Il existe une supériorité française. Et je le dis sans orgueil ni chauvinisme ni eugénisme xénophobe ni patriotisme/civilisationnisme conquérant. Mais parce que c’est la réalité et la vérité. Et qu’il s’agit d’une supériorité qui n’est pas humaine… donc qui ne donne aucun mérite à personne. Plus qu’une simple exceptionnalité ou une belle singularité culturelle ou une excellence stylistique ou une « identité » nationale, il existe une supériorité française. J’ose parler de supériorité. J’ose établir une « hiérarchie » mondiale des Nations. Même si celle-ci – qui place inconsciemment la France sur le haut de la pyramide – est inclusive et non exclusive (comme toute préférence juste, en fait : Jésus a bien préféré Jean, bien qu’Il aime tout le monde et n’écarte personne). Même si le fait que la France soit la meilleure ne désigne pas les autres États comme de la merde ou comme des Nations mineures et méprisables. Même si cette supériorité ne nous met pas à l’abri, nous Français, de la connerie ou de la rétrogradation/décadence/faute/despotisme/Franc-Maçonnerie (Bien au contraire ! Dans « franc-maçon », je rappelle à tout hasard qu’il y a « franc » !). Même si elle ne nous rend pas, nous Français, plus méritants que les autres (puisqu’elle est surtout d’ordre surnaturel, donc de l’ordre de la Grâce, de la préférence et de l’élection divine… et que Dieu ne se laisse pas enfermer dans des frontières topographiques) : elle nous rend juste plus responsables, et donc aussi plus coupables si nous n’obéissons pas à cette supériorité donnée arbitrairement/gratuitement. Comme dit Jésus (Lc 12, 48), « À ceux à qui il a été beaucoup donné, il sera beaucoup demandé. »
Je me suis rendu compte de cette supériorité française très innocemment, un peu par accident, sans du tout l’avoir calculé, sans avoir été spécialement conditionné par une éducation ou un milieu patriote voire même monarchiste/royaliste qui me l’aurait mise dans le crâne : deux parents profs, de classe très moyenne, dont un papa espagnol, fréquentant une paroisse gauchiste dans une ville ouvrière de province comme Cholet : il y a plus nationaliste qu’un binational comme moi !). Pour prendre une image parlante, j’ai découvert la supériorité française un peu comme un élève ayant reçu un enseignement solide pendant toute sa scolarité dans un établissement scolaire de qualité, ne le conscientisant pas puisqu’il a été majoritairement entouré de camarades tout aussi exigeants, futés et curieux que lui, ne mesurerait sa solidité/supériorité/force cognitive, intellectuelle, comportementale et même spirituelle, qu’une fois en contact avec l’extérieur de son lycée, qu’une fois confronté à des élèves médiocres d’autres établissements bien moins prestigieux que le sien et à l’enseignement douteux, inconsistant et fébrile. À force de voyager dans différents pays du Monde, de rencontrer des étrangers et de découvrir que, malgré nos richesses partagées, nos échanges nourris et la singularité des êtres humains (il est évident que chaque pays a ses exceptions d’esprits brillants, de grands humoristes, de grands leaders et de penseurs : heureusement !), j’ai ressenti dans mon cœur et dans ma tête qu’il y avait un « choc culturel », un point de rupture ou de non-rencontre des intelligences et des ressentis, une incommunicabilité profonde, un fossé d’incompréhension insurmontable, entre moi et les habitants par exemple d’Afrique, d’Amérique Latine, des États-Unis, d’Asie. Et cette barrière n’était évidemment pas d’ordre simplement linguistique (puisque j’ai la chance de maîtriser plusieurs langues – le français, l’espagnol et l’anglais – très internationales). Elle était plus profonde. Plus ontologique. Par exemple, il est très difficile pour moi de me faire comprendre ou de me sentir pleinement compris par un Latino-américain, que je trouve en général carriériste, naïf, mièvre et sentimental, instable émotionnellement, pas assez fiable dans la parole donnée ou dans la ponctualité et la précision, pas assez cérébral, pas assez critique ni assez inventif dans sa réflexion. Et bien sûr, mon constat est forcément faussé par les nombreuses exceptions à cette règle que je rencontre dans la vraie vie. Mais voilà : j’aime la subtilité, la longanimité, l’acuité, la jugeote, l’assise intellectuelle et spirituelle, la sensibilité françaises… que je trouve peu ailleurs, il est vrai.
J’ai bien conscience que je vais parler, pour décrire et appuyer mon « intuition » (je n’aime pas ce mot, mais bon…) de l’existence de la supériorité française, de réalités invisibles (mais non moins réelles !) qui d’emblée me discréditeront par leur apparente inconsistance, subjectivité et non-scientificité, et qui apparaîtront aux yeux de beaucoup d’entre vous comme des irréalités, des délires mégalomaniaques de « natio » radicalisé, une prétention insultante ou inquiétante. Mais tant pis. Je me prête à l’exercice. Comprendront ceux qui pourront comprendre (… donc sans doute quasiment que des Français ! haha ! ou du moins des amateurs de la France).
SUPÉRIORITÉ GÉOGRAPHIQUE ET CLIMATIQUE
Commençons d’abord par la terre (et on terminera avec le Ciel !^^). La France, par bien des aspects géographiques, naturels, ressemble à un paradis, à un territoire idéal que bien des pays aux conditions climatiques plus éprouvantes nous envient (je pense à certains continents, durement attaqués par la sécheresse, les ouragans, les froids glaciaires ou au contraire les fortes chaleurs, les intempéries, les moustiques et les bêtes, une température élevée, les tremblements de terre et l’activité volcanique, etc.). La France, elle, bénéficie d’un climat tempéré. Ni trop chaud, ni trop froid. Elle jouit d’une très grande diversité de paysages (mers, fleuve, montagnes, plaines, vallées). C’est vraiment beau et divers, la France ! En gros, on est bien situés sur la Mappemonde ! En plus, on n’est pas sur une des 12 plaques tectoniques les plus cap de la Planète. Il fait bon vivre en France.
Et la France n’a pas à rougir des produits de la terre qu’elle offre. Je ne m’étendrai pas trop sur les aliments et les goûts coco-rico (car ça, c’est ce qu’il y a de plus subjectif et de moins universel)… mais faites l’expérience de goûter des viennoiseries et des desserts en Italie, en Espagne, en Amérique Latine, en Afrique… eh ben vous allez être globalement déçus du voyage ! J’ai fait le test à Londres de manger une baguette de pain : un désastre (désastre qui m’a été confirmé par beaucoup d’expat’ français vivant là-bas). Quel pays peut, au niveau gastronomique, rivaliser avec le pain français, le fromage français, le beurre salé, le saucisson, le foie gras, le vin français, franchement ? Pas beaucoup. Même si, bien entendu, dans n’importe quel pays du Monde, à n’en point douter, on mange bien. Mais désolé, en France, on mange mieux ! Et ça, beaucoup d’étrangers le reconnaissent. Et la cuisine française s’exporte énormément dans les pays qui se boboïsent à vitesse grand « V » (comme par exemple le Pérou).
SUPÉRIORITÉ D’INTELLIGENCE
Je vois globalement en France une supériorité d’intelligence (même si, en ce moment, le niveau baisse considérablement avec l’arrivée des nouvelles technologies, de la culture globalisée et de la main-mise de la Franc-Maçonnerie y compris sur l’éducation). Chez les Français, je trouve quand même que ça percute bien, ça comprend vite. Même s’il y a des cons partout, ou que le revers de cette supériorité peut être l’orgueil et la fermeture d’esprit justement, je constate qu’en France il y a des têtes et des cerveaux globalement « bien faits », des gars et des filles qui captent rapidement, qui vont plus loin dans leur réflexion, dans le sens critique, dans l’humour aussi, qui ont une inquiétude intellectuelle que j’observe beaucoup moins ailleurs, et qui n’est pas de l’ordre de la posture, de l’obéissance militaire millimétrée (comme en Allemagne) ou de l’opposition de principe (comme on peut l’observer aux États-Unis par exemple, en Pologne ou au Brésil) mais au contraire qui appartient à la sagesse sereine, ferme, exigeante et rebelle à la fois. En France, on nous la fait rarement à l’envers. C’est par exemple la Nation où les manifestations anti-mariage gay ont été mondialement les plus imposantes : ce mouvement de contre-pouvoir a d’ailleurs surpris tout le monde. À nous, Français, on ne nous impose pas n’importe quelle loi. On aime bien comprendre. Quitte à être tatillon et à discuter la virgule. Il existe en France une résistance à la bêtise, une capacité collective de penser, et de bien penser, de s’organiser et de construire une réflexion profonde. Certaines mauvaises langues mettront ça sur le compte de notre mécontentement constant, de notre soi-disant « complexité » (masturbation intellectuelle) ou « intransigeance », de notre réunionite aiguë ou de notre manie chronique de toujours faire grève, de toujours contester tout, d’organiser plein de manifs. Mais ce n’est pas vrai. En France, nous avons l’amour du débat collégial. Et nous savons penser. Nous ne sommes pas comme en Suisse, en Belgique, en Allemagne, en Angleterre, aux Pays-Bas, au Luxembourg, où la diplomatie et les bonnes manières de petit soldat bien élevé laissent souvent place à l’ouverture excessive et relativiste à tous les courants de pensée, y compris les plus toxiques… et nous ne sommes pas non plus, dans l’extrême inverse, en Italie, en Espagne, aux États-Unis où il n’y a plus de débats tant la confrontation des points de vue vire régulièrement à la foire d’empoigne et aux coups d’éclats, ni encore moins dans des pays (comme la Chine, l’Inde, la Russie, etc.) où le totalitarisme est tel qu’il n’y a tout simplement pas de débat. En France, au contraire, il y a du débat à la fois à couteaux tirés, c’est-à-dire passionné, et de haute volée. C’est finalement pas la bataille de poissons du village d’Astérix.
La France – je crois que c’est inné – est le pays de l’intelligence (et ce n’est même pas une flatterie que je fais là : l’intelligence, c’est neutre, c’est à double tranchant, et ça dépend surtout qui et quoi elle sert). Autant l’Italie a su donner au Monde des musiciens et des saints, l’Allemagne des musiciens, l’Espagne des peintres, la Russie et les États-Unis des sportifs des astronautes des négociants et des architectes, l’Inde des danseurs, la Chine des acrobates et des informaticiens, l’Angleterre et la Suisse des banquiers et des exploitants miniers, autant la France a nourri la Planète par ses penseurs, ses philosophes, ses inventeurs, ses penseurs politiques et ses écrivains, très souvent cités par les autres pays du Monde.
Pour donner un seul exemple de cette supériorité intellectuelle française, je m’arrêterai tout simplement sur un trio d’humoristes qui a bercé mon enfance et qui a littéralement embarqué tout mon pays (et pas seulement une minorité ou une seule classe sociale) pendant près de 10 ans (de 1985 à 1995) : les Inconnus. En effet, la France est un pays qui a été capable de porter tout entier et de manière unanime un trio comique pourtant anti-politiquement correct, ultra corrosif et dangereux pour le pouvoir politique en place. Je n’ai vu cette truculence et cette audace critique nationale nulle part ailleurs (Par exemple, en Espagne, El Tricicle est un trio clownesque certes plaisant mais qui n’atteint absolument pas le degré d’insolence et d’intelligence collective des Inconnus). Dans les autres pays, les humoristes poil-à-gratter sont au mieux marginalisés, au pire soumis au Système (bien qu’étiquetés « rebelles ») et ne sont pas l’objet d’une identification nationale massive.
SUPÉRIORITÉ POLITIQUE ET ÉCONOMIQUE
Même si le shérif Trump a qualifié dernièrement (et accidentellement ?) Emmanuel Macron de « Premier Ministre de la France » (et bim ! Mais en même temps, venant d’un gros beauf comme lui, c’est presque un compliment pour le dirigeant français), même si nous collectionnons depuis la Révolution Française (il faut le dire) – donc depuis l’imposition du modèle républicain et « démocratique » – les mauvais président (pas besoin de tous regarder vers François Hollande et François Mitterrand… ni d’idéaliser non plus Sarkozy ou le Général de Gaulle), la France est une Nation qui pèse voire qui prime sur l’échiquier politique et économique international. Elle est entre la 6e et la 7e puissance économique mondiale. Et le français est officiellement la langue diplomatique. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que c’est la langue obligatoire lors de tout rassemblement mondial, des Jeux Olympiques en passant par les sommets de l’ONU. Le français s’invite à la table de toutes les négociations universelles !
La France est aussi le pays prescripteur des principales orientations politiques des Nations post-modernes dites « démocratiques ». Ayant été la première Puissance économique mondiale sous Louis XVI, juste avant la Révolution de 1789, c’est elle qui dirige l’agenda politique universel depuis le XIXe siècle. Cette hégémonie centralisatrice a perduré et s’est vu illustrée par l’Empire conquérant et fortement administratisé de Napoléon Bonaparte. La France est une terre où se sont réglés beaucoup de conflits qui ont changé la face du Monde (exemple : le débarquement en Normandie lors de la Seconde Guerre Mondiale), où se sont signés les grands traités de Paix (exemples : Première et Seconde Guerres Mondiales), où les mouvements de conquête les plus coriaces ont buté contre un os (exemple : Charles Martel avec les musulmans, Jeanne d’Arc face à l’invasion anglaise, les sempiternelles et nombreuses guerres entre la France et l’Angleterre, etc.).
Et c’est sur la base de la Déclaration Universelle des « Droits de l’Homme » que se sont établis le capitalisme et l’Humanisme intégral qui constituent les deux principaux piliers du Gouvernement Mondial actuel. Aujourd’hui, force est de constater que les législations politiques nationales d’énormément de pays du Globe se calquent sur la devise nationale française « Liberté, Égalité, Fraternité ». La France Républicaine de la Révolution Française et des Lumières a énoncé le credo mondial sur lequel la plupart des Nations du Monde sont désormais obligées de se soumettre. La France, en quelque sorte, sert de patron à plein de structures architecturales, urbaines (les boulevards haussmanniens ont été exportés en Amérique Latine, et en particulier l’Argentine), de transports, et même politiques.
Un certain nombre de pays d’Afrique, par exemple, parlent français et a été dessinés/civilisés/éduqués par la France (exploités, aussi…). Contrairement à la Belgique, à l’Espagne ou au Portugual, la France a su garder (longtemps) ses colonies. Parce qu’il y a eu un vrai mélange, une solide rencontre des personnes et des cœurs (même si, évidemment, je n’idéalise ni ne nie les désastres d’une certaine colonisation). En gros, entre la France et ses territoires colonisés, ça n’a pas été un furtif « plan cul », mais bien un métissage durable et fécond, dont on peut observer les beaux fruits aujourd’hui rien qu’en regardant la diversité de population vivant dans l’Hexagone.
Bien sûr, comme la France a une identité forte et rassembleuse, tournée vers l’extérieur mais néanmoins très centralisée aussi, il est normal que, comme en Allemagne, elle devienne le terrain de revendications identitaires fortes, et parfois houleuses et radicalisées (en lien avec la colonisation, l’immigration et l’Islam). Mais contrairement à l’Espagne par exemple (où les clivages communautaires frisent souvent la guerre civile : la Catalogne ou le Pays Basque, par exemple, réclament leur indépendance), contrairement à d’autres pays plus fédéralistes (les États-Unis, l’Angleterre) où le multiculturalisme est devenue religion d’État et noie tout espoir d’identité unique clairement discernable et assumable par toute une population, la France a réussi à la fois son multiculturalisme (qui n’est pas, du coup, qu’une vitrine marketing abstraite, mais une réalité, quoi qu’en disent les pourfendeurs de la « Nation Black-Blanc » et du multiculturalisme à la française) et son unité (Pour l’instant, la Corse, la Bretagne, et les DOM-TOM n’ont pas encore exprimé de velléités d’indépendance radicale : la Vendée avait essayé… et on a vu ce que ça a donné comme génocide). Cette unité dans la diversité, c’est un exploit que beaucoup de pays du Monde ne parviennent pas à atteindre… même s’il faut reconnaître qu’actuellement, le risque de guerre civile guette aussi la France, comme il guette mondialement quasiment tous les pays du Globe, encore plus depuis la crise sanitaire du Coronavirus qui ne fait que creuser les inégalités et la misère. C’est pourquoi la France est un bon baromètre de l’économie et de la politique planétaire.
L’Angleterre est une culture mondialisée, donc patchwork : baladez-vous à Londres, et vous vous sentirez noyés dans un melting-pot sans cohérence, sans goûts, où l’anticonformisme et la différence-originalité sont lois et empêchent toute identité préférentielle, tout relief, tout caractère, toute affirmation d’une pensée profonde. Et pour les autres pays, ils sont folklorisés aussi : je pense aux continents vivant du tourisme et de leurs quelques monuments historiques, ou se trouvant encore sous tutelle d’accords économiques les maintenant dans une dépendance matérielle et politique à des pays plus puissants qu’eux. Ce n’est pas vraiment le cas de la France… même si elle n’échappe malheureusement pas non plus au folklorisme mondialisé : à cause du foot, en grande partie, et du « pain et des jeux » qui la symbolisent dernièrement dans les mass médias.
Diplomatiquement parlant, je trouve que la France est globalement un pays très aimé et très respecté. Son seul nom génère du rêve et de l’admiration sur les visages des étrangers que nous croisons (même si, sur les vingt dernières années écoulées, il faut reconnaître que le vent de la french friendly attitude mondiale a commencé à tourner, comme on peut le constater récemment avec les prises d’otages ou encore l’assassinat de touristes français au Niger en août 2020 : l’envie vire parfois à la jalousie voire à la vengeance). Cela dit, la France occupe – en tout cas au vu de ce que j’ai pu observer de mes propres yeux – un statut non seulement à part mais une place de chouchou dans le cœur de beaucoup d’étrangers. Et cette french préférence ne semble pas s’émousser avec le temps, bien au contraire. Grâce à des films qui lui offrent une vitrine de rêve (des James Bond en passant par les pubs de parfums, jusqu’aux dessins animés comme « Ratatouille », « Le Bossu de Notre-Dame », « Miraculous » ou « Anastasia »), grâce à des parcs à thèmes tels que Disneyland Paris qui élisent domicile en France ou qui, comme Le Puy du Fou en Vendée, sont de purs produits made in France que le Monde entier applaudit, la France n’en finit pas d’attirer. La France est un pôle attractif. Macron veut d’ailleurs attirer à elle les entreprises pour en faire une « Start-up Nation ».
À quelques exceptions près, y compris dans les pays qu’elle a colonisés, la France, mondialement, n’est pas vue comme l’oppresseur ni traitée comme l’envahisseur espagnol, anglais, allemand, chinois ou russe. Non non. La France reçoit un accueil spécial. Tu arrives dans un pays en disant que tu es français, et on te fait les yeux doux. Croyez-moi, j’ai pu le vérifier en Côte d’Ivoire, au Pérou, au Liban, en Espagne, au Mexique, en Italie, aux États-Unis, au Honduras, etc. !
La langue française, elle aussi, est très aimée, voire même préféré à l’anglais. L’anglais, c’est beauf, c’est commercial et marketing, c’est vulgaire. Le français, au contraire, c’est la sophistication, la classe, la culture, le raffinement, l’intelligence, la distinction. D’ailleurs, Le français, en général, est la « seconde langue » qu’on apprend par goût et comme un « plus » dans les collèges du Monde entier, et non la « première langue » imposée et obligatoire de l’hégémonique anglosaxonne ou hispanique, ni l’imbuvable langue rare (l’allemand ou le russe ou le chinois…) impossible à apprendre.
Et concernant l’empreinte musicale politique que laisse la France dans les cœurs étrangers, je donne ma main à couper que l’hymne français est plus connu que les autres (l’hymne anglais https://youtu.be/XmGKB_Iy59k, chinois https://youtu.be/473kDRArC5g, nord-américain https://youtu.be/c9UzA1uFudI, russe https://youtu.be/EmaH4eXEkIA, qui les connaît et pourrait les sortir aussi spontanément que l’hymne français, honnêtement ?)
La preuve que France a réellement gagné la bataille politique, c’est que même quand elle est chantée (je pense à « Douce France » de Charles Trénet, ou à « La Langue de chez nous » d’Yves Duteuil), elle ne tombe jamais dans le kitsch folkloriste (contrairement au répertoire national espagnol, par exemple) ni dans la débauche multiculturaliste ou nationaliste (comme au Liban, au Mexique, au Pérou et dans tant de pays où on voit des signes ostentatoires de patriotisme coloré et criard – autrement dit des drapeaux ! – à tous les coins de rue et sur tous les pare-brise !). En France, il n’y a pas de drapeaux partout… et quand on en voit, ça reste très exceptionnel : c’est à la Libération, pendant la Coupe du Monde, ou bien aux meetings pathétiques de la droite et de l’extrême droite. La France, même quand elle expose son patrimoine (et Dieu sait s’il est riche et chargé d’Histoire : on n’a pas l’Histoire amputée et rétrécie de l’Amérique !), garde le charme discret et délicat du désuet éternel qui ne vieillira jamais. Finalement, nous, Français, n’avons pas besoin d’en faire des caisses pour être nous-mêmes, pas besoin d’arborer le drapeau tricolore jusque dans nos chiottes pour se sentir Gaulois, pas besoin de nous auto-convaincre – comme les Nations récentes ou fabriquées artificiellement ou trop meurtries par leur histoire ou même finissantes – que nous sommes un grand pays et un vrai caractère, pour l’être.
SUPÉRIORITÉ CULTURELLE ET AMOUREUSE
La France a, mondialement, une supériorité culturelle et amoureuse. C’est indéniable. Elle a gagné mondialement la bataille des goûts, du charme et des cœurs. Haut la main, d’ailleurs ! La France, c’est la classe internationale ! Les regards s’illuminent rien qu’en l’entendant nommée. Et je n’exagère même pas ! Ce n’est pas pour rien que, juste avant le COVID 19, elle a été la première puissance touristique au Monde (avec 60 millions de visiteurs étrangers chaque année) ! La Tour Eiffel est, je crois, le monument touristique mondial le plus connu. La Joconde – pourtant italienne – a élu domicile en France ! Les héros de bandes dessinées les plus connus au Monde sont issus de la langue française (Astérix, Tintin, Les Schtroumpfs, etc.). Les événements sportifs les plus prestigieux mondialement sont français (Les Jeux Olympiques créés par Pierre de Coubertin, Rolland Garros, Le Tour de France, etc.).
La France est symbole d’Excellence (luxe, parfumerie, gastronomie, vins, haute couture, tourisme) en plus de patrimoine. Comparez Paris avec Madrid ou Moscou ou même New York et Berlin : ces capitales font pâle figure à côté ! (et je préfère ne pas parler de la fadeur des autres mégapoles mondiales, notamment japonaises : métalliques, grises et ternes) À Paris, il y a des monuments à chaque coin de rue. Et le Château de Versailles ou le Mont Saint Michel se visiterait presque en plusieurs jours ! La vie française est tellement agréable que mon papa, pourtant espagnol de cœur, ne se verrait pas finir ses vieux jours en Espagne !
La France, elle est aussi à l’image de ma maman, qui est française et qui représente à mes yeux la quintessence française (https://www.araigneedudesert.fr/la-typique-francaise/), l’atout charme. Et je pense que ce n’est pas dû uniquement à elle. Le français/le Français/la Française boostent vraiment une carrière mondiale. Vous croyez que Céline Dion ou Jean Dujardin ou Alizée ou Mylène Farmer ou Jean-Paul Gaultier ou Yves Saint-Laurent ou Marion Cotillard ou Audrey Tautou auraient fait une carrière aussi flamboyante sans avoir été étiquetés « Ambassadeurs de la France » ou sans le sacré – et magique ! – coup de pouce de la France ? Pas sûr. Vous croyez que les stars les plus connues d’Hollywood (Marilyn Monroe, George Clooney, Natalie Portman, Sean Connery, Salma Hayek, Johnny Depp, etc.) se sont entichées d’un Français ou d’une Française par hasard ? Je ne pense pas. Vous croyez que les acteurs les plus célèbres du star system (Brad Pitt et Angelina Jolie, Jude Law, Elton John, etc.) choisissent de s’acheter une résidence secondaire en France les yeux fermés ? Non plus.
La France a gagné les cœurs de beaucoup de monde puisqu’elle représente la Vie et l’Amour par excellence. C’est fou le nombre d’Asiatiques qui viennent se faire photographier en mariés à Paris ! Ce n’est pas un hasard que le tube interplanétaire des Beatles « All you need is Love », commençant par « Love, Love, Love », démarre précisément sur l’hymne (odieux, soit dit en passant) de la Marseillaise. Quelques années auparavant, avec leur chanson « Michelle », ils avaient déjà associé clairement la France à l’Amour. Et le cliché de la touriste française ravageuse ou de l’hôte française séductrice n’a pas attendu les Beatles (ni Brigitte Bardot !) pour faire le tour du Monde (c.f. les danseuses du french cancan).
Ce n’est pas non plus un hasard si les étrangers adorent prononcer les mots « Vie » et « Amour » (Je pense par exemple à leur attachement à « La Vie en rose » d’Édith Piaf ; ou encore à la fausse chanteuse française In-Grid qui a fait un carton en Russie https://youtu.be/6t-EWEo7cVs ; ou bien à beaucoup de chansons des quatuors suédois tels que Abba ou Ace of Base, qui insèrent plein d’expressions françaises très courtes comme « Voulez-vous », « C’est la vie », « Liaisons dangereuses », etc., qui résonnent comme des invitations au désir).
Beaucoup d’étrangers adorent dire « J’adore » en français, d’ailleurs. À ce niveau-là, ce n’est même plus de l’Amour : c’est de l’adoration ! Je pense que l’Italie et l’Espagne arrivent en deuxième et troisième places concernant leurs assignation mondiale aux mots romantiques vitalistes et amoureux (avec le mythe fellinien de la « Dolce Vita », à des films comme « La Vita è bella » de Benigni, ou encore à la popularisation de la sensuelle gitane espagnole Carmen). Mais elles talonnent quand même la France de loin. Paris sera davantage choisie comme le lieu de voyage de noces que Rome. C’est sans conteste la ville la plus romantique du Monde.
SUPÉRIORITÉ SPIRITUELLE ET DIVINE
On pourrait croire que la supériorité spirituelle mondiale est représentée par des pays comme l’Israël-Palestine (territoire où est né Jésus et où convergeront toutes les Nations du Monde à la Fin des Temps), ou bien par l’Italie (pays qui abritent le Vatican, de nombreuses églises et de nombreux saints officiellement reconnus par l’Église Catholique). Eh bien je postule que c’est plutôt la France qui l’incarne ! Et je vais vous expliquer pourquoi, en citant un extrait de mon livre Homo-Bobo-Apo (2017) où j’ai dédié un chapitre à la France.
À mon avis, il y a des Nations (je pense à l’Espagne, à l’Italie, au Portugal, à la Pologne, au Brésil) ou des continents (l’Afrique, l’Amérique Centrale et du Sud, l’Asie du Sud-Est, l’Europe du Nord et de l’Est et du Sud, la Russie) qui, concernant la Foi, n’ont pas – j’ai envie de dire – encore fait leur « crise d’adolescence ». Tandis que la France a certes douillé plus tôt religieusement parlant, mais au moins a vécu la purification douloureuse de la Révolution Française et des Lumières (expulsions d’ordres, confiscation des biens du clergé, assassinats massifs de congrégations religieuses, loi de 1905 de séparation de l’Église et de l’État, laïcisme exacerbé, etc.). En France – contrairement à beaucoup d’autres pays dans le Monde où la religion catholique fait tellement partie visuellement du paysage culturel et politique qu’elle a généré côté catholique une forme d’endormissement des fidèles et des clercs, et côté profane une forme de contre-mouvement anti-catholique radicalisé qui s’abat déjà violemment contre les représentants visibles du christianisme – l’orage de la Révolution Française est passé depuis longtemps. Le Français lambda n’éprouve aucune animosité contre un fait religieux qu’il ignore, n’a pas envie de s’opposer à une communauté religieuse qui lui paraît invisible et étrange plus que dangereuse et omniprésente, et a donc peu de chance de se transformer en bouffeur de curés. Il est même prêt, face à l’avancée croissante de l’Islam ainsi que de la culture matérialiste sur le territoire français, de jouer nostalgiquement aux catholiques pour s’inventer une dissidence magnifique. Par conséquent, en France, on est loin, très loin, de l’ambiance anticléricale électrique et surchauffée qu’on peut observer dans des pays comme le Chili (où les églises sont incendiées), l’Espagne (où le catholicisme est encore associé au franquisme), ou sur le continent africain (où le christianisme est considéré comme une soumission au colonialisme ainsi qu’à la modernité occidentale). Autrement dit, pour résumer, la Révolution Française puis la politique/tradition laïciste qui s’en est suivie, même si elles ont fait et continuent de faire beaucoup de mal au catholicisme français, l’ont paradoxalement purifié par le martyre, raffermi et renouvelé, tout en lui permettant de s’affranchir du poids d’un cléricalisme multiséculaire observable en Italie ou en Espagne, ou d’un indécrottable protestantisme visible en Angleterre, en Allemagne, aux États-Unis, et dans toute l’Afrique/Amérique Latine.
La France, quant à elle, échappe précisément à ces deux écueils (cléricaliste/protestant). Là où tous les cathos du Monde entier se font avoir comme des bleus et tombent soit dans le cucul (en mode « Carlo Acutis » ou « Laudato Si ») soit dans la contestation réactionnaire rigide et révoltée (ils applaudissent au Cardinal Sarah ou à Mgr Viganò, et voient le Pape François comme l’Antéchrist personnifié), les catholiques français sont plus subtils dans leur manière de vivre leur Foi : ils mêlent intelligence (foi intérieure) et émotion (foi extérieure), quand dans tant de Nations et de continents protestantisés ou islamisés ou new-ageïsés, soit c’est trop intellectualisé et légaliste, soit c’est au contraire trop émotionnel et la foi-spectacle. En France, pour le coup, c’est la bonne cuisson. Et je trouve les catholiques un peu plus équilibrés, humbles et solides, qu’ailleurs (je reconnais aussi cette solidité chez nos cousins italiens). Les catholiques français ont une culture de l’adversité et de la clandestinité/invisibilité qui les a endurcis, en même temps qu’une bonne assise théologique et intellectuelle. C’est de la bonne terre pour l’émergence et l’accueil du Grand Monarque, ça !
Qu’est-ce que la France a de si particulier pour être le siège de la royauté divine en personne ? D’abord elle est la Fille aînée de l’Église. Même si cette périphrase n’est pas à proprement parler « historique », elle est reprise par certains Papes (Jean-Paul II, le Pape François) pour qualifier la France et rappeler que, de par son baptême d’une part, et de par ses rois d’autre part, elle a une Mission particulièrement importante. De plus, la France est le seul pays où les rois ont été oints avec le Saint Chrême, donc par l’Esprit Saint, et non simplement par l’huile des malades comme c’est le cas pour les autres rois chrétiens du monde. La France est aussi le seul pays où la royauté est parfaitement unifiée à la chrétienté (baptême de Clovis à Reims en 498, consécration du roi saint Louis IX au Christ en 1226, apparitions de Cotignac en 1519 annonçant la naissance du roi Louis XIV, etc.). Sainte Jeanne d’Arc l’a bien rappelé par ses œuvres et en a payé de sa vie (Peu avant le sacre de Charles VII à Reims le 17 juillet 1429, Jeanne, par un pacte officiel et public en l’abbaye de Fleury-sur-Loire le 21 juin de la même année, a renouvelé le pacte de 498 conclu entre Dieu et le Royaume de France.) ! Le Christ est et a voulu être Roi de France. C’est par lui que la France reçoit sa Mission d’« Éducatrice des Peuples ».
Cette Mission évangélisatrice et pédagogique mondiale confiée spécialement à la France est visible à travers la présence de pléthore de saints français sur le territoire : ça va de saint Martin de Tours, en passant par sainte Geneviève (patronne de Paris), mais aussi saint Louis-Marie Vianney (le curé d’Ars), saint Louis-Marie Grignion de Montfort, sainte Bernadette Soubirous, saint François de Sales, saint Vincent de Paul, et bien sûr sainte Thérèse de Lisieux (carrément patronne des missions ! c’est dire le rayonnement mondial de cette petite carmélite !). Elle est aussi traduite par le fait qu’énormément d’œuvres françaises (Fondation Jérôme Lejeune, Emmaüs, L’Arche, Points-Cœurs, etc.), de communautés religieuses (L’Emmanuel, Les Foyers de Charité, Le Chemin Neuf, etc.) s’exportent partout dans le Monde. Je rappelle également que la France semble un pays particulièrement béni de Dieu pour le Monde puisque sainte Marie-Madeleine (excusez du peu !) est venue mourir en Provence (à la sainte Baume) ; que saint Joseph est apparu en 1660 à Cotignac (Var) à un berger nommé Gaspard Ricard ; et que Jésus en personne est apparu en 1673 à Paray-le-Monial (Bourgogne) à la religieuse sainte Marguerite-Marie Alacoque.
J’ajoute une troisième raison de poids pour justifier l’exceptionnalité divine française : la France est la nation chouchou de la Vierge Marie. C’est là que la mère de Dieu est apparue le plus de fois dans toute l’histoire de l’Humanité. Sur les quatorze apparitions mariales dans le monde reconnues officiellement par l’Église Catholique, quatre ont eu lieu en France (celle de l’Île Bouchard n’a même pas été comptabilisée alors qu’elle le mériterait amplement !). Par ailleurs, en reliant les points de cinq d’entre elles (Lourdes en 1858, Pontmain en 1871, Pellevoisin en 1876, la rue du Bac à Paris en 1830 et la Salette en 1846), cela forme la lettre « M » de Marie. La Vierge semble avoir apposé l’initiale de son prénom dans le cœur de la France. Cette élection virginale pour notre pays obéit à une logique surnaturelle et arbitraire, et non à la logique humaine du mérite ni de la valeur personnelle. Comme je le disais en introduction de mon article, le fait que la France soit préférée ne rend pas les Français meilleurs que les autres : elle les rend au contraire encore plus responsables, souffrants, et pécheurs si jamais ils n’honorent pas le privilège vocationnel qui leur est offert gratuitement et par pure Grâce. Et autant vous dire qu’on va déguster !
Enfin, la France est le lieu où la plus grande Pentecôte (descente diluvienne de l’Esprit Saint) devrait se produire. Comme l’a annoncé le bienheureux Marcel Van (1928-1959), vietnamien, elle sera particulièrement éprouvée, notamment à cause de la Franc-Maçonnerie (« Pauvre France ! Une fois libérée du communisme, elle subira une influence plus perverse encore, celle de la Franc-Maçonnerie. » (Jésus s’adressant à Marcel Van en 1945), mais aussi, pour le coup, très purifiée. Une autre mystique de compétition (pourtant très décriée en ce moment), Marthe Robin (1902-1981), a prédit le réveil de notre pays après une phase de profonde désolation ! Voilà les propos qu’elle a adressés au Père Finet, le co-fondateur des Foyers de Charité : « La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu’elle se sera choisis. Elle aura le nez dans la poussière. Alors elle criera vers Dieu, et c’est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. Elle retrouvera sa mission de fille aînée de l’Église et enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier. » Puis elle a également dit à Philippe, un retraitant : « La France va descendre jusqu’au fond de l’abîme, jusqu’au point où l’on ne verra plus aucune solution humaine de relèvement. Elle restera toute seule, délaissée de toutes les autres nations qui se détourneront d’elle, après l’avoir conduite à sa perte. Elle ne restera pas longtemps dans cette extrémité. Elle sera sauvée, mais ni par les armes, ni par le génie des hommes, parce qu’il ne leur restera plus aucun moyen humain… La France sera sauvée, car le Bon Dieu interviendra par la Sainte Vierge. C’est Elle qui sauvera la France et le monde… Le Bon Dieu interviendra par la Sainte Vierge et par le Saint-Esprit : ce sera la nouvelle Pentecôte, le second ‘avènement’ du Saint-Esprit. » Marthe, pour parler du sursaut et de la Pentecôte que va prochainement vivre la France, a employé l’image de la balle qui tombe au sol et qui rebondit instantanément. Donc cette Pentecôte est imminente.
Lors des tribulations, le combat spirituel n’épargnera aucun endroit ni cœur humain de la surface de la terre. Il n’y a pas de doute là-dessus. Mais je crois qu’il va être corsé et exceptionnellement explosif sur l’échiquier français, et en particulier parisien ! Toujours dans le film « Wonder Woman » (2017) de Patty Jenkins, la Pyramide du Louvre, musée le plus visité de la planète, est explicitement pointée comme la « noirceur qui tapit dans le monde ». Cela ne m’étonnerait pas qu’à l’heure actuelle il se déroule dans ses couloirs souterrains des messes noires et une activité rituelle satanique autour des sarcophages et autres reliques mortuaires de l’Égypte Ancienne ou des civilisations amérindiennes… Et pourtant, la capitale française est désignée aussi dans le générique final de ce même film comme le terrain idéal de conquête et de Mission « pacifique » du Gouvernement Mondial. C’est donc que la France, en plus d’être le centre névralgique de la conspiration maçonnique antéchristique, constitue un espace unique de résistance mondiale à l’Antéchrist ! On va bien s’amuser ! Paris la romantique, la « seconde Jérusalem » comme la baptise sœur Catherine Filljung (1848-1915), sera un haut lieu de martyre. « Le premier soulèvement se fera dans la ville de Paris et ce trône de mauvais rois s’écroulera comme la ville et ses victimes périront dans ses murs… Bien des fois les flammes et le feu se sont montrés dans cette ville criminelle. Mais cette fois ce sera la grêle de feu ensoufrée et qui étouffera les coupables. » (c.f. extase de Marie-Julie Jahenny du 27 avril 1877) ; « Paris sera brûlée et Marseille engloutie. » (c.f. secret de la Vierge Marie à la Salette, 1846).
Pour conclure cet article sur la supériorité française, je vous invite avec joie, paix, humilité et espérance, à accueillir l’existence de ce concept et de cette réalité invisible, sans y voir une quelconque manigance partisane FN, RN, royaliste, messianiste, prophétique ou millénariste. Je suis de gauche, je ne prends pas la France pour le Royaume de Dieu (le Royaume de Dieu n’est pas terrestre), je ne me fais pas le chantre d’une « France Catholique », d’une « Civilisation française/Royaume de France aux racines chrétiennes » ni d’un « esprit français » à la Zemmour (lui est napoléonien, civilisationiste, et pas catho : c’est pourquoi on n’applaudit pas lui et moi la même supériorité française, et qu’à mon avis, il ne l’a pas comprise, car pour la comprendre, il faut avoir accueilli pleinement avec son cœur Jésus et l’Église Catholique guidée actuellement par le Pape François). Je dis juste que la supériorité française est un don à reconnaître, une préférence réelle à honorer, et une responsabilité qui nous rend encore plus acteurs de l’annonce de la Victoire de Jésus sur le Monde.