Tenez-vous bien : je reçois maintenant des messages de catholiques que je connais personnellement (avec qui je suis allé à la messe pendant des années) qui me disent qu’ils désapprouvent (toujours sans argument, ou alors avec des slogans idéologiques soixante-huitards complètement stupides et éculés, du genre « les femmes ont le droit de disposer de leur corps »… euh… et le corps de leur bébé, est-ce « leur » corps? Non, que je sache) mes prises de position publiques sur l’avortement.
Je me rappelle d’une époque pas lointaine du tout, où, dans ma propre famille, on m’interdisait de parler de Macron, de même prononcer son nom et d’en dire du mal (« car Macron est gentil » et « en dire du mal, c’est extrémiste »). Alors que ce danger public, après avoir empoisonné la population française avec son « vaccin » (qu’il ne s’est lui-même pas inoculé, je rappelle), après avoir promu les lois de trafic humain (loi du « mariage » gay, loi de la PMA sans père, loi trans, loi d’interdiction du suivi psychologique et spirituel des personnes homos, et j’en passe!), après avoir inscrit l’IVG (avortement) dans la Constitution française (c’est vrai que c’est super de tuer des bébés dans le ventre de leur mère), après avoir menacé ouvertement la Russie de guerre nucléaire par rapport à l’Ukraine, défend maintenant (et c’est dit et filmé clairement) une « aide à mourir » gouvernementale (en substituant les soins palliatifs par un suicide contractuel, assisté et facilité).
Allô les gens qui ne se sont pas encore rendus compte qu’on avait un fou et un dictateur au pouvoir !?!!
N.B. : Et bien évidemment, ces « amis » cathos (ces traîtres, en fait) ponctuent leurs messages de flipettes lâches et collabos, de « bisous » et de « en toute amitié » et de « mais je t’embrasse ». Plein de petits coeurs partout. Parce qu’ils sentent bien qu’il faut camoufler la honte et leur trahison de Judas de bisous.