Aujourd’hui, et pendant tout ce week-end, je pars à Chartres chez l’ami Morgan Priest (nous allons être plusieurs : ça va faire du bien ; et nous allons tourner plusieurs vidéos). Du coup, je ne pourrai malheureusement pas me rendre aux manifestations parisiennes contre la dictature macroniste (qui va bientôt, parce que je refuse de me faire injecter une substance dont même les « vaccinés » ne savent rien puisqu’elle est encore en phase expérimentale, m’empêcher de prendre le train ou de rentrer dans une grande surface ou d’avoir un travail : no comment…).
N’en déplaisent à ceux qui jugent le terme « dictature » excessif, sous prétexte qu’ils relèguent ce mot au passé ou le réservent à d’autres nations (comme si la France actuelle en était prémunie ; comme si je « l’avais bien mérité » et que c’était moi qui – par mon refus du « vaccin » – m’était finalement auto-exclu et serais « mon propre dictateur » : totale inversion des valeurs), la France et le Monde se transforment bel et bien en dictature.
Ceux qui disent qu’ils se sont fait vacciner « en conscience » et « librement » sont des menteurs : ils ne savent rien des « vaccins » et de leurs conséquences sur le long terme (puisque les essais-cliniques se terminent au plus tôt en 2022-2023). Ceux qui disent que nous ne sommes pas en dictature et que Macron n’est pas un dictateur (sous prétexte que le mot et les réalités auxquelles il renvoie sont trop dures à regarder en face) peuvent ouvrir leurs livres d’Histoire et s’intéresser notamment à l’Allemagne de 1933-1934. Même si chaque époque est unique, et que « comparaison n’est pas raison », ils verront que les similarités sont nombreuses et qu’il n’y a aucun excès, aucun « Point Godwin » de paranoïa ou de victimisation, à dire que l’Histoire se répète imparfaitement. Eh oui : malheureusement, l’Humanité est pécheresse, ne retient pas nécessairement les leçons des erreurs de son passé, voire peut même faire pire que ses ancêtres à force de les avoir diabolisés ou de s’être crus au-dessus d’eux.