Il faut se méfier du mythe spiritualo-homosexuel du « Jésus-époux » ou du « Jésus substitut marital » qu’on pourrait rechercher dans la continence. Certes, Jésus comble l’homme continent, et de manière aussi concrète que l’union corporelle entre un homme et une femme ; mais Il comble juste autrement que par le génital : Il comble dans l’amitié désintéressée.