C’est à en devenir dingue. J’identifie beaucoup de signes que la Bête technologique de l’Apocalypse approche, mais ils apparaissent dans l’indifférence et l’inconscience quasi générale : à ma fenêtre, j’entends un joueur de trombone jouer en bas de chez moi pour la Fête de la Musique des airs bien connus du répertoire populaire franc-maçon (le générique de « Star Wars », « Tout le monde veut devenir un cat », « Il en faut peu pour être heureux », etc.). L’Apocalypse noyée dans le pain, les jeux et les animaux.