Apparemment, je me fais attaquer fort et traîner dans la boue en ce moment par Franc-Tireur (journal signé à son insu, car, comme je le démontre, « quand c’est franc, c’est que c’est franc-mac’ »). Je ne lirai pas. On m’a toujours dit de ne pas accorder trop d’importance au mal. Mais voilà, les francs-maçons s’en prennent à moi, et je sais à peu près qui se trouvent derrière. C’est signe que c’est bientôt leur fin. Et je n’ai pas peur : je sais qui a gagné. Leurs attaques injustes sont déjà un aveu de défaite et de bêtise.