Voici le podcast de la « Soirée Dissidence 8 » qui s’est tenue à Paris avant-hier, sur le thème « Prêt à tout quitter pour fonder un village? ». Bonne écoute !
Voici la partie 3, donc la dernière partie de la Journée 1 consacrée à la dimension intime de l’homosexualité (Journée 1 sur les 8 journées en tout). Elle traite de la dépression, de l’approche psychologique voire psychiatrique de l’homosexualité. Donc elle ne va pas faire plaisir à tout le monde (haha) ! Mais nous, les Folles de Dieu, ne sommes pas juste là pour sourire à la caméra…
Comme je l’ai fait pour les deux précédentes parties (partie 1 et partie 2), je vous présente quelques fioretti anecdotes secrètes de tournage de cette partie 3 :
– Christian, dans cette troisième partie, présente son premier exposé (son dossier est dédié aux « terrains psychiques potentiels de l’émergence d’une homosexualité »). Et c’est un exercice périlleux (haha) car notre Diva des Concours de Beauté est sensiblement très gêné par les mouches de la campagne ! Mais – comme vous pourrez le vérifier aussi plus tard – Christina se rompt à l’exercice de l’exposé avec aisance et brio. Il est moins à l’aise dans l’expression spontanée ou la confession intime. Mais tout ce qui est plus journalistique, magistral, et carré, lui va comme un gant : il a la télé attitude, il expose un dossier comme un reportage ou une allocution de journal télévisé, ne ponctue pas ses phrases de « euh… » d’hésitation. Ça coule tout seul. Si bien que je plaisantais en imaginant une Tele Mercado fictive, et en rêvant qu’un jour Christian suive sa fibre journalistique apparemment innée.
– L’enregistrement de l’exposé de Gerson au pont du village de Bétharam (sur « les possibles liens entre homosexualité et psychiatrie ou blessure psychique », et sur lesdites « thérapies de conversion ») a été un véritable cauchemar : 1) parce qu’il faisait chaud ; 2) parce que Gerson est perfectionniste et peu coutumier des exposés trop académiques, donc il n’arrêtait pas de s’interrompre et de se reprendre lui-même ; 3) parce que Jean-Yves Morvan (photographe et caméraman du documentaire) et moi-même filmions sur une route du village relativement passagère où le moindre randonneur, vélo, camion ou voiture, nous obligeait à nous arrêter puis à repositionner la caméra. Sur le coup, lui comme moi avons failli péter un câble et lâcher l’affaire ! Même Jean-Yves qui est un modèle de longanimité et de patience. Mais finalement, on a réussi à boucler la séquence. Et puis au bout du compte, les commentaires acerbes que Jean-Yves et moi adressions spontanément aux gêneurs intempestifs pendant que ça tournait sont tellement désopilants, et font très « les 2 papys du Muppet Show » (« Bon, tu la pousses, ta vieille chiotte pourrie ! » ; « Et en plus, il sait même pas se garer… » ; « Et ça te fait rire, connasse ? » ; « Ah… ils sont pas mal, finalement, les mecs des Pyrénées ! » ; etc.), que vous aurez la chance de les entendre compilées dans le Bêtisier final (la partie n°25).
– Un des doubleurs (prêtre catholique, de surcroît) de cette partie 3 n’a pas accepté de prêter sa voix au discours de Gerson, pensant que nous défendions le lien de causalité entre homosexualité et psychiatrie (alors que pas du tout), et prétextant qu’il n’était pas d’accord avec le conseil du Pape François aux parents d’amener leur fils homo chez le psychiatre (alors que nous ne cautionnons pas ce conseil non plus). C’est incroyable comme il est interdit de simplement parler du mal ou de faire un lien entre homosexualité et violence ou souffrance.
– L’exposé de Guillaume sur la transsexualité nous a coiffés au poteau. C’était le premier exposé de Guillaume. Et comme à chaque fois qu’il ouvre la bouche, nous débarquons tout simplement dans un autre monde. De plus, il a pour habitude de dire cash les choses, sans filtre, avec l’insolence et l’assurance du fumiste. Mais sa parole est synthétique, percutante, surprenante. Il y a juste à l’écouter et à laisser tourner la caméra, et le résultat devient génial. On apprend plein de choses. Y compris quand on est homosexuels et qu’on est censé connaître un peu mieux le milieu trans et bi que le péquin moyen. Dans son exposé de définition des concepts tels que la Théorie du Gender, la bisexualité, la transidentité, l’intersexuation, la transsexualité, Guillaume évoque des sujets tabous comme la pédophilie (qu’il a subie), la bisexualité, et étrille le Gender. Et toujours avec ce délicieux sens de l’autodérision et du jeu avec sa propre transidentité et son propre ambivalence.
– Santiago n’apparaît pas dans cette 3e partie. Mais soyez sans crainte : il revient en force dans la partie 4 pour nous parler de sa famille. Santi (le témoin colombien) est le roi des anecdotes personnelles croustillantes.
– Anecdote un peu touchy… (haha) mais bon, tout se saura au Paradis de toute façon (ce qui est caché sera dévoilé !) ^^: l’enregistrement de la voix-off allemande de Guillaume fut assez folklo, mais finalement très courageuse aussi : sans que je sois au courant – et sans violer sa volonté ni abuser de sa faiblesse du moment -, Guillaume était sous l’effet de la cocaïne quand je suis venu lui rendre visite à Paris pour capter sa voix. Il a tenu à faire l’enregistrement quand même, alors qu’il était surex’, dans un état second et de tension extrême, que c’était la première fois que je voyais une personne se piquer à la cocaïne sous mes yeux : il a pris sur lui pour me rendre service, et pour faire plaisir à la Nation allemande. Pour moi, ce fut une scène paradoxalement plus belle et émouvante que désolante et pathétique. Car Guillaume, même au fond du trou, pliant sous le poids de sa croix, pense quand même toujours aux autres, se bat. Et ce soir-là, il a tout donné pour les Allemands. Donc la voix allemande de Guillaume pour cette 3e partie vaut de l’or. Il faut que vous le sachiez ! Même si le contexte est gênant et apparemment honteux et déshonorant pour lui ! La Gloire et la Sainteté de Guillaume – plus on connaît le garçon et plus on s’en compte – c’est d’offrir toute sa personne, y compris sa misère et ses blessures, à Dieu et aux autres. Par Amour.
– Dans cette partie 3, on assume de proposer pour la première fois la non-pratique homo. Même Perrine qui, malgré sa timidité, y va ! Elle me fait sourire car sa parole agit dans les extrêmes : à chaque fois qu’elle balance une parole dure, elle arrive systématiquement après avec la pommade ; car Perrine, avec sa douceur et son empathie naturelle, couronne toujours la Vérité de Charité. Elle se met toujours à la place des autres (et en particulier des athées, des personnes homos, des gens susceptibles ou blessés), précisément parce qu’elle vient de leur monde et qu’elle s’est convertie au catholicisme à 25 ans.
– L’image de Gerson courant vers la caméra à la Géode de La Villette (à Paris) a été filmée par moi… et ça se voit, puisque la prise est incertaine (haha !). L’image de Guillaume devant choisir entre deux fleurs – une rose, une bleue – et les jetant finalement toutes les deux dans le fleuve du Gave, a été filmée par Jean-Yves Morvan, le caméraman et photographe du film. Il était parti en balade avec Perrine et Guillaume pour prendre quelques séquences, et ça a donné la scène du muret (dont les prises ratées figureront dans le bêtisier final !).
He aquí la tercera parte, es decir la última parte de la Jornada 1 dedicada a la dimensión íntima de la homosexualidad (Jornada 1 de las 8 en total). Trata de la depresión, del enfoque psicológico e incluso psiquiátrico de la homosexualidad. Así que no será del gusto de todos (jaja). Pero nosotros, las Locas de Dios, no estamos aquí sólo para la sonrisita frente a la cámara…
Como lo hice con las dos partes anteriores (parte 1 y parte 2), os presento algunas anécdotas secretas del rodaje de esta parte 3 :
– Christian, en esta tercera parte, hace su primera exposición (su expediente está dedicado a los « probables terrenos psíquicos de la aparición de una homosexualidad »). Y es un reto ambicioso (jaja) ¡ porque a nuestra Diva de Concursos de Belleza le están fastidiando mucho las moscas del campo ! Pero – como descubrirán más adelante en sus otros expedientes – Christian afronta el ejercicio de la ponencia con facilidad y éxito. Se siente menos cómodo con la expresión espontánea o la confesión íntima. Pero todo lo que es más periodístico, magistral y cuadrado, le va como anillo al dedo : tiene la « actitud televisiva », presenta un expediente como si fuese un reportaje o un telediario, no entrecorta sus frases con falsas pausas « eh… ». Simplemente fluye. Por eso le tomo el pelo seriamente imaginando una Tele Mercado ficticia, y soñando que algún día Christian seguiría su vena periodística aparentemente innata. (Muletilla de lenguaje de Christian jaja : « PRINCIPALMENTE »).
– La grabación del expediente de Gerson en el puente del pueblo de Bétharam (sobre « los posibles vínculos entre homosexualidad y psiquiatría o herida psíquica », y sobre las llamadas « terapias de conversión ») fue una pesadilla : 1) dado que hacía calor ; 2) dado que Gerson es un perfeccionista y no está acostumbrado a las presentaciones demasiado académicas, por lo que no paraba de interrumpirse y de rectificarse ; 3) dado que Jean-Yves Morvan (fotógrafo y jefe de cámara del documental) y yo estábamos filmando en una carretera del pueblo relativamente transitada en la que el más mínimo senderista, bicicleta, camión o coche, nos obligaba a parar y a recolocar la cámara. En el acto, ¡ tanto él como yo estuvimos a punto de volvernos locos y de tirar la toalla ! Incluso Jean-Yves, que es un modelo de paciencia y longanimidad. Pero al final, conseguimos acabar la secuencia. Y en resumidas cuentas, los comentarios mordaces que Jean-Yves y yo dirigíamos espontáneamente a los inoportunos intrusos de nuestra grabación son tan hilarantes, y tan parecidos a « los dos abuelos del Muppet Show » (« ¡ Bueno, lo vas a empujar, tu maldito carro !? » « Y encima, no sabe ni aparcar… »; « ¿Y tú, ríete, cabrona !! » ; « ¡ Mmm… algunos chicos de los Pirineos son muy lindos ! »; etc.), que tendrán la oportunidad de escucharlos recopilados en el Blooper final (parte n°25).
– Uno de los dobladores (un cura católico, además, y que es alemán) de esta tercera parte no aceptó prestar su voz al discurso de Gerson, pensando que defendíamos la relación causal entre la homosexualidad y la psiquiatría (cuando no es así), y afirmando que no estaba de acuerdo con el consejo del Papa Francisco a los padres de llevar a su hijo gay al psiquiatra (cuando tampoco avalamos este consejo). Es increíble cómo hoy en día se prohíbe simplemente hablar del mal o relacionar la homosexualidad con la violencia o el sufrimiento.
– La presentación de Guillaume sobre la transexualidad nos sorprendió a todos. Fue el primer dossier de Guillaume. Y como cada vez que abre la boca, simplemente descubrimos otro mundo. Además, él está acostumbrado a decir las cosas de forma directa, sin ningún pelo en la lengua, con la insolencia y la seguridad de un charlatán. Pero sus palabras son sintéticas, punzantes, increíbles. Sólo hace falta escucharle y dejar que la cámara ruede, y el resultado es brillante. Se aprende mucho. Incluso cuando eres homosexual y se supone que conoces el mundo trans y bi un poco mejor que mayoría de la gente. En su expediente de definición de conceptos como la Teoría del Género, la transidentidad, la intersexualidad, la transexualidad, Guillaume evoca temas tabúes como la pedofilia (que él sufrió), la bisexualidad, y ataca al Gender. Y siempre con ese delicioso sentido de autoburla y de juego con su propia transidentidad y su propia ambivalencia. Pienso por ejemplo en este juego que hace con las dos flores – una rosa, otra azul – que acaba por echar al río porque no ha sabido escoger entre masculinidad y feminidad…
– Santiago (el testigo colombiano) no aparece en esta tercera parte. Pero no se preocupen : vuelve con fuerza en la cuarta parte para hablarnos de su familia. Santi es el rey de las anécdotas personales jugosas.
– Anécdota un poco sensible… (jaja) pero bueno, todo se sabrá en el Cielo de todas formas (¡ lo que está oculto saldrá a la luz !) ^^: la auto-grabación de la voz en off alemana de Guillaume fue muy rara, pero finalmente muy valiente también : sin que yo lo supiera – y sin violar su voluntad ni abusar de su debilidad en ese momento –, Guillaume estaba bajo los efectos de la cocaína cuando fui a visitarlo a París para captar su voz. Insistió en hacer la grabación igual, aunque él estaba sobreexcitado, en un estado de tensión extrema, y que era la primera vez que yo veía a una persona dispararse cocaína delante de mí : se aguantó para hacerme este favor, y para dar gusto a la Nación alemana. Para mí, fue una escena paradójicamente más bella y conmovedora que desoladora y patética. Porque Guillaume, incluso en el fondo del pozo, doblado bajo el peso de su cruz, sigue pensando en los demás y luchando. Y esa noche lo dio todo por los alemanes. Así que la voz alemana de Guillaume en esta tercera parte vale su peso en oro. ¡ Sépanlo ! Por mucho que el contexto sea incómodo y aparentemente vergonzoso y deshonroso para él. La Gloria y la Santidad de Guillaume – cuanto más se conoce al muchacho, más se percibe – es ofrecer todo su ser, incluyendo su miseria y sus heridas, a Dios y a los demás. Por Amor.
– En esta parte 3, asumimos por primera vez proponer la no práctica de la homosexualidad. Incluso Perrine que, a pesar de su timidez, ¡ va al grano ! Me hace sonreír porque sus palabras suelen ir a los extremos : cada vez que dice algo duro, viene sistemáticamente después con la pomada ; porque Perrine, con su dulzura y su empatía natural, corona siempre la Verdad de Caridad. Siempre se pone en los zapatos de los demás (y en particular de los ateos, las personas homosexuales, las personas susceptibles o heridas), precisamente porque proviene de su mundo y se convirtió al catolicismo a los 25 años.
– En cuanto a la música de ilustración, podemos contar en particular sobre las composiciones de Thierry Jamard (mi antiguo profesor de música en el cole), y también de una canción « Catolicismo mejor camino de Verdad » de mi album « Bola de Cañón ». También ustedes pueden ver imágenes de Gerson filmado en el Parque parisino de La Villette, con la Geoda (Se nota que yo filmaba, porque técnicamente, es muy defectuoso jaja). La grabación de los pasos de Perrine y de Guillaume en el murete fue muy divertida (ya lo verán en el blooper final) y es el fruto de la caminata entre el fotógrafo y director de la peli Jean-Yves Morvan y Guillaume y Perrine en los paisajes maravillosos del Pirineo francés.
Voici un TOP 50 fait maison de ce qui me semble être les meilleures chansons zouk, toutes époques et générations et styles confondus, et que j’aimerais vous faire connaître. Sachant que le podium de tête est bien sûr couronné à la fin par le meilleur titre, le n° 1 !
Pourquoi ce Top 50 ? Parce que MON CŒUR EST ZOUK ! Et ce, depuis l’enfance et l’adolescence. Même en étant « blanc », et tout ce qu’il y a de métropolitain, j’ai été biberonné à la Compagnie Créole et à Zouk Machine ! Donc je suis bien placé pour en parler aussi.
J’ai bien conscience qu’il s’agit d’un style musical « cheap », pacotille, pas toujours très inventif, qui fonctionne toujours un peu sur la même recette : musique très rythmée et dansante (y compris quand elle verse dans la nonchalance du « zouk love »), souvent sentimentale ET sexualisée, et parfaite pour les clips et la mise en scène de drames intérieurs déchirants (usage abusif du ralenti dans les clips, visages des interprètes excessivement éclairés avec la toile circulaire réverbérante des photographes amateurs, décors paradisiaques où pourtant se joue une « tragédie sentimentale terrible… par textos » lol, etc.).
En effet, la différence des sexes y est vraiment mise à l’honneur (on trouve dans le zouk pas mal de duos homme/femme, justement) en même temps que massacrée et mélodramatisée. Il faut le dire : les histoires de ruptures « entre Blacks » sont le fond de commerce et d’inspiration du zouk. Surtout dans la nouvelle génération de zoukers, on retrouve quasi systématiquement le même scénario plaintif de l’amour déçu, perdu ou inaccessible.
Voilà pourquoi le zouk actuel ressemble à de la musique de pétasse et/ou de petit crooner. On a affaire en général à la chanteuse portant un prénom de pute finissant en « -a » et anglicisé, esseulée, chantant la trahison amoureuse, et jouant les inaccessibles ou les vengeresses voire même les tigresses ! Et côté masculin, on a affaire en général au chanteur branleur (au double sens du terme, c’est-à-dire très porté sur le sexe : il peut être très cru et grivois dans l’étalage de ses fantasmes sexuels, comme par exemple les chanteurs Slaï, Warren, Marvin, Francky Vincent, qui souvent vont droit au but… ou plutôt aux noix de coco haha !), on a très souvent affaire aussi au beau parleur parfois caillera over-musclée ou bad boys, mais conservant quand même toujours la pseudo « classe » et « respectabilité » du crooner qui joue la star recommandable ou le grand poète implorant le pardon à genou pour ses écarts de conduite, et qui conte fleurette.
Et je constate qu’une des caractéristiques inédites du zouk par rapport aux autres genres musicaux mondiaux, c’est que les mecs osent chanter et être sentimentaux (le zouk n’est pas une musique gay ou monopolisée par la gente féminine : loin s’en faut !). Même le chanteur armoire-à-glace et macho noir veillera toujours à avoir dans son répertoire une petite chanson dédiée à sa môman (exemple : Yoan) !
Mais bon, en gros, pour résumer, dans le zouk, ça sent la testostérone et les gros nibards à plein nez… même si, paradoxalement, je constate que ce son « hyper-hétérosexualisé » et « hétéronormé » plaît énormément aux gays (y compris blancs) ! Je ne suis pas le seul gay à adorer ce style musical, croyez-moi !
Dans le zouk aussi, on tombe souvent sur des chansons vantant les valeurs inédites qu’on n’entend plus dans les chansons occidentales actuelles (l’amitié, la fraternité de sang, le mariage fidèle et sacré, la virginité, les enfants et la famille, le respect des aînés, les traditions, la crainte de Dieu et même du Ciel…). C’est sans doute pour cette raison que le zouk, dans sa prétention ratée ou hypocrite – mais malgré tout hyper sincère ! – au Grand Amour et à la pureté, sombre dans le kitsch, avec des synthés (parfois violoneux) poussifs ou un piano-bar romantique ou des effets célestes (harpes, chœurs, mélopées et glossolalies, etc.) ou un riff de guitare très caractéristique et mielleux, qui lui confèrent une dimension quasi religieuse et angélique. D’ailleurs, le rythme du zouk est ternaire, donc – on pourrait dire – trinitaire !
Et enfin, le zouk est une musique que je trouve chouette car elle a le sens du Kompa, du virage à 180 ° ! Elle aime (se) surprendre, et même quelquefois se rompre en son milieu pour partir complètement ailleurs, dans une direction qu’on n’attendait pas. On y trouve beaucoup de titres divisé en deux temps (avec des secondes parties souvent réussies, bien meilleures que l’intro, et qui subliment la chanson toute entière : par exemple, la chanteuse Kénédy excelle en la matière), ou des fins complètement décalées (je pense par exemple à l’étonnante issue de chansons comme « T’aimer encore » de K-Reen et Rickwel, ou encore le mythique « Zouk la sé sèl medikaman nou ni » de Kassav’). C’est surprenant. C’est sucré-salé, comme dirait Fanny J. Et c’est pour ça qu’on a envie d’en reprendre, en se demandant « Mais qu’est-ce que c’est que cette saveur inédite qu’on a goûtée là ?? » !
Tout ça pour vous dire que le zouk a encore de longs jours devant lui. Avec lui, on décolle vers le Ciel éternel !
Les Provax sont nos amis : il faut les aimer aussi 😉.
Ce fut une des meilleures « Soirée Dissidence » de la série, qui s’est tenue à Paris le jeudi 13 janvier 2022.
La « Soirée Dissidence n°7 » a décidé de mettre à l’honneur lesdits « Provax », c’est-à-dire les défenseurs du vaccin contre la COVID. Dans un climat d’écoute, de convivialité et d’échanges. Pour ouvrir les horizons des deux camps appelés caricaturalement « Provax » et « Antivax », et qui, en temps normal, ne se rencontrent jamais, à part pour s’écharper sur les plateaux-télé.
Il y a eu 3 topos :
1) « Le profil psychologique de Macron » (topo présenté par Jérémy : de 3’00 à 58’00)
2) Interview de Pascal Neveu, chroniqueur-santé pro-vaccin sur diverses chaînes de télévision (de 58’00 à 2h09’00)
3) « Dans la tête d’un provax » (topo présenté par Philippe Ariño : de 2h09’00 à FIN)
Voici la liste des 18 podcasts « 5 Minutes, 1 Thème : Amis ou Pas ? » que la chanteuse Steph Bach et moi-même avons enregistrés en 2019, juste avant la crise sanitaire.
C’est vraiment des supers échanges. Traces aussi d’une époque toute proche et pourtant qui paraît tellement éloignée par sa pureté ! (la peur n’avait pas contaminé vraiment notre Monde).
À ce jour, seuls les 11 premiers podcasts ont été postés sur YouTube. Il en reste 7 autres (dont 2 « formats spéciaux » : le n°13 et le n°17), qui s’étaleront tous les lundis midi jusqu’en mars.
Podcast n°15 – « Quel est ton grand Combat de vie ? » (lundi 21 février)
Podcast n°16 – « Ferais-tu un bon acteur ou une bonne actrice ? » (lundi 28 février)
Podcast n°17 – « Le secret d’un Amour qui dure » (lundi 7 mars) FORMAT SPÉCIAL
Podcast n°18 – « La Fin du Monde arrivera-t-elle ? » (lundi 14 mars)
Et déjà, Stéphanie et moi commençons à prospecter pour savoir quel nouveau binôme – formé de 2 personnalités qui ne se connaissent pas encore et qui testeraient leur compatibilité amicale et leur capacité à s’écouter sur des sujets potentiellement explosifs ou faussement « légers » – formera partie de la belle famille des « 5 Minutes, 1 Thème : Amis ou Pas ? »…
Der zweite Teil (von insgesamt 25) unseres Dokumentarfilms « Die Tunten Gottes » (Homosexualität und Glaube) ist soeben auf YouTube veröffentlicht worden!
Hier ist der Link:
Dieser Film beleuchtet das Leben von 6 homosexuellen und/oder transsexuellen Menschen aus aller Welt aus 8 Blickwinkeln :
1) Die intime Dimension der Homosexualität (Teile 1, 2 und 3)
2) Die familiäre Dimension der Homosexualität (Teile 4, 5 und 6)
3) Die Liebesdimension der Homosexualität (Teile 7, 8 und 9)
4) Die kulturelle und gemeinschaftliche Dimension der Homosexualität (Teile 10, 11 und 12)
5) Die internationale politische Dimension der Homosexualität (Teile 13, 14 und 15)
6) Die homophobe Dimension der Homosexualität (Teile 16, 17 und 18)
7) Die religiöse Dimension der Homosexualität (Teile 19, 20 und 21)
8) Die heilige Dimension der Homosexualität (Teile 22, 23 und 24)
+ Stilblüten (Teil 25)
Sie können sich natürlich den ersten Teil ansehen – oder noch einmal ansehen – (Link) sowie die vollständige Liste der 246 Fragen, die behandelt werden.
Für diejenigen, die sich über den Titel des Dokumentarfilms wundern, gibt es hier eine Erklärung sowie ein Interview auf Spanisch auf dem Fernsehsender RFI Internacional mit Philippe Ariño, dem Regisseur.
Wer die Tunten Gottes dabei unterstützen möchte, die Bearbeitung und Veröffentlichung der 25 Teile sowie die Verbreitung zu beschleunigen, kann dies ganz einfach tun: Er kann an den Leetchi-Fonds spenden oder den Link zu den Videos mit seinen Freunden teilen und den YouTube-Kanal der « Tunten Gottes » abonnieren.
Uns zu einer Konferenz zu bewegen, könnte es angesichts der aktuellen gesundheitlichen Lage komplizierter sein, zumal die Mehrheit der Tunten nicht « geimpft » ist und sich weigert, sich impfen zu lassen. Aber Videokonferenzen funktionieren sehr gut!
Viel Spaß beim Anschauen.