L’homosexualité, c’est exactement comme l’obésité : il y en a certains qui ne l’ont absolument pas choisie et qui n’y sont pour rien ; il y en a qui à la fois l’ont subie et qui s’y installent ; d’autres qui en sont totalement responsables par leurs comportements. Et avec tous ces degrés différents de liberté, on voit bien qu’on ne peut socialement ni l’applaudir, ni la proposer comme norme d’identité et de bonheur.