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Les pandémies – telles que le COVID – venues des porcs, et illustrées par l’exorcisme de Gadara : Jésus, pourquoi nous fais-tu cela ??

Jésus étant Dieu incarné en tout Homme, étant aussi éternel (passé, présent, avenir et éternité) parce que divin, sa vie racontée dans la Bible s’est produite et pourtant s’incarne de manière mystérieuse dans notre présent et notre actualité, autant qu’elle annonce notre avenir. La Bible – et en particulier les 4 évangiles narrant la vie de Jésus – agit comme une boule de cristal, une préfiguration de ce qui nous arrive mondialement et qui va nous arriver (sous réserve de notre conversion, repentance et liberté). C’est fascinant.
 
 

Je vais prendre deux exemples de corrélation/coïncidence absolument incroyables entre la Bible et notre actualité :
 

– LE RECOUVREMENT DE JÉSUS AU TEMPLE (Vous savez, quand Jésus, à l’âge de 12 ans, commence sa vie publique en prophétisant dans le Temple de Jésus où il était venu en pèlerinage avec ses parents Joseph et Marie) qui est une des nombreuses préfigurations de notre réaction de détresse humaine mondiale face aux TROIS JOURS DE TÉNÈBRES qui précèderont la victoire définitive de Jésus (revenant du Paradis où il est parti se faire couronner par son Père) sur le Monde gouverné par l’Antéchrist.
 

« Chaque année, les parents de Jésus se rendaient à Jérusalem pour la fête de la Pâque. Quand il eut douze ans, ils montèrent en pèlerinage suivant la coutume. À la fin de la fête, comme ils s’en retournaient, le jeune Jésus resta à Jérusalem à l’insu de ses parents. Pensant qu’il était dans le convoi des pèlerins, ils firent une journée de chemin avant de le chercher parmi leurs parents et connaissances. Ne le trouvant pas, ils retournèrent à Jérusalem, en continuant à le chercher. C’est au bout de trois jours qu’ils le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs de la Loi : il les écoutait et leur posait des questions, et tous ceux qui l’entendaient s’extasiaient sur son intelligence et sur ses réponses. En le voyant, ses parents furent frappés d’étonnement, et sa mère lui dit : ‘Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois comme ton père et moi, nous avons souffert en te cherchant !’ Il leur dit : ‘Comment se fait-il que vous m’ayez cherché ? Ne saviez-vous pas qu’il me faut être chez mon Père ?’ Mais ils ne comprirent pas ce qu’il leur disait. » (Lc 2, 41-52)
 

MON INTERPRÉTATION PERSO : En ce moment – et ce n’est qu’un début ! -, l’Humanité impuissante est accablée par des fléaux de plus en plus nombreux et confus, et vit un temps inouï de détresse qui dure et commence à s’éterniser (3 Jours, c’est long ! Surtout quand on est prisonnier de la peur et qu’on se retrouve dans le noir complet ! Sans doute le temps de latence entre la mort – obscurité sur toute la Terre, mise au tombeau – de Jésus et sa Résurrection ; peut-être aussi le temps pour Jésus de plonger jusqu’en enfer pour arracher les âmes au diable et vaincre Satan, avant de revenir au Royaume du Père ; ou bien le temps de victoire lente et progressive – 2000 ans – du Christ entre sa mort sur la croix et son grand Retour à la Fin du Monde). Cette Humanité pourrait tout à fait reprendre à son compte l’interrogation désemparée de la Vierge Marie « Pourquoi nous as-tu fait cela ?? ». Nous ne pourrons comprendre le sens profond et merveilleux de notre apparent/concret cauchemar et détresse qu’à la lumière de la Résurrection et du sacrifice de Salut du Christ.
 
 

– L’EXORCISME DE GADARA (Vous savez, quand Jésus, adulte, expulse les démons de deux personnes possédées, et que ces derniers vont s’incarner dans un troupeau de porcs allant se jeter mortellement dans la mer ; d’ailleurs, ce miracle créera la peur et la méfiance de la population locale à l’égard de Jésus, le faisant passer pour le démon en personne) qui constitue, à mon avis, une préfiguration et une des explications spirituelles/surnaturelles des pandémies virales mondiales – telles que le Coronavirus – qui s’abattent sur le Monde aujourd’hui.
 

« Comme Jésus arrivait sur l’autre rive, dans le pays des Gadaréniens, deux possédés sortirent d’entre les tombes à sa rencontre ; ils étaient si agressifs que personne ne pouvait passer par ce chemin. Et voilà qu’ils se mirent à crier : ‘Que nous veux-tu, Fils de Dieu ? Es-tu venu pour nous tourmenter avant le moment fixé ?’ Or, il y avait au loin un grand troupeau de porcs qui cherchait sa nourriture. Les démons suppliaient Jésus : ‘Si tu nous expulses, envoie-nous dans le troupeau de porcs. Il leur répondit : ‘Allez.’ Ils sortirent et ils s’en allèrent dans les porcs ; et voilà que, du haut de la falaise, tout le troupeau se précipita dans la mer, et les porcs moururent dans les flots. Les gardiens prirent la fuite et s’en allèrent dans la ville annoncer tout cela, et en particulier ce qui était arrivé aux possédés. Et voilà que toute la ville sortit à la rencontre de Jésus ; et lorsqu’ils le virent, les gens le supplièrent de partir de leur territoire. » (Mt 8, 28-34)
 

Je vous invite à écouter la thèse de la dilution détaillée par l’épidémiologiste le Dr Alice Desbiolles interviewée récemment sur Europe 1 (de 6’30 à 8’00) par Sonia Mabrouk :
 

 

« Nous sommes rentrés dans ce que l’on appelle l’ ‘Ère des pandémies’. Et les experts de l’IPBES insistent sur la nécessité de s’attaquer aux facteurs de risques, d’émergence. Quels sont ces facteurs ? Ce sont essentiellement les activités humaines destructrices que sont la déforestation, le commerce des animaux sauvages, l’érosion et la destruction de la biodiversité, puisqu’une biodiversité riche et variée, protège les Humains du risque de pandémie, tout simplement par ce que l’on appelle l’ ‘effet dilution’, qui fait que les agents pathogènes vont être dilués dans une très grande quantité et avec une grande variabilité génétique. Donc ça, ça protège les humains du risque d’émergence. Et derrière, un autre facteur de risques majeur de pandémie(s), c’est l’élevage industriel, qui lui va jouer un rôle, en fait, d’amplificateur, de l’agent pathogène. Tout simplement parce que ces animaux qui sont dans ces fermes industrielles, sont en fait des clones au niveau génétique. Et donc, dès que vous avez un agent infectieux qui trouve la clé pour entrer et contaminer 1 individu, il va contaminer le reste de l’élevage. Et ensuite, pour peu qu’il survienne par exemple dans un élevage de porcs, il y a une très grande proximité génétique entre le porc et l’être humain (on partage près de 95% de notre génome en commun avec le porc) eh bien c’est la Voie Royale pour accéder à l’être humain. Et ensuite, dans un contexte de mondialisation, de globalisation, d’hypermobilité, vous avez une diffusion très rapide, à l’échelle de la Planète, dans des villes qui sont de plus en plus denses, avec des systèmes qui sont de plus en plus fragilisés, vous avez le cocktail parfait pour des pandémies. »
 

MON INTERPRÉTATION PERSO : L’atavisme possible entre Humains et porcs relient l’exorcisme christique et les pandémies actuelles que nous vivons. Si vous remplacez la périphrase « agents pathogènes » par « démons », vous n’y verrez que du feu : vous verrez que ça colle parfaitement. Est-ce à dire que la Victoire de Dieu est proche ? Que les pandémies que nous vivons (grippe aviaire, grippe porcine, SARS-COV2, etc.) sont l’illustration d’un exorcisme mondial imminent et d’une Fin du Monde de Fins dernières ? Pourquoi pas ? Je lance l’hypothèse. « Fils de Dieu ? Es-tu venu pour nous tourmenter avant le moment fixé ? ».

Téléfilms de Noël de cette année sur TF1 : la vitrine du fascisme luciférien mondial

J’aimerais qu’on se penche ensemble sur la programmation télévisuelle de Noël qui, de par sa profusion (cette année 2021, les chaînes TF1 et M6, à compter du 1er novembre, nous ont « offert » rien moins que 45 nouveaux téléfilms nord-américains de Noël !) constitue une vraie industrie, un business prolifique, une manne pour les chaîne de télé, et finalement un véritable phénomène de société.
 

Et une fois qu’on a dit que ces « romans Harlequin » télévisuels étaient kitsch (on dirait des mauvaises pubs de Ferrero Rocher ou Werther’s Original), niais à souhait, pleins de bons sentiments, peu originaux et peu inventifs (car ils présentent toujours le même scénario romantique : une héroïne trentenaire célibataire, vivant en ville, débordée par son travail, trouve le prince charmant – souvent un ancien camarade du lycée – en revenant exceptionnellement à la campagne pour les fêtes de fin d’année… et c’est toujours la même happy end attendue), force est de constater qu’ils font l’objet d’un véritable engouement mondial, et que, par conséquent, ils disent quelque chose du Gouvernement Mondial.
 

Quel est le plan de l’Antéchrist (Lucifer) pour l’Humanité d’ici les 10-15 prochaines années ? C’est de flinguer l’Humanité (le diable n’a jamais supporté que Dieu s’incarne en tout Homme par Jésus, et non dans un ange comme lui) et la Divinité (Jésus), au nom d’un humanisme intégral ( = l’Homme au centre de tout, et se prenant pour Dieu) et d’un spiritualisme intégral ( = l’idolâtrie pour une énergie cosmique et intérieure appelée parfois « Dieu », ou vaguement christisée sous forme de Jésus-Superman ou de Jésus angélisé).
 

Et pour ce faire, il entend bien transformer chacun de nous en tout ce qui n’est pas Dieu ni Jésus (c.f. mon article sur Miss France) : à savoir, en végétaux (arbre, plante…), en animaux (bête, monstre…), en minéraux (pierre, maison, carrière, eau…), en objet (robot, machine, ordinateur…) et en énergie/ange (lumière, électricité, force cosmique, étoile solaire…).
 

C’est exactement ce que j’ai pu observer dans la vingtaine de téléfilms de Noël diffusés sur TF1 que j’ai épluchés (… pendant que je travaillais sur le montage de mon documentaire « Les Folles de Dieu »)… même si je n’ai pas pu tout voir.
 

 

VOUS SEREZ DES VÉGÉTAUX

 

Les téléfilms de Noël nord-américains font la part belle à la Nature et aux végétaux. Ils célèbrent (en théorie) l’exode urbain, le retour à la campagne et aux éléments naturels primaires. « La nature a toujours été ta passion. » (Margie s’adressant à Patrick, dans « Un fabuleux Coup de foudre pour Noël »). Par exemple, la coupe et le choix du sapin sont présentés comme un rituel collectif incontournable. Et le sapin est bien souvent converti en totem sacré devant lequel il convient de se prosterner et qu’il faudrait vénérer comme un dieu : « J’adore les sapins de Noël. » (Alice, dans « Le fabuleux Destin de Noël »). Par exemple, dans « L’Ange secret de Noël », le sapin est finalement le protagoniste principal du téléfilm et est angélisé (il est carrément surnommé « Angel Tree ») : chaque année, il exauce les vœux (pas les prières, pensez-vous…) ; et tout le monde est invité à le personnaliser, à y accrocher un souhait écrit sur papier.
 
 

VOUS SEREZ DES ANIMAUX

 

Les feuilletons de Noël venus des États-Unis veulent également nous transformer en animaux. Par exemple, dans « L’Ange secret de Noël », est organisée une « Journée d’adoption des animaux » dans la ville de Pine River. Dans « À la recherche de mon Père Noël », on nous incite à avoir « confiance en notre instinct ». Et dans d’autres téléfilms, les rênes du Père Noël sont considérés comme une cour céleste et royale. Enfin, tout nous incite dans ces séries à suivre nos « passions » et à consommer (manger des cookies, des sucres d’orge, prendre un chocolat chaud)… Comme les bêtes, au fond.
 
 

VOUS SEREZ DES MINÉRAUX

 

Les téléfilms de Noël nord-américains essaient également de nous convertir en métaux, en minéraux, en pierre. L’or scintillant y occupe une place de premier plan (l’alchimie – transformation du plomb en or – apparaît à certains moments : par exemple, on trouve des personnages qui sont plombiers), ainsi que la notion de « talent » et de « carrière » (en réalité, une nouvelle carrière – cette fois bobo – et reconversion professionnelle sont suivies par les protagonistes principaux, même si cette carrière s’habille hypocritement de renoncement à la carrière et de dépouillement). Les chalets et la construction des maisons en pain d’épices sont souvent sanctuarisés. Même la confection des bonhommes de neige finit par devenir une construction architecturale maçonnique pierreuse : « On fera un bonhomme de pierres ! » (Megan dans « Un Noël décisif »). Et au final, difficile de ne pas voir que tous ces téléfilms sont une affaire de fric… et de pierres.
 
 

VOUS SEREZ DES OBJETS

 

Ça m’a frappé et scotché (c’est le cas de le dire !), mais je n’ai pas vu un seul des téléfilms de Noël qui n’érigeait pas les décorations (de Noël) en dieu sur Terre ! Il faut absolument DÉCORER !! Et celui qui rejette les décorations, ne les aime pas ou renonce à les mettre dans sa maison pour les fêtes, est pointé du doigt comme un odieux hérétique, un vieux gars qui a « perdu l’esprit de Noël » et qu’il va falloir convertir au plus vite à la frénésie décoratrice et lumineuse !
 

Globalement, les téléfilms de Noël veulent nous pétrifier en objets (inertes par définition), en machines et en robots. D’ailleurs, en règle générale, le téléphone portable commande à l’action. Et la plupart des protagonistes sont obnubilés par l’électricité, l’architecture, les maquettes, les plans, les caméras et les ordinateurs.
 
 

VOUS SEREZ DES ÉNERGIES/ANGES

 

Les téléfilms de Noël entendent également transformer les êtres humains ou Jésus en anges ou en énergies décorporéisées. Ils nous martèlent qu’il faut que nous rentrions dans l’« esprit de Noël » (appelé aussi parfois « magie de Noël ») : une sorte d’esprit d’enfance, de nostalgie d’adolescent attardé, et de religion sans Dieu et sans Jésus. Ils passent leur temps à vanter les « traditions » (les héros de ces navets ne jurent que par ces dernières !) précisément quand ils ont bazardé LA Tradition (à savoir Jésus). Comme je l’écrivais dans mon livre Les Bobos en Vérité, pour le bobo (bourgeois-bohème), tout est rituel et rien n’est sacré. Et dans ces téléfilms, tout un circuit rituel est imposé (couper et décorer le sapin + confectionner des cookies ou une couronne + faire un bonhomme de neige et une bataille de boules de neige + boire du chocolat chaud + faire une balade en calèche ou en traîneau et aller à la patinoire + chanter ensemble des chants de Noël en faisant du porte à porte + participer à un concert + organiser une œuvre caritative ou un gala de charité + offrir des cadeaux + réunir sa « famille », manger ensemble et faire des jeux) mais l’essentiel (la messe de Noël et Jésus) passe à la trappe.
 

Les rares fois où il est question de « Dieu », il s’agit d’une entité désincarnée : « le Clin d’œil divin » (dans « Un fabuleux coup de foudre pour Noël »), « le Destin ». En d’autres termes, c’est Christmas sans le Christ ! La divinité se dilue en humanisme intégral : « Tout dépend de nous. » (Matthew dans « L’Ange secret de Noël ») ; « Noël c’est surtout une expérience humaine. » (Mike dans « La Romance photo de Noël »). Un humanisme intégral (l’Homme au centre de tout) énergétique, « magique », luciférien, communiste et maçonnique : par exemple, dans « L’Ange secret de Noël », on nous dit que « l’Ange a organisé une chaîne d’entraide » (la fameuse Chaîne d’Union des loges maçonniques, en fait).
 

La divinité informe qui est vénérée n’est pas Jésus mais une énergie informe et diffuse, un ange, un « esprit » moniste (« l’Un dans le Tout, le Tout dans l’Un »). Dans certains téléfilms, on nous parle des « anges bienfaiteurs » : en réalité, il s’agit des anges lucifériens. Les sapins portent souvent à leur sommet non pas une étoile mais un ange conique fait maison (et particulièrement moche). On dirait vraiment que les réalisateurs de ces téléfilms de Noël cherchent à nous asexuer (le comble, c’est que des séries aussi hétérosexualisées promeuvent autant l’homosexualité : c.f. « Un Noël d’enfer », « À la recherche de mon Père Noël », « Un Noël couronné d’amour », etc.), à nous castrer (dans tous ces téléfilms, c’est le Féminin sacré qui prédomine : le héros principal est presque toujours une héroïne, et les mères ou grands-mères pilotent les intrigues), à nous convertir en anges. « Nous sommes tous des anges. » déclare par exemple Rebecca dans « L’Ange secret de Noël ». La particularité des anges, au moins dans l’imaginaire collectif, c’est qu’ils sont messagers, blonds, jeunes, lumineux, qu’ils chantent super bien. Eh bien dans ces téléfilms de Noël, c’est exactement ce que font et sont les personnages : quasiment tous blonds, gentils, souriants, jeunes, beaux et chantants.
 

Malgré leurs bonnes intentions (réenchanter notre quotidien, apporter la lumière, « l’amour » et la chaleur de Noël dans les foyers) et les rêves romantiques sucrés qu’ils mettent en avant, ces téléfilms sont fascistes (le fascisme est fondé sur le faisceau lumineux luciférien) et extrêmement sectaires (ils sont misandres – c’est-à-dire anti-hommes –, ils sont en général anti-cathos, anti-Maghrébins – bien que Black-friendly –, anti-pères, anti-vieux – en particulier les grands-pères –, anti-mariage et anti-moches). Je ne déconseille évidemment pas de les regarder, car ils sont parfois savoureux. Mais si vous le faites, faites-le en conscience qu’ils cherchent à nous façonner à l’idéologie mondialiste antéchristique.
 

Mon article pour le journal La Cordée (n°65, décembre 2021) spéciale Amoris Laetitia et « situations irrégulières » dans l’Église


 

Immense honneur d’avoir été sollicité par le journal inter-paroissial du Haut-Adour (Pyrénées) La Cordée pour répondre à la question : « Les personnes homosexuelles sont-elles réellement accueillies dans l’Église ? » Vous pouvez retrouver sur papier (n°65 : article tronqué) ou sur le site de La Cordée (l’intégralité) mon article en cliquant sur ce lien.
 

LES PERSONNES HOMOSEXUELLES SONT-ELLES RÉELLEMENT ACCUEILLIES DANS L’ÉGLISE ?
 

Philippe Ariño, essayiste et intellectuel hispano-français, né en 1980 à Cholet et résidant à Paris, est l’auteur de différents essais sur l’homosexualité et l’homophobie, dont L’homosexualité en vérité (2012), Homo-Bobo-Apo (2017) traitant des Fins dernières et des liens entre homosexualité et Franc-Maçonnerie, et Interdiction des thérapies de guérison de l’homosexualité (2019). Il a aussi écrit un Dictionnaire des Codes homosexuels, consultable sur son blog L’Araignée du Désert. La particularité de cet écrivain hors normes, c’est qu’il est homosexuel, catholique et continent (abstinent pour Jésus) : il s’oppose autant au « mariage gay » qu’à la Manif Pour Tous, qu’il décrit comme « homophobes ». En 2019-2021, il réalise un documentaire (en 25 parties et traduit en 5 langues) intitulé « Les Folles de Dieu », avec 5 autres témoins homos et trans, et visible sur YouTube.
 

 

Comment nous, personnes homosexuelles, sommes accueillies par le Monde et par l’Église Catholique ? Fort de mon expérience de témoignage public en tant que personne homo croyante depuis plus de 20 ans, je peux vous dire, sans me victimiser ni faire ma crise d’égo défaitiste, qu’on est proche du désastre. Ecclésialement, mais déjà, pour commencer, socialement.
 

Incroyable mais vrai : les gens en général s’en contrefichent de nous et du thème. C’est très étrange : ils sont à la fois complètement fascinés/effrayés par l’homosexualité et les personnes homos, et ils s’en foutent royalement ! Soit les « gays friendly » (y compris parmi les cathos) nous applaudissent MAIS à la condition que nous fermions notre gueule et que nous ne partagions pas ce que nous vivons (car si nous commençons à parler vraiment de notre expérience, le lien entre homosexualité et souffrance/violence ressort très vite, ternit l’image toute rose ou arc-en-ciel que le Monde voudrait montrer de nous, et est considéré comme une « homophobie provoquant des suicides »), soit les opposants à l’homosexualité (identité + pratique + lois gays) pensent qu’en nous laissant parler, nous la justifierions, nous l’encouragerions, et nous serions donc extrêmement dangereux. Si bien que les promoteurs progressistes de l’homosexualité tout comme ses détracteurs ont tout intérêt à nous ignorer, à nous museler, ou à nous stigmatiser comme des « traîtres à la Cause LGBT » (Lesbienne, Gay Bi et Trans) ou bien des « enfants bâtards » marginaux dont la parole et le témoignage ne compteraient pas. La plupart de nos contemporains pensent même que l’homosexualité est aussi banale que la couleur des yeux, soutiennent que l’Amour ou le plaisir ou la tendresse n’a pas à se justifier pour se pratiquer individuellement, que le sexe de la personne n’a pas d’importance dans le choix d’Amour, et estiment qu’« on » donne à l’homosexualité trop d’importance dans les médias et en politique. Pour eux, ce n’est pas un sujet, et elle ne s’interroge même pas ! C’est un état de fait, un non-choix indiscutable, ou, dans l’extrême inverse, une odieuse excuse « idéologique », un point c’est tout !
 

En ce qui concerne la réception des personnes homosexuelles dans l’Église Catholique, ce n’est pas mieux ! Et je parle en connaissance de cause. Depuis mon opposition publique au « mariage » gay en 2012-2013 (dont il faut savoir qu’il a été cautionné par 99% des cathos – y compris les principaux porte-parole de La Manif Pour Tous, qui n’ont jamais dénoncé l’Union Civile qui EST pourtant concrètement le « mariage » gay, et qui m’ont éjecté quasiment dès le départ car ils ont refusé de parler d’homosexualité : par homophobie et fondamentaliste nataliste, ils ont préféré ne se focaliser que sur l’ENFANT et les conséquences du « mariage » gay sur la filiation… alors qu’il faut quand même être aveugle pour ne pas reconnaître que cette loi est passée au nom de l’homosexualité et des personnes homos !), je ne suis plus du tout invité nulle part pour témoigner, ni publié par aucune maison d’édition catho, alors que paradoxalement les besoins et les souffrances sur cette question sont criants : rien qu’au niveau éducatif, les établissements scolaires sont aujourd’hui littéralement saturés par la vague de bisexualité chez les jeunes, devenue comme une mode autant que LA matraque psychologique principale du harcèlement scolaire, y compris dans les écoles privées.
 

Le plus dingue, c’est qu’une personne homo qui commence à parler de son homosexualité dans l’Église, a fortiori continente comme moi (autrement dit, abstinente pour Jésus, l’Église et le Monde : c’est-à-dire qu’elle ne pratique pas sa tendance et qu’elle essaie tant bien que mal de vivre le message de l’Église sur l’homosexualité à travers un célibat consacré non-officiel puisqu’elle ne peut ni se marier ni postuler au sacerdoce) se retrouve attaquée principalement par 3 camps : les cathos progressistes et soixante-huitards (qui nous voient comme des fachos parce qu’ils rêveraient d’une compatibilité harmonieuse entre pratique religieuse et pratique homo), les cathos indifférents (qui trouvent qu’on nous entend trop et qu’« il n’y aurait pas que la sexualité dans la vie ! »), et les cathos conservateurs (qui nous voient comme de dangereux pécheurs voués à l’enfer et à la guérison, et qui manqueraient de Foi : « Si vous croyiez véritablement en Dieu, ai-je déjà entendu, vous ne vous sentiriez et ne vous diriez plus homos ! » Pour eux, la continence ne suffit pas : il faut en plus que nous annoncions notre guérison et la disparition complète de la tendance, que nous nous annoncions comme « ex-gays », et donc en gros que nous ne parlions même pas du sujet !).
 

De plus, l’Église Catholique actuelle ne nous explique toujours pas en quoi l’homosexualité – en tant qu’acte – est un mal (ou pire, un péché grave et mortel). Elle ne nous propose pas de chemin grand et positif pouvant concurrencer le couple homo… si bien que la plupart d’entre nous finissons par nous rabattre sur le couple ou la recherche d’un partenaire amoureux, et par quitter l’Église en claquant la porte, rien qu’en nous imaginant qu’Elle ne nous aimerait pas, ne nous accepterait pas tels que nous sommes, et que derrière la timide vitrine d’accompagnement et de vagues solutions avancées (4 petits paragraphes condamnateurs, doloristes et misérabilistes dans le Catéchisme de l’Église Catholique nous parlent d’accompagnement dans la « délicatesse » et de « devoir de sainteté et d’acceptation de notre croix en offrande aux souffrances du Christ » : très sexy comme proposition, n’est-ce pas…) il n’y a aucune oblature spécifique ni apostolat public ni Bonne Nouvelle spécialement dirigée aux personnes durablement homosexuelles (Je regrette mais l’association Courage International n’est pas un apostolat public : c’est un groupe d’accompagnement fraternel anonyme et caché, et de surcroît un « groupe de thérapie » – basé sur les 12 étapes des Alcooliques Anonymes – qui refuse d’en porter le nom et les intentions. Courage est d’ailleurs dans le viseur de la dernière loi contre les thérapies de conversion votée en octobre 2021 à l’unanimité à l’Assemblée Nationale). En gros, le message actuel de l’Église sur l’homosexualité, c’est « Tu n’es pas que ‘ça’ ! Nous t’accueillons et ne te jugeons pas. Maintenant, sois chaste, saint, porte ta croix, et tais-toi ! ».
 

Et ce n’est pas prêt de changer ! Lors de la deuxième session du Synode sur la Famille (2015), le Pape François s’est fait publiquement tirer les oreilles et menacer par le Cardinal Sarah qui lui a demandé de ne pas traiter du sujet de l’homosexualité… alors que le Saint Père l’aurait fait. « Pas de compassion ni de propositions concrètes et joyeuses destinées nommément aux personnes homos ! », lui a-t-on laissé entendre. Ça donnerait à croire, selon les cardinaux tradis homophobes, que l’homosexualité serait un chemin et un lieu de sainteté : mon Dieu quelle horreur !! La Bonne Nouvelle annoncée aux personnes homosexuelles ?!? Mais où va-t-on ?! Lors du Synode des Jeunes en 2018 (qui a succédé à la publication de l’Encyclique Amoris Laetitia en 2016), il a même été décrété que « le thème de la sexualité ne serait pas abordé », de peur de faire exploser le Synode en plein vol et de rouvrir la Boîte de Pandore : c’est vrai que la sexualité et les questions d’affectivité, ce n’est PAS DU TOUT la préoccupation n°1 des jeunes d’aujourd’hui (On va parler de la « sainteté », de la « joie » et de la « solidarité » à la place… c’est moins risqué et ça fait « jeune » quand même !). #OnNEstPasDansLaMerde
 

Conclusion : comme me l’avait fait remarquer en aparté le père Stéphane Palaz il y a quelques années – et je crois malheureusement qu’il a raison – « l’Église ne parlera jamais d’homosexualité » (en tout cas, pas plus que le peu qu’Elle a osé faire !). Et pendant le tournage de mon documentaire « Les Folles de Dieu » (fin 2019 à Lourdes), les cardinaux, les évêques, les moines, les simples prêtres, que j’ai suppliés de venir témoigner face-caméra de l’Amour paternel et fraternel qu’ils sont censés nous porter à nous personnes homosexuelles du Monde entier, ont tous sans exception décliné mon invitation, en s’inventant des excuses-bidon (« Je ne veux pas engager ma communauté… » ; « J’ai obéi à mon supérieur qui préfère ne pas prendre de risque… » ; « C’est super bien et courageux, ce que vous faites… » = « Cause toujours, tu m’intéresses ».). On a même été virés de la Cité Saint Pierre (qui accueille pourtant DUECDevenir Un En Christ –, association homo chrétienne qui cautionne la pratique homo) ! C’est vous dire ! Ces rejets ou refus de nous encourager (alors même que nous vivons ce que demande l’Église officielle), c’est non seulement tristissime – puisque ça donne raison à la réputation d’homophobie portée contre le clergé et tous les catholiques ! – mais surtout très inquiétant pour notre Église-Institution humaine. Car l’homosexualité, bien plus que la pédophilie (car la pédophilie, tout le monde est « contre », y compris les personnes pédophiles ! : en revanche, l’homosexualité, même ceux qui la condamnent, ne savent pas expliquer en quoi c’est un mal et un péché, pas même le Pape !), est le talon d’Achille, la petite bactérie qui a le pouvoir de faire péter à elle seule tout le Système ecclésial. Contrairement à l’adultère, l’avortement, la pédophilie, l’euthanasie, etc., l’homosexualité est le seul péché (ou « signe de péché » quand elle n’est pas actée) que les gens d’Église n’identifient pas ou dont ils ne parviennent pas à prouver le mal (car oui : où est le mal dans un couple homo fidèle, respectueux, serviable et pieux ?). C’est donc une erreur très grave de ne pas nous écouter, nous personnes homos continentes. Pas seulement à cause du contre-témoignage que cela constitue. Mais aussi et d’abord parce que c’est sur ce point précis-là de l’homosexualité et de l’Amour de tous (y compris et en particulier des personnes homos) que le Monde va demander le plus de comptes et d’explications aux catholiques. Et cette demande sera tellement pressante et peu exaucée qu’elle risque de s’exprimer sous forme de meurtres et de condamnations à mort pour manque effectif de Charité chrétienne.

Miss France 2022 : « Tu seras un animal/une plante/une pierre/un objet/une énergie, ma fille ! »

Lucifer (Satan) et son Gouvernement Mondial antéchristique, pour se débarrasser de l’Homme (au nom d’un humanisme intégral) ainsi que de Dieu – à savoir Jésus et son Église Catholique – (au nom d’un spiritualisme et d’un christocentrisme intégral) en beauté, nous enjoint petit à petit, à travers n’importe quelle émission populaire débile, film, jeu ou dessin animé, à devenir 5 choses principalement :
 

1) soit des animaux (monstre, bête…)
 

2) soit des végétaux (plante, arbre)
 

3) soit des minéraux (liquide, pierre, or, statue…)
 

4) soit des objets (robot, machine)
 

5) soit des énergies (ange, esprit désincarné, lumière, électricité, vibrations/ondes, feu, force, étoile, astre, planète, soleil…)
 

Et si vous regardez les portraits des 29 prétendantes au titre de Miss France de cette année 2022 qui vient, c’est très net.
 
 

1 – ANIMAUX : « TU SERAS UNE BÊTE, MA FILLE ! »

 

Il est étonnant de voir le nombre de fois où les filles posent avec des animaux, préfèrent parfois les animaux aux Humains, se définissent elles-mêmes comme des animaux, voire carrément font inconsciemment mention de la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans le Livre de l’Apocalypse (le 666) :
 

– « Le p’tit saut de cabri, c’est mon truc ! » (Cécile Wolfrom, Miss Alsace)

– « J’ai trouvé un nouveau copain. » (Ambre Andrieu, Miss Aquitaine, avec un chat)

– « On est dans la rue des chats. » (Léna Massinger, Miss Champagne-Ardenne)

– « J’adore mes chiens. C’est ma vie. C’est mon animal préféré. » (Valeria Pavelin, Miss Côte d’Azur)

– « Salut toi ! Ça, c’est mon amour pour les animaux. » (Julie Cretin, Miss Franche-Comté, tenant un bichon blanc)

– « Mon portrait continue au lac de Nantua. Et… y’a des cygnes. C’est peut-être un signe. » (Julie Cretin, Miss Franche-Comté)

– « Ce que j’aime le plus sur cette plage des Salines, c’est de voir les tortues tôt le matin. » (Mélysa Stéphenson, Miss Guyane)

– Les candidates parlent quasiment toutes d’« aventure »… et l’aventure est, avec l’instinct, le propre de l’animalité. Et beaucoup disent « J’ai hâte », comme des mammifères excités.

– « Le Comité Miss Languedoc-Roussillon nous donne à chacune des candidates un surnom affectueux. Et le mien était Edwige, la chouette d’Harry Potter. Parce que j’ai des très grands yeux verts. » (Marion Ratié, Miss Languedoc-Roussillon mimant la Bête)

– Marion Ratié, toujours elle, est filmée avec un chaton posé sur une voiture.

– Certaines candidates ont carrément un nom renvoyant à la bestialité : Marine Sauvage, Miss Lorraine, par exemple.

– Plusieurs candidates se sentent perchées sur des arbres ou des murs, comme des oiseaux ou des chats : « Miss France, c’est être perchée sur des murets. » (Line Carvalho, Miss Pays-de-Loire) ; « J’ai passé toute la journée perchée, aujourd’hui. » (Lolita Ferrari, Miss Poitou-Charentes)

– Youssra Askri, Miss Normandie, est sur un manège à chevaux.

– Hayate El Gharmaoui, Miss Picardie, porte une couverture aux motifs léopard.

– « C’est Youki. C’est mon chien. » (Eva Navarro, Miss Provence, jouant avec le micro-moumoute)

– Charlotte Faure, Miss Rhône-Alpes, dit que son surnom, c’est « Chacha ».

– La Marque de la Bête (le 666) apparaît à deux reprises : sur le bateau de pêche derrière Hayate El Gharmaoui, Miss Picardie ; mais également lorsque Diane Leyre, Miss Île-de-France (à mon avis, la future gagnante de cette édition), compose sur le Pont des Arts de Paris le code pour ouvrir un cadenas : « J’ai testé 11-12-21 pour la date de Miss France, mais ça marche pas. »

– Les Miss sont des ambassadrices de la Bête. D’ailleurs, quand on leur demande, dans une autre interview, ce qui les fait craquer, comme des connes, elles répondent presque toutes à l’unanimité « les chatons » ou « les chiots » : c’est vous dire le niveau…

 
 

2 – VÉGÉTAUX : « TU SERAS UNE PLANTE, MA FILLE ! » :

 

On peut également constater que les Miss singent une fusion avec la Nature végétale, et se prennent parfois pour des fleurs, des plantes ou des arbres.
 

– Tous les portraits sont des paysages luxuriants et sont un hommage à la flore. Très peu de villes.

– « C’était important pour moi d’être le plus naturel possible. » (Emma Renucci, Miss Corse)

– Beaucoup de candidates portent une fleur à la main ou aux cheveux : Julie Cretin, Miss Franche-Comté ; la fleur de bougainvillier tenue par Ludivine Edmond, Miss Guadeloupe ; Diane Leyre, Miss Île-de-France, avec sa rose porté au nez ; Marine Sauvage, Miss Lorraine, avec une fleur dans les mains ; on fait respirer les végétaux à Anna Ousseni, Miss Mayotte, au Pôle d’Excellence Rurale de Mayotte, dédié aux plantes ; Youssra Askri, Miss Normandie, porte une fleur ; Emmy Chenin, Miss Nouvelle-Calédonie, ou encore Tumateata Buisson, Miss Tahiti, se mettent une fleur dans les cheveux.


– Plusieurs Miss, lors des shooting parfois glaciaux, souvent enveloppées de la même couverture aux motifs végétaux : Julie Cretin, Miss Franche-Comté ; Diane Leyre, Miss Île-de-France ; Donatella Meden, Miss Nord-Pas-de-Calais ; Line Carvalho, Miss Pays-de-Loire ; Hayate El Gharmaoui, Miss Picardie.

– « Je suis bien sur ma jolie souche. » (Julie Beve, Miss Limousin, assise sur un tronc d’arbre)

– Je pense aussi à la robe fleurie de Tumateata Buisson, Miss Tahiti.

 
 

3 – MINÉRAUX : « TU SERAS UNE PIERRE, MA FILLE ! »

 

Les pierres occupent aussi une place très importante dans les portraits des Miss régionales. C’est assez hallucinant :
 

– « Miss France, c’est être perchée sur des murets. » (Line Carvalho, Miss Pays-de-Loire)

– Énormément de candidates parlent des « plans », comme en architecture ou en Franc-Maçonnerie ou dans le carriérisme : « On fait des plans très très serrés. » (Léna Massinger, Miss Champagne-Ardenne). Chacune, d’ailleurs, a droit à ses « Plans beauté ».

– Diane Leyre, Miss Île-de-France, repose sa tête sur la pierre.

– Marion Ratié, Miss Languedoc-Roussillon, pose devant des murailles.

– « Les garçons veulent que je fasse des ricochets avec un caillou qui n’est pas plat. Donc je sens que je vais échouer. » (Julie Beve, Miss Limousin)

– Anna Ousseni, Miss Mayotte, ou encore Emmy Chenin, Miss Nouvelle-Calédonie, sont filmées au milieu des rochers ; Hannah Friconnet, Miss Midi-Pyrénées, près d’un muret de pierres.

– Il est fait mention de l’or, et donc de l’alchimie (même si, bien sûr, l’expression « avoir des paillettes dans les yeux » a été popularisée par Kévin ou Inès Reg) : « Ma sœur avait des paillettes plein les yeux. » (Youssra Askri, Miss Normandie, parlant de l’émotion de sa sœur au moment de son élection à elle)

– Il est fait référence aux deux colonnes, comme dans les temples maçonniques : « On va passer entre les deux tours. » (Lolita Ferrari, Miss Poitou-Charentes). On voit également le Pavé Mosaïque dans le portrait de Tumateata Buisson, Miss Tahiti.

– Dana Virin, Miss Réunion, réalise une tour ou montagne de pierres, connue sous le nom de Cairn.

– Non loin de la sphère minérale, il y a l’eau ! : « J’ai un talent caché : j’arrive à faire la vague avec mes sourcils. » (Sarah Conan, Miss Bretagne)
 
 

4 – OBJET : « TU SERAS UNE CHOSE OU UNE MACHINE, MA FILLE ! »

 

L’Antéchrist veut également, pour tuer l’Homme, le transformer en objet ou en machine (car le propre de l’objet, c’est qu’il est inerte !) :
 

– Certaines candidates se comparent à des véhicules : « Je suis une Miss tout-terrain. » (Anaïs Werestchack, Miss Auvergne)

– Elles portent quasiment toutes des robes et des Dock Martens.

– Julie Beve, Miss Limousin, est en train de mimer l’hôtesse de l’air dans son engin.

– « Là, je suis une actrice de cinéma ! Ça y est ! » (Hannah Friconnet, Miss Midi-Pyrénées)

– Hannah Friconnet, Miss Midi-Pyrénées, est filmée avec des jumelles d’observation de montagnes.

– Il est fait mention de l’alchimie : « Si je n’étais pas à ce shooting, peut-être que je serais en laboratoire de chimie. » (Ambre Andrieu, Miss Aquitaine)
 
 

5 – ÉNERGIE : « TU SERAS UN ANGE OU UNE ÉTOILE, MA FILLE ! »

 

Pour faire oublier Jésus (qui est Dieu) dans la tête et dans le cœur des Humains, Lucifer va tenter de faire croire en un dieu « Énergie » et « angélique » désincarné, présent partout dans la création et les créatures, et même dans le Cosmos, en se basant principalement sur 3 énergies (or/électricité/soleil), sans compter les énergies spirituelles de son armée angélique de démons. On retrouve cette croyance en un dieu énergétique et non-humain dans les portraits des candidates au titre de Miss France :
 

– Plusieurs filles parlent de leur potentielle chute (comme les anges déchus) : « Ma hantise, c’est la chute. » (Cécile Wolfrom, Miss Alsace) ; « Ma hantise, c’est de tomber pendant l’élection de Miss France. » (Chloé Galissi, Miss Bourgogne) ; « laisser mes vieux démons derrière moi. » (Anaïs Werestchack, Miss Auvergne). Julie Beve, Miss Limousin, ou encore Marine Sauvage, Miss Lorraine, sont filmée en train de chuter ou de glisser.

– Certaines candidates disent même avoir été tentées soit par l’asexuation angélique soit par le changement de sexe : « En grandissant, j’étais un garçon manqué, parce que je courais partout, j’adorais grimper dans les arbres, jouer au foot avec les garçons. » (Youssra Askri, Miss Normandie)

– Comme en Franc-Maçonnerie, c’est le meilleur qu’elles visent : « le meilleur » (Ambre Andrieu, Miss Aquitaine) ; « On va donner le meilleur de nous-mêmes. » (Emma Renucci, Miss Corse).

– C’est aussi le dieu « Cerveau » ou « Conscience » ou « Force/volonté intérieure » qui est vénéré : « On essaie d’avoir un mental de championne. Toujours. » (Valeria Pavelin, Miss Côte d’Azur) ; « J’ai beaucoup d’énergie. Oui. » (Valeria Pavelin, Miss Côte d’Azur) ; « La Miss France est une femme forte. » (Diane Leyre, Miss Île-de-France)

– Certaines candidates affirment qu’elles veulent devenir une énergie (le Feu, une étoile) : « J’espère qu’avec toutes les autres candidates, on va mettre le Feu le Jour J ! » (Ludivine Edmond, Miss Guadeloupe) ; « Je vais devenir une star ! » (Julie Cretin, Miss Franche-Comté, faisant parler son bichon blanc) ; « J’en ai fait une force. » (Donatella Meden, Miss Nord-Pas-de-Calais, parlant de ses lèvres pulpeuses). Marine Sauvage, Miss Lorraine, fredonne « Allumer le Feu » de Johnny Hallyday. Dana Virin, Miss Réunion, parlant des morts et de ses êtres chers disparus qui vont lui porter chance le soir de l’élection, les comparent à des étoiles : « Ce sont mes petites étoiles. »

– Le concours Miss France, c’est vraiment la Fête de l’héliocentrisme. Le soleil – ainsi que ses rayons – est très présent sur tous les tableaux. « Y’a du soleil. » (Donatella Meden, Miss Nord-Pas-de-Calais) ; « On a le soleil. » (Line Carvalho, Miss Pays-de-Loire) ; « J’ai pu admirer le coucher du soleil. » (Hayate El Gharmaoui, Miss Picardie) ; « On a du soleil. » (Lolita Ferrari, Miss Poitou-Charentes). Beaucoup de prises de vue solaire installent d’ailleurs autour des candidates un halo lumineux arc-en-ciel, un cercle aurique coloré (je pense par exemple au portrait de Marine Sauvage, Miss Lorraine, ou celui de Donatella Meden, Miss Nord-Pas-de-Calais, ou celui d’Eva Navarro, Miss Provence, ou encore celui de Charlotte Faure, Miss Rhône-Alpes), faisant de ces dernières des êtres astraux, des anges immatériels, voire même des figures christiques (le fameux « féminin sacré ») quasi extra-terrestre surgissant de la mer et des cieux (Hayate El Gharmaoui, Miss Picardie, c’est carrément Jésus débarquant sur la plage !)




Les prêtres actuels, en général, ont vraiment un blocage pour parler des Fins Dernières et annoncer l’Apocalypse


 

C’est un truc de malade. Aujourd’hui, je me trouvais à la messe. Les 3 textes bibliques du jour traitaient EXPLICITEMENT de l’arrivée de Jésus en Gloire et de la Fin du Monde et du Ciel (la première lecture, c’était l’Ancien Testament, avec le Livre du prophète Daniel, dans lequel il est raconté comment l’armée de Jésus, menée par l’Archange Saint Michel, terrasse les puissances du mal, et comment les morts ressuscitent tous pour la Vie éternelle ou pour la damnation ; dans la deuxième lecture, de saint Paul, c’était le Jugement dernier à la Fin des Temps ; dans la troisième, c’était Jésus qui nous parle du déroulement concret de la Fin du Monde et du Cosmos, avec les puissances célestes et terrestres qui sont ébranlées).
 

Et au lieu de jouer leur rôle d’avertisseurs et de relais fidèles de la Parole prophétique, que font la très grande majorité de prêtres pendant leur homélie ? (j’ai eu la confirmation en simultané par d’autres amis que ça a été le cas dans plusieurs paroisses parisiennes) Eh bien comme les pharisiens hypocrites pointés du doigt par Jésus ! Ils parlent de tout autre chose : la solidarité, la sainteté et la Toussaint, les scandales des abus sexuels dans l’Église, vaguement l’écologie ou la pandémie du Coronavirus. Moi, j’ai eu droit à la vie rocambolesque/cinématographique de saint Vincent de Paul (attaqué par les pirates). Et on m’a aussi servi que pour être un vrai chrétien, il fallait être une bonne personne avec les autres (un jambon ?). Super…
 

Le rapport avec les textes du jour ? Aucun ! Pourtant, si nos curés étaient un tant soit peu honnêtes et collaient à la trilogie des textes bibliques, l’évocation des Fins dernières et de la Fin du Monde était incontournable. Mais sous prétexte d’être positif et de rester dans l’Espérance et la confiance face à la morosité ambiante, ils étouffent le message et l’avertissement de Jésus. Désastre du positivisme/optimisme, mais aussi mélange d’ignorance (beaucoup de prêtres ne connaissent rien aux prophéties eschatologiques ni à l’Apocalypse) et d’orgueil de leur part, pour ne pas affronter la Croix, les Signes des Temps, la montée vers Jérusalem et la Passion. C’est très grave.
 

Je suis ressorti furax de l’église parisienne où je me trouvais (dont je tairai le nom), en me demandant comment est-il possible d’esquiver et de travestir à ce point la Parole de Dieu. Je remarque que nos clercs, dans leur immense majorité, de peur de passer pour des prophètes de malheurs, ou des annonciateurs de châtiment(s), font complètement l’impasse sur le Jugement Dernier, l’avenir de ce Monde, le Retour du Christ, la vie après la mort, l’enfer et le paradis, la Fin du Monde et du ciel. Ils ont vraiment un problème. Un blocage. Ça me révolte. Jouez votre rôle, bon sang ! Ne snobez pas ainsi les Saintes Écritures et ce que Jésus et l’Esprit Saint ont à nous dire pour aujourd’hui ! Je pousse ce coup de gueule, en même temps que je vous cite pour finir les 3 passages d’Évangile que la plupart des prêtres n’ont pas abordés, et qui sont bien loin du joli conte gentillet Bisounours ou du récit d’aventures :
 

« En ce temps-là se lèvera Michel, le chef des anges, celui qui se tient auprès des fils de ton peuple. Car ce sera un temps de détresse comme il n’y en a jamais eu depuis que les nations existent, jusqu’à ce temps-ci. Mais en ce temps-ci, ton peuple sera délivré, tous ceux qui se trouveront inscrits dans le Livre. Beaucoup de gens qui dormaient dans la poussière de la terre s’éveilleront, les uns pour la vie éternelle, les autres pour la honte et la déchéance éternelles. Ceux qui ont l’intelligence resplendiront comme la splendeur du firmament, et ceux qui sont des maîtres de justice pour la multitude brilleront comme les étoiles pour toujours et à jamais. » (Dn 12, 1-3)
 

« Jésus Christ, au contraire, après avoir offert pour les péchés un unique sacrifice, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu. Il attend désormais que ses ennemis soient mis sous ses pieds. » (He 10, 11-14.18)
 

« En ce temps-là, Jésus parlait à ses disciples de sa venue : ‘En ces jours-là, après une grande détresse, le soleil s’obscurcira et la lune ne donnera plus sa clarté ; les étoiles tomberont du ciel, et les puissances célestes seront ébranlées. Alors on verra le Fils de l’homme venir dans les nuées avec grande puissance et avec gloire. Il enverra les anges pour rassembler les élus des quatre coins du monde, depuis l’extrémité de la terre jusqu’à l’extrémité du ciel. Laissez-vous instruire par la comparaison du figuier : dès que ses branches deviennent tendres et que sortent les feuilles, vous savez que l’été est proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le Fils de l’homme est proche, à votre porte. Amen, je vous le dis : cette génération ne passera pas avant que tout cela n’arrive. Le ciel et la terre passeront,mes paroles ne passeront pas. Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le Fils, mais seulement le Père.’ » (Mc 13, 24-32)
 
 
 

N.B. : On a aussi, dans l’extrême inverse, tout un spiritualisme angéliste qui, même s’il évoque saint Michel et d’autres anges, s’éloigne de l’Église, et préfère les anges à l’Humain ou même à Jésus. C’est tout aussi hérétique.
 

Lettre magnifique d’une femme lesbienne rejetée du noviciat d’un couvent

Voilà le mail que je viens de recevoir d’une jeune femme qui s’appelle Julie (prénom modifié). Et ensuite, ma réponse.
 

 

Bonjour Philippe,
 

Je me présente, je suis une jeune catho homosexuelle prof de biologie qui hésite à passer le concours… Je suis rentrée cette année en discernement avec une communauté et me suis pris mon homosexualité en pleine figure, elles ne peuvent pas « prendre de risque » avec moi. Bref, je dois revoir mon orientation, jusqu’ici je pensais que l’abstinence suffirait, que de voir que je suis pieuse (j’essaye) et chaste serait convaincant, il semblerait que non. Je suis à nouveau confrontée à mon homosexualité en tant que donnée à prendre en compte dans mon orientation.
 

Assez contente ceci dit que les sœurs ne m’essentialisent pas à mes attirances, elles pensent que l’on peut en « guérir » ; j’entreprends ce chemin vers la découverte de ma vocation plus profonde.
 

Je me pose beaucoup de questions sur la place des homos dans l’Eglise. Si je ne peux être sœur ni marier, alors que faire ? D’ailleurs, une certaine colère monte en moi, j’ai l’impression, vous me direz ce que vous en pensez, qu’on ne parle pas des lesbiennes dans l’Eglise ou tout du moins qu’elles sont jugées sur le même mode que les gays ce qui est une aberration. C’est nier les profondes différences entre homme et femme…..
 

Quoi qu’il en soit je suis en recherche de documentation sur le sujet, vous semblez être la bonne personne pour me répondre. Me conseilleriez-vous un livre, même un de vos bouquins ? Je cherche aussi des contacts de femmes qui pourraient être dans la même situation que moi, si vous en avez je suis preneuse.
 

Merci d’avance et merci pour votre blog qui est très éclairant,
 

Julie

 
 
 

Merci infiniment Julie pour ton mail que j’aimerais montrer à la Terre entière et à l’Église, pour que les catholiques et nos chefs se rendent enfin compte ET du gâchis vocationnel que nous incarnons (comme tu dis, en tant que personnes durablement homos, on ne peut pas se marier et on nous éjecte du célibat consacré, du sacerdoce, des séminaires, des monastères et des couvents : que nous reste-t-il ?) ET du manque d’accueil criant (homophobie) et du vide de proposition (grande et enthousiasmante) qui dépasserait l’horizon du couple et de la pratique homos. Car oui, je le confirme, et j’en fais suffisamment les frais depuis des années : dans leur immense majorité, le clergé et les cathos nous craignent comme des pestiférés autant qu’ils se contrefichent de nous (mais vraiment ! alors qu’ils sont persuadés du contraire)… et de surcroît, cette omission est de leur part une erreur stratégique qui leur sera bientôt fatale car le Gouvernement Mondial va les persécuter officiellement sur la pédophilie et officieusement sur l’homosexualité. Et là, ils vont pleurer leur Mère de ne pas nous avoir accueillis correctement !
 

Je te mettrais bien en contact avec Perrine (voici son mail), la témoin lesbienne des « Folles de Dieu » (mon documentaire en 25 parties – dont seulement les deux premières parties sont sorties sur YouTube). Mais j’ai peut-être mieux : si tu es au Puy-en-Velay le 27 novembre de ce mois, je suis invité (ça fait hyper longtemps que je n’ai pas fait de conférence : je présenterai mon livre sur les thérapies de conversion, qui n’ fait l’objet d’aucune invitation) à une librairie pour une conférence. Si tu veux, je partage volontiers mon temps de parole avec toi. Ce sera enregistré, filmé (et pas besoin d’être « vacciné » anti-COVID : je ne le suis pas, et ne le serai jamais). Et je pourrais te laisser entière carte blanche. À ta convenance ! Et si l’apostolat (de l’homosexualité continente) peut te donner de la consolation, de la joie, un nouveau souffle, et t’éviter d’être en couple lesbien, welcome parmi les « Folles de Dieu » ! Tu me diras ce que l’Esprit Saint t’inspire. Et puis si tu ne peux/veux pas, je te souhaite en tout cas bon courage et bonne route sur les chemins du professorat.
 

Fraternellement.
 

Philippe Ariño

Les homos intelligents rentrent en Franc-Maçonnerie


 

C’est un constat que je fais : beaucoup d’hommes homos intelligents sont/rentrent actuellement en Franc-Maçonnerie. Ça faisait un moment que je le voyais et que j’en avais l’intuition. Mais là, c’est concret. Je n’ai plus assez de mes dix doigts pour compter le nombre de personnes homosexuelles que je rencontre qui sont officieusement en loge maçonnique.
 

Les homos intelligents vont aujourd’hui majoritairement en FM : je le vois et je les rencontre en vrai et en masse. Et l’étant moi-même (intelligent), je sais de quoi je parle : dernièrement non seulement je les reconnais (Démasqués en 5 secondes chrono! Même avec les « as » de la dissimulation !) mais je les attire. Pour une raison assez simple : notre gémellité. La Franc-Maçonnerie, en théorie, j’ai le profil taillé parfaitement « pour » : intelligence, sociabilité, créativité, influence, grand maître en symbolisme – mes 3 dictionnaires HomoBoboApo -, bon maniement de la psychologie, fort potentiel de manipulation et de gourouïsme…
 

Le seul « problème » qui me rend FM-incompatible, il est triple : 1) je suis pauvre et désargenté ; 2) j’ai toujours privilégié la Vérité (Jésus) à la franchise (base idéologique et sentimentale de la FM), et je ne les confonds pas toutes les deux ; 3) j’utilise mon intelligence – et même paradoxalement mon homosexualité – pour défendre le mariage (sacré et d’Amour homme-femme) ainsi que le célibat consacré (c’est d’ailleurs sur ma défense du mariage que la rupture avec mes prétendants homos francs-maçons se fait le plus brutalement !). Sans ça, sans ces 3 « failles » au tableau, je serais le parfait initié maçon. Je coche a priori toutes les cases ! Je le sais. J’ai même la capacité de fonder ma loge, ma propre obédience, si je le voulais !
 

Ceci étant dit, maintenant, je voudrais m’adresser en particulier à tous les frères homos qui me lisez, et en particulier aux intelligents, donc aux « profanes » qui sont tentés d’entrer en FM voire aux « initiés » qui y sont déjà. Je vous le dis sans détour : la Franc-Maçonnerie est un mauvais placement. Vous vous plantez de combat, de maison et d’amis, si vous y allez/restez. Les francs-maçons ne sont pas vos véritables amis et vous vous plantez de maison. Votre seule véritable Maison, c’est l’Église Catholique, et c’est surtout le Coeur sacré de Jésus. Vous n’avez rien à faire en loges.
 

Pourquoi ? Parce que vous n’y êtes pas véritablement respectés (et ça, je le tiens de témoignages d’amis homos depuis plusieurs années en Franc-Maçonnerie, et qui en ont fait le tour ou s’y ennuient). Pourquoi l’homosexualité ne se marie pas bien avec la FM ? (Cette incompatibilité est historique et originelle : ce n’est que depuis un siècle que les obédiences maçonniques ne se montrent plus ouvertement homophobes, misogynes, non-élitistes et non-sectaires, mais ce revirement est récent et bien hypocrite). Parce que l’idéologie luciférienne qui prédomine et régit la Franc-Maçonnerie est fondamentalement angéliste, anti-identitaire, anti-étiquettes, et donc trouve l’homosexualité trop restrictive, ghettoïsante, limitative, caricaturale. La Franc-Maçonnerie, c’est le règne de la bisexualité et de l’asexualité : pas vraiment de l’homosexualité (même si la FM se servira de cette dernière comme une étape intermédiaire, un marche-pied pour atteindre cette bisexualité-asexualisante de l’ange Lucifer).
 

Voilà pourquoi vous, personnes homosexuelles durables, vous n’avez rien à y faire. Et vous y êtes même en danger. Vous le constatez vous-mêmes : vous êtes utilisées un moment pour la vitrine arc-en-ciel que vous représentez politiquement et médiatiquement. Mais concrètement, vous êtes cernées et méprisées par les « surveillants », vos espérances/aspirations d’ascension/montée en grades sont limitées par votre homosexualité (vous voyez bien qu’on vous ferme les plus hauts postes), on vous tolère en loge sans vous aimer vraiment (puisqu’on vous réduit à votre tendance sexuelle, et qu’on vous traite comme des initiés de seconde zone).
 

Voilà toute l’ambiguïté amère et indicible de l’homophobie de la gay friendly attitude (homophobie qui vous dit sincèrement « je t’aime » tout en vous traitant concrètement mal). Je vous conseille donc de lâcher l’affaire. Mais vraiment. N’espérez rien des loges maçonniques en termes de reconnaissance, de valorisation de votre homosexualité et de votre personne. Vous vous y faites chier, ou bien y êtes maltraitées, même si vous y tirez quelques bénéfices, et que vous aurez du mal à en partir. Cours, Forrest, cours !

Interdiction de parler du diable et d’en dire du mal !

Ça paraît incroyable. Mais c’est pourtant vrai. En ce moment, j’ai un ami qui boude, me fait littéralement la gueule, ne veut plus me revoir, simplement parce que j’ai osé utiliser sur les réseaux sociaux le terme « diabolique », de surcroît négativement. Car lui voit le diable comme une invention/projection humaine farfelue, une irréalité, un mensonge. Et s’il admet exceptionnellement son existence, il ne voit en ce dernier que le côté luciférien, lumineux, positif, éclatant, utile à l’action bienfaitrice de Dieu… et peut-être même à l’existence de Dieu lui-même.
 

Alors je veux bien lui concéder que Dieu permet l’existence et l’action du diable, et que ce dernier participe, d’une certainement manière, au plan intégral de Salut de Dieu pour l’Humanité. Mais quand Dieu PERMET (Satan est bien sa créature aussi, au même titre que l’Homme), il n’en DÉSIRE pas pour autant… et en l’occurrence, concernant le diable, Il le tolère/supporte temporairement, et uniquement pour préserver notre liberté à nous Humains. Fondamentalement, Dieu n’a pas besoin du diable pour exister ni pour agir : il se trouve qu’Il « fait avec ». Mais en théorie, Il pourrait agir seul, et sans avoir recours au mal (la violence, la colère, l’autorité, la mort, le châtiment, etc.).
 

Si je résume et je reviens à cet ami, celui-ci m’en veut de reconnaître et de dévoiler l’existence du diable. Le mal, selon lui, ne devrait pas être mal-aimé, ni même dénoncé/désigné comme « mauvais ». Dans sa vision dithéiste, énergétiste, relativiste, bisexuelle/asexuelle et équilibriste de l’Amour et du Monde (quand je dis « équilibriste », je me réfère à l’« équilibre » soi-disant « parfait » et « cyclique » qui existerait entre les polarités du ying et du yang, du négatif et du positif, du masculin et du féminin, de l’Humain et de la Création, de la vie et de la mort, des peines et des joies, de ce qui nous apparaît comme des succès ou comme des échecs, etc. etc.), le bien et le mal n’existeraient pas ou seraient indissociables, partenaires, nécessaires, essentiels l’un à l’autre, complémentaires. Comme des vases communicants. Ledit « diable » serait en réalité notre « meilleur allié ». Le mal ne serait qu’un revers du bien, et inversement.
 

Finalement, cette pensée du « bien par le mal » ou du « mal = Bien » (extrêmement dangereuse car elle sous-entend qu’au nom du Bien et pour le Bien, on peut et on doit en passer par le mal : la fin justifierait les moyens…) nous a été serinée depuis des décennies, à travers ce genre de sophismes/syllogismes/poncifs idéologiques faux, faisant la part belle au diable et au mauvais : « Il n’y a pas de réelles fautes ni d’erreurs ni de péchés : juste des expériences dont on peut forcément tirer profit en les vivant ! Tout est bon ! Le bien est partout, même dans ce qui nous apparaît sur le moment comme négatif ou douloureux ! », « C’est en se trompant qu’on apprend et qu’on ressort grandis ! » ; « On ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs ! », « Ce qu’on voit comme mauvais nous aide à avancer : ce n’est qu’une question de point de vue et d’inversion ! ». Si je résume, ce n’est pas l’action de Dieu – se servant même de nos échecs, de nos blessures et de nos péchés qu’Il permet – pour manifester sa Gloire, qui nous sauverait, mais les échecs eux-mêmes ! Totale inversion des valeurs !
 

En fait, nous vivons dans un Monde tellement envahi par le positivisme protestantisé – la fameuse « pensée positive », l’optimisme combatif obligatoire – qu’Il ne veut plus entendre parler négativement du mal (critiques, dénonciations, erreurs, échecs, remords, culpabilité, souffrances, violences, fautes irréversibles, péchés, enfer…) et encore moins des entités démoniaques spirituelles et surnaturelles (les anges déchus ayant suivi Lucifer). « Dans la pensée dite ‘positive’, le mal n’existe pas ou est bon par essence : c’est tout simplement ‘un bon mal’. » (le père jésuite Aleksander Posacki, « Les Voies d’accès actuelles à l’occultisme », dans l’ouvrage La prière de délivrance et d’exorcisme : les attaques du démon contre l’homme, Éd. Bénédictines, 2008, p. 69). Nous n’avons plus le droit de critiquer le mal ou le diable, de dire que le mal est mauvais, que le diable est « diabolique ». C’est quand même incroyable, cette positivité de la « neutralité », qui se veut un pied de nez au manichéisme superstitieux, un chant aux « nuances » (« Dans la vie, rien n’est tout blanc, rien n’est tout noir ; tout est gris et mélangé et divers ; Il n’y a ni de Bien ni de Mal ; ni de bon ni de mauvais ; tout est profitable ; tout est inutilement complexe car finalement la seule évidence, Vérité et simplicité serait l’incertitude, la confusion, la neutralité et l’absence de Vérité discernable et incarnée que serait Jésus. »).
 

En fait, ces adorateurs de la positivité absolue (mélange fusionnel et soi-disant « équilibré/équilibrant » du Bien et du mal) – très présents dans la culture New Age de la religion du dieu « Énergie » mais aussi dans les médias qui nous martèlent que « tout serait possible et positif à partir du moment où on le vit, on se bat, on y croit et on le veut vraiment » – sont des adeptes de Lucifer qui s’ignorent (car ils nient l’existence du diable et interdisent que nous présentions l’action de ce dernier comme mauvaise, destructrice et à ne pas pratiquer). Pourtant, dans leur propre pratique intime d’énergéticiens-thaumaturges-acupuncteurs-magnétiseurs-guérisseurs-masseurs-rebouteux-médiums-coachs de vie aux dons préternaturels, ils savent très bien qu’ils ont joué avec un feu malveillant, à double tranchant, ambigu. Et parfois, ils en souffrent même beaucoup, et en silence. Par exemple, j’ai rencontré en vrai des hommes et des femmes qui se sont faits « canaux énergétiques » lors de séances « bien-être » de tantrisme ou de channelling ou de reïki (en sollicitant, donc, des entités spirituelles et des énergies à la fois « cosmiques », « intérieures », « environnementales », « médiumniques », mais qui ne sont bien évidemment ni Jésus ni l’Esprit Saint ni les sacrements de l’Église Catholique), et qui, en déplaçant le mal et en générant un apparent soulagement ou bien-être ou guérison temporaires, ont finalement chopé de sacrées cochonneries ou des maladies dignes de l’absorption/contagion/transposition/infestation/incorporation/atavisme démoniaque (je pense notamment à une nana qui est immédiatement devenue bossue au contact d’un patient qu’elle a touché en voulant le guérir par le reïki ; à un gars qui, suite à une « séance thérapeutique », a eu l’un de ses yeux qui a rapetissé et a perdu une grande partie de sa capacité ; et je ne parle même pas des guérisseurs sujets aux maux de tête, aux cauchemars nocturnes, aux visions et hallucinations, et autres vexations sataniques). Le milieu du « développement personnel » et des « énergies » sollicite les entités des mondes parallèles, les âmes errantes, les esprits (dits « ancestraux » et « transhistoriques », via la croyance animiste en la réincarnation), et est un culte déguisé à Satan. Je dis « déguisé » car Satan n’est plus identifié ni vu comme mauvais. Il est réduit et appréhendé à/comme un « partenaire ». Il faudrait, pour cette raison, plusieurs séances d’exorcisme pour rompre les liens que certains guérisseurs ou patients ont contractés avec les entités spirituelles des infra et supramondes.
 

Existe-t-il vraiment un calendrier international LGBT visant à homosexualiser le Monde et notre quotidien ?


 

Eh bien oui ! Il existe bien un AGENDA/CALENDRIER LGBT qui veut s’imposer mondialement, et qui veut non pas tant homosexualiser que bisexualiser/asexualiser/athéiser la Planète.

 

Sous des excuses parfois complètement bidons mais exploitant tout de même des souffrances et des violences humaines réelles, et s’appuyant principalement sur la victimisation, le Gouvernement Mondial dirigé par des personnes se prétendant « hétéros gays friendly » se servent de nous, personnes homosexuelles, pour coloniser et déchristianiser progressivement le calendrier judéo-chrétien, et ainsi justifier/célébrer/entériner ses fantasmes identitaires/sentimentaux/sexuels, et surtout pour se remplir les poches ! Ce lobbying est une forme de Grand Remplacement idéologique, de « Big Reset », de (re-)programmation progressive de l’Humanité et de la Divinité. Par le calendrier et l’officialité des dates !
 

Après avoir visualisé cet agenda précis (fait-maison), qu’on ne vienne pas me traiter de « complotiste » ! : il s’agit bien d’un complot, d’un plan finement ciselé, d’une instrumentalisation politique et commerciale de l’homosexualité et des personnes homos/bis/trans… même si ce complot se drape des meilleures intentions, de chronologie et de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel.
 

15 janvier : Journée Internationale de la Sororité

27 janvier : Journée du Souvenir de l’Holocauste (Commémoration des « Triangles roses » et de la Shoah)

14 février : Saint Valentin (« Valentine’s Day » aux USA)

Février : LGBT History Month (en octobre aux USA)

8 mars : Journée Internationale des Droits des Femmes

31 mars : Journée Internationale de la Visibilité Transgenre et Transsexuelle

6 avril : Journée Internationale de l’Asexualité

2e vendredi d’avril : Day of Silence (#GLSEN : mouvement dit « d’élèves et d’étudiants » contre le « bullying », donc le harcèlement scolaire)

26 avril : Journée Internationale de la Visibilité Lesbienne

15 mai : Journée Internationale des Familles (instituée par les Nations Unies)

17 mai : Journée Internationale contre l’Homophobie (#IDAHO)

22 mai : Harvey Milk Day (en l’honneur de l’assassinat du maire homo de San Francisco – USA – en 1978)

24 mai : Journée Internationale de la Visibilité Pan (pansexualité et panromantisme ; parfois placée le 8 décembre)

Juin : Mois des Fiertés LGBTQIA et des Gay Pride (#Europride #WorldPride).

28 juin : Anniversaire des émeutes de Stonewall (USA, 1969)

26 août : Journée des Droits de l’Homme ou des « Droits humains » (Date-anniversaire de la Proclamation en 1789 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen)

Début septembre : Forum des Associations (notamment le Forum des Sports LGBT)

23 septembre : Journée Internationale de la Bisexualité, et contre la biphobie et la panphobie (#BiVisibilityDay)

28 septembre : Journée Mondiale pour l’accès libre à l’avortement (#InternationalSafeAbortionDay)

Octobre : Octobre Rose (campagne de sensibilisation contre le cancer du sein ; #RubanRose)

11 octobre : Journée Internationale du Coming Out (#ComingOutDay)

15 octobre (ou 3e jeudi d’octobre) : Spirit Day (prévention suicides des LGBT)

26 octobre : Journée de la Visibilité Intersexe

2 novembre : Journée Mondiale du Droit à Mourir dans la Dignité (en gros, l’euthanasie) #PourUneFinDeVieLibre

8 novembre : Journée du Souvenir intersexe

20 novembre : Journée du Souvenir trans

25 novembre : Journée Internationale contre les violences de genre ou les violences faites aux femmes (instaurée par l’ONU)

26 novembre : Journée de la Visibilité Asexuelle (« Ace Visibility Day » ; #NonBinaire #InternationalAsexualityDay)

1er décembre : Journée Mondiale de Lutte contre le SIDA (#RubanRouge)

10 décembre : Journée Internationale des Droits de l’Homme
 

J’aurais pu inclure à ce calendrier des événements à la fois gay friendly (crypto-gay) et mondiaux… mais ils n’ont pas de date fixe et sont plus locaux que réellement internationaux : le concours Eurovision (en mai), le spectacle du Super Bowl (en février : finale du championnat de football américain aux USA), la Fashion Week (en septembre : défilé haute couture), les festivals de cinéma (Golden Globes, Oscars à Hollywood, le Festival de Cannes : pas de mois précis), les carnavals (de Sydney en Australie, de Rio de Janeiro au Brésil, de Baranquilla en Colombie, etc.), les Gay Games (tous les 4 ans, en marge des Jeux Olympiques), etc.

Le rapport de la CIASE sur les abus sexuels dans l’Église en France : une « Bombe » ? Vraiment ?


 

Le rapport de la CIASE (non, pas la « chiasse » – même si on n’en est pas loin… -, mais la « Commission Indépendante sur les Abus Sexuels dans l’Église », sponsorisée par la Conférence des Évêques de France) – présenté par Jean-Marc Sauvé le rapporteur officiel de cette commission – vient de sortir.
 

Dans la sphère catholique seulement, c’est apparemment l’émoi. On nous présente cette commission d’enquête comme une pièce à conviction accablante, un « Événement » redoutable qui fait trembler les murs de l’Église universelle. Et déjà, çà et là, les influenceurs catholiques endossent le rôle de pare-chocs, de médiateurs et d’« artisans d’Unité », pour gérer la « crise ». #CNV (Communication Non-Violente).
 

Suite à cette publication, hier, le Pape François a déclaré lors de son audience du mercredi : « C’est le Moment de la Honte ». Mais la honte de quoi ? C’est ça la vraie question qu’il faut se poser. Plus que la honte des abus sexuels ecclésiaux sur mineurs (qui, en soi, est légitime, car ce sont des actes objectivement honteux ; mais cette honte a largement été exprimée : ça va faire 10 ans que le sempiternel « battage de coulpe » est fait. Il est peut-être temps de passer à autre chose, non ? A fortiori si les dommages et les plaies de certaines victimes sont irréversibles à vie !), je crois que nous devrions avoir honte de surjouer la honte pour en cacher une autre bien plus scandaleuse : celle d’alimenter la pédophilie par la focalisation sur la pédophilie sacerdotale pour couvrir son moteur principal, à savoir l’homosexualité sacerdotale (car oui : il y a largement plus d’homosexualité sacerdotale que de pédophilie : je peux vous l’assurer !).
 

En fait, ce rapport est bien une bombe. Pas en soi, mais parce qu’il ne demande pas pardon pour ce qui le mérite, et donc qu’il constitue une véritable bombe à retardement. En réalité, il fait trembler les murs de l’Église à cause de la diversion qu’il crée et alimente entre pédophilie (sujet sur-traité) et homosexualité (sujet sous-traité, voire complètement nié), alors que les deux fonctionnent en vases communicants. En effet, quand on lit le rapport de la CIASE, le caractère majoritairement masculin, et donc homosexuel – bien plus que pédophile –, saute aux yeux : Jean-Marc Sauvé souligne qu’à 80% les abus sexuels ecclésiaux concernent des hommes, autant côté abuseurs que côté violés ! (je le cite : « Caractères des abus : massivement des garçons (80% des victimes). ») Vous avez bien entendu : 80 % ! C’est gros comme le nez au milieu de la figure… mais NON ! On ne nous parlera que de pédophilie ou des victimes ou de l’horreur traumatique des viols ou de la sexualité des prêtres ou du célibat sacerdotal ! De tout sauf du vrai problème dans l’Église actuelle, à savoir la pratique homo (sacerdotale) et la justification/banalisation de cette pratique !
 

La nullité, l’hypocrisie et la collaboration (inconsciente car elle est sincère : c’est ça le pire) de la vague d’émotion/de contrition – ou plutôt, pour être plus exact, de la simulation de « honte » et de « contrition » opérée par le clergé actuel (excusez-moi, mais quand je vois le cinéma de gravité et de « mea culpa » – la mine défaite – interprété par le Pape François, à ce degré-là, ce n’est plus du jeu : c’est de la singerie) – suscitée par la reconnaissance des abus sexuels dans l’Église, m’écœurent. Les médias et milieux « catholiques » multiplient en ce moment les effets d’annonce, en nous présentant ce rapport des abus sexuels catholiques en France à la fois comme une « Bombe », un « Tsunami », « une épreuve ecclésiale sans précédent », un « Moment de Vérité terrible MAIS AUSSI paradoxalement salutaire et nécessaire » par la « lumière » et « l’éclat qu’il diffuserait sur nos consciences catholiques endormies », et par la merveilleuse occasion d’« humilité » et de « purification » interne (même si ça fait mal…) qu’il offrirait. (Koz Toujours, par exemple, est prêt à jouer les « convertis », les « born again », les « ex-aveugles » qui recouvrent la vue face aux récits déchirants des victimes et à une réalité atroce qu’il aurait jadis sous-évaluée ! à rentrer dans la peau du « douloureusement miraculé/réveillé »! C’est beau… Et beaucoup de journalistes catholiques actuels sont à la recherche de leur femme violée ou de leur victime d’abus pour faire pleurer dans les chaumières sur l’horreur du viol ou de l’inceste. Il y a des tabous qui ne sont pas si tabous à force d’en porter le titre…).
 

Cette emphase – ou plutôt cette mise en scène – de surévaluation de l’importance de cette commission d’enquête (alors que concrètement, les conclusions tirées ne nous apprennent rien et rasent les pâquerettes…) me rappelle comment Emmanuel Macron sur-dramatisait la pandémie du Coronavirus (« Nous sommes en GUERRE… » = « Je suis ton père. » #DarkVador) pour en réalité déclarer et instaurer contre les Français une guerre invisible, pour le coup : celle des objets connectés, et du contrôle technologique/numérique global de la population.
 

Là, dans le cas de l’Église, la déclaration solennelle de honte produit un effet d’annonce délétère similaire. C’est la même grandiloquence théâtrale qui en réalité maquille un déni, tout en donnant l’impression du contraire (On nous fait croire qu’on traite frontalement et courageusement un « tabou », pour, par derrière, en consolider un autre, bien plus épineux à traiter : car tout le monde s’accorde à condamner la pédophilie – y compris les personnes pédophiles ! – mais personne ne s’accordera à condamner la pratique homosexuelle).
 

Ce rapport sur les abus sexuels, qui en soi, s’il était bien interprété, aurait en effet largement de quoi être une bombe pour le Monde et l’Église (si seulement la pédophilie n’était pas utilisée comme paravent de l’homosexualité !), fait, malgré tout le battage médiatique et tous les efforts dramaturgiques déployés par le journalistes « catholiques » et les clercs pour prouver leur intérêt, leur bonne foi et leur affliction, pschitt ! C’est du cinéma (qui ne convainc d’ailleurs que les adulateurs de Koz Toujours, les lecteurs d’Aleteia ou de Famille Chrétienne, et les spectateurs de KTO…). Un cinéma pas seulement grotesque, mais dangereux. Car il fait que l’Église-Institution est en train de se tirer une balle dans le pied et de couler sa propre barque. Il suffit de regarder comment les porte-parole « catholiques » applaudis aujourd’hui – tous gays friendly et en faveur de la pratique homo (je pense à la sœur Véronique Margron, à l’avocat Erwan Le Morhedec/Koz Toujours – ses récents articles c’est vraiment le pompon de la stupidité « érudite » -, à Jean-Michel Dunand, à Jean-Pierre Denis, etc.) – ont tout des pompiers pyromanes qui s’ignorent : ils allument le feu qu’ils prétendent éteindre en substituant le thème de l’homosexualité par celui de la pédophilie… en promotionnant voire quelquefois en pratiquant le premier, pour ensuite, par atavisme non-causal, alimenter le second, … et enfin s’en lamenter publiquement ! Certes, cette stratégie de diversion tient du génie… mais alors, quelle perversion !