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Prévisions personnelles de la forme actualisée que prendront les 10 Plaies d’Égypte de l’Ancien Testament à l’occasion de la Fin du Monde que nous allons vivre d’ici peu


 

Après avoir lu en entier le livre d’Annick de Souzenelle L’Égypte intérieure ou les dix plaies de l’âme (1991) – essai un peu trop ésotérique et métaphorique à mon goût mais qui a le mérite de proposer une lecture symboliste et transhistorique des 10 fléaux envoyés par Dieu pour punir l’Égypte Antique afin que Pharaon laisse le Peuple juif, guidé par Moïse, s’exiler vers la Terre Promise –, j’ai eu envie, moi aussi, de me prêter au jeu de l’interprétation actualisante de ces 10 plaies.
 

Car je connais l’éternité de Dieu (« Christ hier, aujourd’hui, demain et toujours »), ainsi que son identité trine (Père, Fils et Saint Esprit). Donc je sais que notre Histoire humaine est divisée en 3 grandes périodes qui se font écho les unes aux autres : le temps du Père (narré dans l’Ancien Testament) – le temps du Fils (narré dans le Nouveau Testament, pendant l’incarnation humaine de Dieu en Jésus sur Terre, il y a 2000 ans) – et le temps de l’Esprit Saint (porté spécialement par Marie, et qui est le nôtre, jusqu’au retour en gloire de Jésus à la Fin des Temps, c’est-à-dire à la Parousie). Par exemple, notre génération va (re)vivre les 10 plaies d’Égypte mais plus en mode « trompettes d’avertissement », « ouverture des sceaux » et « cataclysmes mondiaux » impressionnants dont parle le prophète Daniel dans l’Ancien Testament, ou Jésus dans les 4 Évangiles (Mt 24), ou saint Jean dans le livre de l’Apocalypse.
 

Ce que je veux dire, c’est que le scénario de la Fin des Temps va suivre « exactement mais différemment » le déroulement de l’exode du Peuple hébreu conduit par Moïse, ou bien celui de la Passion de Jésus-Christ jusqu’à sa crucifixion et sa Résurrection. Tout notre avenir est scrupuleusement centré sur la vie du Christ, et résumé en elle. Donc je n’annoncerai pas de scoop. Jésus nous a déjà tout raconté et nous parle par sa vie. Nous vivrons pas autre chose que la vie de Jésus.
 

La seule nouveauté que vous découvrirez peut-être à la lecture de cet article et de mon essai d’actualisation du déroulé de l’Exode à notre époque actuelle, ce sont les analogies transhistoriques vers lesquelles je me hasarde. Après, je n’ai aucune idée de la fourchette temporelle sur laquelle ces 10 plaies vont s’étaler. Je mise humblement sur 10-15 ans (Dans mon essai Homo-Bobo-Apo, écrit en 2017, j’avais lancé que notre Humanité n’en avait que pour 20 ans grand max à vivre ; et je crois, étant donné la prophétie des papes de saint Malachie, que par exemple la papauté va s’achever en 2027). Mais le temps des prophéties est élastique et soumis autant à notre conversion qu’à la bonté/volonté du Seigneur. En tout cas, voici maintenant mon pronostic d’actualisation des 10 plaies d’Égypte pour notre Temps et pour notre avenir proche :
 
 

PREMIÈRE PLAIE : L’EAU DU NIL TRANSFORMÉE EN SANG (= LE « VACCIN »)

 

La première plaie d’Égypte, c’est la transformation de l’eau du Nil en sang.
 

 

Au premier degré, on pourrait l’entendre comme la pollution des eaux terrestres et maritimes (il paraît, si l’on en croit le livre de l’Apocalypse, que les 2/3 des eaux de la Planète seront polluées et imbuvables).
 

Mais pour ma part, je pars plutôt du côté de la thèse du « bain de sang » au double sens du terme :

– à savoir la puce RFID injectée dans le sang de la population mondiale sous forme de nanoparticules électromagnétiques (le « vaccin » ARN Messager contre la COVID 19) réagissant aux objets connectés lucifériens qui fonctionnent à l’or, le soleil et surtout l’électricité.

– à savoir des guerres plus ou moins réelles (comme celle de l’Ukraine). Le « bain de sang » se réfère à l’assassinat de tous les pauvres, les faibles et les résistants au Gouvernement Mondial (étiquetés comme « gênants » ou comme « dangereux extrémistes menaçant l’Équilibre planétaire »). Les handicapés sont utilisés dans un premier temps comme alibis de progrès et de solidarité… mais la plupart sont supprimés en coulisses.
 

Par ailleurs, les magiciens de la Cour impériale de l’Antéchrist diront que ce bain de sang est « magique » et non une permission venant de Dieu. Voilà pourquoi ils l’appellent aussi la Force, l’énergie, le progrès, la solution… même si c’est au contraire une épuration ethnique et christique déguisée, un contamination du sang mondial : sang des martyrs, pastiche du Sang du Christ (par la bière, notamment), transformation du sang pour rendre les Humains stériles ou provoquer chez eux des cancers ou des accidents cardio-vasculaires. Je me souviens que des amis qui se sont fait injecter par Moderna ou par Pfizer m’ont décrit innocemment le liquide du « vaccin » comme du « jus de grenadine » car il était de couleur rouge ; et le pseudo « vaccin » anti-COVID alourdit le sang, crée des thromboses et des caillots de sang provoquant des ruptures d’anévrisme ou de fréquentes interruptions des règles féminines…
 

Je pense personnellement que nous sommes arrivés, en 2020-2022, à la première néo plaie d’Égypte actualisée. Nous avons, en effet, dépassé cette étape.
 
 

DEUXIÈME PLAIE : L’INVASION DE GRENOUILLES (= INSTALLATION DU HARDWARE)

 

La deuxième plaie d’Égypte actuelle correspond à l’invasion des grenouilles. Ce fléau est relatif à la « connaissance ». Effectivement, le mot hébreu « Tsephardim » que nous traduisons par « grenouilles » peut être lu comme « l’essor des connaissances » (ça, c’est Annick de Souzenelle qui me l’a appris ! Merci à elle). Et cette collecte gnostique que les grenouilles symbolisent s’incruste partout, comme le dit l’Exode : dans les ustensiles de cuisine, les machines à laver, les fours… « Moi, j’infeste tout ton territoire de grenouilles ; le fleuve grouillera de grenouilles et elles pénètreront dans ta maison et dans la chambre où tu reposes et sur ton lit, et dans la maison de tes serviteurs et de ton peuple, dans les fours et dans les pétrins. Les grenouilles monteront sur toi, sur ton peuple et sur tes serviteurs. » (Ex 7, 26-29).
 

Les grenouilles actuelles sont les objets de la captation des comportements, des infos, des mouvements et parfois même des pensées des gens. À l’instar des caméras, des capteurs et des objets connectés dits « intelligents », elles collectent les données. Elles figurent l’installation de l’Intelligence Artificielle (électrification et numérisation de la vie quotidienne). Le Li-Fi succèdera bientôt au Wi-Fi. Philippe Guillemant nous a prévenus : le business des objets connectés – dit « Hardware » – est largement plus juteux et invasif que celui des « vaccins ». Pendant le premier confinement mondial, tandis que nous avions le dos tourné, le réseau électrique, l’installation des caméras et de la Fibre, battaient leur plein. Et là encore, cette plaie grenouillesque est présentée comme « magique » et « sous contrôle » par les magiciens de la Cour antéchristique.
 

En l’espace de quelques années, l’information et l’opinion incarnent le nouveau pain et les nouveaux jeux offerts par le Gouvernement Mondial pour maintenir la population planétaire en esclavage et sous hypnose. La collecte des données et la maîtrise des informations sont devenus les principaux enjeux de pouvoir des puissants de notre Monde. Par exemple, le dictateur Emmanuel Macron considère que la vraie pauvreté, c’est l’absence d’accès à l’éducation, à l’information et à la culture, les zones du Globe privées de connexion Internet… et non l’absence des biens de première nécessité tels que la nourriture, le logement, le travail et la Foi. Le dictateur Barack Obama, idem : il appelle à la régulation des réseaux sociaux par le contrôle censurant des algorithmes, et à une uniformisation des contenus pour que les informations soient univoques et aillent dans son sens. Les deux hommes travaillent pour le Gouvernement Mondial et entendent centraliser/orienter les informations pour formater les esprits. Ils veulent aussi installer la Fibre sur toute la Planète, et placer leurs grenouilles-indics partout, même en Afrique et en Russie.
 

On peut donc dire que nous sommes quasiment parvenus mondialement à l’issue de la 2e plaie, mais pas encore tout à fait.
 
 

TROISIÈME PLAIE : L’INVASION DE MOUSTIQUES (= VIRUS PLUS VIRULENTS JUSTIFIANT LA BLOCKCHAIN)

 

Cette troisième plaie, qui concerne l’invasion de moustiques, est la première que les magiciens de Pharaon se montrent impuissants à maîtriser. C’est pourquoi ils avoueront tout gênés au Grand Monarque du Monde qu’elle vient sans doute du « doigt de Dieu » (Ex 8, 12-15).
 

J’ai parmi mes amis une jeune infectiologue qui s’est lancée dans une carrière en bactériologie quelques années avant la crise du Coronavirus, non pour étudier le SARS-CoV-2, mais en prévision de la généralisation des arboviroses (maladies transmises par les moustiques) : par exemple, le Chikungunya, la Dengue, le Zika, les moustiques-tigres, la Fièvre jaune, les Encéphalites, le paludisme, etc. Des maladies beaucoup plus dévastatrices que le COVID 19. Elle m’a dit que les arboviroses seraient dans très peu de temps « notre quotidien » et notre avenir ! La psychose autour du Coronavirus, et l’arsenal de surveillance numérique disproportionné qui a été mis en place en son nom et qui ne se justifiait pas, seront – et c’est là toute la perversion du Pass Vaccinal et de l’imposition de l’identité numérique à tous – quasiment justifiés par l’arrivée de ces pandémies massives que sont les arboviroses. Le danger qu’elles constituent « légitiment » presque une couverture « vaccinale » complète et un contrôle numérique constant imposé, et donc un Pass Vaccinal à vie, un resserrement totalitaire du maillage Internet. Le caractère diabolique du Pass sanitaire et de l’identifiant numérique sont là : dans leur apparente nécessité obligatoire face à un danger réel de contamination massive.
 

Nous ne sommes pas encore parvenus mondialement à cette 3e plaie, mais elle est à nos portes.
 
 

QUATRIÈME PLAIE : L’INVASION DE TAONS (= DOMOTIQUE)

 

Les taons, à la différence des moustiques qui piquent, mordent. Ça veut dire que leur infiltration est plus profonde. Ce sont des sortes de mouches noires dont les morsures ont l’effet des sangsues. Les concernant, l’image du vampire est assez évocatrice. Celle des espions aussi : d’ailleurs, les traceurs sont également surnommés « les mouchards », comme par hasard. À la différence des moustiques, les taons symbolisent une véritable intrusion de l’électrique et du numérique jusque dans les maisons/habitations humaines, les transports, les corps. Ils pénètrent à l’intérieur des personnes. L’Insecte (l’« in »-« secte ») ne se contente plus de piquer, il devient cannibale : « Je serai celui qui envoie en toi et dans tes serviteurs et dans ton peuple et dans tes maisons, l’insecte qui remplira mes maisons des Égyptiens et l’insecte aussi qui remplira la terre où ils demeurent. » (Ex 8, 16-20).
 

Les maisons ou les bagnoles ou les corps ne pourront plus s’ouvrir sans les taons, sans les mouchards. Car les clés ou les cartes auront disparu. C’est l’hégémonie de la domotique (maisons connectées qui auront envoyé balader les digicodes et les caméras traditionnels, pour les remplacer par la reconnaissance faciale et l’Intelligence Artificielle obéissant aux banques de données biométriques). Les taons nous boufferont – c’est le cas de le dire – tout notre temps ! Ils augureront l’ère des enceintes connectées, des home assistants, des villes lumière avec des détecteurs, des drones et des capteurs à chaque coin de rue. Un enfer sécuritaire sur Terre ! « À la chinoise » (puisque là-bas, il y a 1 caméra pour 2 habitants). Ce sera aussi l’hégémonie des traceurs : les Humains et les animaux sont suivis à la trace (j’ai vu aujourd’hui dans le métro parisien une pub de bouffe pour chiens : « Les insectes dans la gamelle » : les taons traceront même les aliments pour assurer aux consommateurs leur qualité !)
 

« Des insectes dans la gamelle : bienvenue en 2022 ! »


 
 

CINQUIÈME PLAIE : LA PESTE (= REMPLACEMENT DE LA BÊTE PAR L’IMAGE DE LA BÊTE)

 

Dans le livre de l’Exode, la peste anéantit chevaux, ânes, chameaux, bovins et moutons. Et on peut effectivement imaginer que ce sera le cas avec une vraie hécatombe animale : « Tout le bétail de l’Égypte mourut. » (Ex 9, 1-7). Ce sont ces fanatiques de Vegan qui vont être contents… Pour la petite histoire, dans le livre de l’Apocalypse, la peste qui s’étendra dans le Monde entier sera le « cadeau » du quatrième cavalier de l’Apocalypse (Ap 6, 8) !
 

Mais je voudrais aussi prendre la peste dans son sens figuré. On peut très bien imaginer qu’elle s’actualisera de deux manières : tout d’abord le remplacement des bêtes par leur image technologique humanisée et subcutanée (la fameuse « Image de la Bête » – Ap 13, 15 – dont parle saint Jean dans l’Apocalypse, et qui s’anime sur des écrans) : le Gouvernement Mondial d’un côté détruit la biodiversité et les vrais animaux, et d’un autre les numérise et ne multiplie que certaines espèces, de manière prolifique et incontrôlée. Et ensuite, je vois la Peste comme l’apparition du diable personnifié, c’est-à-dire l’Antéchrist (dont parle le prophète Daniel ou encore saint Pierre dans la Bible) : jadis Pharaon ; maintenant, Macron et tous ses fac-similés (et le côté « peste » de Manu n’échappe à personne).
 

 
 

SIXIÈME PLAIE : LES ULCÈRES SUR LA PEAU (= BOMBE ATOMIQUE ou MARQUE DE LA BÊTE)

 

La sixième plaie, ce sont les ulcères. Ces derniers sont une maladie de peau qui ressemble à des bulles, à des abcès à crever. « Yahvé dit à Moïse et à Aaron : ‘Prenez pour vous plein vos deux mains de la suie de la fournaise et que Moïse le Céleste la jette aux yeux de Pharaon : elle deviendra une poussière sur toute la terre d’Égypte et elle deviendra sur l’Adam et sur le bétail une lèpre faisant éruption en abcès sur toute la terre d’Égypte.’ » (Ex 9, 8-12). Personnellement, concernant l’ulcère, je pense autant à la maladie de l’épiderme – et de l’épiderme tatoué de la Marque de la Bête (Ap 13, 17) décrite par saint Jean dans l’Apocalypse – qu’à la maladie radioactive de la surface terrestre, à savoir la bombe atomique (avec radiations qui peuvent créer des ulcères). Certains, surtout en ce moment, attendent cette bombe de la Russie. De mon côté, je situe son explosion en Iran. Mais ce n’est qu’une intuition.
 
 

SEPTIÈME PLAIE : GRÊLE DÉVASTRATRICE (= ÉRUPTION SOLAIRE + VOLCANS ET TREMBLEMENTS DE TERRE)

 

La septième plaie d’Égypte concerne la grêle. « Ce fut une grêle et un feu tourbillonnant au milieu, la grêle la plus grave qu’il y avait jamais eu dans tout le pays d’Égypte depuis qu’elle était devenue une nation. » (Ex 9, 22-35). On a de plus en plus l’habitude de voir des pluies de grêle absolument dévastatrices y compris en France (des morceaux de glace aussi gros que des balles de ping-pong !). Et si le Déluge a vu tomber du ciel une pluie d’eau, je crois que l’Ultime Déluge auquel nous assisterons verra s’abattre une pluie de souffre, d’acier et de Feu. C’est toute la différence ! Comme le décrit Jésus lui-même, les étoiles s’échoueront sur la Terre (Mt 24). Certaines prophéties parlent aussi d’un astéroïde qui tombera dans l’Océan et déplacera l’axe de rotation de la Terre. Quant à saint Jean, dans l’Apocalypse, il évoque la chute d’une montagne de Feu sur Terre, ce qui m’amène à penser à une éruption/tempête solaire qui, combinée à un réveil de l’activité volcanique terrestre qu’elle aura impulsé, chamboulera le Cosmos au point de pulvériser tous les satellites sur lesquels compte le Monde pour s’électrifier. « Le deuxième ange sonna de la trompette : dans la mer fut jetée comme une grande montagne embrasée. » (Ap 8, 8) ; « Le troisième ange sonna de la trompette : du ciel tomba une grande étoile qui flambait comme une torche. » (Ap 8, 10) ; « Le cinquième ange sonna de la trompette, et j’ai vu une étoile qui était tombée du ciel sur la Terre : c’est à elle que fut donnée la clé du puits de l’abîme. Elle ouvrit le puits de l’abîme, et du puits monta une fumée comme celle d’une grande fournaise ; le soleil et l’air furent obscurcis par la fumée du puits. » (Ap 9, 1-2). Sympa, le programme… J’espère que vous avez le cœur bien accroché.
 
 

HUITIÈME PLAIE : LES SAUTERELLES (= BLACK-OUT, COUPURE ÉLECTRIQUE MONDIALE : TOUT SAUTE !)

 

La huitième plaie, ce sont les sauterelles, symbole de pullulation dévastatrice, de supplice d’ordre moral et spirituel, mais aussi de grignotage irréparable (rien qu’à voir comment des colonies de sauterelles en Afrique ou en Australie dévorent les récoltes, on comprend !).
 

 

Mais pour ma part, je postule à une lecture symbolique plus techniciste de l’invasion de sauterelles. Les sauterelles, comme leur nom l’indique, c’est ce qui saute… comme les plombs et les installations électriques ! Donc il est fort possible que l’arrivée massive des sauterelles corresponde à un black-out mondial, c’est-à-dire à une panne et à une coupure électrique générale (c.f. je vous invite à regarder en entier cette excellente présentation du risque probable de black-out planétaire par le Suisse Grégoire Chambaz).
 

 

Je crois personnellement que ce black-out sera la conjonction des tremblements de terre/éruptions volcaniques et d’une éruption solaire, qui précipitera la Terre dans un black-out complet : je pense aux coulées pyroclastiques générées par le supervolcan Théra en 1600 av. J.-C. (qui, selon les scientifiques, pourraient expliquer l’ouverture de la Mer Rouge en deux par Moïse, ainsi que l’obscurité épaisse qui a rendu le soleil invisible aux yeux des Égyptiens) ; je pense également aux satellites qui seront détruits et emportés par la tempête solaire. Les plombs vont sauter, comme les sauterelles, dans toutes les maisons : « Les sauterelles rempliront les maisons et mes maisons de tes serviteurs et les maisons de toute l’Égypte. »
 

Particularité de la sauterelle : en plus de détruire tout sur son passage, elle ne revient pas en arrière. Elle ne sait pas reculer. C’est un rouleau compresseur destructeur. En plus, en hébreu, elle se dit « Arebeth », comme le verbe « augmenter » (c.f. l’« Homme augmenté ») ; et « Ar » est le radical de la lumière. C’est donc l’anti-Lumière luciférienne. « Je fais venir la Sauterelle dans ton pays. Elle cachera l’Œil de la Terre et nul ne pourra voir la Terre. » (Ex 10, 1-20).
 
 

NEUVIÈME PLAIE : LES TROIS JOURS DE TÉNÈBRES (= OBSCURITÉ ÉPAISSE)

 

La neuvième plaie d’Égypte, ce sont les Trois Jours de Ténèbres. Elle trouve très probablement son analogue avec l’ouverture du 6e sceau de l’Apocalypse (le sixième sceau annonce de grands cataclysmes accompagnant la Fin du Monde : tremblements de terre, froid particulièrement dense, le soleil devenant noir, les astres célestes qui bougent, les étoiles s’écrasant sur Terre, etc.) ainsi que du 7e sceau (qui marque un Grand Silence).
 

Les Trois Jours de Ténèbres sont aussi annoncés par les prophéties de Padre Pio. Celles-ci sont assez connues car elles font assez peur. Le saint nous avertit que lorsqu’ils arriveront, on ne verra même plus nos mains, qu’il faudra nous enfermer chez nous, ne pas ouvrir aux voix des démons qui imiteront les voix de nos proches, que seules les bougies bénies éclaireront, qu’il nous faudra prier pendant que ce sera le chaos dehors et le nettoyage du mal par les anges…
 

Et bien sûr, on retrouve des préfigurations des Trois Jours de Ténèbres dans toute la Bible. En gros, ces derniers représentent les journées de Jésus au tombeau et au séjour des morts juste avant sa Résurrection (c.f. Dans le credo catholique, il est dit qu’« Il ressuscita le 3ème jour. »), le temps qu’Il descende en enfer et qu’Il vainque Satan. Mais ils peuvent tout aussi bien renvoyer aux 3 ans et demi de règne de l’Antéchrist sur le Monde avant sa chute. Ou bien aux 3 ans et 11 mois de l’exil de Marie, Joseph et Jésus bébé en Égypte. Et aussi aux douleurs de l’enfantement de la Vierge Marie – poussée au désert par le torrent d’eau et de feu du mythique Dragon, écrasant la tête de ce dernier et donnant l’ultime et définitive naissance à Jésus-Dieu.
 

On retrouvait déjà les Trois Jours de Ténèbres à diverses reprises dans la Bible :

– Le gros poisson (la baleine) engloutissant Jonas, et dans les entrailles duquel il reste 3 jours et trois nuits, avant d’être recraché sur un sol sec. (Jésus, quand Il fait référence à cet épisode de l’Ancien Testament, parle du « Signe de Jonas » comme une annonce de sa propre Résurrection des morts).

– dans le Nouveau Testament, les 3 jours d’angoisse de Marie et Joseph cherchant Jésus évangélisant à 12 ans dans le Temple de Jérusalem (le fameux « Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? » de Marie, dans Lc 2, 52) ; les 3 jours de famine de la foule suivant Jésus juste avant la deuxième multiplication des pains (Mc 8, 1-9) ; les 3 heures (18h-21h) d’obscurité totale suivant l’expiration de Jésus sur la croix (avec le soleil qui s’obscurcit sur toute la Terre, les tremblements de terre, le rideau du Temple de Jérusalem qui se coupe en deux, l’eau et le sang jaillissant du côté de Jésus transpercé par la lance du centurion romain… tous ces signes physiques qui font dire à ceux qui ont assisté à la mort de Jésus que celui-ci est vraiment le Fils de Dieu !) ; les 3 jours précédant la Résurrection de Jésus.
 

C’est pourquoi, même s’ils sont impressionnants, ces Trois Jours de Ténèbres ne doivent pas nous faire peur, mais être vécus comme la sas obscur de la naissance imminente et de la Résurrection de Jésus en nous.
 
 

DIXIÈME PLAIE : LA MORT DE TOUS LES PREMIERS-NÉS (= PAROUSIE ET EXODE DU PEUPLE SAINT VERS LE ROYAUME DE DIEU)

 

La dixième et dernière plaie d’Égypte, c’est la mort de tous les premiers-nés, c’est-à-dire la mort des deux-tiers de l’Humanité. En effet, au cours des Trois Jours de Ténèbres, les deux tiers de la population mondiale vont mourir. « Alors furent libérés les quatre anges qui étaient prêts pour cette heure, ce jour, ce mois, cette année, afin de tuer le tiers de l’Humanité. […] Le tiers de l’Humanité fut tué par ces trois fléaux, le feu, la fumée et le soufre qui sortaient de leurs bouches. » (Ap 9, 15 puis 18). Mais il y a surtout le Livre de Zacharie dans l’Ancien Testament : « Il arrivera dans tout le pays – oracle du Seigneur – que deux tiers en seront retranchés, périront, et que l’autre tiers y restera. Je ferai passer ce tiers par le feu ; je l’épurerai comme on épure l’argent, je l’éprouverai comme on éprouve l’or. » (Zc 13, 7-9). Concernant ces deux-tiers, je vous renvoie également au livre d’Ezéchiel (Ez 5, 1-4). Dans le Livre de l’Exode, Pharaon perd son fils unique lors de cette plaie-là, et ce sera le drame inconsolable de sa vie : ce serait pourquoi il aurait enfin laissé le Peuple hébreu s’exiler de son Royaume… même si l’épisode de la course-poursuite avec ses armées jusqu’à la Mer Rouge qui se coupe en deux et se referme sur elles prouvent qu’il a cherché à le retenir (Ex 13 ; et Bataille finale d’Armageddon dont parle l’Apocalypse) !
 

Certains exégètes actuels associent également la mort des premiers-nés aux nombreux avortements actuels ; d’autres au massacre des saints innocents perpétré par Hérode au moment de la naissance de Jésus. Moi, personnellement, je crois que cet épisode actualisera à l’avenir deux choses : le Jugement Dernier, lorsque les anges de Dieu éradiqueront les méchants et les démons de la surface de la Terre (Les paroles de Jésus, en Mt 24, 19-22, l’attestent : « Malheureuses les femmes qui seront enceintes et celles qui allaiteront en ces jours-là ! Priez pour que votre fuite n’arrive pas en hiver ni un jour de sabbat. Alors, en effet, il y aura une grande détresse, telle qu’il n’y en a jamais eu depuis le commencement du monde jusqu’à maintenant, et telle qu’il n’y en aura jamais plus. Et si le nombre de ces jours-là n’était pas abrégé, personne n’aurait la vie sauve ; mais à cause des élus, ces jours-là seront abrégés. ») ; et le sang des martyrs des Tribulations, qui auront, en donnant leur vie pour Jésus par Sa Croix, revêtu le vêtement blanc qui leur donnera l’accès aux Noces du Royaume où l’on mangera l’Agneau pascal (« On prendra du sang de l’agneau pascal et on en mettra sur les deux poteaux et sur le linteau des maisons. […] Je passerai dans le pays d’Égypte dans cette nuit-là ; je frapperai tout premier-né dans le pays d’Égypte depuis l’homme jusqu’au bétail. […] Le sang servira de signe pour vous sur les maisons où vous serez là et je verrai le sang et je passerai sur vous et il n’y aura pas pour vous de plaie pour la destruction quand je frapperai la terre d’Égypte. », Ex 12, 7).
 
 
 

Ce que je viens d’écrire sur les « 10 Plaies d’Égypte 2. 0 » sont des hypothèses « personnelles ». Non des certitudes. Les faits leur donneront peut-être raison. Je l’espère. En tout cas, bonne Fin des Temps à tous !

Le Journal de l’Antéchrist : des nouvelles de la Marque de la Bête

Comme vous le savez, je m’intéresse depuis un certain temps à la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans l’Apocalypse (Ap 13, 17). La puce RFID subcutanée.
 

Et à 4 « endroits » médiatiques, j’ai vu que le Gouvernement Mondial nous l’impose. Comme si, en animalisant ce qui est par essence inhumain, c’est-à-dire la robotique, il prétendait « humaniser » cette dernière. C’est très étrange, cette humanisation par l’animalisation technologique, par l’image de la Bête.
 

Le premier, c’est la publicité de la marque Apple : « Votre prochain ordinateur n’est pas un ordinateur. » : autrement dit, « c’est vous ». Ou « c’est la Bête ».
 


 

Le deuxième endroit, c’est dans les « Battles » (traduction : « batailles ») de l’émission The Voice. Déjà, la mise en scène représente spacialement la Marque de la Bête (la lettre « V » surmontée d’un « W »). Et ensuite, au moment de l’apparition des deux candidats des « Battles » sur scène, une grille se lève devant eux, en mode « Lâchez les fauves! » L’idée des « Battles », plus que de figurer un ring de boxe ou de catch, c’est de symboliquement lâcher les taureaux dans l’arène. Et les 4 empereurs délibèrent ensuite pouce levé/pouce baissé en ayant droit de vie ou de mort sur la carrière des « bêtes de scène » défilant devant eux.
 


 

Le troisième endroit, c’est la Marque de la Bête présente dans la publicité des rasoirs Bulldog. La Bête s’adresse aux hommes comme un reflet d’eux-mêmes. Le massage tacite, c’est que nous serions la Marque de la Bête.
 

 

Le quatrième endroit, c’est la chanson « Fenomenology » de Lara Fabian, parlant d’un chien ou d’un papillon apocalyptique vénéré comme un Christ sacrifié.

Comment vivre la foule (la « fool ») aujourd’hui

Je me baladais aujourd’hui dans Paris pour me rendre à la messe à saint Nicolas des Champs. Sur ma route, je croisais une foultitude de gens (des familles profitant du soleil, des enfants tout sourire posant ensemble pour une photo, des groupes d’amis, des personnes de tous pays, de tous âges, de toutes conditions et de toutes races…), des individus que je voyais pour la première fois, que je n’avais pas la possibilité de connaître en profondeur, et que je ne reverrai a priori plus jamais. Je me suis senti tout seul, et j’ai senti aussi la solitude de chacune des personnes de la foule qui se trouvait devant moi. Ça ne m’a pas donné le vertige ni de mélancolie ni de dégoût de vivre. Juste un questionnement : qu’est-ce que je fais de cette foule et de ce sentiment de foule ? En quoi peuvent-ils être une Bonne Nouvelle plutôt qu’une mauvaise nouvelle et une déferlante qui va m’engloutir ?
 

Il faut se rendre à l’évidence : nous vivons à échelle planétaire un effet de masse qui n’a jamais été aussi concret (l’Humanité atteint 8 milliards d’âmes), aussi impressionnant (chacune de ces 8 milliards d’âmes peut être démultipliée à l’infini par ses avatars/duplicata d’Internet), et aussi plombant pour notre cœur (sentiment de saturation, de tourbillon, de cacophonie, d’anonymat, d’insignifiance, de noyade dans une mer sans fond, d’abandon, de disparition, de mort), qu’aujourd’hui. Cet effet « multitude » pèse sur la conscience de tout être humain. Et chacun doit gérer la foule – réelle comme virtuelle – comme il veut et surtout comme il peut pour continuer à vivre avec elle.
 

Face à cela, il me semble que nous avons deux voies possibles d’appréhension du phénomène : soit l’abattement agoraphobe qui aboutira au suicide individuel ou collectif (la Tour de Babel qui s’effondre d’être surchargée, le surpeuplement qui va épuiser toutes les richesses de la Terre et du Ciel, la fourmi qui ne supportera plus d’être oubliée dans la fourmilière ou de ne pas se démarquer suffisamment des autres fourmis humaines), soit au contraire une lecture métaphorique de la foule à la lumière de la Nativité de Jésus et de l’Humanité nouvelle qui naîtra/ressuscitera avec Lui. Prendre lumière plutôt qu’ombrage de la foule.
 

En effet, si à l’heure actuelle nous sommes nombreux humainement parlant, et que ça se voit même façon « loupe grossissante » à travers Instagram, il faut le considérer avec joie et Espérance comme une préfiguration concrète de la descendance innombrable promise à Abraham (« aussi nombreuse que les étoiles du Ciel » nous raconte la Genèse : Gen 15) ou de la foule apocalyptique surnuméraire décrite par saint Jean (« J’ai vu une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues. » : Ap 7, 9), et comme le signe de l’arrivée à terme imminente d’un bébé qui est Jésus (et dont tous les membres se forment, grossissent, semblent plus nombreux, se sentent compressés les uns par les autres, demandent à sortir du ventre de la mère qui les abrite : le bébé va passer de l’ombre à la lumière du jour, sans péridurale ; on croit que ça ne va jamais passer, que le ventre de maman va éclater et le bébé avec ; que personne ne survivra à cette naissance et au numérique ; mais finalement, si !).
 

Il y a donc deux manières d’envisager le « numérique » : le numérique internétique, statistique, démographique, catastrophiste et luciférien… et le numérique éternel, beau, natal et christique, des membres corporels du bébé, des grains de sable de la mer, des étoiles dans le Ciel, du Peuple élu et sauvé de Dieu.
 

Alors OUI, c’est vrai : nous sommes nombreux. Mais quel numérique, quelle foule, choisissons-nous ?

La Franc-Maçonnerie envahit l’Église Catholique (le cas du couple gay de Mariés au premier regard anglais)


 

Ça fait un moment que je vous explique que l’objectif de l’Antéchrist (et de la Franc-Maçonnerie et de son Gouvernement Mondial qui marchent pour lui), c’est de transformer le cœur de chair humain en cœur de pierre (la fameuse « Pierre philosophale » ou « plexus solaire » dont parlent les loges maçonniques et/ou new-ageuses : c.f. article 1 et article 2)… pour finalement faire d’une pierre deux coups (c’est le cas de le dire) et tuer à la fois l’Homme et Dieu en Lui.
 

Eh bien ce cœur de pierre, que j’avais vu sur la veste d’M Pokora, je le retrouve chez des personnes gays catholiques, comme le visiblement très pieux Matt Jameson (tatoué de chapelet de partout) qui s’est « marié » à Daniel Mc Lee dans la saison 6 du Mariés au premier regard anglais (Married at first Sight UK 2021). Actuellement, beaucoup de catholiques ou/et de francs-maçons, piégés par leur franchise/sincérité (puriste comme le diamant !), pensent inconsciemment que Franc-Maçonnerie et Église Catholique sont compatibles et peuvent faire bon ménage.
 

Et une nouvelle fois, c’est le triangle homo-bobo-apo qui me sert d’identification de l’homosexualité dans la Franc-Maçonnerie et/ou dans l’Église (et la compénétration de ces deux dernières), de la Franc-Maçonnerie dans le milieu homo et/ou dans l’Église (et la compénétration de ces deux derniers), ou de l’Église dans le milieu homo et/ou de la Franc-Maçonnerie (et la compénétration de ces deux derniers). Triangle magique, précis et visionnaire.
 
 
 

N.B. : Dernière chose qui n’a a priori rien à voir (alors que si) : la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans le livre de l’Apocalypse apparaît une nouvelle fois. J’ai tapé « hashtag » (#) en toutes lettres sur Google, marque par excellence du réseau social Twitter pour codifier et rameuter le maximum de monde autour d’un mot… et regardez la définition du dictionnaire Larousse et l’exemple choisi : le chien. Donc le hashtag est bien la « Marque de la Bête », ou en tout cas une des préfigurations.

Calendrier de publication des prochains 18 podcasts « 5 Minutes, 1 Thème : Amis ou Pas ? » entre Steph Bach et Philippe Ariño

Voici la liste des 18 podcasts « 5 Minutes, 1 Thème : Amis ou Pas ? » que la chanteuse Steph Bach et moi-même avons enregistrés en 2019, juste avant la crise sanitaire.
 

C’est vraiment des supers échanges. Traces aussi d’une époque toute proche et pourtant qui paraît tellement éloignée par sa pureté ! (la peur n’avait pas contaminé vraiment notre Monde).
 

À ce jour, seuls les 11 premiers podcasts ont été postés sur YouTube. Il en reste 7 autres (dont 2 « formats spéciaux » : le n°13 et le n°17), qui s’étaleront tous les lundis midi jusqu’en mars.
 

Podcast n°1 – « Comment on s’est rencontrés » (lien ici)
 

Podcast n°2 – « Le harcèlement de rue » (lien ici)
 

Podcast n°3 – « Tu penses à quoi aux toilettes ? » (lien ici)
 

Podcast n°4 – « Pour toi c’est quoi la réussite ? » (lien ici)
 

Podcast n°5 – « As-tu une spiritualité ? » (lien ici)
 

Podcast n°6 – « Et s’il ne te restait plus que 24h à vivre ? » (lien ici)
 

Podcast n°7 – « Tes 3 personnalités préférées » (lien ici)
 

Podcast n°8 – « Métro sans portable ? » (lien ici)
 

Podcast n°9 – « Ton rapport aux cadeaux » (lien ici)
 

Podcast n°10 – « As-tu déjà rencontré Jésus ? » (lien ici)
 

Podcast n°11 – « Bilal Hassani à l’Eurovision » (lien ici)
 
 

QU’EST-CE QUI VOUS ATTEND DANS LES PROCHAINS PODCASTS ? ÉCHÉANCIER :
 

Podcast n°12 – « Nos films adorés… ou détestés ! » (lundi 31 janvier)

Podcast n°13 – « La violence gratuite » (lundi 7 février) FORMAT SPÉCIAL

Podcast n°14 – « Plutôt Gainsbourg ou Gainsbarre ? » (lundi 14 février)

Podcast n°15 – « Quel est ton grand Combat de vie ? » (lundi 21 février)

Podcast n°16 – « Ferais-tu un bon acteur ou une bonne actrice ? » (lundi 28 février)

Podcast n°17 – « Le secret d’un Amour qui dure » (lundi 7 mars) FORMAT SPÉCIAL

Podcast n°18 – « La Fin du Monde arrivera-t-elle ? » (lundi 14 mars)
 

Et déjà, Stéphanie et moi commençons à prospecter pour savoir quel nouveau binôme – formé de 2 personnalités qui ne se connaissent pas encore et qui testeraient leur compatibilité amicale et leur capacité à s’écouter sur des sujets potentiellement explosifs ou faussement « légers » – formera partie de la belle famille des « 5 Minutes, 1 Thème : Amis ou Pas ? »…
 

Casting en cours… et appel à candidatures ! 😉

Stromae au JT de TF1 : le Grand Basculement luciférien (… que tout le monde trouve géniâl)

Ce moment surréaliste – et plus que ça, j’oserais même dire « inquiétant pour notre Monde » et « diabolique », même si tout le monde s’extasie et trouve ça trop beaaau, original et géniâl ! – où la fiction dépasse la réalité, MAIS (et c’est là le gros souci, là toute la schizophrénie mégalomaniaque et luciférienne du basculement) avec cette prétention désenchantée, sidérée et nihiliste, d’être plus réelle, plus vraie et plus informative que la réalité même, cette prétention de finalement sublimer la mort et l’enfer : le chanteur Stromae finissant son interview en mode « clip » en interprétant sa chanson « L’Enfer » (c’est le cas de le dire !) en plein Journal Télévisé d’Anne-Laure Coudray sur TF1, face caméra, en semi play-back pré-enregistré, en mode réponse à une question journalistique classique, comme si l’information objective, et par définition « brute », non préméditée, se virtualisait et nous était imposée comme nouvelle réalité ! (il ne manquait plus que la caméra, dans son travelling autour du chanteur, inclue tout d’un coup Anne-Claire Coudray !). C’est le film « On connaît la chanson » (insérant des extraits de chansons dans une action quotidienne qu’ils sont censés sublimer ou décaler), mais cette fois, en pas drôle et avec la franchise maçonnique. On scénarise l’inscénarisable (à savoir « l’improvisation » d’une part, et l’actualité informative d’autre part). On nous fait traverser le miroir comme si c’était ça notre vérité la plus profonde, et on croit rêver éveillés. C’est la politique-spectacle, ou plutôt l’actualité-spectacle. Et personne ne trouve rien à redire à cette contrefaçon, à ce travestissement de la réalité, sauf « C’est géniâl ». Non seulement c’est pas « génial » mais c’est un symptôme de Fin du Monde imminente. Le voilà arriver, le « Moment difficile » dont parlait Cocteau, où l’Humanité préfère la fiction au Réel, en la confondant sincèrement avec ce dernier, où Lucifer fait passer la surnature pour plus naturelle que la nature même.
 

Les pandémies – telles que le COVID – venues des porcs, et illustrées par l’exorcisme de Gadara : Jésus, pourquoi nous fais-tu cela ??

Jésus étant Dieu incarné en tout Homme, étant aussi éternel (passé, présent, avenir et éternité) parce que divin, sa vie racontée dans la Bible s’est produite et pourtant s’incarne de manière mystérieuse dans notre présent et notre actualité, autant qu’elle annonce notre avenir. La Bible – et en particulier les 4 évangiles narrant la vie de Jésus – agit comme une boule de cristal, une préfiguration de ce qui nous arrive mondialement et qui va nous arriver (sous réserve de notre conversion, repentance et liberté). C’est fascinant.
 
 

Je vais prendre deux exemples de corrélation/coïncidence absolument incroyables entre la Bible et notre actualité :
 

– LE RECOUVREMENT DE JÉSUS AU TEMPLE (Vous savez, quand Jésus, à l’âge de 12 ans, commence sa vie publique en prophétisant dans le Temple de Jésus où il était venu en pèlerinage avec ses parents Joseph et Marie) qui est une des nombreuses préfigurations de notre réaction de détresse humaine mondiale face aux TROIS JOURS DE TÉNÈBRES qui précèderont la victoire définitive de Jésus (revenant du Paradis où il est parti se faire couronner par son Père) sur le Monde gouverné par l’Antéchrist.
 

« Chaque année, les parents de Jésus se rendaient à Jérusalem pour la fête de la Pâque. Quand il eut douze ans, ils montèrent en pèlerinage suivant la coutume. À la fin de la fête, comme ils s’en retournaient, le jeune Jésus resta à Jérusalem à l’insu de ses parents. Pensant qu’il était dans le convoi des pèlerins, ils firent une journée de chemin avant de le chercher parmi leurs parents et connaissances. Ne le trouvant pas, ils retournèrent à Jérusalem, en continuant à le chercher. C’est au bout de trois jours qu’ils le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs de la Loi : il les écoutait et leur posait des questions, et tous ceux qui l’entendaient s’extasiaient sur son intelligence et sur ses réponses. En le voyant, ses parents furent frappés d’étonnement, et sa mère lui dit : ‘Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois comme ton père et moi, nous avons souffert en te cherchant !’ Il leur dit : ‘Comment se fait-il que vous m’ayez cherché ? Ne saviez-vous pas qu’il me faut être chez mon Père ?’ Mais ils ne comprirent pas ce qu’il leur disait. » (Lc 2, 41-52)
 

MON INTERPRÉTATION PERSO : En ce moment – et ce n’est qu’un début ! -, l’Humanité impuissante est accablée par des fléaux de plus en plus nombreux et confus, et vit un temps inouï de détresse qui dure et commence à s’éterniser (3 Jours, c’est long ! Surtout quand on est prisonnier de la peur et qu’on se retrouve dans le noir complet ! Sans doute le temps de latence entre la mort – obscurité sur toute la Terre, mise au tombeau – de Jésus et sa Résurrection ; peut-être aussi le temps pour Jésus de plonger jusqu’en enfer pour arracher les âmes au diable et vaincre Satan, avant de revenir au Royaume du Père ; ou bien le temps de victoire lente et progressive – 2000 ans – du Christ entre sa mort sur la croix et son grand Retour à la Fin du Monde). Cette Humanité pourrait tout à fait reprendre à son compte l’interrogation désemparée de la Vierge Marie « Pourquoi nous as-tu fait cela ?? ». Nous ne pourrons comprendre le sens profond et merveilleux de notre apparent/concret cauchemar et détresse qu’à la lumière de la Résurrection et du sacrifice de Salut du Christ.
 
 

– L’EXORCISME DE GADARA (Vous savez, quand Jésus, adulte, expulse les démons de deux personnes possédées, et que ces derniers vont s’incarner dans un troupeau de porcs allant se jeter mortellement dans la mer ; d’ailleurs, ce miracle créera la peur et la méfiance de la population locale à l’égard de Jésus, le faisant passer pour le démon en personne) qui constitue, à mon avis, une préfiguration et une des explications spirituelles/surnaturelles des pandémies virales mondiales – telles que le Coronavirus – qui s’abattent sur le Monde aujourd’hui.
 

« Comme Jésus arrivait sur l’autre rive, dans le pays des Gadaréniens, deux possédés sortirent d’entre les tombes à sa rencontre ; ils étaient si agressifs que personne ne pouvait passer par ce chemin. Et voilà qu’ils se mirent à crier : ‘Que nous veux-tu, Fils de Dieu ? Es-tu venu pour nous tourmenter avant le moment fixé ?’ Or, il y avait au loin un grand troupeau de porcs qui cherchait sa nourriture. Les démons suppliaient Jésus : ‘Si tu nous expulses, envoie-nous dans le troupeau de porcs. Il leur répondit : ‘Allez.’ Ils sortirent et ils s’en allèrent dans les porcs ; et voilà que, du haut de la falaise, tout le troupeau se précipita dans la mer, et les porcs moururent dans les flots. Les gardiens prirent la fuite et s’en allèrent dans la ville annoncer tout cela, et en particulier ce qui était arrivé aux possédés. Et voilà que toute la ville sortit à la rencontre de Jésus ; et lorsqu’ils le virent, les gens le supplièrent de partir de leur territoire. » (Mt 8, 28-34)
 

Je vous invite à écouter la thèse de la dilution détaillée par l’épidémiologiste le Dr Alice Desbiolles interviewée récemment sur Europe 1 (de 6’30 à 8’00) par Sonia Mabrouk :
 

 

« Nous sommes rentrés dans ce que l’on appelle l’ ‘Ère des pandémies’. Et les experts de l’IPBES insistent sur la nécessité de s’attaquer aux facteurs de risques, d’émergence. Quels sont ces facteurs ? Ce sont essentiellement les activités humaines destructrices que sont la déforestation, le commerce des animaux sauvages, l’érosion et la destruction de la biodiversité, puisqu’une biodiversité riche et variée, protège les Humains du risque de pandémie, tout simplement par ce que l’on appelle l’ ‘effet dilution’, qui fait que les agents pathogènes vont être dilués dans une très grande quantité et avec une grande variabilité génétique. Donc ça, ça protège les humains du risque d’émergence. Et derrière, un autre facteur de risques majeur de pandémie(s), c’est l’élevage industriel, qui lui va jouer un rôle, en fait, d’amplificateur, de l’agent pathogène. Tout simplement parce que ces animaux qui sont dans ces fermes industrielles, sont en fait des clones au niveau génétique. Et donc, dès que vous avez un agent infectieux qui trouve la clé pour entrer et contaminer 1 individu, il va contaminer le reste de l’élevage. Et ensuite, pour peu qu’il survienne par exemple dans un élevage de porcs, il y a une très grande proximité génétique entre le porc et l’être humain (on partage près de 95% de notre génome en commun avec le porc) eh bien c’est la Voie Royale pour accéder à l’être humain. Et ensuite, dans un contexte de mondialisation, de globalisation, d’hypermobilité, vous avez une diffusion très rapide, à l’échelle de la Planète, dans des villes qui sont de plus en plus denses, avec des systèmes qui sont de plus en plus fragilisés, vous avez le cocktail parfait pour des pandémies. »
 

MON INTERPRÉTATION PERSO : L’atavisme possible entre Humains et porcs relient l’exorcisme christique et les pandémies actuelles que nous vivons. Si vous remplacez la périphrase « agents pathogènes » par « démons », vous n’y verrez que du feu : vous verrez que ça colle parfaitement. Est-ce à dire que la Victoire de Dieu est proche ? Que les pandémies que nous vivons (grippe aviaire, grippe porcine, SARS-COV2, etc.) sont l’illustration d’un exorcisme mondial imminent et d’une Fin du Monde de Fins dernières ? Pourquoi pas ? Je lance l’hypothèse. « Fils de Dieu ? Es-tu venu pour nous tourmenter avant le moment fixé ? ».

Téléfilms de Noël de cette année sur TF1 : la vitrine du fascisme luciférien mondial

J’aimerais qu’on se penche ensemble sur la programmation télévisuelle de Noël qui, de par sa profusion (cette année 2021, les chaînes TF1 et M6, à compter du 1er novembre, nous ont « offert » rien moins que 45 nouveaux téléfilms nord-américains de Noël !) constitue une vraie industrie, un business prolifique, une manne pour les chaîne de télé, et finalement un véritable phénomène de société.
 

Et une fois qu’on a dit que ces « romans Harlequin » télévisuels étaient kitsch (on dirait des mauvaises pubs de Ferrero Rocher ou Werther’s Original), niais à souhait, pleins de bons sentiments, peu originaux et peu inventifs (car ils présentent toujours le même scénario romantique : une héroïne trentenaire célibataire, vivant en ville, débordée par son travail, trouve le prince charmant – souvent un ancien camarade du lycée – en revenant exceptionnellement à la campagne pour les fêtes de fin d’année… et c’est toujours la même happy end attendue), force est de constater qu’ils font l’objet d’un véritable engouement mondial, et que, par conséquent, ils disent quelque chose du Gouvernement Mondial.
 

Quel est le plan de l’Antéchrist (Lucifer) pour l’Humanité d’ici les 10-15 prochaines années ? C’est de flinguer l’Humanité (le diable n’a jamais supporté que Dieu s’incarne en tout Homme par Jésus, et non dans un ange comme lui) et la Divinité (Jésus), au nom d’un humanisme intégral ( = l’Homme au centre de tout, et se prenant pour Dieu) et d’un spiritualisme intégral ( = l’idolâtrie pour une énergie cosmique et intérieure appelée parfois « Dieu », ou vaguement christisée sous forme de Jésus-Superman ou de Jésus angélisé).
 

Et pour ce faire, il entend bien transformer chacun de nous en tout ce qui n’est pas Dieu ni Jésus (c.f. mon article sur Miss France) : à savoir, en végétaux (arbre, plante…), en animaux (bête, monstre…), en minéraux (pierre, maison, carrière, eau…), en objet (robot, machine, ordinateur…) et en énergie/ange (lumière, électricité, force cosmique, étoile solaire…).
 

C’est exactement ce que j’ai pu observer dans la vingtaine de téléfilms de Noël diffusés sur TF1 que j’ai épluchés (… pendant que je travaillais sur le montage de mon documentaire « Les Folles de Dieu »)… même si je n’ai pas pu tout voir.
 

 

VOUS SEREZ DES VÉGÉTAUX

 

Les téléfilms de Noël nord-américains font la part belle à la Nature et aux végétaux. Ils célèbrent (en théorie) l’exode urbain, le retour à la campagne et aux éléments naturels primaires. « La nature a toujours été ta passion. » (Margie s’adressant à Patrick, dans « Un fabuleux Coup de foudre pour Noël »). Par exemple, la coupe et le choix du sapin sont présentés comme un rituel collectif incontournable. Et le sapin est bien souvent converti en totem sacré devant lequel il convient de se prosterner et qu’il faudrait vénérer comme un dieu : « J’adore les sapins de Noël. » (Alice, dans « Le fabuleux Destin de Noël »). Par exemple, dans « L’Ange secret de Noël », le sapin est finalement le protagoniste principal du téléfilm et est angélisé (il est carrément surnommé « Angel Tree ») : chaque année, il exauce les vœux (pas les prières, pensez-vous…) ; et tout le monde est invité à le personnaliser, à y accrocher un souhait écrit sur papier.
 
 

VOUS SEREZ DES ANIMAUX

 

Les feuilletons de Noël venus des États-Unis veulent également nous transformer en animaux. Par exemple, dans « L’Ange secret de Noël », est organisée une « Journée d’adoption des animaux » dans la ville de Pine River. Dans « À la recherche de mon Père Noël », on nous incite à avoir « confiance en notre instinct ». Et dans d’autres téléfilms, les rênes du Père Noël sont considérés comme une cour céleste et royale. Enfin, tout nous incite dans ces séries à suivre nos « passions » et à consommer (manger des cookies, des sucres d’orge, prendre un chocolat chaud)… Comme les bêtes, au fond.
 
 

VOUS SEREZ DES MINÉRAUX

 

Les téléfilms de Noël nord-américains essaient également de nous convertir en métaux, en minéraux, en pierre. L’or scintillant y occupe une place de premier plan (l’alchimie – transformation du plomb en or – apparaît à certains moments : par exemple, on trouve des personnages qui sont plombiers), ainsi que la notion de « talent » et de « carrière » (en réalité, une nouvelle carrière – cette fois bobo – et reconversion professionnelle sont suivies par les protagonistes principaux, même si cette carrière s’habille hypocritement de renoncement à la carrière et de dépouillement). Les chalets et la construction des maisons en pain d’épices sont souvent sanctuarisés. Même la confection des bonhommes de neige finit par devenir une construction architecturale maçonnique pierreuse : « On fera un bonhomme de pierres ! » (Megan dans « Un Noël décisif »). Et au final, difficile de ne pas voir que tous ces téléfilms sont une affaire de fric… et de pierres.
 
 

VOUS SEREZ DES OBJETS

 

Ça m’a frappé et scotché (c’est le cas de le dire !), mais je n’ai pas vu un seul des téléfilms de Noël qui n’érigeait pas les décorations (de Noël) en dieu sur Terre ! Il faut absolument DÉCORER !! Et celui qui rejette les décorations, ne les aime pas ou renonce à les mettre dans sa maison pour les fêtes, est pointé du doigt comme un odieux hérétique, un vieux gars qui a « perdu l’esprit de Noël » et qu’il va falloir convertir au plus vite à la frénésie décoratrice et lumineuse !
 

Globalement, les téléfilms de Noël veulent nous pétrifier en objets (inertes par définition), en machines et en robots. D’ailleurs, en règle générale, le téléphone portable commande à l’action. Et la plupart des protagonistes sont obnubilés par l’électricité, l’architecture, les maquettes, les plans, les caméras et les ordinateurs.
 
 

VOUS SEREZ DES ÉNERGIES/ANGES

 

Les téléfilms de Noël entendent également transformer les êtres humains ou Jésus en anges ou en énergies décorporéisées. Ils nous martèlent qu’il faut que nous rentrions dans l’« esprit de Noël » (appelé aussi parfois « magie de Noël ») : une sorte d’esprit d’enfance, de nostalgie d’adolescent attardé, et de religion sans Dieu et sans Jésus. Ils passent leur temps à vanter les « traditions » (les héros de ces navets ne jurent que par ces dernières !) précisément quand ils ont bazardé LA Tradition (à savoir Jésus). Comme je l’écrivais dans mon livre Les Bobos en Vérité, pour le bobo (bourgeois-bohème), tout est rituel et rien n’est sacré. Et dans ces téléfilms, tout un circuit rituel est imposé (couper et décorer le sapin + confectionner des cookies ou une couronne + faire un bonhomme de neige et une bataille de boules de neige + boire du chocolat chaud + faire une balade en calèche ou en traîneau et aller à la patinoire + chanter ensemble des chants de Noël en faisant du porte à porte + participer à un concert + organiser une œuvre caritative ou un gala de charité + offrir des cadeaux + réunir sa « famille », manger ensemble et faire des jeux) mais l’essentiel (la messe de Noël et Jésus) passe à la trappe.
 

Les rares fois où il est question de « Dieu », il s’agit d’une entité désincarnée : « le Clin d’œil divin » (dans « Un fabuleux coup de foudre pour Noël »), « le Destin ». En d’autres termes, c’est Christmas sans le Christ ! La divinité se dilue en humanisme intégral : « Tout dépend de nous. » (Matthew dans « L’Ange secret de Noël ») ; « Noël c’est surtout une expérience humaine. » (Mike dans « La Romance photo de Noël »). Un humanisme intégral (l’Homme au centre de tout) énergétique, « magique », luciférien, communiste et maçonnique : par exemple, dans « L’Ange secret de Noël », on nous dit que « l’Ange a organisé une chaîne d’entraide » (la fameuse Chaîne d’Union des loges maçonniques, en fait).
 

La divinité informe qui est vénérée n’est pas Jésus mais une énergie informe et diffuse, un ange, un « esprit » moniste (« l’Un dans le Tout, le Tout dans l’Un »). Dans certains téléfilms, on nous parle des « anges bienfaiteurs » : en réalité, il s’agit des anges lucifériens. Les sapins portent souvent à leur sommet non pas une étoile mais un ange conique fait maison (et particulièrement moche). On dirait vraiment que les réalisateurs de ces téléfilms de Noël cherchent à nous asexuer (le comble, c’est que des séries aussi hétérosexualisées promeuvent autant l’homosexualité : c.f. « Un Noël d’enfer », « À la recherche de mon Père Noël », « Un Noël couronné d’amour », etc.), à nous castrer (dans tous ces téléfilms, c’est le Féminin sacré qui prédomine : le héros principal est presque toujours une héroïne, et les mères ou grands-mères pilotent les intrigues), à nous convertir en anges. « Nous sommes tous des anges. » déclare par exemple Rebecca dans « L’Ange secret de Noël ». La particularité des anges, au moins dans l’imaginaire collectif, c’est qu’ils sont messagers, blonds, jeunes, lumineux, qu’ils chantent super bien. Eh bien dans ces téléfilms de Noël, c’est exactement ce que font et sont les personnages : quasiment tous blonds, gentils, souriants, jeunes, beaux et chantants.
 

Malgré leurs bonnes intentions (réenchanter notre quotidien, apporter la lumière, « l’amour » et la chaleur de Noël dans les foyers) et les rêves romantiques sucrés qu’ils mettent en avant, ces téléfilms sont fascistes (le fascisme est fondé sur le faisceau lumineux luciférien) et extrêmement sectaires (ils sont misandres – c’est-à-dire anti-hommes –, ils sont en général anti-cathos, anti-Maghrébins – bien que Black-friendly –, anti-pères, anti-vieux – en particulier les grands-pères –, anti-mariage et anti-moches). Je ne déconseille évidemment pas de les regarder, car ils sont parfois savoureux. Mais si vous le faites, faites-le en conscience qu’ils cherchent à nous façonner à l’idéologie mondialiste antéchristique.
 

Mon article pour le journal La Cordée (n°65, décembre 2021) spéciale Amoris Laetitia et « situations irrégulières » dans l’Église


 

Immense honneur d’avoir été sollicité par le journal inter-paroissial du Haut-Adour (Pyrénées) La Cordée pour répondre à la question : « Les personnes homosexuelles sont-elles réellement accueillies dans l’Église ? » Vous pouvez retrouver sur papier (n°65 : article tronqué) ou sur le site de La Cordée (l’intégralité) mon article en cliquant sur ce lien.
 

LES PERSONNES HOMOSEXUELLES SONT-ELLES RÉELLEMENT ACCUEILLIES DANS L’ÉGLISE ?
 

Philippe Ariño, essayiste et intellectuel hispano-français, né en 1980 à Cholet et résidant à Paris, est l’auteur de différents essais sur l’homosexualité et l’homophobie, dont L’homosexualité en vérité (2012), Homo-Bobo-Apo (2017) traitant des Fins dernières et des liens entre homosexualité et Franc-Maçonnerie, et Interdiction des thérapies de guérison de l’homosexualité (2019). Il a aussi écrit un Dictionnaire des Codes homosexuels, consultable sur son blog L’Araignée du Désert. La particularité de cet écrivain hors normes, c’est qu’il est homosexuel, catholique et continent (abstinent pour Jésus) : il s’oppose autant au « mariage gay » qu’à la Manif Pour Tous, qu’il décrit comme « homophobes ». En 2019-2021, il réalise un documentaire (en 25 parties et traduit en 5 langues) intitulé « Les Folles de Dieu », avec 5 autres témoins homos et trans, et visible sur YouTube.
 

 

Comment nous, personnes homosexuelles, sommes accueillies par le Monde et par l’Église Catholique ? Fort de mon expérience de témoignage public en tant que personne homo croyante depuis plus de 20 ans, je peux vous dire, sans me victimiser ni faire ma crise d’égo défaitiste, qu’on est proche du désastre. Ecclésialement, mais déjà, pour commencer, socialement.
 

Incroyable mais vrai : les gens en général s’en contrefichent de nous et du thème. C’est très étrange : ils sont à la fois complètement fascinés/effrayés par l’homosexualité et les personnes homos, et ils s’en foutent royalement ! Soit les « gays friendly » (y compris parmi les cathos) nous applaudissent MAIS à la condition que nous fermions notre gueule et que nous ne partagions pas ce que nous vivons (car si nous commençons à parler vraiment de notre expérience, le lien entre homosexualité et souffrance/violence ressort très vite, ternit l’image toute rose ou arc-en-ciel que le Monde voudrait montrer de nous, et est considéré comme une « homophobie provoquant des suicides »), soit les opposants à l’homosexualité (identité + pratique + lois gays) pensent qu’en nous laissant parler, nous la justifierions, nous l’encouragerions, et nous serions donc extrêmement dangereux. Si bien que les promoteurs progressistes de l’homosexualité tout comme ses détracteurs ont tout intérêt à nous ignorer, à nous museler, ou à nous stigmatiser comme des « traîtres à la Cause LGBT » (Lesbienne, Gay Bi et Trans) ou bien des « enfants bâtards » marginaux dont la parole et le témoignage ne compteraient pas. La plupart de nos contemporains pensent même que l’homosexualité est aussi banale que la couleur des yeux, soutiennent que l’Amour ou le plaisir ou la tendresse n’a pas à se justifier pour se pratiquer individuellement, que le sexe de la personne n’a pas d’importance dans le choix d’Amour, et estiment qu’« on » donne à l’homosexualité trop d’importance dans les médias et en politique. Pour eux, ce n’est pas un sujet, et elle ne s’interroge même pas ! C’est un état de fait, un non-choix indiscutable, ou, dans l’extrême inverse, une odieuse excuse « idéologique », un point c’est tout !
 

En ce qui concerne la réception des personnes homosexuelles dans l’Église Catholique, ce n’est pas mieux ! Et je parle en connaissance de cause. Depuis mon opposition publique au « mariage » gay en 2012-2013 (dont il faut savoir qu’il a été cautionné par 99% des cathos – y compris les principaux porte-parole de La Manif Pour Tous, qui n’ont jamais dénoncé l’Union Civile qui EST pourtant concrètement le « mariage » gay, et qui m’ont éjecté quasiment dès le départ car ils ont refusé de parler d’homosexualité : par homophobie et fondamentaliste nataliste, ils ont préféré ne se focaliser que sur l’ENFANT et les conséquences du « mariage » gay sur la filiation… alors qu’il faut quand même être aveugle pour ne pas reconnaître que cette loi est passée au nom de l’homosexualité et des personnes homos !), je ne suis plus du tout invité nulle part pour témoigner, ni publié par aucune maison d’édition catho, alors que paradoxalement les besoins et les souffrances sur cette question sont criants : rien qu’au niveau éducatif, les établissements scolaires sont aujourd’hui littéralement saturés par la vague de bisexualité chez les jeunes, devenue comme une mode autant que LA matraque psychologique principale du harcèlement scolaire, y compris dans les écoles privées.
 

Le plus dingue, c’est qu’une personne homo qui commence à parler de son homosexualité dans l’Église, a fortiori continente comme moi (autrement dit, abstinente pour Jésus, l’Église et le Monde : c’est-à-dire qu’elle ne pratique pas sa tendance et qu’elle essaie tant bien que mal de vivre le message de l’Église sur l’homosexualité à travers un célibat consacré non-officiel puisqu’elle ne peut ni se marier ni postuler au sacerdoce) se retrouve attaquée principalement par 3 camps : les cathos progressistes et soixante-huitards (qui nous voient comme des fachos parce qu’ils rêveraient d’une compatibilité harmonieuse entre pratique religieuse et pratique homo), les cathos indifférents (qui trouvent qu’on nous entend trop et qu’« il n’y aurait pas que la sexualité dans la vie ! »), et les cathos conservateurs (qui nous voient comme de dangereux pécheurs voués à l’enfer et à la guérison, et qui manqueraient de Foi : « Si vous croyiez véritablement en Dieu, ai-je déjà entendu, vous ne vous sentiriez et ne vous diriez plus homos ! » Pour eux, la continence ne suffit pas : il faut en plus que nous annoncions notre guérison et la disparition complète de la tendance, que nous nous annoncions comme « ex-gays », et donc en gros que nous ne parlions même pas du sujet !).
 

De plus, l’Église Catholique actuelle ne nous explique toujours pas en quoi l’homosexualité – en tant qu’acte – est un mal (ou pire, un péché grave et mortel). Elle ne nous propose pas de chemin grand et positif pouvant concurrencer le couple homo… si bien que la plupart d’entre nous finissons par nous rabattre sur le couple ou la recherche d’un partenaire amoureux, et par quitter l’Église en claquant la porte, rien qu’en nous imaginant qu’Elle ne nous aimerait pas, ne nous accepterait pas tels que nous sommes, et que derrière la timide vitrine d’accompagnement et de vagues solutions avancées (4 petits paragraphes condamnateurs, doloristes et misérabilistes dans le Catéchisme de l’Église Catholique nous parlent d’accompagnement dans la « délicatesse » et de « devoir de sainteté et d’acceptation de notre croix en offrande aux souffrances du Christ » : très sexy comme proposition, n’est-ce pas…) il n’y a aucune oblature spécifique ni apostolat public ni Bonne Nouvelle spécialement dirigée aux personnes durablement homosexuelles (Je regrette mais l’association Courage International n’est pas un apostolat public : c’est un groupe d’accompagnement fraternel anonyme et caché, et de surcroît un « groupe de thérapie » – basé sur les 12 étapes des Alcooliques Anonymes – qui refuse d’en porter le nom et les intentions. Courage est d’ailleurs dans le viseur de la dernière loi contre les thérapies de conversion votée en octobre 2021 à l’unanimité à l’Assemblée Nationale). En gros, le message actuel de l’Église sur l’homosexualité, c’est « Tu n’es pas que ‘ça’ ! Nous t’accueillons et ne te jugeons pas. Maintenant, sois chaste, saint, porte ta croix, et tais-toi ! ».
 

Et ce n’est pas prêt de changer ! Lors de la deuxième session du Synode sur la Famille (2015), le Pape François s’est fait publiquement tirer les oreilles et menacer par le Cardinal Sarah qui lui a demandé de ne pas traiter du sujet de l’homosexualité… alors que le Saint Père l’aurait fait. « Pas de compassion ni de propositions concrètes et joyeuses destinées nommément aux personnes homos ! », lui a-t-on laissé entendre. Ça donnerait à croire, selon les cardinaux tradis homophobes, que l’homosexualité serait un chemin et un lieu de sainteté : mon Dieu quelle horreur !! La Bonne Nouvelle annoncée aux personnes homosexuelles ?!? Mais où va-t-on ?! Lors du Synode des Jeunes en 2018 (qui a succédé à la publication de l’Encyclique Amoris Laetitia en 2016), il a même été décrété que « le thème de la sexualité ne serait pas abordé », de peur de faire exploser le Synode en plein vol et de rouvrir la Boîte de Pandore : c’est vrai que la sexualité et les questions d’affectivité, ce n’est PAS DU TOUT la préoccupation n°1 des jeunes d’aujourd’hui (On va parler de la « sainteté », de la « joie » et de la « solidarité » à la place… c’est moins risqué et ça fait « jeune » quand même !). #OnNEstPasDansLaMerde
 

Conclusion : comme me l’avait fait remarquer en aparté le père Stéphane Palaz il y a quelques années – et je crois malheureusement qu’il a raison – « l’Église ne parlera jamais d’homosexualité » (en tout cas, pas plus que le peu qu’Elle a osé faire !). Et pendant le tournage de mon documentaire « Les Folles de Dieu » (fin 2019 à Lourdes), les cardinaux, les évêques, les moines, les simples prêtres, que j’ai suppliés de venir témoigner face-caméra de l’Amour paternel et fraternel qu’ils sont censés nous porter à nous personnes homosexuelles du Monde entier, ont tous sans exception décliné mon invitation, en s’inventant des excuses-bidon (« Je ne veux pas engager ma communauté… » ; « J’ai obéi à mon supérieur qui préfère ne pas prendre de risque… » ; « C’est super bien et courageux, ce que vous faites… » = « Cause toujours, tu m’intéresses ».). On a même été virés de la Cité Saint Pierre (qui accueille pourtant DUECDevenir Un En Christ –, association homo chrétienne qui cautionne la pratique homo) ! C’est vous dire ! Ces rejets ou refus de nous encourager (alors même que nous vivons ce que demande l’Église officielle), c’est non seulement tristissime – puisque ça donne raison à la réputation d’homophobie portée contre le clergé et tous les catholiques ! – mais surtout très inquiétant pour notre Église-Institution humaine. Car l’homosexualité, bien plus que la pédophilie (car la pédophilie, tout le monde est « contre », y compris les personnes pédophiles ! : en revanche, l’homosexualité, même ceux qui la condamnent, ne savent pas expliquer en quoi c’est un mal et un péché, pas même le Pape !), est le talon d’Achille, la petite bactérie qui a le pouvoir de faire péter à elle seule tout le Système ecclésial. Contrairement à l’adultère, l’avortement, la pédophilie, l’euthanasie, etc., l’homosexualité est le seul péché (ou « signe de péché » quand elle n’est pas actée) que les gens d’Église n’identifient pas ou dont ils ne parviennent pas à prouver le mal (car oui : où est le mal dans un couple homo fidèle, respectueux, serviable et pieux ?). C’est donc une erreur très grave de ne pas nous écouter, nous personnes homos continentes. Pas seulement à cause du contre-témoignage que cela constitue. Mais aussi et d’abord parce que c’est sur ce point précis-là de l’homosexualité et de l’Amour de tous (y compris et en particulier des personnes homos) que le Monde va demander le plus de comptes et d’explications aux catholiques. Et cette demande sera tellement pressante et peu exaucée qu’elle risque de s’exprimer sous forme de meurtres et de condamnations à mort pour manque effectif de Charité chrétienne.

Miss France 2022 : « Tu seras un animal/une plante/une pierre/un objet/une énergie, ma fille ! »

Lucifer (Satan) et son Gouvernement Mondial antéchristique, pour se débarrasser de l’Homme (au nom d’un humanisme intégral) ainsi que de Dieu – à savoir Jésus et son Église Catholique – (au nom d’un spiritualisme et d’un christocentrisme intégral) en beauté, nous enjoint petit à petit, à travers n’importe quelle émission populaire débile, film, jeu ou dessin animé, à devenir 5 choses principalement :
 

1) soit des animaux (monstre, bête…)
 

2) soit des végétaux (plante, arbre)
 

3) soit des minéraux (liquide, pierre, or, statue…)
 

4) soit des objets (robot, machine)
 

5) soit des énergies (ange, esprit désincarné, lumière, électricité, vibrations/ondes, feu, force, étoile, astre, planète, soleil…)
 

Et si vous regardez les portraits des 29 prétendantes au titre de Miss France de cette année 2022 qui vient, c’est très net.
 
 

1 – ANIMAUX : « TU SERAS UNE BÊTE, MA FILLE ! »

 

Il est étonnant de voir le nombre de fois où les filles posent avec des animaux, préfèrent parfois les animaux aux Humains, se définissent elles-mêmes comme des animaux, voire carrément font inconsciemment mention de la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans le Livre de l’Apocalypse (le 666) :
 

– « Le p’tit saut de cabri, c’est mon truc ! » (Cécile Wolfrom, Miss Alsace)

– « J’ai trouvé un nouveau copain. » (Ambre Andrieu, Miss Aquitaine, avec un chat)

– « On est dans la rue des chats. » (Léna Massinger, Miss Champagne-Ardenne)

– « J’adore mes chiens. C’est ma vie. C’est mon animal préféré. » (Valeria Pavelin, Miss Côte d’Azur)

– « Salut toi ! Ça, c’est mon amour pour les animaux. » (Julie Cretin, Miss Franche-Comté, tenant un bichon blanc)

– « Mon portrait continue au lac de Nantua. Et… y’a des cygnes. C’est peut-être un signe. » (Julie Cretin, Miss Franche-Comté)

– « Ce que j’aime le plus sur cette plage des Salines, c’est de voir les tortues tôt le matin. » (Mélysa Stéphenson, Miss Guyane)

– Les candidates parlent quasiment toutes d’« aventure »… et l’aventure est, avec l’instinct, le propre de l’animalité. Et beaucoup disent « J’ai hâte », comme des mammifères excités.

– « Le Comité Miss Languedoc-Roussillon nous donne à chacune des candidates un surnom affectueux. Et le mien était Edwige, la chouette d’Harry Potter. Parce que j’ai des très grands yeux verts. » (Marion Ratié, Miss Languedoc-Roussillon mimant la Bête)

– Marion Ratié, toujours elle, est filmée avec un chaton posé sur une voiture.

– Certaines candidates ont carrément un nom renvoyant à la bestialité : Marine Sauvage, Miss Lorraine, par exemple.

– Plusieurs candidates se sentent perchées sur des arbres ou des murs, comme des oiseaux ou des chats : « Miss France, c’est être perchée sur des murets. » (Line Carvalho, Miss Pays-de-Loire) ; « J’ai passé toute la journée perchée, aujourd’hui. » (Lolita Ferrari, Miss Poitou-Charentes)

– Youssra Askri, Miss Normandie, est sur un manège à chevaux.

– Hayate El Gharmaoui, Miss Picardie, porte une couverture aux motifs léopard.

– « C’est Youki. C’est mon chien. » (Eva Navarro, Miss Provence, jouant avec le micro-moumoute)

– Charlotte Faure, Miss Rhône-Alpes, dit que son surnom, c’est « Chacha ».

– La Marque de la Bête (le 666) apparaît à deux reprises : sur le bateau de pêche derrière Hayate El Gharmaoui, Miss Picardie ; mais également lorsque Diane Leyre, Miss Île-de-France (à mon avis, la future gagnante de cette édition), compose sur le Pont des Arts de Paris le code pour ouvrir un cadenas : « J’ai testé 11-12-21 pour la date de Miss France, mais ça marche pas. »

– Les Miss sont des ambassadrices de la Bête. D’ailleurs, quand on leur demande, dans une autre interview, ce qui les fait craquer, comme des connes, elles répondent presque toutes à l’unanimité « les chatons » ou « les chiots » : c’est vous dire le niveau…

 
 

2 – VÉGÉTAUX : « TU SERAS UNE PLANTE, MA FILLE ! » :

 

On peut également constater que les Miss singent une fusion avec la Nature végétale, et se prennent parfois pour des fleurs, des plantes ou des arbres.
 

– Tous les portraits sont des paysages luxuriants et sont un hommage à la flore. Très peu de villes.

– « C’était important pour moi d’être le plus naturel possible. » (Emma Renucci, Miss Corse)

– Beaucoup de candidates portent une fleur à la main ou aux cheveux : Julie Cretin, Miss Franche-Comté ; la fleur de bougainvillier tenue par Ludivine Edmond, Miss Guadeloupe ; Diane Leyre, Miss Île-de-France, avec sa rose porté au nez ; Marine Sauvage, Miss Lorraine, avec une fleur dans les mains ; on fait respirer les végétaux à Anna Ousseni, Miss Mayotte, au Pôle d’Excellence Rurale de Mayotte, dédié aux plantes ; Youssra Askri, Miss Normandie, porte une fleur ; Emmy Chenin, Miss Nouvelle-Calédonie, ou encore Tumateata Buisson, Miss Tahiti, se mettent une fleur dans les cheveux.


– Plusieurs Miss, lors des shooting parfois glaciaux, souvent enveloppées de la même couverture aux motifs végétaux : Julie Cretin, Miss Franche-Comté ; Diane Leyre, Miss Île-de-France ; Donatella Meden, Miss Nord-Pas-de-Calais ; Line Carvalho, Miss Pays-de-Loire ; Hayate El Gharmaoui, Miss Picardie.

– « Je suis bien sur ma jolie souche. » (Julie Beve, Miss Limousin, assise sur un tronc d’arbre)

– Je pense aussi à la robe fleurie de Tumateata Buisson, Miss Tahiti.

 
 

3 – MINÉRAUX : « TU SERAS UNE PIERRE, MA FILLE ! »

 

Les pierres occupent aussi une place très importante dans les portraits des Miss régionales. C’est assez hallucinant :
 

– « Miss France, c’est être perchée sur des murets. » (Line Carvalho, Miss Pays-de-Loire)

– Énormément de candidates parlent des « plans », comme en architecture ou en Franc-Maçonnerie ou dans le carriérisme : « On fait des plans très très serrés. » (Léna Massinger, Miss Champagne-Ardenne). Chacune, d’ailleurs, a droit à ses « Plans beauté ».

– Diane Leyre, Miss Île-de-France, repose sa tête sur la pierre.

– Marion Ratié, Miss Languedoc-Roussillon, pose devant des murailles.

– « Les garçons veulent que je fasse des ricochets avec un caillou qui n’est pas plat. Donc je sens que je vais échouer. » (Julie Beve, Miss Limousin)

– Anna Ousseni, Miss Mayotte, ou encore Emmy Chenin, Miss Nouvelle-Calédonie, sont filmées au milieu des rochers ; Hannah Friconnet, Miss Midi-Pyrénées, près d’un muret de pierres.

– Il est fait mention de l’or, et donc de l’alchimie (même si, bien sûr, l’expression « avoir des paillettes dans les yeux » a été popularisée par Kévin ou Inès Reg) : « Ma sœur avait des paillettes plein les yeux. » (Youssra Askri, Miss Normandie, parlant de l’émotion de sa sœur au moment de son élection à elle)

– Il est fait référence aux deux colonnes, comme dans les temples maçonniques : « On va passer entre les deux tours. » (Lolita Ferrari, Miss Poitou-Charentes). On voit également le Pavé Mosaïque dans le portrait de Tumateata Buisson, Miss Tahiti.

– Dana Virin, Miss Réunion, réalise une tour ou montagne de pierres, connue sous le nom de Cairn.

– Non loin de la sphère minérale, il y a l’eau ! : « J’ai un talent caché : j’arrive à faire la vague avec mes sourcils. » (Sarah Conan, Miss Bretagne)
 
 

4 – OBJET : « TU SERAS UNE CHOSE OU UNE MACHINE, MA FILLE ! »

 

L’Antéchrist veut également, pour tuer l’Homme, le transformer en objet ou en machine (car le propre de l’objet, c’est qu’il est inerte !) :
 

– Certaines candidates se comparent à des véhicules : « Je suis une Miss tout-terrain. » (Anaïs Werestchack, Miss Auvergne)

– Elles portent quasiment toutes des robes et des Dock Martens.

– Julie Beve, Miss Limousin, est en train de mimer l’hôtesse de l’air dans son engin.

– « Là, je suis une actrice de cinéma ! Ça y est ! » (Hannah Friconnet, Miss Midi-Pyrénées)

– Hannah Friconnet, Miss Midi-Pyrénées, est filmée avec des jumelles d’observation de montagnes.

– Il est fait mention de l’alchimie : « Si je n’étais pas à ce shooting, peut-être que je serais en laboratoire de chimie. » (Ambre Andrieu, Miss Aquitaine)
 
 

5 – ÉNERGIE : « TU SERAS UN ANGE OU UNE ÉTOILE, MA FILLE ! »

 

Pour faire oublier Jésus (qui est Dieu) dans la tête et dans le cœur des Humains, Lucifer va tenter de faire croire en un dieu « Énergie » et « angélique » désincarné, présent partout dans la création et les créatures, et même dans le Cosmos, en se basant principalement sur 3 énergies (or/électricité/soleil), sans compter les énergies spirituelles de son armée angélique de démons. On retrouve cette croyance en un dieu énergétique et non-humain dans les portraits des candidates au titre de Miss France :
 

– Plusieurs filles parlent de leur potentielle chute (comme les anges déchus) : « Ma hantise, c’est la chute. » (Cécile Wolfrom, Miss Alsace) ; « Ma hantise, c’est de tomber pendant l’élection de Miss France. » (Chloé Galissi, Miss Bourgogne) ; « laisser mes vieux démons derrière moi. » (Anaïs Werestchack, Miss Auvergne). Julie Beve, Miss Limousin, ou encore Marine Sauvage, Miss Lorraine, sont filmée en train de chuter ou de glisser.

– Certaines candidates disent même avoir été tentées soit par l’asexuation angélique soit par le changement de sexe : « En grandissant, j’étais un garçon manqué, parce que je courais partout, j’adorais grimper dans les arbres, jouer au foot avec les garçons. » (Youssra Askri, Miss Normandie)

– Comme en Franc-Maçonnerie, c’est le meilleur qu’elles visent : « le meilleur » (Ambre Andrieu, Miss Aquitaine) ; « On va donner le meilleur de nous-mêmes. » (Emma Renucci, Miss Corse).

– C’est aussi le dieu « Cerveau » ou « Conscience » ou « Force/volonté intérieure » qui est vénéré : « On essaie d’avoir un mental de championne. Toujours. » (Valeria Pavelin, Miss Côte d’Azur) ; « J’ai beaucoup d’énergie. Oui. » (Valeria Pavelin, Miss Côte d’Azur) ; « La Miss France est une femme forte. » (Diane Leyre, Miss Île-de-France)

– Certaines candidates affirment qu’elles veulent devenir une énergie (le Feu, une étoile) : « J’espère qu’avec toutes les autres candidates, on va mettre le Feu le Jour J ! » (Ludivine Edmond, Miss Guadeloupe) ; « Je vais devenir une star ! » (Julie Cretin, Miss Franche-Comté, faisant parler son bichon blanc) ; « J’en ai fait une force. » (Donatella Meden, Miss Nord-Pas-de-Calais, parlant de ses lèvres pulpeuses). Marine Sauvage, Miss Lorraine, fredonne « Allumer le Feu » de Johnny Hallyday. Dana Virin, Miss Réunion, parlant des morts et de ses êtres chers disparus qui vont lui porter chance le soir de l’élection, les comparent à des étoiles : « Ce sont mes petites étoiles. »

– Le concours Miss France, c’est vraiment la Fête de l’héliocentrisme. Le soleil – ainsi que ses rayons – est très présent sur tous les tableaux. « Y’a du soleil. » (Donatella Meden, Miss Nord-Pas-de-Calais) ; « On a le soleil. » (Line Carvalho, Miss Pays-de-Loire) ; « J’ai pu admirer le coucher du soleil. » (Hayate El Gharmaoui, Miss Picardie) ; « On a du soleil. » (Lolita Ferrari, Miss Poitou-Charentes). Beaucoup de prises de vue solaire installent d’ailleurs autour des candidates un halo lumineux arc-en-ciel, un cercle aurique coloré (je pense par exemple au portrait de Marine Sauvage, Miss Lorraine, ou celui de Donatella Meden, Miss Nord-Pas-de-Calais, ou celui d’Eva Navarro, Miss Provence, ou encore celui de Charlotte Faure, Miss Rhône-Alpes), faisant de ces dernières des êtres astraux, des anges immatériels, voire même des figures christiques (le fameux « féminin sacré ») quasi extra-terrestre surgissant de la mer et des cieux (Hayate El Gharmaoui, Miss Picardie, c’est carrément Jésus débarquant sur la plage !)