Et voilà. Le 10 juin, je devais initialement me rendre à une table ronde, en face de deux participants homos de la Gay Pride à Sion (en Suisse) et aux côtés d’un homme politique, dans le style des débats apparemment traditionnels et courtois dans un pays comme la Suisse quand un sujet fait polémique. Et il arrive exactement ce qui s’est passé avec Christine Pedotti qui devait se confronter à moi lors des États Généraux du christianisme il y a deux ans : quand elle a appris qui j’étais, elle a balisé et s’est désistée… Là, c’est pareil. Ils ont tellement les boules de ne pas en mener large face à moi qu’ils viennent d’annuler. Les pro-homosexualité (ou anti-homophobie) ne veulent surtout pas voir traiter vraiment ce qu’ils défendent ou combattent. Idem pour les mass medias, extrêmement homophobes derrière leur façade gay friendly. L’organisateur qui voulait me faire venir m’a écrit : « Les médias ne bougent pas et ne souhaitent apparemment pas nous donner la parole (tu connais la corruption du système !). Je suis en train de lire ton livre: « L’homophobie en vérité » et j’ai proposer l’idée suivante lors de notre réunion : créer une conférence avec ce titre (si tu es d’accord) et t’inviter comme conférencier. L’idée serait de faire cette conférence dans la première quinzaine de septembre. » Affaire à suivre…