Le père Zanotti-Zorkine dans La Croix :
« Quant à la question de l’amitié de similitude (je préfère l’appeler ainsi plutôt qu’homosexualité, terme à mes yeux trop récent pour décrire une particularité vieille comme le monde), que certains hommes d’Église et autres croyants arrêtent de se focaliser sur elle ! Nous apparaissons aux yeux du monde comme des obsédés de la question charnelle ! »
Je commence à en avoir plus qu’assez de cette langue-de-bois des prêtres médiatiques, qui justifient/banalisent la pratique homo « à partir du moment où elle reste discrète », qui en filigrane essentialisent et éternalisent l’attirance homosexuelle (comme si elle existait depuis la nuit des temps), qui ne pensent qu’à leur carrière et à l’image et au qu’en dira-t-on, qui vont jusqu’à condamner l’attachement des catholiques à l’Incarnation et à la sexualité (pour eux, c’est de l’« obsession sexuelle » : non mais on va où ??), qui n’ont même pas les couilles de prononcer le mot « homosexualité » (après « amours particulières », « amour d’amitié », « couples de même sexe », « personnes homosensibles » et « personnes à attirance pour le même sexe », Zanotti nous invente « l’amitié de similitude » = foutage de gueule).
Avec des mots pareils, non seulement il ne vient pas au secours du Pape François, mais il l’enfonce ! Et quant à nous personnes homos, même pas la peine d’en parler…