L’article de Gabrielle Cluzel témoignant de son intronisation journalistique au Panthéon des journalistes.
Voilà le piteux état dans lequel se trouve le journalisme « catholique » actuel. Nous sommes représentés (parce que la majorité des catholiques et des prêtres l’ont laissé faire, ont baissé la culotte et n’écoutent plus leurs prophètes) par des journalistes femmes (des « pétasses tradis » issues de la pseudo « réacosphère » : désolé du terme, mais comment les appeler autrement?) qui sont aussi « catholiques » devant les caméras ou dans leurs écrits que moi je suis Pape, mais qui présentent bien parce qu’elles font hôtesses mordantes, féministes anti-féministes, femmes d’action (Gabrielle Cluzel, Charlotte d’Ornellas, Eugénie Bastié, Thérèse Hargot, Natacha Polony, Élisabeth Lévy, Élise Blaise, Mariane Durano, etc.). Triste époque. Ces ambassadrices au joli minois – et surtout aux dents qui rayent le parquet! – sont le signe que le catholicisme actuel s’est dévirilisé, boboïsé (façon « féminisme d’extrême droite » : cf. le code 39 des Bobos en Vérité), aligné à la marche du monde. Elles signent la défaite du catholicisme et l’arrivée de la grande Apostasie. J’ai mal à mon Église.
P.S. pour ceux qui se croient revenus avec moi aux heures les plus sombres de l’obscurantisme catholique : je rajoute à ce post que personne ne « likera » par peur de se rendre complice d’un « ignoble machisme/sexisme/misogynie clérical (et au final typiquement homosexuel) », que dans la Bible, il n’y a que des disciples et des prophètes hommes : ce n’est pas pour des prunes. Les hommes et les femmes doivent retrouver leur juste place, y compris dans l’Église.