Je reviens d’aller voir « Que viva Eisenstein! » du bien-nommé Peter Greenaway. Une biopic sur le cinéaste homo Sergueï Eisenstein. Un mot : lamentable. Pardon au Mexique, aux Mexicains, et à Sergueï Eisenstein dont la mémoire est salie et instrumentalisée par les bobos gays friendly falsificateurs du passé. (Ci-dessous, la critique Télérama, haut perchée, avec évidemment le mot qu’adorent les bobos snobs quand ils écrivent leurs goûts mais qu’ils n’ont rien à dire pour les justifier : « logorrhée »)