Le gros problème en ce moment dans les discours habituels sur l’homosexualité, c’est qu’on se focalise sur le terme « homophobie » pour ne pas parler du viol… alors que pourtant ces deux mots sont synonymes ! La grande majorité des personnes homosexuelles les ont opposés, ont mis l’un pour l’autre, afin que le vocable « homophobie » serve de cache-misère à ce qu’il prétend pourtant très sincèrement dénoncer. « Homophobie » est devenu avec le temps un mot magique qui vaudrait comme un argument indiscutable, un idole qu’on ne veut pas analyser. Il est une glorification (de l’agresseur ou de la victime) ou une sacralisation des intentions (de l’agresseur ou de la victime) plutôt qu’une reconnaissance des faits et de l’universalité de toute violence humaine.