon aux anges :] Parce que je suis ballotté [entre enfer et Paradis],
A little high, little low.
[Le garçon aux anges :] comme la plume qui décolle et redescend doucement,
Anyway the wind blows, doesn’t really matter to me, to me.
[Le garçon aux anges :] qui virevolte au gré du vent. Plus rien n’a d’importance pour moi.
Deuxième tableau : Le garçon s’adresse aux terriens, et en particulier à sa mère.
Mama, just killed a man,
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Maman, ton fils vient de se tuer.
put a gun against his head,
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Il a collé un pistolet sur sa tempe,
pulled my trigger. Now he’s dead.
[Le garçon s’adressant à sa mère :] a appuyé sur la gâchette. Et maintenant il est mort.
Mama, life had just begun,
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Maman, pourtant ma vie venait à peine de commencer.
but now I’ve gone and thrown it all away.
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Mais maintenant je suis parti et j’ai tout gâché.
Mama, ooo…
[Le garçon s’adressant en pleurs à sa mère :] Maman, ouh ouh ouh…
Didn’t mean to make you cry.
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Je ne voulais pas te faire pleurer.
If I’m not back again this time tomorrow
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Si je ne suis pas de retour demain,
Carry on, carry on, as if nothing really matters
[Le garçon s’adressant à sa mère :] continue de vivre comme si de rien n’était.
Too late. My time has come.
[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Trop tard. Mon heure a sonné.
Sends shivers down my spine.
[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Un frisson me foudroie le dos.
Body’s aching all the time.
[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Mon corps tout entier me fait mal.
Goodbye everybody. I’ve got to go.
[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Au revoir tout le monde. Il faut que j’y aille.
Gotta leave you all behind and face the Truth.
[Le garçon s’adressant à l’Humanité :] Je dois vous laisser loin derrière moi et faire face à la Vérité.
Mama, ooo – (anyway the wind blows)
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Maman, ouh ouh ouh – (le vent continue de souffler)
I don’t want to die.
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Je ne veux pas mourir.
I sometimes wish I’d never been born at all.
[Le garçon s’adressant à sa mère :] Parfois, je souhaiterais ne jamais être né.
Troisième tableau : Le garçon commence à s’approcher dangereusement de l’enfer, mais garde un œil fixé sur le Paradis et Jésus.
I see a little silhouette of a man.
[Le garçon :] J’entrevois la silhouette d’un homme.
Scaramouch, Scaramouch, will you do the fandango ?
[Le garçon s’adressant à un démon :] Scaramouche [= personnage frivole de la Commedia dell’Arte], Scaramouche, entonneras-tu le fandango [= musique endiablée] ?
Thunderbolt and lightning very very frightening me.
[Le garçon :] La foudre et les éclairs me font très très peur.
Galileo !
[Un ange de Dieu présentant Jésus au loin :] Le Galiléen !
Galileo !
[Un démon ironique, imitant l’ange mais avec une voix grave :] Le Galiléen !
Galileo !
[L’ange de Dieu] Le Galiléen !
Galileo !
[Le démon] Le Galiléen !
Galileo Figaro – Magnifico !
[Le chœur des anges :] Le Galiléen le Magnifique !
But I’m just a poor boy and nobody loves me…
[Le garçon :] Mais je ne suis qu’un pauvre garçon et personne ne m’aime…
He’s just a poor boy from a poor family !
[Le chœur des démons agrippant et retenant le garçon :] Ce n’est qu’un pauvre garçon issu d’une pauvre famille !
Spare him his life from this monstrosity.
[Le chœur des démons à Jésus à propos du garçon :] Ôte de sa vie cette monstruosité [= son homosexualité ? sa famille ? son passé ? son mal-être ?].
Quatrième tableau : Le garçon est écartelé entre les démons et les anges, qui se le disputent.
Easy come easy go, will you let me go ?
[Le garçon aux démons :] Sur un malentendu, me laisserez-vous partir ?
Bismillah ! No ! We will not let you go !
[Le chœur des démons au garçon :] Par Belzébuth, NON ! Nous ne te laisserons pas partir !
Let him go !
[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
Bismillah ! We will not let you go !
[Le chœur des démons aux anges :] Par Belzébuth, NON ! Nous ne le laisserons pas partir !
Let him go !
[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
Bismillah ! We will not let you go !
[Le chœur des démons aux anges :] Par Belzébuth ! Nous ne le laisserons pas partir !
Let him go !
[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
Will not let you go !
[Le chœur des démons au garçon :] … te laisserons pas partir !
Let him go !
[Le chœur des anges aux démons :] Laissez-le partir !
Never !
[Le chœur des démons au garçon :] Jamais !
Never let you go !
[Le chœur des démons au garçon :] … jamais te laisser partir !
Let me go !
[Le garçon aux démons :] Laissez-moi partir !
Never let me go !
[Le chœur des démons à la place du garçon :] Ne me laissez jamais partir !
Cinquième tableau : Le garçon est possédé par le diable, à la plus grande excitation des démons.
Ooo !
[Les démons tout réjouis :] Ho ho ho !
No, no, no, no, no, no, no !
[Le chœur des anges, désolés :] Non, non, non, non, non, non, non !
Oh mama mia, mama mia,
[Le garçon possédé :] Oh mon Dieu, mon Dieu,
Mama mia, let me go !
[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons l’imitant :] Oh mon Dieu, laissez-moi partir !
Beelzebub has a devil put aside for me
[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons :] Belzébuth m’a réservé exprès un démon rien que moi.
For me !
[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons :] Pour moi !
For meee !
[Le garçon possédé soutenu par le chœur des démons :] Pour mooooi !
Sixième tableau : Le garçon expulse le diable, sous les yeux ébahis des anges.
So you think you can stone me and spit in my eye ?!?
[Le garçon au démon :] Ah ! Parce que tu t’imaginais que tu pouvais me lapider et me cracher ainsi au visage ?!?
So you think you can love me and leave me to die ?!?
[Le garçon au démon :] Tu croyais pouvoir m’aimer puis ensuite me jeter comme ça et m’abandonner à la mort ?!?
Oh baby, can’t do this to me, baby !
[Le démon au garçon :] Oh mon bébé, tu ne peux pas me faire ça à moi !
Just gotta get out, just gotta get right outta here !!!
[Le garçon au démon] Hors de ma vue ! Sors de moi maintenant !!!
Ooh yeah ! Ooh yeah !
[Le chœur des anges de Dieu célébrant la victoire du garçon :] Ooh oui ! Ooh oui !
Septième tableau : Le garçon est épuisé mais libéré. Repos du guerrier dans l’Esprit… Saint !
Nothing really matters,
[Le garçon :] Rien ne compte vraiment,
anyone can see.
[Le garçon :] comme vous pouvez le constater.
Nothing really matters – nothing really matters to me
[Le garçon :] Rien ne compte vraiment – rien ne compte vraiment pour moi.
Anyway the wind blows…
[Le garçon :] Quoi qu’il en soit, l’Esprit souffle…
Après avoir lu en entier le livre d’Annick de Souzenelle L’Égypte intérieure ou les dix plaies de l’âme (1991) – essai un peu trop ésotérique et métaphorique à mon goût mais qui a le mérite de proposer une lecture symboliste et transhistorique des 10 fléaux envoyés par Dieu pour punir l’Égypte Antique afin que Pharaon laisse le Peuple juif, guidé par Moïse, s’exiler vers la Terre Promise –, j’ai eu envie, moi aussi, de me prêter au jeu de l’interprétation actualisante de ces 10 plaies.
Car je connais l’éternité de Dieu (« Christ hier, aujourd’hui, demain et toujours »), ainsi que son identité trine (Père, Fils et Saint Esprit). Donc je sais que notre Histoire humaine est divisée en 3 grandes périodes qui se font écho les unes aux autres : le temps du Père (narré dans l’Ancien Testament) – le temps du Fils (narré dans le Nouveau Testament, pendant l’incarnation humaine de Dieu en Jésus sur Terre, il y a 2000 ans) – et le temps de l’Esprit Saint (porté spécialement par Marie, et qui est le nôtre, jusqu’au retour en gloire de Jésus à la Fin des Temps, c’est-à-dire à la Parousie). Par exemple, notre génération va (re)vivre les 10 plaies d’Égypte mais plus en mode « trompettes d’avertissement », « ouverture des sceaux » et « cataclysmes mondiaux » impressionnants dont parle le prophète Daniel dans l’Ancien Testament, ou Jésus dans les 4 Évangiles (Mt 24), ou saint Jean dans le livre de l’Apocalypse.
Ce que je veux dire, c’est que le scénario de la Fin des Temps va suivre « exactement mais différemment » le déroulement de l’exode du Peuple hébreu conduit par Moïse, ou bien celui de la Passion de Jésus-Christ jusqu’à sa crucifixion et sa Résurrection. Tout notre avenir est scrupuleusement centré sur la vie du Christ, et résumé en elle. Donc je n’annoncerai pas de scoop. Jésus nous a déjà tout raconté et nous parle par sa vie. Nous vivrons pas autre chose que la vie de Jésus.
La seule nouveauté que vous découvrirez peut-être à la lecture de cet article et de mon essai d’actualisation du déroulé de l’Exode à notre époque actuelle, ce sont les analogies transhistoriques vers lesquelles je me hasarde. Après, je n’ai aucune idée de la fourchette temporelle sur laquelle ces 10 plaies vont s’étaler. Je mise humblement sur 10-15 ans (Dans mon essai Homo-Bobo-Apo, écrit en 2017, j’avais lancé que notre Humanité n’en avait que pour 20 ans grand max à vivre ; et je crois, étant donné la prophétie des papes de saint Malachie, que par exemple la papauté va s’achever en 2027). Mais le temps des prophéties est élastique et soumis autant à notre conversion qu’à la bonté/volonté du Seigneur. En tout cas, voici maintenant mon pronostic d’actualisation des 10 plaies d’Égypte pour notre Temps et pour notre avenir proche :
PREMIÈRE PLAIE : L’EAU DU NIL TRANSFORMÉE EN SANG (= LE « VACCIN »)
La première plaie d’Égypte, c’est la transformation de l’eau du Nil en sang.
Au premier degré, on pourrait l’entendre comme la pollution des eaux terrestres et maritimes (il paraît, si l’on en croit le livre de l’Apocalypse, que les 2/3 des eaux de la Planète seront polluées et imbuvables).
Mais pour ma part, je pars plutôt du côté de la thèse du « bain de sang » au double sens du terme :
– à savoir la puce RFID injectée dans le sang de la population mondiale sous forme de nanoparticules électromagnétiques (le « vaccin » ARN Messager contre la COVID 19) réagissant aux objets connectés lucifériens qui fonctionnent à l’or, le soleil et surtout l’électricité.
– à savoir des guerres plus ou moins réelles (comme celle de l’Ukraine). Le « bain de sang » se réfère à l’assassinat de tous les pauvres, les faibles et les résistants au Gouvernement Mondial (étiquetés comme « gênants » ou comme « dangereux extrémistes menaçant l’Équilibre planétaire »). Les handicapés sont utilisés dans un premier temps comme alibis de progrès et de solidarité… mais la plupart sont supprimés en coulisses.
Par ailleurs, les magiciens de la Cour impériale de l’Antéchrist diront que ce bain de sang est « magique » et non une permission venant de Dieu. Voilà pourquoi ils l’appellent aussi la Force, l’énergie, le progrès, la solution… même si c’est au contraire une épuration ethnique et christique déguisée, un contamination du sang mondial : sang des martyrs, pastiche du Sang du Christ (par la bière, notamment), transformation du sang pour rendre les Humains stériles ou provoquer chez eux des cancers ou des accidents cardio-vasculaires. Je me souviens que des amis qui se sont fait injecter par Moderna ou par Pfizer m’ont décrit innocemment le liquide du « vaccin » comme du « jus de grenadine » car il était de couleur rouge ; et le pseudo « vaccin » anti-COVID alourdit le sang, crée des thromboses et des caillots de sang provoquant des ruptures d’anévrisme ou de fréquentes interruptions des règles féminines…
Je pense personnellement que nous sommes arrivés, en 2020-2022, à la première néo plaie d’Égypte actualisée. Nous avons, en effet, dépassé cette étape.
DEUXIÈME PLAIE : L’INVASION DE GRENOUILLES (= INSTALLATION DU HARDWARE)
La deuxième plaie d’Égypte actuelle correspond à l’invasion des grenouilles. Ce fléau est relatif à la « connaissance ». Effectivement, le mot hébreu « Tsephardim » que nous traduisons par « grenouilles » peut être lu comme « l’essor des connaissances » (ça, c’est Annick de Souzenelle qui me l’a appris ! Merci à elle). Et cette collecte gnostique que les grenouilles symbolisent s’incruste partout, comme le dit l’Exode : dans les ustensiles de cuisine, les machines à laver, les fours… « Moi, j’infeste tout ton territoire de grenouilles ; le fleuve grouillera de grenouilles et elles pénètreront dans ta maison et dans la chambre où tu reposes et sur ton lit, et dans la maison de tes serviteurs et de ton peuple, dans les fours et dans les pétrins. Les grenouilles monteront sur toi, sur ton peuple et sur tes serviteurs. » (Ex 7, 26-29).
Les grenouilles actuelles sont les objets de la captation des comportements, des infos, des mouvements et parfois même des pensées des gens. À l’instar des caméras, des capteurs et des objets connectés dits « intelligents », elles collectent les données. Elles figurent l’installation de l’Intelligence Artificielle (électrification et numérisation de la vie quotidienne). Le Li-Fi succèdera bientôt au Wi-Fi. Philippe Guillemant nous a prévenus : le business des objets connectés – dit « Hardware » – est largement plus juteux et invasif que celui des « vaccins ». Pendant le premier confinement mondial, tandis que nous avions le dos tourné, le réseau électrique, l’installation des caméras et de la Fibre, battaient leur plein. Et là encore, cette plaie grenouillesque est présentée comme « magique » et « sous contrôle » par les magiciens de la Cour antéchristique.
En l’espace de quelques années, l’information et l’opinion incarnent le nouveau pain et les nouveaux jeux offerts par le Gouvernement Mondial pour maintenir la population planétaire en esclavage et sous hypnose. La collecte des données et la maîtrise des informations sont devenus les principaux enjeux de pouvoir des puissants de notre Monde. Par exemple, le dictateur Emmanuel Macron considère que la vraie pauvreté, c’est l’absence d’accès à l’éducation, à l’information et à la culture, les zones du Globe privées de connexion Internet… et non l’absence des biens de première nécessité tels que la nourriture, le logement, le travail et la Foi. Le dictateur Barack Obama, idem : il appelle à la régulation des réseaux sociaux par le contrôle censurant des algorithmes, et à une uniformisation des contenus pour que les informations soient univoques et aillent dans son sens. Les deux hommes travaillent pour le Gouvernement Mondial et entendent centraliser/orienter les informations pour formater les esprits. Ils veulent aussi installer la Fibre sur toute la Planète, et placer leurs grenouilles-indics partout, même en Afrique et en Russie.
On peut donc dire que nous sommes quasiment parvenus mondialement à l’issue de la 2e plaie, mais pas encore tout à fait.
TROISIÈME PLAIE : L’INVASION DE MOUSTIQUES (= VIRUS PLUS VIRULENTS JUSTIFIANT LA BLOCKCHAIN)
Cette troisième plaie, qui concerne l’invasion de moustiques, est la première que les magiciens de Pharaon se montrent impuissants à maîtriser. C’est pourquoi ils avoueront tout gênés au Grand Monarque du Monde qu’elle vient sans doute du « doigt de Dieu » (Ex 8, 12-15).
J’ai parmi mes amis une jeune infectiologue qui s’est lancée dans une carrière en bactériologie quelques années avant la crise du Coronavirus, non pour étudier le SARS-CoV-2, mais en prévision de la généralisation des arboviroses (maladies transmises par les moustiques) : par exemple, le Chikungunya, la Dengue, le Zika, les moustiques-tigres, la Fièvre jaune, les Encéphalites, le paludisme, etc. Des maladies beaucoup plus dévastatrices que le COVID 19. Elle m’a dit que les arboviroses seraient dans très peu de temps « notre quotidien » et notre avenir ! La psychose autour du Coronavirus, et l’arsenal de surveillance numérique disproportionné qui a été mis en place en son nom et qui ne se justifiait pas, seront – et c’est là toute la perversion du Pass Vaccinal et de l’imposition de l’identité numérique à tous – quasiment justifiés par l’arrivée de ces pandémies massives que sont les arboviroses. Le danger qu’elles constituent « légitiment » presque une couverture « vaccinale » complète et un contrôle numérique constant imposé, et donc un Pass Vaccinal à vie, un resserrement totalitaire du maillage Internet. Le caractère diabolique du Pass sanitaire et de l’identifiant numérique sont là : dans leur apparente nécessité obligatoire face à un danger réel de contamination massive.
Nous ne sommes pas encore parvenus mondialement à cette 3e plaie, mais elle est à nos portes.
QUATRIÈME PLAIE : L’INVASION DE TAONS (= DOMOTIQUE)
Les taons, à la différence des moustiques qui piquent, mordent. Ça veut dire que leur infiltration est plus profonde. Ce sont des sortes de mouches noires dont les morsures ont l’effet des sangsues. Les concernant, l’image du vampire est assez évocatrice. Celle des espions aussi : d’ailleurs, les traceurs sont également surnommés « les mouchards », comme par hasard. À la différence des moustiques, les taons symbolisent une véritable intrusion de l’électrique et du numérique jusque dans les maisons/habitations humaines, les transports, les corps. Ils pénètrent à l’intérieur des personnes. L’Insecte (l’« in »-« secte ») ne se contente plus de piquer, il devient cannibale : « Je serai celui qui envoie en toi et dans tes serviteurs et dans ton peuple et dans tes maisons, l’insecte qui remplira mes maisons des Égyptiens et l’insecte aussi qui remplira la terre où ils demeurent. » (Ex 8, 16-20).
Les maisons ou les bagnoles ou les corps ne pourront plus s’ouvrir sans les taons, sans les mouchards. Car les clés ou les cartes auront disparu. C’est l’hégémonie de la domotique (maisons connectées qui auront envoyé balader les digicodes et les caméras traditionnels, pour les remplacer par la reconnaissance faciale et l’Intelligence Artificielle obéissant aux banques de données biométriques). Les taons nous boufferont – c’est le cas de le dire – tout notre temps ! Ils augureront l’ère des enceintes connectées, des home assistants, des villes lumière avec des détecteurs, des drones et des capteurs à chaque coin de rue. Un enfer sécuritaire sur Terre ! « À la chinoise » (puisque là-bas, il y a 1 caméra pour 2 habitants). Ce sera aussi l’hégémonie des traceurs : les Humains et les animaux sont suivis à la trace (j’ai vu aujourd’hui dans le métro parisien une pub de bouffe pour chiens : « Les insectes dans la gamelle » : les taons traceront même les aliments pour assurer aux consommateurs leur qualité !)
« Des insectes dans la gamelle : bienvenue en 2022 ! »
CINQUIÈME PLAIE : LA PESTE (= REMPLACEMENT DE LA BÊTE PAR L’IMAGE DE LA BÊTE)
Dans le livre de l’Exode, la peste anéantit chevaux, ânes, chameaux, bovins et moutons. Et on peut effectivement imaginer que ce sera le cas avec une vraie hécatombe animale : « Tout le bétail de l’Égypte mourut. » (Ex 9, 1-7). Ce sont ces fanatiques de Vegan qui vont être contents… Pour la petite histoire, dans le livre de l’Apocalypse, la peste qui s’étendra dans le Monde entier sera le « cadeau » du quatrième cavalier de l’Apocalypse (Ap 6, 8) !
Mais je voudrais aussi prendre la peste dans son sens figuré. On peut très bien imaginer qu’elle s’actualisera de deux manières : tout d’abord le remplacement des bêtes par leur image technologique humanisée et subcutanée (la fameuse « Image de la Bête » – Ap 13, 15 – dont parle saint Jean dans l’Apocalypse, et qui s’anime sur des écrans) : le Gouvernement Mondial d’un côté détruit la biodiversité et les vrais animaux, et d’un autre les numérise et ne multiplie que certaines espèces, de manière prolifique et incontrôlée. Et ensuite, je vois la Peste comme l’apparition du diable personnifié, c’est-à-dire l’Antéchrist (dont parle le prophète Daniel ou encore saint Pierre dans la Bible) : jadis Pharaon ; maintenant, Macron et tous ses fac-similés (et le côté « peste » de Manu n’échappe à personne).
SIXIÈME PLAIE : LES ULCÈRES SUR LA PEAU (= BOMBE ATOMIQUE ou MARQUE DE LA BÊTE)
La sixième plaie, ce sont les ulcères. Ces derniers sont une maladie de peau qui ressemble à des bulles, à des abcès à crever. « Yahvé dit à Moïse et à Aaron : ‘Prenez pour vous plein vos deux mains de la suie de la fournaise et que Moïse le Céleste la jette aux yeux de Pharaon : elle deviendra une poussière sur toute la terre d’Égypte et elle deviendra sur l’Adam et sur le bétail une lèpre faisant éruption en abcès sur toute la terre d’Égypte.’ » (Ex 9, 8-12). Personnellement, concernant l’ulcère, je pense autant à la maladie de l’épiderme – et de l’épiderme tatoué de la Marque de la Bête (Ap 13, 17) décrite par saint Jean dans l’Apocalypse – qu’à la maladie radioactive de la surface terrestre, à savoir la bombe atomique (avec radiations qui peuvent créer des ulcères). Certains, surtout en ce moment, attendent cette bombe de la Russie. De mon côté, je situe son explosion en Iran. Mais ce n’est qu’une intuition.
SEPTIÈME PLAIE : GRÊLE DÉVASTRATRICE (= ÉRUPTION SOLAIRE + VOLCANS ET TREMBLEMENTS DE TERRE)
La septième plaie d’Égypte concerne la grêle. « Ce fut une grêle et un feu tourbillonnant au milieu, la grêle la plus grave qu’il y avait jamais eu dans tout le pays d’Égypte depuis qu’elle était devenue une nation. » (Ex 9, 22-35). On a de plus en plus l’habitude de voir des pluies de grêle absolument dévastatrices y compris en France (des morceaux de glace aussi gros que des balles de ping-pong !). Et si le Déluge a vu tomber du ciel une pluie d’eau, je crois que l’Ultime Déluge auquel nous assisterons verra s’abattre une pluie de souffre, d’acier et de Feu. C’est toute la différence ! Comme le décrit Jésus lui-même, les étoiles s’échoueront sur la Terre (Mt 24). Certaines prophéties parlent aussi d’un astéroïde qui tombera dans l’Océan et déplacera l’axe de rotation de la Terre. Quant à saint Jean, dans l’Apocalypse, il évoque la chute d’une montagne de Feu sur Terre, ce qui m’amène à penser à une éruption/tempête solaire qui, combinée à un réveil de l’activité volcanique terrestre qu’elle aura impulsé, chamboulera le Cosmos au point de pulvériser tous les satellites sur lesquels compte le Monde pour s’électrifier. « Le deuxième ange sonna de la trompette : dans la mer fut jetée comme une grande montagne embrasée. » (Ap 8, 8) ; « Le troisième ange sonna de la trompette : du ciel tomba une grande étoile qui flambait comme une torche. » (Ap 8, 10) ; « Le cinquième ange sonna de la trompette, et j’ai vu une étoile qui était tombée du ciel sur la Terre : c’est à elle que fut donnée la clé du puits de l’abîme. Elle ouvrit le puits de l’abîme, et du puits monta une fumée comme celle d’une grande fournaise ; le soleil et l’air furent obscurcis par la fumée du puits. » (Ap 9, 1-2). Sympa, le programme… J’espère que vous avez le cœur bien accroché.
HUITIÈME PLAIE : LES SAUTERELLES (= BLACK-OUT, COUPURE ÉLECTRIQUE MONDIALE : TOUT SAUTE !)
La huitième plaie, ce sont les sauterelles, symbole de pullulation dévastatrice, de supplice d’ordre moral et spirituel, mais aussi de grignotage irréparable (rien qu’à voir comment des colonies de sauterelles en Afrique ou en Australie dévorent les récoltes, on comprend !).
Mais pour ma part, je postule à une lecture symbolique plus techniciste de l’invasion de sauterelles. Les sauterelles, comme leur nom l’indique, c’est ce qui saute… comme les plombs et les installations électriques ! Donc il est fort possible que l’arrivée massive des sauterelles corresponde à un black-out mondial, c’est-à-dire à une panne et à une coupure électrique générale (c.f. je vous invite à regarder en entier cette excellente présentation du risque probable de black-out planétaire par le Suisse Grégoire Chambaz).
Je crois personnellement que ce black-out sera la conjonction des tremblements de terre/éruptions volcaniques et d’une éruption solaire, qui précipitera la Terre dans un black-out complet : je pense aux coulées pyroclastiques générées par le supervolcan Théra en 1600 av. J.-C. (qui, selon les scientifiques, pourraient expliquer l’ouverture de la Mer Rouge en deux par Moïse, ainsi que l’obscurité épaisse qui a rendu le soleil invisible aux yeux des Égyptiens) ; je pense également aux satellites qui seront détruits et emportés par la tempête solaire. Les plombs vont sauter, comme les sauterelles, dans toutes les maisons : « Les sauterelles rempliront les maisons et mes maisons de tes serviteurs et les maisons de toute l’Égypte. »
Particularité de la sauterelle : en plus de détruire tout sur son passage, elle ne revient pas en arrière. Elle ne sait pas reculer. C’est un rouleau compresseur destructeur. En plus, en hébreu, elle se dit « Arebeth », comme le verbe « augmenter » (c.f. l’« Homme augmenté ») ; et « Ar » est le radical de la lumière. C’est donc l’anti-Lumière luciférienne. « Je fais venir la Sauterelle dans ton pays. Elle cachera l’Œil de la Terre et nul ne pourra voir la Terre. » (Ex 10, 1-20).
NEUVIÈME PLAIE : LES TROIS JOURS DE TÉNÈBRES (= OBSCURITÉ ÉPAISSE)
La neuvième plaie d’Égypte, ce sont les Trois Jours de Ténèbres. Elle trouve très probablement son analogue avec l’ouverture du 6e sceau de l’Apocalypse (le sixième sceau annonce de grands cataclysmes accompagnant la Fin du Monde : tremblements de terre, froid particulièrement dense, le soleil devenant noir, les astres célestes qui bougent, les étoiles s’écrasant sur Terre, etc.) ainsi que du 7e sceau (qui marque un Grand Silence).
Les Trois Jours de Ténèbres sont aussi annoncés par les prophéties de Padre Pio. Celles-ci sont assez connues car elles font assez peur. Le saint nous avertit que lorsqu’ils arriveront, on ne verra même plus nos mains, qu’il faudra nous enfermer chez nous, ne pas ouvrir aux voix des démons qui imiteront les voix de nos proches, que seules les bougies bénies éclaireront, qu’il nous faudra prier pendant que ce sera le chaos dehors et le nettoyage du mal par les anges…
Et bien sûr, on retrouve des préfigurations des Trois Jours de Ténèbres dans toute la Bible. En gros, ces derniers représentent les journées de Jésus au tombeau et au séjour des morts juste avant sa Résurrection (c.f. Dans le credo catholique, il est dit qu’« Il ressuscita le 3ème jour. »), le temps qu’Il descende en enfer et qu’Il vainque Satan. Mais ils peuvent tout aussi bien renvoyer aux 3 ans et demi de règne de l’Antéchrist sur le Monde avant sa chute. Ou bien aux 3 ans et 11 mois de l’exil de Marie, Joseph et Jésus bébé en Égypte. Et aussi aux douleurs de l’enfantement de la Vierge Marie – poussée au désert par le torrent d’eau et de feu du mythique Dragon, écrasant la tête de ce dernier et donnant l’ultime et définitive naissance à Jésus-Dieu.
On retrouvait déjà les Trois Jours de Ténèbres à diverses reprises dans la Bible :
– Le gros poisson (la baleine) engloutissant Jonas, et dans les entrailles duquel il reste 3 jours et trois nuits, avant d’être recraché sur un sol sec. (Jésus, quand Il fait référence à cet épisode de l’Ancien Testament, parle du « Signe de Jonas » comme une annonce de sa propre Résurrection des morts).
– dans le Nouveau Testament, les 3 jours d’angoisse de Marie et Joseph cherchant Jésus évangélisant à 12 ans dans le Temple de Jérusalem (le fameux « Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? » de Marie, dans Lc 2, 52) ; les 3 jours de famine de la foule suivant Jésus juste avant la deuxième multiplication des pains (Mc 8, 1-9) ; les 3 heures (18h-21h) d’obscurité totale suivant l’expiration de Jésus sur la croix (avec le soleil qui s’obscurcit sur toute la Terre, les tremblements de terre, le rideau du Temple de Jérusalem qui se coupe en deux, l’eau et le sang jaillissant du côté de Jésus transpercé par la lance du centurion romain… tous ces signes physiques qui font dire à ceux qui ont assisté à la mort de Jésus que celui-ci est vraiment le Fils de Dieu !) ; les 3 jours précédant la Résurrection de Jésus.
C’est pourquoi, même s’ils sont impressionnants, ces Trois Jours de Ténèbres ne doivent pas nous faire peur, mais être vécus comme la sas obscur de la naissance imminente et de la Résurrection de Jésus en nous.
DIXIÈME PLAIE : LA MORT DE TOUS LES PREMIERS-NÉS (= PAROUSIE ET EXODE DU PEUPLE SAINT VERS LE ROYAUME DE DIEU)
La dixième et dernière plaie d’Égypte, c’est la mort de tous les premiers-nés, c’est-à-dire la mort des deux-tiers de l’Humanité. En effet, au cours des Trois Jours de Ténèbres, les deux tiers de la population mondiale vont mourir. « Alors furent libérés les quatre anges qui étaient prêts pour cette heure, ce jour, ce mois, cette année, afin de tuer le tiers de l’Humanité. […] Le tiers de l’Humanité fut tué par ces trois fléaux, le feu, la fumée et le soufre qui sortaient de leurs bouches. » (Ap 9, 15 puis 18). Mais il y a surtout le Livre de Zacharie dans l’Ancien Testament : « Il arrivera dans tout le pays – oracle du Seigneur – que deux tiers en seront retranchés, périront, et que l’autre tiers y restera. Je ferai passer ce tiers par le feu ; je l’épurerai comme on épure l’argent, je l’éprouverai comme on éprouve l’or. » (Zc 13, 7-9). Concernant ces deux-tiers, je vous renvoie également au livre d’Ezéchiel (Ez 5, 1-4). Dans le Livre de l’Exode, Pharaon perd son fils unique lors de cette plaie-là, et ce sera le drame inconsolable de sa vie : ce serait pourquoi il aurait enfin laissé le Peuple hébreu s’exiler de son Royaume… même si l’épisode de la course-poursuite avec ses armées jusqu’à la Mer Rouge qui se coupe en deux et se referme sur elles prouvent qu’il a cherché à le retenir (Ex 13 ; et Bataille finale d’Armageddon dont parle l’Apocalypse) !
Certains exégètes actuels associent également la mort des premiers-nés aux nombreux avortements actuels ; d’autres au massacre des saints innocents perpétré par Hérode au moment de la naissance de Jésus. Moi, personnellement, je crois que cet épisode actualisera à l’avenir deux choses : le Jugement Dernier, lorsque les anges de Dieu éradiqueront les méchants et les démons de la surface de la Terre (Les paroles de Jésus, en Mt 24, 19-22, l’attestent : « Malheureuses les femmes qui seront enceintes et celles qui allaiteront en ces jours-là ! Priez pour que votre fuite n’arrive pas en hiver ni un jour de sabbat. Alors, en effet, il y aura une grande détresse, telle qu’il n’y en a jamais eu depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, et telle qu’il n’y en aura jamais plus. Et si le nombre de ces jours-là n’était pas abrégé, personne n’aurait la vie sauve ; mais à cause des élus, ces jours-là seront abrégés. ») ; et le sang des martyrs des Tribulations, qui auront, en donnant leur vie pour Jésus par Sa Croix, revêtu le vêtement blanc qui leur donnera l’accès aux Noces du Royaume où l’on mangera l’Agneau pascal (« On prendra du sang de l’agneau pascal et on en mettra sur les deux poteaux et sur le linteau des maisons. […] Je passerai dans le pays d’Égypte dans cette nuit-là ; je frapperai tout premier-né dans le pays d’Égypte depuis l’homme jusqu’au bétail. […] Le sang servira de signe pour vous sur les maisons où vous serez là et je verrai le sang et je passerai sur vous et il n’y aura pas pour vous de plaie pour la destruction quand je frapperai la terre d’Égypte. », Ex 12, 7).
Ce que je viens d’écrire sur les « 10 Plaies d’Égypte 2. 0 » sont des hypothèses « personnelles ». Non des certitudes. Les faits leur donneront peut-être raison. Je l’espère. En tout cas, bonne Fin des Temps à tous !
Comme vous le savez, je m’intéresse depuis un certain temps à la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans l’Apocalypse (Ap 13, 17). La puce RFID subcutanée.
Et à 4 « endroits » médiatiques, j’ai vu que le Gouvernement Mondial nous l’impose. Comme si, en animalisant ce qui est par essence inhumain, c’est-à-dire la robotique, il prétendait « humaniser » cette dernière. C’est très étrange, cette humanisation par l’animalisation technologique, par l’image de la Bête.
Le premier, c’est la publicité de la marque Apple : « Votre prochain ordinateur n’est pas un ordinateur. » : autrement dit, « c’est vous ». Ou « c’est la Bête ».
Le deuxième endroit, c’est dans les « Battles » (traduction : « batailles ») de l’émission The Voice. Déjà, la mise en scène représente spacialement la Marque de la Bête (la lettre « V » surmontée d’un « W »). Et ensuite, au moment de l’apparition des deux candidats des « Battles » sur scène, une grille se lève devant eux, en mode « Lâchez les fauves! » L’idée des « Battles », plus que de figurer un ring de boxe ou de catch, c’est de symboliquement lâcher les taureaux dans l’arène. Et les 4 empereurs délibèrent ensuite pouce levé/pouce baissé en ayant droit de vie ou de mort sur la carrière des « bêtes de scène » défilant devant eux.
Le troisième endroit, c’est la Marque de la Bête présente dans la publicité des rasoirs Bulldog. La Bête s’adresse aux hommes comme un reflet d’eux-mêmes. Le massage tacite, c’est que nous serions la Marque de la Bête.
Le quatrième endroit, c’est la chanson « Fenomenology » de Lara Fabian, parlant d’un chien ou d’un papillon apocalyptique vénéré comme un Christ sacrifié.
Je me baladais aujourd’hui dans Paris pour me rendre à la messe à saint Nicolas des Champs. Sur ma route, je croisais une foultitude de gens (des familles profitant du soleil, des enfants tout sourire posant ensemble pour une photo, des groupes d’amis, des personnes de tous pays, de tous âges, de toutes conditions et de toutes races…), des individus que je voyais pour la première fois, que je n’avais pas la possibilité de connaître en profondeur, et que je ne reverrai a priori plus jamais. Je me suis senti tout seul, et j’ai senti aussi la solitude de chacune des personnes de la foule qui se trouvait devant moi. Ça ne m’a pas donné le vertige ni de mélancolie ni de dégoût de vivre. Juste un questionnement : qu’est-ce que je fais de cette foule et de ce sentiment de foule ? En quoi peuvent-ils être une Bonne Nouvelle plutôt qu’une mauvaise nouvelle et une déferlante qui va m’engloutir ?
Il faut se rendre à l’évidence : nous vivons à échelle planétaire un effet de masse qui n’a jamais été aussi concret (l’Humanité atteint 8 milliards d’âmes), aussi impressionnant (chacune de ces 8 milliards d’âmes peut être démultipliée à l’infini par ses avatars/duplicata d’Internet), et aussi plombant pour notre cœur (sentiment de saturation, de tourbillon, de cacophonie, d’anonymat, d’insignifiance, de noyade dans une mer sans fond, d’abandon, de disparition, de mort), qu’aujourd’hui. Cet effet « multitude » pèse sur la conscience de tout être humain. Et chacun doit gérer la foule – réelle comme virtuelle – comme il veut et surtout comme il peut pour continuer à vivre avec elle.
Face à cela, il me semble que nous avons deux voies possibles d’appréhension du phénomène : soit l’abattement agoraphobe qui aboutira au suicide individuel ou collectif (la Tour de Babel qui s’effondre d’être surchargée, le surpeuplement qui va épuiser toutes les richesses de la Terre et du Ciel, la fourmi qui ne supportera plus d’être oubliée dans la fourmilière ou de ne pas se démarquer suffisamment des autres fourmis humaines), soit au contraire une lecture métaphorique de la foule à la lumière de la Nativité de Jésus et de l’Humanité nouvelle qui naîtra/ressuscitera avec Lui. Prendre lumière plutôt qu’ombrage de la foule.
En effet, si à l’heure actuelle nous sommes nombreux humainement parlant, et que ça se voit même façon « loupe grossissante » à travers Instagram, il faut le considérer avec joie et Espérance comme une préfiguration concrète de la descendance innombrable promise à Abraham (« aussi nombreuse que les étoiles du Ciel » nous raconte la Genèse : Gen 15) ou de la foule apocalyptique surnuméraire décrite par saint Jean (« J’ai vu une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues. » : Ap 7, 9), et comme le signe de l’arrivée à terme imminente d’un bébé qui est Jésus (et dont tous les membres se forment, grossissent, semblent plus nombreux, se sentent compressés les uns par les autres, demandent à sortir du ventre de la mère qui les abrite : le bébé va passer de l’ombre à la lumière du jour, sans péridurale ; on croit que ça ne va jamais passer, que le ventre de maman va éclater et le bébé avec ; que personne ne survivra à cette naissance et au numérique ; mais finalement, si !).
Il y a donc deux manières d’envisager le « numérique » : le numérique internétique, statistique, démographique, catastrophiste et luciférien… et le numérique éternel, beau, natal et christique, des membres corporels du bébé, des grains de sable de la mer, des étoiles dans le Ciel, du Peuple élu et sauvé de Dieu.
Alors OUI, c’est vrai : nous sommes nombreux. Mais quel numérique, quelle foule, choisissons-nous ?
Ça fait un moment que je vous explique que l’objectif de l’Antéchrist (et de la Franc-Maçonnerie et de son Gouvernement Mondial qui marchent pour lui), c’est de transformer le cœur de chair humain en cœur de pierre (la fameuse « Pierre philosophale » ou « plexus solaire » dont parlent les loges maçonniques et/ou new-ageuses : c.f. article 1 et article 2)… pour finalement faire d’une pierre deux coups (c’est le cas de le dire) et tuer à la fois l’Homme et Dieu en Lui.
Eh bien ce cœur de pierre, que j’avais vu sur la veste d’M Pokora, je le retrouve chez des personnes gays catholiques, comme le visiblement très pieux Matt Jameson (tatoué de chapelet de partout) qui s’est « marié » à Daniel Mc Lee dans la saison 6 du Mariés au premier regard anglais (Married at first Sight UK 2021). Actuellement, beaucoup de catholiques ou/et de francs-maçons, piégés par leur franchise/sincérité (puriste comme le diamant !), pensent inconsciemment que Franc-Maçonnerie et Église Catholique sont compatibles et peuvent faire bon ménage.
Et une nouvelle fois, c’est le triangle homo-bobo-apo qui me sert d’identification de l’homosexualité dans la Franc-Maçonnerie et/ou dans l’Église (et la compénétration de ces deux dernières), de la Franc-Maçonnerie dans le milieu homo et/ou dans l’Église (et la compénétration de ces deux derniers), ou de l’Église dans le milieu homo et/ou de la Franc-Maçonnerie (et la compénétration de ces deux derniers). Triangle magique, précis et visionnaire.
N.B. : Dernière chose qui n’a a priori rien à voir (alors que si) : la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans le livre de l’Apocalypse apparaît une nouvelle fois. J’ai tapé « hashtag » (#) en toutes lettres sur Google, marque par excellence du réseau social Twitter pour codifier et rameuter le maximum de monde autour d’un mot… et regardez la définition du dictionnaire Larousse et l’exemple choisi : le chien. Donc le hashtag est bien la « Marque de la Bête », ou en tout cas une des préfigurations.
Voici la liste des 18 podcasts « 5 Minutes, 1 Thème : Amis ou Pas ? » que la chanteuse Steph Bach et moi-même avons enregistrés en 2019, juste avant la crise sanitaire.
C’est vraiment des supers échanges. Traces aussi d’une époque toute proche et pourtant qui paraît tellement éloignée par sa pureté ! (la peur n’avait pas contaminé vraiment notre Monde).
À ce jour, seuls les 11 premiers podcasts ont été postés sur YouTube. Il en reste 7 autres (dont 2 « formats spéciaux » : le n°13 et le n°17), qui s’étaleront tous les lundis midi jusqu’en mars.
Podcast n°15 – « Quel est ton grand Combat de vie ? » (lundi 21 février)
Podcast n°16 – « Ferais-tu un bon acteur ou une bonne actrice ? » (lundi 28 février)
Podcast n°17 – « Le secret d’un Amour qui dure » (lundi 7 mars) FORMAT SPÉCIAL
Podcast n°18 – « La Fin du Monde arrivera-t-elle ? » (lundi 14 mars)
Et déjà, Stéphanie et moi commençons à prospecter pour savoir quel nouveau binôme – formé de 2 personnalités qui ne se connaissent pas encore et qui testeraient leur compatibilité amicale et leur capacité à s’écouter sur des sujets potentiellement explosifs ou faussement « légers » – formera partie de la belle famille des « 5 Minutes, 1 Thème : Amis ou Pas ? »…
Ce moment surréaliste – et plus que ça, j’oserais même dire « inquiétant pour notre Monde » et « diabolique », même si tout le monde s’extasie et trouve ça trop beaaau, original et géniâl ! – où la fiction dépasse la réalité, MAIS (et c’est là le gros souci, là toute la schizophrénie mégalomaniaque et luciférienne du basculement) avec cette prétention désenchantée, sidérée et nihiliste, d’être plus réelle, plus vraie et plus informative que la réalité même, cette prétention de finalement sublimer la mort et l’enfer : le chanteur Stromae finissant son interview en mode « clip » en interprétant sa chanson « L’Enfer » (c’est le cas de le dire !) en plein Journal Télévisé d’Anne-Laure Coudray sur TF1, face caméra, en semi play-back pré-enregistré, en mode réponse à une question journalistique classique, comme si l’information objective, et par définition « brute », non préméditée, se virtualisait et nous était imposée comme nouvelle réalité ! (il ne manquait plus que la caméra, dans son travelling autour du chanteur, inclue tout d’un coup Anne-Claire Coudray !). C’est le film « On connaît la chanson » (insérant des extraits de chansons dans une action quotidienne qu’ils sont censés sublimer ou décaler), mais cette fois, en pas drôle et avec la franchise maçonnique. On scénarise l’inscénarisable (à savoir « l’improvisation » d’une part, et l’actualité informative d’autre part). On nous fait traverser le miroir comme si c’était ça notre vérité la plus profonde, et on croit rêver éveillés. C’est la politique-spectacle, ou plutôt l’actualité-spectacle. Et personne ne trouve rien à redire à cette contrefaçon, à ce travestissement de la réalité, sauf « C’est géniâl ». Non seulement c’est pas « génial » mais c’est un symptôme de Fin du Monde imminente. Le voilà arriver, le « Moment difficile » dont parlait Cocteau, où l’Humanité préfère la fiction au Réel, en la confondant sincèrement avec ce dernier, où Lucifer fait passer la surnature pour plus naturelle que la nature même.