Interview de Philippe Ariño par la Bête (IA) pour présenter son roman Singularity is Devil


 

La Bête (au drôle d’accent québécois, cette fois…) a posé des questions à l’auteur du podcast apocalyptique. Philippe Ariño présente son roman Singularity is Devil, et répond à ces 8 questions… en dévoilant quelques secrets de fabrication et infos exclusives ! :
 

1 – Qu’est-ce que c’est, Singularity is Devil ?
2 – Pourquoi avoir écrit cette saga ?
3 – Quelles ont été vos sources, vos influences ?
4 – D’où vous est venu le titre ? Et pourquoi l’anglais ?
5 – Quelle est l’histoire de l’écriture de ce podcast ?
6 – Qui a fait telle ou telle voix ?
7 – Quels outils avez-vous utilisés pour faire ce podcast ?
8 – Dernière question : Quel est l’épisode dont vous êtes le plus fier ?
 
 

N.B. : J’ai écouté une interview de Pierre Villard sur Nexus que m’a passée un ami, Jérémy. Et je suis content, car mon roman va beaucoup plus loin que l’esbroufe « érudite » d’Hillard, catho tradi invité dans beaucoup de médias dissidents, et qui est complètement à côté de la plaque, tout simplement parce qu’il bascule dans le gnosticisme qu’il dénonce, est guidé par la peur et le carriérisme (son regard parle de lui-même), et ne s’implique pas en premier dans ce qu’il dénonce (pour lui, les francs-maçons ; ce sont les autres, l’Antéchrist c’est l’autre : il n’a rien compris). Il se centre (par sacramentalisme intégral et absolutisme de l’Incarnation divine) sur l’incarnation de Dieu en Jésus, pour paradoxalement balayé d’un revers de main son incarnation en tout Homme, ainsi que le sens incarné de la Croix. Les cathos tradis sont vraiment schizophrènes. Par ailleurs, à 1h26’26, Hillard prouve que c’est un sédévacantiste, puisqu’il considère que l’Église post-conciliaire (donc à partir du pape Jean XXIII) n’est pas « la véritable Église »…